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La petite culotte de la voisine

Chapitre 1

Erotique
Nadia et Vincent sont voisins. Ils ne se sont jamais présentés formellement, mais se sont croisés à plusieurs reprises en allant travailler ou en descendant les poubelles, n’échangeant rarement plus qu’un bonjour. C’était cependant un plaisir partagé et espéré pour les deux de se croiser. Nadia a particulièrement remarqué Vincent à deux occasions. La première lorsqu’un soir il rentrait d’une course à pied en même temps qu’elle rentrait de son travail. Ce soir-là, alors qu’elle ouvrit la porte de l’immeuble, elle aperçut Vincent qui en revenait de son footing d’une démarche déterminée. Son attention fut happée par Vincent et surtout l’aura qu’il dégageait. Il se tenait droit, mais sa démarche était très souple, il avait un regard dur malgré ses traits doux, on pouvait deviner sa carrure athlétique sous son pull à capuche et le leggings trois quarts qu’il portait sous son short dessinait ses mollets et le début de ses cuisses.
Il faisait froid en cette soirée de janvier et la légère vapeur qui s’échappait de son pull laissait deviner l’intensité de son effort, et ça lui donnait une allure quasi surhumaine. Vincent dit bonjour à Nadia en lui jetant un regard intense sûrement parce qu’il était encore dans l’esprit de son effort intense, ceci combiné à la petite odeur de sueur qu’il dégageait en passant devant elle lui provoqua une soudaine accélération de son cœur et un frisson la parcourut des pieds jusqu’au sommet du crâne. Malgré tout, elle garda sa contenance non sans mal. Vincent s’engagea en premier dans les escaliers et Nadia fut attirée par la puissance des muscles inférieurs de Vincent qui se contractaient et se dessinaient à chaque marche. Elle pouvait deviner ses très belles fesses sous son short. Ils arrivèrent au palier et Vincent sans se retourner lui dit bonne nuit.
La deuxième fois c’est en allant travailler un matin. Vincent devait avoir une occasion importante puisqu’il était dans un costume bleu marine. Le vêtement était parfaitement ajusté et on devinait la puissance de ses jambes, mais aussi de ses épaules et ses pectoraux imposants. Vincent discutait avec une voisine qui était affolée parce qu’un morceau de son balcon était tombé dans la rue. Vincent faisait preuve d’énormément d’empathie et de mots rassurants pour calmer la voisine âgée. Nadia devinait bien que Vincent avait pris le temps de lui parler alors qu’il avait sûrement mieux à faire et cela la toucha beaucoup de voir ce dévouement. La conversation fut courte, elle put déceler dans les mots choisis par Vincent la marque d’un esprit affûté et d’un cœur très grand.
Vincent lui aussi remarqua particulièrement Nadia deux fois. Un matin, Vincent et Nadia sortirent simultanément de chez eux. Nadia était très élégante. Ses gestes pour sortir et fermer la porte étaient très délicats, gracieux et précis. Quand elle vit Vincent, elle lui sourit très largement et lui dit bonjour. Ses beaux longs cheveux noirs frisés rebondissaient en rythme avec sa démarche. Elle portait peu de maquillage, mais elle avait un regard captivant et un visage très expressif. Elle portait un haut blanc sans manches qui serrait légèrement sa poitrine que l’on pouvait deviner assez généreuse. Elle avait un joli collier assez long et de belles boucles d’oreilles. Elle avait un pantalon jaune-beige serré au niveau de la taille et légèrement évasé au niveau des jambes et des petits talons. Son vernis à ongles mettait en évidence ses belles mains parfaitement proportionnées et sa peau mate qui avait l’air très douce au toucher.
Vincent était désarçonné, complètement pris au corps par cette apparition, il lui répondit “bonne journée” sur un ton et un timbre qui traduisait son humilité face à une femme aussi belle, sa posture traditionnellement si ancrée et certaine vacilla légèrement. Nadia portait un parfum subtil qui aida Vincent à prolonger ce moment fugace, mais intense. En effet alors que Nadia était déjà 1 ou 2 étages en dessous, Vincent remarqua qu’en plus de son cœur qui battait la chamade, il prenait de longues respirations nasales comme pour capter toutes les micros-molécules qui pouvaient l’aider à prolonger ce moment.
