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La petite femelle

Chapitre 8

Divers
“La petite femelle”, c’est un des surnoms que me donne parfois mon mec attitré. Il m’appelle aussi SMLS, ce qui veut dire “Sa majesté la salope”. J’aime bien ce genre de respect. J’ai 28 ans, un cul d’enfer (ça aussi, c’est mon mec qui le dit, mais je sais qu’il a raison). J’aime le sexe, soft ou vraiment très hard. Les sexes, masculins et féminins, m’excitent et me motivent. J’adore aussi dévoiler mes désirs, raconter mes aventures sexuelles. Si mes récits vous plaisent et que vous me le faites savoir de manière un peu détaillée, il y aura de nombreux épisodes. Hommes, femmes, couples, tout dépend de vous. Moi, j’ai très envie de vous faire partager mes bonheurs.Mon aventure précédente a montré que pour être attirante, une femme n’a pas forcément besoin de porter une lingerie très sophistiquée. La blancheur et la simplicité d’une petite pièce en coton peuvent aussi éveiller de grandes émotions. La preuve répétée dans ce souvenir d’un très chaud séjour estival où j’ai abandonné très vite tous les vêtements amenés de Paris pour adopter une tenue plus adaptée au climat local : culotte, robe, sandales, il n’en faut pas plus pour demeurer fraîche tout au long de la journée.Fière de mes 22 ans, j’ai cherché un job d’été et trouvé à m’embaucher comme serveuse dans un bar camarguais sans prétention : le Gambetta, place... Gambetta ! Dans cette région, le ciel d’été est lisse comme une motte parfaitement épilée, le soleil gicle de tous côtés et le mistral est un vent de perdition qui soulève les jupes, fait tourner les têtes, arrache les mots aux lèvres et les emporte dans un autre monde.Le Gambetta appartient à la famille Escoffier. Chez les Escoffier, il y a Honoré, le grand-père, Christine, la seconde femme du patron, Pierre-Marie, le fils sournois issu du premier mariage de ce dernier, et Étienne, la bonne quarantaine, qui commande joyeusement tout ce charmant petit monde. En quelques semaines, je connais toute cette famille un peu spéciale...Honoré est un vieil homme, mais avec ses cheveux blancs et ses yeux très bleus, il est resté très beau. Victime d’une ancienne commotion cérébrale, il ne peut plus s’exprimer. Il n’en demeure pas moins vif d’esprit. J’aime son côté débonnaire et lorsque j’ai le temps, je lui lis le journal à l’heure de sa sieste, lui allongé sur son lit, moi assise sur une chaise juste à côté. La première fois qu’il lui est arrivé de poser la main sur ma cuisse nue, j’ai cru à un faux mouvement engendré par le sommeil et j’ai dégagé doucement ma jambe. Mais il a ouvert les yeux et j’ai compris qu’il ne s’agissait pas d’une erreur. Le jeu s’est depuis lors affiné. Il est désormais admis tacitement entre nous que lorsque je fais la lecture à l’abri des regards d’autres personnes, Honoré est libre de poser sa main sur mes cuisses, à condition de garder les yeux fermés. Rien de bien méchant : un caprice de vieil homme et moi cette main forte et chaude me transporte dans un autre monde. Au bout d’un moment, le souffle du patriarche s’égalise lentement et il finit par dormir pour de bon.
Je sors de la chambre sur la pointe des pieds, en fermant précautionneusement la porte...
