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La petite femelle

Chapitre 3

Divers
“La petite femelle”, c’est un des surnoms que me donne parfois mon mec attitré. Il m’appelle aussi SMLS, ce qui veut dire “Sa majesté la salope”. J’aime bien ce genre de respect. J’ai 28 ans, un cul d’enfer (ça aussi, c’est mon mec qui le dit, mais je sais qu’il a raison). J’aime le sexe, soft ou vraiment très hard. Les sexes, masculins et féminins, m’excitent et me motivent. J’adore aussi dévoiler mes désirs, raconter mes aventures sexuelles. Si mes récits vous plaisent et que vous me le faites savoir de manière un peu détaillée, il y aura de nombreux épisodes. Hommes, femmes, couples, tout dépend de vous. Moi, j’ai très envie de vous faire partager mes bonheurs.Continuons à vous faire part de mon penchant pour l’exhibitionnisme en vous confiant que j’aime bien chauffer longuement un mec avant de faire l’amour. On me qualifie parfois d’allumeuse… . S’exhiber, c’est d’abord allumer, dans le sens embraser ou enflammer, et je suis depuis longtemps une petite garce qui aime aiguillonner, stimuler, inspirer…Je devais avoir dans les 22 ans. Trois jours plus tôt, j’avais rencontré un homme bien plus vieux que moi et nous avions déjà baisé déjà plusieurs fois.C’est l’été, à l’heure de la sieste. Lorsqu’il rentre chez moi, il me trouve installée sur une chaise du salon, en train de lire un journal.Imaginez une chaise en bois, qu’il voit de façon latérale, le dossier étant sur sa droite, dont l’assise est recouverte d’un tissu de couleur clair, maintenu au moyen d’une multitude de clous dorés. Il fait encore très clair. J’ai placée la chaise dans un coin de la pièce, devant les murs blancs. Près de moi, deux cartons à chapeaux cylindriques, posés l’un sur l’autre, font office de table basse sur laquelle est disposé un vase contenant un bouquet d’une quinzaine de roses et une soucoupe supportant une large tasse d’où émerge une cuillère à café. Je dégustais tranquillement mon breuvage en l’attendant.
Lorsqu’il pénètre dans la pièce, je fais semblant d’être très absorbée par la lecture du journal que je tiens ouvert assez haut et qui cache mon visage et ma poitrine. Mon minois allumeur ne sort qu’un bref instant pour déclarer :
— Bonsoir chéri. Installe-toi, je finis ma lecture.
Je porte un pull à manches longues en cachemire gris. Il est très fin et très doux. Mais la surprise, c’est d’abord que je n’ai pas de jupe. Mes pieds sont chaussés d’escarpins noirs à talons aiguille. Mes longues jambes croisées sont gainées de noir. Mes bas très fins sont retenus par un porte-jarretelles noir qu’il ne connait pas encore. Les jarretelles ressemblent à de larges bretelles réglables.Ma position latérale ne lui permet pas de savoir si je porte une culotte. Ma jambe gauche, passée par-dessus la droite, dévoile en tous cas une large partie de fesse dénudée. Le tableau doit être charmant et extrêmement prometteur.Il ne prononce qu’une phrase :
— Waouh ! C’est vraiment nécessaire que j’attende la fin de ta lecture ?— Ne sois pas si pressé !
Au bout de 2 à 3 minutes, je décroise les jambes et tourne mon visage vers le mur opposé au canapé où je suis assis. Mon bras droit est appuyé sur le dossier arrondi. Ma cuisse droite est posée en travers du siège, tandis que la gauche touche à peine la chaise. Mon pied gauche n’est en appui sur le parquet que par le bout de ma chaussure. La pointe de mon talon aiguille est largement décollée du sol. J’essaye que la position choisie soit encore plus délicieuse et suggestive que celle de la première découverte.Je montre volontairement la rondeur accorte de mon postérieur dont les courbes ont toujours captivé tous les hommes que j’ai rencontrés ou même croisés. De mon côté, mettre en valeur mon cul m’a toujours procuré d’exquises et savoureuses sensations. La ceinture du porte-jarretelles est très large sur ma hanche, jusqu’à la lanière tirée sur le côté de ma fesse, puis très fine sur la partie postérieure. A peine recouverte par endroit par le bas du pull en cachemire, je dévoile entièrement une ravissante culotte de dentelle noire, agrémentée d’un petit nœud rose dont la couleur fait écho aux fleurs roses et blanches du bouquet. La culotte, qu’il découvre aussi pour la première fois, est constituée d’un tissu plein d’excitante transparence, sur lequel est dessiné un harmonieux motif floral. Une ligne noire, semblable à la couture des bas, part du nœud rose, sépare nettement mes deux muscles fessiers et descend se perdre entre les cuisses, là où je suis bien chaude et humide, là où son œil cherche à pénétrer, là où sa main a très envie de s’aventurer…
