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Ma petite fille et sa copine en vacances

Chapitre 4

Divers
Je suis à la cuisine avec Audrey, ma petite fille, et je viens de farcir son cul pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Jennifer, sa copine, est avec nous et n’a rien perdu du spectacle, sachant qu’elle va devoir m’offrir son petit trou elle aussi, mais pas tout de suite. En attendant elle m’a nettoyé la queue et s’apprête à nettoyer le cul de son amie. Mon sperme commence à s’écouler lentement de ce jeune fion que j’ai dépucelé, et elle allonge sa langue pour le lécher et s’en délecter. Elle lèche sa raie, son œillet, elle m’excite et je m’accroupis prêt d’elle:— Tu te régales, salope, c’est bon de te voir faire. Vas-y, bouffe lui le cul, aspire pour récupérer ma sauce, et montre moi ta récolte.Elle s’exécute sans discuter, trop heureuse d’obéir à mes demandes perverses. Son museau disparait entre les miches offertes et ouvertes, et lorsqu’elle se recule elle exhibe sa bouche garnie. Je la félicite, lui dis de rester ainsi et lui annonce mes intentions. Je soude mes lèvres aux siennes et je lui roule une pelle vorace au foutre. Elle participe activement et avale tout petit à petit. Quand on se sépare elle n’a plus rien dans sa bouche. Elle me regarde encore étonnée:— Tu es vraiment un cochon dégueulasse, je n’aurais pas cru.— Oui, un gros porc qui sait comment traiter les jeunes truies de ton espèce.— Salaud, je me découvre chienne avec toi et j’aime ça.— Alors la suite devrait te plaire.Je lui explique à nouveau mes intentions et elle est d’accord, non sans m’avoir encore insulté comme j’aime qu’elle le fasse. C’est à mon tour maintenant de brouter la rondelle de ma petite fille, de l’aspirer bruyamment pour finir de récupérer mon jus. Je montre ma bouche à Jenny, puis je me gargarise, dilue le contenu dans ma salive. J’ai la gueule pleine, et fait signe à ma partenaire. Elle ouvre la sienne en grand et je déverse tout dedans. Elle engloutit tout et on se roule une pelle goulue. On met fin à la séance.
Il me reste maintenant à m’occuper du cul de Jennifer, mais avant il faut que je récupère.On prend le petit déjeuner, on discute, et les filles semblent satisfaites de la tournure des évènements. Elles ont eu peur d’avoir commis l’irréparable cette nuit, mais là elles sont totalement soulagées, libérées, et surtout ravies de m’avoir comme copain de jeu comme elles me le disent si bien chacune son tour:  - Audrey: "Oh papy, c’est bon de baiser avec toi, tu es le meilleur. Et cette queue que tu as, elle est trop belle, et tu t’en sers trop bien. Je t’aime mon papy, j’aime tes grosses couilles bien pleines, je veux faire l’amour avec toi pour toujours,"— Jennifer: "Elle a raison ta petite fille, grand-père incestueux, tu es très bien monté. Mais on t’aime aussi pour d’autre choses qu’elle n’ose pas te dire, mais qu’elle doit penser autant que moi. On t’aime parce que tu es un vieux vicieux, un salaud qui ne pense qu’au sexe, un pervers avec des idées cochonnes, un queutard en manque de baise. Tu vas pouvoir te soulager avec nous"Leurs mots me font chaud au cœur et ailleurs:— Merci mes chéries, mais je vous aime moi aussi. Vous avez tout pour me rendre heureux, vous êtes belles, jeunes, chaudes, salopes, putes, vicieuses, et vous aimez les grosses bites juteuses. On va bien s’amuser tous les trois mes amours, vous allez en avoir de la queue et du foutre, autant que je pourrais fournir.On se prépare pour aller au marché, et lorsque l’on revient j’ai repris des forces, et suis prêt pour une deuxième séance.
Je suis à la cuisine à ranger nos achats tandis qu’elles partent se changer à la chambre. Elles me rejoignent en chemise de nuit, comme ce matin, et certainement sans rien dessous. Jennifer se place contre la table et relève sa chemise:— Il te plait mon cul?— Oui, il est ravissant. Ouvre tes fesses que je te prépare.— Tu ne me donnes pas une fessée avant?— Tu y tiens vraiment.— Oui, je suis aussi fautive qu’Audrey, et je dois être punie comme elle.— Ok salope, c’est comme tu veux.