Christine est une femme très... ouverte ! Je crois que c’est l’adjectif qui la qualifie le mieux. Nous avons très vite sympathisé. Ou plutôt, elle s’est mise à me faire tout un tas de confidences. Je marque le début de celles-ci au jour où, dans la chambre du bas, je me suis mise nue devant elle avant de prendre ma douche. Cet acte, qui pourrait sembler impudique, constituait pour moi, et je crois que Christine l’avait compris, une banale péripétie domestique. Je m’étais déshabillée devant une femme encore jeune, trente-huit ans à peine, comme je l’eus fait devant ma mère. Mais elle ne le voyait pas tout à fait comme ça et le spectacle de mes courbes sensuelles semblait lui ouvrir de nouveaux horizons. Elle avait considéré d’un regard trouble mes petits seins arrogants, ma croupe large et nerveuse et mon ventre à peine ombré...Christine m’a confié fréquenter les clubs échangistes. Avant son mariage avec Étienne, elle avait essayé de l’entraîner au Venusia à La Grande-Motte, mais Étienne n’a jamais voulu essayer ce genre d’endroits. Il ne supporterait pas, paraît-il, de voir Christine avec d’autres hommes. D’un autre côté, il est prêt à tout pour pouvoir la garder. Christine se rend donc régulièrement seule au Venusia. Étienne le sait, et ça ne l’a pas empêché de l’épouser.Le maire, un petit bonhomme tout sec, est obsédé par le corps voluptueux de Christine. Tout le monde, y compris Étienne sans doute, est au courant de cette évidente inclination. Lorsqu’il se rend au café, elle le met dans des états d’excitation extraordinaires. Ils tendent tellement son pantalon que l’indécente augmentation du volume de son sexe est visible de tous. Christine sait écarter légèrement ses jambes en regardant le maire droit dans les yeux. Elle n’a pas son pareil, en servant, pour se pencher en offrant un merveilleux aperçu sur son généreux décolleté. Le maire tremble toujours un peu en buvant sa bière, son verre de rouge ou son café... En parlant de lui, Christine m’a dit un jour :
— Des fois, ils sont grands et forts, et puis quand le pantalon tombe, il faut une loupe. Et puis des fois c’est le contraire...
Pierre-Marie, son beau-fils, n’est pas insensible à ses charmes. Christine n’a jamais parlé à Étienne de ce jour où, en préparant une sortie au Venusia, assise au bord du lit, les seins nus, à peine vêtue d’un serre-taille, elle s’était sentie espionnée en attachant ses bas. Une intuition soudaine lui avait fait lever les yeux pour rencontrer dans la porte entrebâillée le regard brillant de Pierre-Marie. Au prix d’un bref mais intense effort sur elle-même, elle avait étouffé un cri instinctif, avait lentement fini de fixer son bas pour ensuite fermer la porte d’un geste nonchalant. Furieuse d’avoir été observée à son insu, elle était ensuite devenue très joueuse avec Pierre-Marie. C’était le fils d’Étienne, pas le sien...
— Ce grand dadais est un voyeur. Méfie-toi m’a dit Christine. Moi ça m’excite qu’il puisse me voir dans des situations que la plupart des gens considèrent très intimes.
Je vois très bien la situation. Un reflet dans la glace de la chambre permet à Étienne de suivre les mouvements de son épouse. Penchée en avant, elle est en train de se brosser les cheveux. Elle a ôté ses dessous et ses seins bougent librement ; de beaux seins, à l’aréole large et brune, qui ont, suivant les confidences de Christine, enfiévré Étienne la première fois qu’elle les a dévoilés, à Saint-Germain-en-Laye, dans une petite auberge.
— A quoi tu penses ? Demande Christine en s’approchant du lit.
Elle a revêtu une nuisette transparente qui laisse voir la tache brune de son ventre. La pointe de ses seins volumineux tend outrageusement la soie légère.
— Oh ! Dis-donc, sourit-elle, en ouvrant les draps de son côté du lit, tu n’aurais pas une petite idée en tête, toi ?
— Non, dit Étienne hypocritement, laquelle ?— Je ne sais pas...
Elle glisse la main sous les fesses de son mari et vient lui caresser l’anus. Étienne baisse les yeux vers cette main qui le flatte souplement ; les audaces de Christine ne cessent jamais de l’étonner. Elle roule sur lui et lui impose un long baiser vibrant. Il se laisse délicieusement faire, tout en caressant le dos odorant et doux, et les seins, à la peau étrangement fraîche, qui s’écrasent contre sa poitrine. Les pointes érigées roulent entre ses doigts. Le désir monte rapidement en eux. Haletante, Christine se débarrassa de sa nuisette, émergeant, un peu rouge, du vêtement de soie. Il tente de la renverser, mais elle résiste presque violemment :
— Non, moi dessus !
