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La petite femelle

Chapitre 1

Divers
“La petite femelle”, c’est un des surnoms que me donne parfois mon mec attitré. Il m’appelle aussi SMLS, ce qui veut dire “Sa majesté la salope”. J’aime bien ce genre de respect. J’ai 28 ans, un cul d’enfer (ça aussi, c’est mon mec qui le dit, mais je sais qu’il a raison). J’aime le sexe, soft ou vraiment très hard. Les sexes, masculins et féminins, m’excitent et me motivent. J’adore aussi dévoiler mes désirs, raconter mes aventures sexuelles. Si mes récits vous plaisent et que vous me le faites savoir de manière un peu détaillée, il y aura de nombreux épisodes. Hommes, femmes, couples, tout dépend de vous. Moi, j’ai très envie de vous faire partager mes bonheurs.Commençons par vous faire connaître mon penchant pour l’exhibitionnisme. C’était il y a presque dix ans…J’ai passé la journée avec deux copines. Je veux rentrer chez mes parents en auto-stop (oui je vis alors encore chez mes parents). Il va bientôt faire nuit et ce serait cool qu’une des prochaines voitures s’arrête…
— Yes ! C’est gagné ! La voiture a l’air pourri mais le chauffeur est pas mal.
Ce qui m’interpelle le plus chez un homme, ce sont ses mains. Pour moi, elles sont très évocatrices. Je les aime grandes, j’aime les mains d’hommes manuels. Elles évoquent sa sensualité, son sens créatif, sa force, sa puissance. Et celui-là à de belles mains…Je ne suis pas sensible aux gravures de mode ambulantes, j’aime les hommes à l’allure équilibrée, plutôt solide, rassurante et protectrice. Celui-là est un costaud ! Je suis très sensible aux hommes charismatiques, intuitifs, spontanés, ayant une bonne estime d’eux sans être narcissique. Nos premiers échanges montrent que j’ai tiré le bon numéro…Au bout d’un quart d’heure, sa voiture tombe en panne. Non, non, pas du genre que vous imaginez : une panne véritable. Ma première impression était la bonne : cette caisse était vraiment gâtée. Heureusement, nous ne sommes plus très loin de mon village et nous décidons de couper à pied par la plage. Cette promenade à la tombée de la nuit me ravit. Il est vrai que le site est splendide et les couleurs enchanteresses. Mais au bout de quelques minutes, mon pied glisse sur un rocher et je me retrouve assise dans une flaque d’eau de mer. Une fois le premier juron passé, la situation me fait bien rire. Lorsque je suis relevée, je dis au mec :
— Ma culotte est trempée, c’est très désagréable, je préfère l’enlever ! Vous pouvez vous tourner.
Il reste une seconde interloqué, ne sachant pas vraiment si je suis sérieuse, mais il finit par pivoter. Nous longeons ensuite toute la plage. Je suis certaine que je l’excite et qu’il commence à se poser tout un tas de questions. Mes sandales dans une main, ma culotte dans l’autre (un petit string noir que je fais tournoyer pour le faire sécher), et ma robe mouillée collée sur mes fesses doivent être très appétissantes…Au bout de la plage, un petit sentier très pentu et parsemé ça et là de quelques marches d’escalier rudimentaires, grimpe jusqu’au sommet d’une falaise. Il ne paraît pas très pressé de s’engager le premier. Je fais quand même semblant de l’interrompre.
— Attendez ! Je connais le chemin ! Je vais vous guider ! Vous n’y voyez pas d’inconvénient ?
Je commence l’ascension. Je sens son regard qui passe sans arrêt du petit string qui pend dans ma main gauche aux rondeurs qui se meuvent au niveau de ses yeux.Très vite, je suis essoufflée par la montée et la tension sexuelle qui m’a envahie depuis plusieurs minutes. J’escalade une énorme marche et m’arrête là, juste au-dessus de lui.
— Pff ! Ça grimpe ! On va faire une pause !
Je me tourne vers la mer, m’étire comme un chat, les deux bras formant un grand V, et lui demande avec enthousiasme :
— La vue n’est elle pas magnifique ?

