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Ma petite fille et sa copine en vacances

Chapitre 3

Divers
Le lendemain matin, c’est Jennifer qui arrive la première à la cuisine. Elle me fait la bise, mais je lui demande un baiser qu’elle hésite à me donner de peur que ma petite fille ne nous surprenne. J’insiste et elle me l’accorde, vite fait. J’en profite pour glisser ma main sous sa chemise de nuit, et elle se recule aussitôt.Trop tard, j’ai eu le temps d’effleurer sa vulve nue, d’effleurer sa toison, sa petite touffe, ses poils soyeux, des poils qu’elle n’avait pas cette nuit.Ca va vite dans ma tête, j’ai un énorme doute sur l’identité de ma visiteuse nocturne, un doute qui se transforme immédiatement en certitude.Je réalise alors que ce n’est pas avec la copine de ma petite fille que je me suis offert un 69 dans le noir, mais avec ma petite fille elle même. A propos d’elle, la voilà qui arrive à son tour, toute guillerette:— Coucou mon papy, tu...Je la stoppe dans son élan en lui mettant une bonne gifle. Elle se tient la joue:— Mais ça ne va pas papy, qu’est ce qui te prend?— Ce qui me prend! Tu veux le savoir? Tu as fait quoi cette nuit?— Eh bien j’ai dormi, comme toutes les nuits. — Tu en veux une autre pour t’apprendre à mentir. Alors je te repose la question, tu as fait quoi, entre une et deux heures du matin?— Eh bien oui, je suis venu te voir. Mais si tu savais que c’était moi, pourquoi tu m’as laissé faire?— Mais je ne le savais pas, je viens de le découvrir grâce aux poils de ta copine qui n’a pas eu le temps de se raser.— Oui, je sais que tu as baisé avec elle, alors ça m’a donné envie. En tout cas cette nuit ça n’a pas eu l’air de te déplaire.— Non, ça m’a même beaucoup plu, et j’espère bien que l’on recommencera.-Et alors, il est où le problème?— C’est la façon dont ça s’est passé. Tu m’aurais dit que tu avais envie de ma queue, je te l’aurais offerte sans hésiter. Mais tu me l’as prise en douce, sournoisement, comme une voleuse, une violeuse, sans te demander si l’inceste pouvait être un interdit pour moi.. Je ne sais ce qui me retient de te donner une bonne correction. — Si tu veux papy, donne moi une fessée comme quand j’étais petite.Elle se retourne, se penche en avant, et relève sa chemise de nuit sur ses reins. Elle n’a rien dessous et j’ai une vue imprenable sur sa croupe de rêve et sa superbe vulve qui me mettent le slip en émoi:— Ne me cherche pas Audrey, je te promets que si je te donne une trempe tu vas t’en souvenir longtemps.— Tu peux papy, je l’ai mérité, je suis une vilaine petite fille qui s’est régalée à sucer la grosse bite juteuse de son grand-père.— Ok petite salope, tu l’auras voulu.Je la prends fermement par le bras, et la place contre la table, penchée, aplatie dessus. Je lui donne une première baffe bien appuyée, suivie de deux autres. Ses fesses rosissent déjà et elle redresse la tête:— Aie, tu me fais mal papy.— Mais j’espère bien. Tu veux jouer aux grandes, alors tu vas avoir droit à une bonne fessée entre adultes. Et puis tais toi que je compte, je vais de donner un nombre de claques à hauteur de ton péché.— Combien papy?
— Soixante-neuf, ça te dit quelque chose!— Mais c’est...— Ferme là je t’ai dit, si tu m’embrouilles je repars à zéro.Je lui donne deux autres tapes, soutenues mais acceptables, et Jennifer intervient pour me demander un peu d’indulgence, d’alléger la punition. Je la remets en place d’un ton menaçant:— Toi tu ferais mieux de la mettre en veilleuse. Tu as de la chance de ne pas être ma petite fille parce que tu aurais pris une bonne tarte dans la gueule toi aussi.— Et je peux savoir pourquoi?— Pour complicité d’inceste et de viol. Vous êtes des dévergondées, des vicieuses, toutes les deux. Je suis sûr que tu n’étais pas malade hier et que vous m’avez tendu un piège. Ose dire le contraire!Elle m’avoue alors tout:Le premier jour, et alors que je me tapais une queue devant un film, j’ai étais surpris par leur retour. J’ai eu à peine le temps de me rhabiller et de passer en mode télé, sans récupérer mon dvd. Elles ont vu le boitier, anonyme, sur la table et m’ont demandé ce que c’était. J’ai dû bafouiller n’importe quoi, ai sorti le disque, puis ai été le ranger dans ma chambre. Elle se sont douté de ce que c’était, ont manigancé leur petit plan, et ont profité d’être seules pour fouiller dans ma chambre et découvrir ma collection de dvd porno. La suite, je la connais.