Elle le dompte, le dirige, l’enveloppe dans une longue aspiration tiède et humide. Elle le regarde de haut, en souriant un peu fixement, puis se penche et lui donne sa langue à lécher.Elle sait que sur la terrasse, le front de Pierre-Marie est appuyé au volet à persiennes qui garde encore la chaleur du jour. À travers les interstices, son regard espionne et enlace le couple en pleine relation sexuelle. Comme la lueur de la lune, il se pose sur les fesses blanches de Christine accroupie, qui se meut de haut en bas sur le beau bâton raide d’Étienne. Elle sait aussi que Pierre-Marie se mord les lèvres à hurler...Ah ! Pierre-Marie ! Je suis comme Christine : j’ai décidé d’en jouer pour mon plaisir. Un matin, à moitié endormie, je frotte doucement mes cuisses l’une contre l’autre. Encore vague quelques minutes auparavant, l’intention de me donner du plaisir se précise. Ma main descend le long de mon ventre. Je dors nue et éprouve des voluptés supplémentaires à laisser mes paumes épouser la rondeur de mes épaules, la douceur de mes cuisses. Mes doigts écartent délicatement mes chairs fragiles. Un soupir de plaisir m’échappe. Dehors, c’est les bruits habituels du village : un tracteur démarre en hoquetant, quelque part un coq chante, des hommes s’interpellent joyeusement. Je me suis familiarisée avec cet environnement champêtre qui me plaît. Mon plaisir pris, j’écarte vivement les draps et enfile une légère chemise de nuit. Le cœur battant, je pousse les battants de bois et avance sur la terrasse. Déjà sous mes pieds, le carrelage est tiède. Le soleil aveuglant m’éblouit deux secondes et je mets la main en visière sur mes yeux.
J’éprouve soudain une sensation bizarre et me retourne d’un seul coup. À la fenêtre de sa chambre, Pierre-Marie, comme je m’y attendais, est en train de me dévorer du regard. Je n’en suis pas surprise. Souvent, en particulier le soir quand je me déshabille, je me sens observée par les yeux fiévreux du jeune homme. Après une première réaction instinctive de colère, j’ai rapidement pris un plaisir un peu pervers à offrir un véritable spectacle au voyeur impénitent. Je prolonge avec délice le lent glissement d’une bretelle sur mon épaule, ou bien m’allonge, nue, sur mon lit, jambes un peu ouvertes, juste dans l’axe supposé de l’invisible regard. Pierre-Marie n’est pas méchant. Son comportement est celui d’un puceau que sa première étreinte guérirait de son vice. J’ai même songé à lui offrir ce dépucelage, mais je crains d’être entraînée dans un chaos sentimental que je ne contrôlerais plus. Mieux vaut que Pierre-Marie poursuive ses petites séances de voyeurisme... Je me tourne vers lui, parfaitement consciente que, sous le grand soleil, ma mince chemise de nuit devient quasiment inexistante :
— Tu as bien dormi, Pierre-Marie ?
Le garçon bougonne une réponse incompréhensible. Je tends les bras vers le ciel, pour m’étirer comme une chatte qui se réveille :
— Il fait beau, non ? C’est extraordinaire ce temps !
Il en voulait, je lui en donne ! Quand je baisse les yeux, il a disparu dans l’obscurité de sa chambre. Le meilleur moyen de se débarrasser d’un voyeur : lui offrir massivement le spectacle secrètement convoité... Je m’habille en souriant de tant de naïveté ! Les hommes, vraiment...... Vous connaissez maintenant presque toute la famille Escoffier. Il ne me reste plus qu’à vous présenter Étienne... Personnage complexe, aimant les chevaux et en possédant plusieurs dans une écurie jouxtant le café. Très attirant par certains côtés, urticant par d’autres. Un physique à la Roger Moore, hérité d’Honoré, mais pas la même décontraction : horriblement tendu avec la gent féminine. Très loin du caractère cool de James Bond. Un homme terriblement macho aussi. Un jour je l’entends dire à son copain Léon :
— La petite Claire, avec sa voix sucrée et son popotin, ça doit quelque chose dans un plumard.
Et Léon lui a répondu :
— La chance que tu as de l’avoir au café, celle-là... On pourrait se la niquer à deux !
Puis vient le 15 août... Un bal a été organisé sur la place Gambetta, juste devant le café qui est évidemment resté ouvert. Comme j’adore danser, je laisse parfois mon service pour répondre à quelques invitations de garçons du village. Heureuse d’échapper quelques minutes à mon travail, je laisse voler très haut ma robe légère. L’éclair blanc d’un slip qui me couvre à peine le ventre apparaît à chaque nouvelle figure. Étienne ne perd pas une miette du spectacle. Nos yeux se croisent, une onde fulgurante parvient jusqu’à mon ventre.
— Mon dieu, pensais-je, mais j’ai envie de baiser avec lui ... Qu’est-ce qui m’arrive ?
La sensation est tellement neuve que j’exprime inconsciemment mon désir avec une crudité inhabituelle.
— J’ai envie de baiser avec lui, me répétais-je.
