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Ma petite fille adorée

Chapitre 1

La rencontre

Inceste
Bonjour à tous, je vais vous raconter une partie de ma vie qui a chamboulé entièrement mon train-train quotidien de cadre supérieur à Paris,
Pour une question de confidentialité évidente, j’ai changé les prénoms de tous les intervenants, les textes suivants représentent une véritable réalité.
Pour profiter d’un maximum d’immersion par la suite, le début de ce souvenir sera très descriptif, alors accrochez-vous et n’abandonnez pas en route !
Je m’appelle Jean, j’ai aujourd’hui 43 ans, et une vie qui tourne autour de mon travail que j’adore : le marketing dans le monde du sport, impitoyable, plein de défis mais foutrement passionnant.
Je suis très heureux de la vie que je mène, malgré un manque évident de lien social (oui des amis) car toujours en vadrouille, je voyage énormément, je rencontre des personnes influentes et par-dessus tout : je gagne extrêmement bien ma vie.
Deux voitures de sport (à Paris, c’est plus qu’un luxe de nos jours), un 107 m2 dans le 4e arrondissement, j’ai construit cette vie depuis mes 24 ans et j’en suis très fier.
Depuis mes 24 ans car avant cela, j’ai été un jeune étudiant con et irresponsable, entre sortie en boîtes en période d’examen et coucheries avec des filles plus que douteuses.
Et ce qui devait arriver arriva, une de ces filles tomba enceinte juste avant l’obtention de mon diplôme, en plein stage chez Publicis, là où ce que l’on montre comme image fait foi.Et une gamine au look de métalleuse enceinte ne faisait vraiment pas foi.
J’ai donc passé un deal avec Catherine, la fille à l’époque, je lui versais l’équivalent de 500 euros tous les mois (Publicis m’offrait un job avec déjà une belle rémunération) pour le gamin, puis 800 euros quand j’obtenais une augmentation pour ne plus jamais en entendre parler.
Et ça a marché ! Tellement bien que j’avais presque oublié Catherine, qui n’était qu’un microbe dans mon monde parfait.
Mais ce soir, ce jeudi 5 avril 2018, le passé refaisait surface.
Une lettre de la Protection de l’enfance, une lettre qui n’aurait jamais dû arriver chez moi.
"Bonjour M. Jean,
Nous sommes dans le regret de vous annoncer que Mme. Catherine est décédée le 2 avril dernier des suites d’une overdose.
Comme le stipule le contrat que vous avez signé, vous êtes dorénavant le tuteur légal de Marie.

Un de nos délégués va passer vous voir entre le 6 et le 8 avril 2018 à votre domicile afin de s’entretenir avec vous."
Le reste de la lettre n’était qu’un amas de blabla juridique qui me donnait mal au crâne.
Le soir puis le lendemain, ce n’était que confusion dans ma tête, je n’arrivais pas à réfléchir et à me rendre compte de ce qu’il m’arrivait.
Comme prévu par leur planning, le samedi, le délégué de la Protection de l’Enfance arriva chez moi.
"Bonjour, suis-je bien chez M. Jean ?"
"Oui c’est bien ici et moi-même, entrez".
Le délégué discuta avec moi-même pendant plus d’une heure, de mes habitudes de vie, de mon travail, de mon salaire, si j’avais du temps libre, si je pouvais m’occuper de Marie ...
"M’occuper de Marie ? Parce qu’à 19 ans elle ne sait pas s’occuper d’elle-même ?"
"Heu ..."
A la vue de ma tête surprise, le délégué ne savait pas par où commencer pour expliquer ce qu’il devait me dire et qu’il avait très bien compris que moi je ne comprenais pas.
"Et bien M. Jean, Marie est une jeune femme en fauteuil roulant, elle est handicapée moteur. En effet, elle n’arrive pas à coordonner ses mouvements de manière assez fluide pour lui permettre de marcher et de vivre « correctement »."
Que ? Quoi ? La confusion se lisait sur mon visage.
« Mais comment pourrais-je m’occuper d’elle ? Je ne sais pas faire, c’est un véritable travail, d’autres personnes sont habilitées pour ce genre de problématique, n’est-ce pas ? »
« Oui tout à fait, Marie a besoin d’une aide-soignante et d’autres soins réguliers dont par exemple des séances avec un kinésithérapeute. Nous pouvons, si vous le souhaitez, vous mettre en relation avec les personnes qu’elle côtoyait déjà ».Voilà donc où passait l’argent que je donnais à Catherine depuis 1999, qui malgré ses habitudes de droguées, donnait son maximum pour le bien-être de sa fille. Notre fille ?
Ne me voyant pas répondre, le délégué ajouta « Vous savez M., ce genre de nouvelles est très difficile à accepter et il est possible de laisser Marie entre les mains d’une famille qui saura s’en occuper convenablement si vous ne pouvez pas. Nos services pourront lui trouver un lieu où elle pourra s’épanouir et être dans de bonnes conditions. D’autant plus que votre appartement n’est pas du tout adapté à une personne à mobilité réduite. »
« Je … j’ai besoin de réfléchir, est-il possible de me donner 2-3 jours pour réfléchir à cette décision s’il vous plait ? »
S’en suivirent d’autres questions plus ou moins intéressantes et le délégué quitta les lieux.
Au troisième jour, j’étais face à un sinistre constat : je n’avais pas d’amis ou presque, je ne vivais que pour mon travail et j’avais toujours voulu fuir mes responsabilités familiales et me voilà rattrapé par une de ces responsabilités, 19 ans après.
J’appelai le délégué et lui fit part de ma décision : c’était oui.
Durant 2 semaines, mon appartement était un véritable chantier et après de nombreux travaux (et une petite fortune), tout avait été mis aux normes.J’étais fier de ce que j’avais commencé à faire mais surtout angoissé pour tout ce que ça représentait.
Fin avril, le délégué sonna de nouveau à ma porte.
"Bonjour M. Jean ! Très heureux de vous voir pour ce grand jour, et très bel appartement !"Il était enjoué, autant que moi j’étais stressé.
Il passa la porte et s’en alla dans le salon.
Une autre personne suivit, difficilement, dans l’entrebâillement de la porte, c’était Marie.
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