Allumeuse jusqu’au bout, je finis par poser le journal à côté de ma tasse. Je me tourne vers lui et lui sourit. Un collier de perles blanches, faisant deux boucles d’inégales longueurs, ajoute au chic de ma tenue. Mon poignet droit est aussi entouré de trois rangs de perles. Mes cuisses s’ouvrent pour se refermer presque aussitôt.Mon pull en cachemire, savamment tiraillé par mes deux jolies mains, découvre l’épaule droite, fine et ronde, libre de toute bretelle de soutien-gorge. Un autre mouvement enchaîné, excitante montée du tissu gris, dévoile la hanche droite, couronnée par la large ceinture noire du porte-jarretelles. Le pull finit passe enfin par-dessus ma tête, donnant à voir deux petits seins ronds et fermes.J’ai des bouts de nichons qui l’excitent terriblement, il me l’a dit et répété. Imaginez de gros et très longs tétons entourés d’aréoles bien rondes (la gauche a un diamètre très légèrement supérieur à celui de sa cousine), dont l’agréable couleur rose lilas contraste avec la blancheur des seins. Moi je préfère dire « des tétines ». Je trouve ce mot peu élégant mais il a au moins le mérite de traduire avec justesse l’irrésistible envie que les hommes ont toujours de les prendre en bouche. Deux framboises grenues, roses et fermes comme des fruits en pleine maturation, qui poussent à vue d’œil lorsqu’elles sont arrosées de chaude salive et de mots salaces. Sensibles à la langue et aux doigts, elles sont pour moi et pour mes partenaires comme deux clitoris supplémentaires, excitables et jouissifs autant que celui du sexe.
Je caresse langoureusement mes seins. Je tire sur mes tétons. Je presse un peu les globes, comme je le ferai d’une orange bien mûre pour en faire sortir du jus… Pour le jus de mes deux fruits, je ne pense pas à du lait, j’imagine un jus sucré, collant et suintant comme de la résine de pin chaude, enivrant comme un alcool fort. Un truc plus explosif que n’importe quelle drogue existante…Puis mon strip-tease continue. Mes jambes se lèvent, très haut, largement écartées. Je me caresse à travers le tissu de ma culotte. Puis la pièce de lingerie finit par atterrir sur le canapé où il est assis. La sieste va être torride…
— Viens, me dit-il !
Il m’entraine vers ma chambre et mon lit. Derrière les volets clos, des rideaux de lins pendent. J’ai un lit à barreaux. Parfois, quand je suis seule, entre le pouce et le second orteil, je masse un des barreaux et mon esprit vagabonde. J’imagine une dizaine de bites bien verticales, que je peux ainsi branler tour à tour, allongée à plat ventre sur le drap bien tiré… C’est justement la position qu’il m’ordonne de prendre.Je suis maintenant entièrement nue, bras remontés de part et d’autre de la tête, poings fermés, yeux clos, cuisses écartées sur un sexe invitant à un coït brutal.Il enfonce sa langue dans ma fourche, se met à me lécher la moule pour que ça gonfle, pour que ça s’ouvre, les grandes lèvres sombres plaquées sur les côtés. Sa langue fouille ma fleur rose et écarte ses pétales. En même temps, il griffe assez fortement ses reins et ses hanches. Il a su très vite que j’aime ça !Il me prend les poignets et, d’une main forte, les maintient vigoureusement aux creux de mes reins. Sa langue se colle à ma petite corolle plissée, puis s’insinue le plus loin possible.Il alterne les caresses buccales et les claques violentes sur mes fesses. Je commence à geindre. Il pose une main sur sa bouche. Je la lèche, je la mordille, bredouille des mots crus et obscènes tout en laissant remonter les émanations de ma vulve de plus en plus poisseuse.
Lui fourrage encore de sa langue tout au long de ma raie ouverte, tandis que ses ongles laissent sur mes fesses de longues éraflures roses. Il reprend les lapements de ma chatte. Je cambre mon cul qu’il claque de nouveau avec force. Mes globes rougissent et sa bouche baveuse retourne entre mes cuisses.La tête dans l’oreiller, je suffoque. Je suis parvenue à un état second qui me semble durer une délicieuse éternité. Je prononce des paroles saccadées, des mots orduriers qui me libèrent.
— Oui, vas-y salaud… T’es le meilleur des putains de pervers que je connaisse… Oui, prend-moi… Baise-moi par tous les trous… Défonce-moi !
Son pouce fore brusquement mon bouton de rose et pénètre au plus profond. Il m’administre dans le même temps une bruyante et joyeuse fessée. Je serre mes muscles fessiers autour de son gros doigt. Et je jouis… Du cul jusqu’au ventre. Du cul jusqu’au bout des seins qui se frottent sur le tissu du drap. Du cul jusqu’à ma bouche ouverte qui laisse échapper des râles et de longs cris ininterrompus…
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