Je suis satisfait de son explication et le lui dit:— C’est bien de tout me raconter, et comme on dit, faute avouée est à moitié pardonnée. Alors je vais diviser par deux la fessée de ma petite fille, mais tu vas avoir droit toi aussi à une punition.— Tu vas me faire panpan cucul comme à elle. Ca t’excite nos belles petites fesses.— Non j’ai prévu autre chose pour toi, je vais t’enculer.— Non, tout ce que tu veux, mais pas ça.— Oh mais si, je veux m’assurer que tu n’es pas malade, et je vais te prendre la température avec mon thermomètre.— Non, elle est trop grosse ta queue. Elle a essayé de défendre sa copine tout à l’heure, et c’est maintenant Audrey qui vient à son secours:— Si tu veux papy, on peut inverser les punitions. Tu lui donnes une correction et tu m’encules.— Eh, petite salope, on dirait que ça te plairait. Tu aimes te faire prendre par derrière?— Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait, mais j’ai envie d’essayer, il parait que c’est trop bon.— Et tu n’as pas peur de ma grosse queue dans ton petit trou innocent?— Non papy, tu fais le méchant et on l’a mérité, mais je sais que tu es gentil et que tu ne me feras jamais de mal. — Tu as raison, je vais être très doux, et c’est mon intérêt si je veux que tu en redemandes.— Oh oui papy, tous les jours. Alors tu es d’accord?— Pour t’enculer! bien sûr. Mais je vais me faire aussi ta copine, je vous veux toutes les deux.— Non, ce n’est pas ce que l’on a dit.— Mais je n’ai rien dit, moi.
Je leur propose alors un compromis. Je vais commencer précautionneusement par ma petite fille, et on arrête quand elle veut. Si ça ne marche pas, je n’essaie pas avec sa copine, mais si ça fonctionne, que je la sodomise bien comme il faut et qu’elle y prenne un plaisir réel, alors Jennifer devra tenter l’expérience dans les mêmes conditions.On tombe d’accord, et ma putain de petite fille s’impatiente de connaitre le grand frisson.J’ai cessé les baffes depuis un moment, et je caresse distraitement ses belles miches. Je lui demande de garder la position, debout contre la table et penchée dessus, et d’écarter ses fesses pour que je la prépare. Elle est en place, offerte, et je baisse mon froc pour que Jennifer me fasse une pipe. Je suce mes doigts et je caresse la chatte de ma jeune chérie. Elle est trempée cette salope, et je pénètre sa fente sans effort, Mes doigts sont lubrifiés, et j’humecte son œillet, le taquine, l’agace, glisse mon majeur. Je repars dans sa chatte rechercher du jus et recommence en lui mettant un deuxième doigt. Je continue à renfort de mouille et de salive que je déverse dans son sillon, lui demande régulièrement si ça va. Elle est prête, physiquement et mentalement. Son petit trou est bien ouvert, et elle a hâte de sentir ma queue bien raide grâce à la bouche savante de Jenny qui me pompe toujours.Je me plaque derrière elle:— Rassure moi mon amour, tu n’es plus vierge.— Non papy, pourquoi?— Pour m’huiler la queue dans ta putain d’huître et mieux pénétrer ton petit trou.— Oh oui papy, mets me la, mais fais gaffe, je ne prends pas la pilule.— Ne t’en fais pas, c’est dans ton cul que je vais jouir, puisque tu veux bien me l’offrir.— Je n’attends que ça mon papy, encule moi, je veux être ta pute, gratuite pour toi.Je plonge ma queue dans son vagin détrempé, je la ressors toute mouillée et plaque mon gland sur sa rondelle. Je crache dessus et je pousse, lentement mais surement, jusqu’à fourrer mon bourgeon et la moitié de mon manche. Je fais une petite pause:— Ca va ma puce, tu n’as pas mal?— Un peu, mais ça va passer j’espère.— Bien sûr, ce ne sont que quelques secondes désagréables, et ensuite tu auras de longues minutes de pur bonheur.— Oh oui papy, fais moi du bien, mets me la toute, défonce ta petite salope.Je m’enfonce jusqu’à la racine, et je la lime doucement, puis de plus en plus fort sous ses encouragements à lui casser le cul. Je fais de longs et rapides allers retours, si bien que ma bite sort de son trou et que Jennifer se jette dessus pour la dévorer:— Hum salope, ca te plait ma queue parfumée au cul de ta copine. Vous êtes de bonnes cochonnes toutes les deux. Je libère ma queue et la replante dans le fion d’Audrey. Je la matraque, ressors pour la bouche de Jennifer, et recommence mes vas et viens dans leurs deux trous à bites. Ma suceuse voudrait me pomper à fonds mais je ne veux pas:— Désolé, mais j’ai promis à ma petite fille de jouir en elle. Mais tu pourras quand même avoir mon foutre, salope. Je vais l’ensemencer et ensuite tu vas nous nettoyer, ma bite et son cul, et tu vas tout bouffer, putain. Qu’est ce que tu en penses?— Que tu es un vieux vicieux, mais que j’aime ton plan cochon. Je veux faire tout ce que tu veux.— Alors tu voudras que je te t’encule?— Oui, que tu m’en mettes autant qu’à elle.
J’enfile ma petite fille sans ressortir, je sens que ça vient et préviens ma petite enculée. Elle est ravie, gémit tant qu’elle peut et m’encourage:— Donne moi tout ton sperme papy, j’ai envie de tes grosses couilles qui se vident dans mon cul. Je suis ta petite salope, remplis moi, inonde mes reins de pute...Je ne résiste plus et je lâche la purée, de longues giclées chaudes et épaisses qu’elle reçoit en gueulant de plaisir. Je reste en elle jusqu’à ce que l’on se calme l’un et l’autre. Je me retire et offre ma bite ramollie à Jennifer qui lui fait sa toilette. Elle va maintenant nettoyer le cul de sa copine qui se redresse légèrement pour faciliter l’écoulement de mon offrande incestueuse.
A suivre...
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