La deuxième fois, c’est un dimanche matin alors qu’il sortait les poubelles, Nadia avait laissé la porte ouverte alors qu’elle faisait du rangement. Elle avait mis de la musique et elle chantait et dansait sur “Shape of you” de Ed Sheeran. Elle portait un pyjama et des chaussons, mais ça ne gâchait en rien la grâce et la justesse qui émanaient de sa danse. Elle se laissait vraiment porter comme si personne ne la regardait et Vincent ne pouvait qu’apprécier son sens du rythme, ses prises de risques pour tenter des figures approximatives, et sa voix juste. Beaucoup de douceur et d’innocence se dégageait de Nadia et Vincent faillit fondre sur place. Il se demandait si l’occasion était bonne, mais lui aussi avait le sens du rythme et il sentait que briser sa bulle ne serait qu’un geste égoïste. Il continua son chemin et Nadia ne le remarqua pas.
Régulièrement au moment de s’endormir, Vincent pensait à Nadia et fantasmait un moment où il pourrait briser la glace. Il avait particulièrement en tête l’odeur du parfum de Nadia et se souvenir était la base du scénario érotique que Vincent se faisait en se caressant. C’était animal, il voulait la sentir, la mordre, l’enlacer fortement dans ses bras musclés et la posséder.Nadia aussi s’imaginait souvent une rencontre électrique avec Vincent. Elle rêvait d’être sous le contrôle du corps athlétique de Vincent. Elle avait vu des bribes de la forte détermination de Vincent et elle espérait qu’un jour par chance, ils rentreraient tard au bon moment et Vincent ne lui laisserait pas d’autres choix que de finir en hurlant de plaisir à sa merci.
Un jour, Vincent rentrait d’un jogging. Alors qu’il s’engageait dans les escaliers Nadia était quelques marches plus haut. Elle se retourna brièvement et Vincent lui lança un “Salut voisine !”. Un geste brave vu le peu d’interactions qu’ils ont eu avant, sûrement à mettre sur le compte de la sérotonine dégagée par l’exercice. Nadia fut légèrement surprise, mais répondit d’un ton joueur “Salut voisin !”. Elle a vite compris que l’occasion de réaliser son fantasme était là et elle n’a pas perdu l’occasion de faire monter la température. Vincent portait sa tenue habituelle de course. Nadia elle portait des leggings de sport et une doudoune. Vincent cette fois-ci était derrière elle, ça le gênait parce que ce n’était absolument pas galant, mais la conversation engagée l’obligeait à rester proche d’elle. Il essayait, mais il ne put s’empêcher d’admirer les magnifiques jambes et fesses de Nadia.
— Tu reviens de la course, demanda naïvement Nadia.— Oui, et toi tu reviens du sport ?— Oui du pilate.
Nadia avait elle aussi un corps athlétique, mais des hanches larges et des formes très féminines. La cage d’escalier n’était pas un lieu très propice à la discussion et leurs échanges en restèrent à peu près là. Vincent essayait le plus discrètement possible de regarder Nadia dans les moindres détails. Son déhanché le captivait, il essayait de percevoir au mieux son odeur pour une nouvelle fois s’en imprégner. Malheureusement, ils rejoignirent leur étage sans avoir pu mettre un peu de tempo dans leur conversation, malgré l’envie mutuelle. Ils se dirent au revoir avec beaucoup d’hésitation et de déception et chacun rentra chez lui.
Vincent en rentrant se mit à son bureau pour rattraper ses emails et lire quelques articles de presse. Ensuite il se prépara pour la douche, mais au moment de rentrer dans la salle de bain, il se rendit compte que le chauffe-eau n’affichait plus l’heure. En examinant de plus près, il vit qu’il était hors tension. Il fit couler de l’eau en espérant avoir un peu d’eau chaude, mais elle restait glaciale. Il n’était bien évidemment pas question de se coucher sans se doucher. Pas question d’une douche glaciale non plus. L’idée de demander à Nadia d’utiliser sa douche lui vint évidemment vite, mais il ne voulait pas se montrer intrusif avec cette requête incongrue et ruiner l’embryon de complicité qu’ils venaient de construire. La sueur sur lui avait refroidi, ce qui le ramena à la réalité, il décida de sonner chez Nadia. Elle lui ouvrit dans le même pyjama dans lequel elle dansait. Elle avait un super sourire avenant.
Elle était surprise de voir Vincent à sa porte, elle se dit qu’il prenait les choses en mains et ça l’excitait
— Salut, je suis vraiment navré de te demander ce service, mais mon chauffe-eau est en panne et je n’ai plus d’eau chaude, tu crois que je pourrais prendre ma douche chez toi ?— Oh ! Bah... évidemment y a pas de problème. Entre je te montre.
Nadia l’amena à la douche et prit le temps de lui expliquer quelques détails triviaux sur le fonctionnement des robinets. Nadia était surprise de la requête et un peu déçue à vrai dire, elle aurait bien échangé ça contre une déclaration d’amour.