Je commence à lui administrer de bonnes baffes, les mêmes que pour ma petite fille qui vient se coller à moi:— Je peux te sucer papy?— Mais bien sûr ma chérie, maintenant que l’on a réglé nos comptes tu peux disposer de ma queue comme tu veux, elle est en libre service, pour toi et ta copine. A propos de comptes je te demande pardon pour la gifle, ça m’a échappé.— Ne t’en fais pas pour ça, n’importe qui aurait fait pareil ou pire à ta place. Finalement je m’en sors très bien, avec ta queue en récompense.— Tu ne m’en veux pas?— Non papy, promis, c’est oublié.— Embrasse moi.Elle me tend ses lèvres et on se roule un long et chaud patin, tandis que je continue à claquer le postérieur de sa copine. Nos bouches se dessoudent et elle s’accroupit et entreprend de baisser mon froc et dessous. J’ai la bite à l’air, déjà bandée, et elle la regarde, la caresse, avec émerveillement. C’est vrai que bien m’ayant offert ses trois orifices elle ne l’avait pas encore vue, puisqu’elle m’a sucé dans le noir et que je l’ai prise par derrière:— Ouah l’engin! Elle avait raison Jenny, elle est magnifique ta bite, et tes couilles aussi. A peine sa phrase finie elle me prend en bouche et me pompe avidement. Je stoppe ma fessée, et je fouille mon autre partenaire. On fait tout comme le matin, mais en inversant leurs rôles. Je sodomise Jennifer, virilement, jusqu’à éjaculer entre ses reins, et ma petite fille va nous nettoyer tous les deux.
Il est bientôt l’heure de déjeuner, je me sers un apéro, et elles acceptent d’en prendre un aussi, exceptionnellement, pour arroser notre entente. On mange, elles sortent pour l’après midi et rentrent peu avant dix-neuf heures. Elles me trouvent sur le canapé, en train de me branler devant un dvd, puisque je n’ai plus de raison de me cacher. C’est Audrey qui m’apostrophe:— Garde tes forces Papy, tu sais que l’on compte sur toi pour prendre du plaisir.— Justement, je suis fin prêt pour une petite pipe rapide.— Désolé, mais on sort ce soir, alors on doit faire à manger et mettre le couvert.— Ne vous en faites pas pour ça, j’ai tout préparé pour vous laisser du temps.— Tu es coquin mon papy, ne bouge pas, on arrive. Elle vont à la chambre et j’en profite pour remettre le film au début. On y voit deux jeunes femmes qui pompent un vieux, une scène hyper hot comme je les aime. Elles reviennent avec pour vêtements leurs seules petites culottes, et ne manquent pas de voir l’écran:— Et, cochon, c’est ce que tu attends de nous.— Oui, j’aimerais que l’on fasse la même chose.— Ca dépend de ce qu’elles font, mais pour le moment ça reste très acceptable.Elles s’agenouillent devant ma colonne et démarrent une fellation à deux tout en jetant un coup d’œil de temps en temps au film pour voir ce que j’attends d’elles. Elles me sucent et me bouffent les couilles tour à tour, et puis leurs bouches se rejoignent sur mon manche. Leurs lèvres me caressent la hampe, puis le gland, et leurs langues se joignent à la partie. J’admire leurs menteuses qui se rejoignent, se collent comme des limaces baveuses, aussi bien que dans le film. Je connais mon dvd par cœur, la suite me semble incertaine, je la tente quand même et elles jouent le jeu jusqu’au bout. Je me lève, elles sont à genoux devant moi, joue contre joue, et je m’astique, je me masturbe, je me branle comme un malade avec la ferme intention de jouir comme dans le film:— Salopes, putains de chiennes, je vais gicler sur vos jolies petites gueules de putes, et vous allez vous lécher, bâfrer mon sperme.Elles s’exécutent docilement, se nettoient, avalent mon foutre, comme dans la vidée, et elles m’offrent un bonus imprévu: elles se roulent des pelles ces petites salopes, des pelles à me rendre jaloux. Je les contemple faire, et quand elles ont fini je leur dis ce que je ressens:— Dites moi mes chéries, je me trompe ou vous vous gouinez?
A suivre....
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