Quelques heures plus tard, rentrant de cheval, il se trouve soudain nez à nez avec moi qui sors de la salle de bains. Je me croyais seule dans la maison. Je ne porte en tout cas qu’un string de coton blanc, identique à celui qu’il a déjà entraperçu. Avec un petit sourire effronté et une assurance qui me surprend, ce n’est qu’assez lentement que je dissimule mes seins, avant d’entrer dans ma chambre, pendant qu’il dévore du regard mes fesses quasiment nues et mes longues jambes.Le repas du soir est tendu. Étienne n’ose pas me regarder, sans doute s’en veut-il de ne pas avoir profité de la situation. Il semble très en colère contre lui-même. Le dessert à peine avalé, il déclare :
— Je vais voir les chevaux !
Je laisse passer quelques minutes et quitte à mon tour la table. Je croise le regard de Christine qui est comme la lueur d’un phare dans la nuit. Ses yeux brillent : elle sait où je vais.À l’entrée d’Étienne dans l’écurie, des petits hennissements de plaisir montent des box.
— Vos gueules, dit Étienne grognon.
Il saisit une poignée de paille et frotte doucement le dos d’une jument qui adore être bouchonnée. Il est occupé à la flatter, lui murmurant des mots apaisants qu’elle aime entendre, lorsqu’il devine une présence.
— Christine ? demande-t-il à haute voix.
... Et c’est moi qui sors d’une flaque d’ombre, très droite et assez pâle.
— Qu’est-ce que tu fais là ?
Il me regarde par-dessus le dos du cheval. Je hausse légèrement les épaules.
— Rien. Je n’arrive pas à m’endormir...
Il sourit de manière bienveillante.
— Tu sais qu’on parle beaucoup de toi dans le village ? lance-t-il.
Je ne réponds pas, pensant aux mots que j’ai entendus de sa bouche et de celle de Léon.
— Oui, oui... bredouille-t-il, on parle de toi... Mais comment te sens-tu ici ? Tu ne me dis jamais rien...
Une odeur grasse et capiteuse, celle des bêtes et champs qui restituent un trop-plein de soleil, nous entoure et nous enivre... Il ne laisse heureusement pas s’installer le silence.
— Tu aimes bien les chevaux, hein, Claire ?... Je l’ai vu tout de suite, tu sais, la façon dont tu les regardes ne trompe pas...
Il pousse la porte du box.
— Viens, viens, entre ! Je vais te montrer comment on bouchonne un cheval...
Je fais semblant d’hésiter ; il prend soudain ma main pour m’attirer et je me retrouve à quelques centimètres de lui. J’ai la tête qui tourne... Je me demande si je ne vais pas m’évanouir là... Ce serait le comble !
— Tu vois, dit-il, en m’orientant doucement, tu frottes comme ça...
Dos tourné, je suis prisonnière de ses bras. Il se dépose dans mon cou un baiser hésitant. Puis son désir monte rapidement. Il me plaque contre lui, collant son ventre contre mes fesses. Je renverse ma tête sur son épaule. Il lance ses mains sur mes seins, libres de tout soutien-gorge, descend jusqu’à mon ventre plat comme celui d’un garçon. Nous haletons tous deux. La jument nous observe en pointant les oreilles, curieuse. Je me tourne et appuie mon dos contre la bête. Étienne trouva mes lèvres et dans un grondement cherche ma langue pendant que ses mains débusquent mon corps nu sous ma robe. Je l’embrasse passionnément. J’ai l’impression d’être au sommet du monde. Il ouvre largement mon corsage et mes seins élastiques s’imposent à ses mains. Il gémit, tombe à genoux dans la litière, il veut tout embrasser ! Tout connaître ! Tout dévorer ! Son front descend le long de mon ventre qui frémit sous sa langue. Les yeux clos, j’ouvre les jambes ; je confonds dans la même extase la caresse imposée par Étienne avec la robe un peu rêche de la jument sous mes doigts.
Entre mes hanches, il enfouit son visage dans ma douce toison et goûte mon miel... Un cheval hennit légèrement au bout de l’écurie.Il fait glisser ma culotte le long de mes jambes. J’écarte docilement les cuisses, me prête aux caresses, et quand il me prend sur le mauvais plancher, son torse puissant entre mes deux jambes qui pointent vers le haut, il prend rapidement son plaisir. Il reste ainsi pantelant et je lui caresse doucement les cheveux. J’aime être écrasée par sa masse haletante et quand il veut s’écarter, je le retiens en moi, gardant dans les narines l’odeur de sa chair tiède et rythmant tranquillement mon fourreau brûlant autour de son gros sexe encore bien raide et gonflé. C’est alors seulement que vient mon plaisir.
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