Vincent prit sa douche. C’était une douche à l’italienne ouverte avec des parois en verre sur les côtés. L’endroit était très propre. Vincent pouvait voir la multitude de produits de beauté qu’elle avait, quasiment tous estampillés bio ou naturels. Vincent prenait sa douche bien chaude en imaginant que c’est là que Nadia passait du temps à se préparer, à prendre soin d’elle, lascive, en petite tenue ou complètement nue. Il l’imaginait là, à cet endroit même, l’eau ruisselant sur son corps, elle se shampouinant les cheveux, se crémant le corps et peu à peu ses pensées prirent des tournures de plus en plus interdites. Son sexe était de plus en plus dur et il le prenait en main régulièrement pour se faire plaisir. Sa respiration devenait de plus en plus profonde, peut-être inconsciemment pour capturer les odeurs et l’aura de Nadia. Il ne se rendit pas vraiment compte du temps qu’il passait sous la douche.
Il finit par sortir et il commença à se sécher tout en continuant à toucher son sexe devenu énorme. Là, il aperçut la tenue de sport de Nadia qui était sur la porte du lave-linge. Son leggings gris foncé était là et sa culotte noire en coton était posée au-dessus. Ce détail anodin décupla l’excitation de Vincent, il entretenait tellement le fantasme de prendre Nadia que la vue de sa tenue lui amenait des images incroyablement excitantes. Il imaginait Nadia moulée dans ce legging, sa culotte au plus près de ses parties sacrées, imprégnée de son odeur. Il rêvait de s’en approcher au plus près. Sa raison se rappela à lui momentanément et il se dit que c’était peut être temps de mettre fin à ce délire, que si Nadia s’en rendait compte ça serait très embarrassant, qu’au final c’était une culotte sale et qu’il risquait d’être déçu ou dégoûté de se laisser aller à ses pulsions en jouant avec.
Mais son corps dominé par le désir brûlant qui l’animait prit le dessus, il prit la culotte pour la regarder en masturbant son sexe ultra-tendu. C’était un tanga échancré, il imaginait comment il s’était chargé des effluves enivrants de Nadia à chaque mouvement de son cours de pilate. Son cœur battait maintenant plus vite et son sang ne semblait faire que des aller-retour entre son sexe et sa tête. Il porta la culotte plus haut pour l’examiner de plus près. En faisant cela, il perçut à peine son odeur et un frisson lui parcourut toute la colonne, sa respiration s’approfondit encore une fois, il eut un peu de résistance face à ce geste qui lui parut complètement pervers, mais il se dit qu’il avait peu de chance de le regretter et il approcha la culotte de son nez pour la respirer à plein poumon. La réaction fut chimique, un long frisson le parcourut, son sexe était sur le point de l’explosion et il sentit un afflux sanguin dans son cerveau qui lui donna le vertige.
Sa respiration s’accéléra et la profondeur de celle-ci aussi, il serrait la culotte plus proche contre son nez et son visage à chaque fois. Il masturbait son sexe énergiquement de l’autre main. Vincent se demanda un court instant ce qui lui prenait, ce qui le dominait, après tout ce n’était qu’une culotte imprégnée de sueur et des odeurs des parties intimes de Nadia. Etait-ce une question de phéromone ? Très biologique comme explication. Etait-ce parce que ce geste servait l’assouvissement du fantasme brûlant que Nadia a créé chez lui en quelques rencontres éphémères ? Sûrement, mais ça n’explique pas le côté hypnotique que ce sous-vêtement a eu sur lui, son corps était complètement sous emprise à partir du moment où il l’approcha de son nez. Puis son cerveau s’éteint et il reniflait à plein nez cet objet fétiche en masturbant énergétiquement son pénis.
Nadia n’entendait plus couler l’eau de la douche depuis longtemps. Elle se demandait ce que Vincent faisait. Elle aurait voulu profiter de sa sortie pour discuter un peu. Sa déception et son impatience lui suggérèrent d’aller voir ce qu’il se tramait. Elle alla à la porte de la salle de bain. Vincent dans sa frénésie ne se souciait plus du bruit qu’il faisait. Nadia décida de ne pas se signaler. Elle se mit à genoux et regarda à travers le trou de la serrure. Elle vit d’abord les jambes de Vincent complètement contractées, puis ses cuisses elles aussi dures comme du béton, ses fesses magnifiques bien rebondies et musclées. Nadia lâcha un petit “wow” inaudible à la vue de cet arrière-train sculpté. Elle s’interrogea un instant sur le bien-fondé de cet acte voyeur, mais elle décida d’en profiter jusqu’au bout, le mal était fait. Son regard continua à monter et elle vit la main de Vincent qui tirait doucement, mais puissamment sur son sexe devenu énorme, les veines complètement ressorties.