Mon mouvement de bras a délibérément fait remonter ma robe très haut sur mes cuisses. Il acquiesce.
— Je n’ai en effet jamais rien vu d’aussi beau !
Je parais subitement me rendre compte qu’il tourne le dos à la mer.
— Je parlais du coucher de soleil ! Et de la plage… Alanguie… Douce… Ambrée… Sauvage… Salée…
Pendant que je parle, j’écarte ostensiblement les jambes. Tout en admirant ce que j’offre à sa vue, il doit penser, du moins je j’espère :
— Toi, ma petite, t’es une allumeuse de première ! Tu ne perds rien pour attendre !— On continue, lui dis-je ?
Sans attendre sa réponse, je reprends l’ascension, jouant avec mon cul et avec ses nerfs. Quelques minutes après, nouvel arrêt. Sous prétexte que les efforts me donnent chaud, je dégrafe les trois boutons supérieurs de ma robe. Mes seins, libres de tout soutien, semblent vouloir s’échapper pour profiter des derniers rayons du soleil.
— On est bientôt arrivés, lui dis-je.— Allons-y alors !— Vous êtes bien pressés ! N’avez-vous pas envie de profiter du moment présent ? Ne me dites pas que vous n’avez pas compris ?— Que faut-il comprendre, chère Mademoiselle ?— L’endroit est désert, personne n’en saura rien ! Tu vas voir, je suis bonne tu sais !
Je m’attaque déjà à sa braguette. Je prends un plaisir immense à avoir sa bite dans ma bouche. Si cela était possible, je voudrais vivre en permanence avec une queue enfoncée entre mes lèvres. Monter, descendre, monter, descendre, tirer sur la peau, sentir le sang qui afflue, les veines qui gonflent… et savoir que cette érection est pour moi. Mes lèvres roulent le long de la colonne et remontent doucement, accompagnée de ma main, ma langue écarte cette si jolie petite fente au bout du gland, j’en bave de bonheur. J’éprouve énormément de fierté à me sentir regardée, à m’entendre encouragée.
— Oui, oui, salope, c’est vrai que t’es bonne !
Mes yeux sont ouverts, je me sens belle et forte. Il possède une bite assez grosse. Je l’astique du mieux que je peux, espérant à chaque instant recevoir son jus en cadeau. Je me demande comment il se fait que je suis aussi garce. Aurai-je des dispositions particulières. Mon nez se frotte contre ses poils… et puis son sperme inonde ma bouche. Je le fais rouler sous ma langue avant de l’avaler et je me relève en souriant.À lui maintenant de me donner sa langue. Ses lèvres sont douces, sa bouche est chaude sur mon sexe salé et accueillant. Lui aussi est super bon.Il me broute et me lèche, aspire ma chatte dans sa bouche, glisse sa langue en moi, remonte ma fente, excite mon bouton d’amour. Il écarte mes fesses pour lécher mon délicat œil de bronze.Je me retiens de jouir tout de suite. Je veux rester ainsi longtemps, jouir plusieurs fois avant d’exploser vraiment et de cracher mon jus comme un mec.
— A quatre pattes ! m’ordonne-t-il.— Cambre !
J’aime ce genre d’ordres brefs de mecs qui savent ce qu’ils veulent. Obéissante, je lui offre une vue parfaite sur mon juteux abricot et mon anus étoilé. Le soleil descend sur la mer et illumine le ciel de mille rouges différents. Le sable et les plantes qui poussent sur la dune ont pris des couleurs orangées parfaitement érotiques. J’imagine que mon cul est dans les mêmes tons colorés…Il me lèche la chatte et déguste mon nectar dont le goût légèrement salé et acide doit éveiller ses papilles et exciter ses sens. Il introduit un doigt, juste un ou deux centimètres, là ou il sait que ça t’excite le plus. Puis deux doigts s’enfoncent un peu plus. Il me branle de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je gémis de plaisir. Au moment où je commence à jouir pour la première fois, il suce et aspire mon clitoris pour augmenter encore l’intensité de mon orgasme.Sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, il laisse couler un long filet de bave lubrifiante entre mes fesses. Il enfonce un doigt dans mon petit trou et renouvelle trois fois la descente de salive, en faisant bien pénétrer avec son doigt. La vue de mon cul lubrifié doit l’exciter au plus haut point. Puis il m’encule avec sa grosse queue. Elle entre en moi. Il la fait tourner dans mon trou. Sa douceur provoque chez moi de petits gémissements de plaisir. Ma croupe ne tarde pas à bouger, venant à la rencontre du plaisir. Je jouis une deuxième fois.Je le supplie d’arrêter pour me laisser souffler. Mais il n’en a aucune intention. Sa queue plantée entre tes fesses en feu, il commence à me limer. Tout en me besognant de la sorte, il pétrit mes petits seins, pince mes bouts tout durs. Ses coups de reins se font toujours plus violents, toujours plus profonds. Sa queue enfle en moi, son gland est gonflé par l’excitation et l’attente. Je jouis encore… C’est fois, l’orgasme est énorme et accompagnés de grands cris qui se perdent dans la dune. Mon corps est secoué par le bonheur…Le plaisir le gagne aussi. Un grand frisson parcourt son corps, remonte ses jambes, descend dans son dos. Il explose en moi. Un orgasme libérateur qui lui vide les couilles. Il me remplit d’une quantité impressionnante de sperme brûlant.
Après avoir retrouvé nos esprits, je me blottis dans ses bras pour un long baiser et nous regardons longuement la mer qui s’assombrit peu à peu…Une petite heure plus tard, mes parents remercient le bonhomme de m’avoir ramenée à la maison. Ils ne voient pas le sourire moqueur qui illumine le visage de leur fille chérie. Nous téléphonons à un dépanneur. Avant son départ, je glisse discrètement un petit morceau de tissu noir et humide dans sa poche.
— En souvenir, lui dis-je tout bas… Merci pour tout !
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