Cette vue sidéra Nadia, comment osait-il ? En même temps, Nadia était subjuguée par la puissance animale et sexuelle incroyable que Vincent dégageait. Elle continua à diriger son regard vers le haut, les abdos de Vincent étaient dessinés, ses pectoraux ressortaient, ses épaules et ses bras en action. Enfin elle vit que Vincent reniflait à plein nez, ce qui était de toute évidence la culotte qu’elle portait au pilate. Nadia fut encore plus abasourdie. À première vue, elle trouvait ça sale et dégradant pour lui, mais il semblait que l’espèce d’extase sexuelle dans laquelle se trouvait Vincent était due à ce petit bout de tissu qu’elle avait porté entre ses jambes. Elle s’en sentit très flattée et cette ambiguïté ajoutait une couche d’incompréhension. Puis elle vit Vincent s’accélérer de plus en plus dans ses mouvements, bien que ceux-ci restèrent contrôlés et précis. Elle voyait au mouvement de la cage thoracique de Vincent que ses inhalations devenaient encore plus profondes.
Puis à un moment il rentra en apnée, ses jambes se tendirent et tremblèrent légèrement et il éjacula deux énormes jets de spermes qui s’éclatèrent sur le miroir. Nadia derrière son trou de serrure haussa les sourcils d’épatement. Très vite, il comprit le risque de débordement et porta la culotte à son sexe pour la souiller d’une bonne dizaine de nouveaux jets. Lors de cet orgasme puissant, Vincent lâchait de très fortes expirations audibles par le nez en essayant au mieux de contrôler ses râles pour ne pas alerter Nadia.
Il fallut à Vincent quelques secondes pour retrouver ses esprits, ses joues étaient écarlates. Il essuya le sperme sur le miroir avec la culotte et il la jeta dans le lave-linge où avaient déjà pris place quelques autres habits. La raison reprenait vite le dessus. Vincent commença à avoir peur des conséquences, que Nadia se rendit compte qu’il avait commis cet acte répréhensible. Il s’habilla et il sortit.
Nadia elle ne savait pas quoi penser, elle se disait qu’il fallait le confronter, que ce mec au final ne valait pas mieux que les autres pervers binaires neuneus. Mais quand elle vit Vincent sortir, elle le trouva très beau, il avait un sourire radieux et il lui adressa des remerciements très chaleureux. Il lui promit que si elle avait le moindre besoin, il l’aiderait sur-le-champ. Vincent ne voulant pas prolonger ce moment gênant quitta rapidement l’appartement après ces quelques mots.
Nadia ne savait pas quoi penser. Elle rentra dans la salle de bain. Elle inspecta les traces mal essuyées sur le miroir, légèrement dégoûtée. Elle était néanmoins impressionnée par la performance de cette éjaculation, la puissance, la quantité, c’était du haut niveau. Elle regarda sa culotte dans le lave-linge, elle dégoulinait. En y repensant, voir le beau corps raidi de la tête au pied par la seule force des résidus d’odeurs de ses parties intimes était très flatteur. Si ça avait été un goujat, il aurait juste profité de l’invitation de Nadia pour lui sauter dessus. Et Vincent était très beau, il y avait un certain honneur à pousser un homme de sa stature à s’humilier de la sorte pour elle. Elle prit la culotte avec deux doigts pour l’examiner. Elle était littéralement trempée, elle ne savait pas qu’un homme pouvait jouir autant. Elle fut très vite saisie par l’odeur du sperme de Vincent qui s’en dégageait.
Cette odeur ne lui déplut pas, bien au contraire, et elle en fut la première surprise. C’était l’odeur du sexe bestiale, de ce dont elle fantasmait souvent avec Vincent et le fait que l’odeur du sperme de Vincent fut mélangée à la sienne décuplait l’excitation. Elle repensait à Vincent dans sa fureur, elle aussi sentait que son corps l’appelait, son entrejambe s’humidifiait, ses seins se durcissaient. Elle mit sa main dans sa culotte et commença à se caresser. Elle murmura “Oh oui Vincent, prends-moi !”. À chaque fois qu’elle humait la culotte, son excitation décuplait comme si on envoyait de l’essence sur un brasier. Le désir et le plaisir augmentaient de manière exponentielle, son corps et son esprit étaient capturés par une seule idée. À un moment, elle se surprit à mettre la culotte dans sa bouche pour goûter le sperme de Vincent, il ne suffisait plus de sentir, elle voulait goûter !
Et ce fut délicieux, elle rêva de prendre ses jets puissants dans la bouche et de les avaler docilement pour l’honorer comme il l’honore elle. Le plaisir était trop fort maintenant et au moment de jouir, elle répéta son nom comme un mantra “Vincent, Vincent, Vinceeeennnnt...”
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