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Petite fleur des iles.

Chapitre 5

Xavier m’autorise enfin à branler sa poutre.

Hétéro
Petite fleur des îles.
5) : Xavier m’autorise enfin à branler sa poutre.


Préface : L’échange par mail pendant les cinq premiers chapitres de cette histoire entre Maeva et Xavier sont un copier/coller d’un échange avec une de mes fans avec quelques coupures pour garder son anonymat. Je l’avais prévenue de la possibilité de me servir de nos échanges dans une future histoire et lui dédie donc celle-ci.
Je tiens à vous informer que je me prépare pour rejoindre Chrystelle car je pense que vous le souhaitez.Je vous raconterai tout après être sortie de chez elle. Je vais essayer de la dresser comme vous le souhaitez, mais je ne pense pas qu’elle acceptera de se soumettre à moi. J’espère vous faire le même effet qu’hier.Votre esclave qui vous remercie de ce que vous lui faites vivre.  Suite : Sa réponse me terrifie.Maria, contrairement à ce que tu crois, je respecte trop les femmes pour les traiter comme je le fais avec toi. J’aime leur laisser faire comme elles l’entendent pour s’empaler sur mon sexe, faisant l’indifférent pour qu’elles se donnent encore plus avant de les prendre en force et leur faire connaître orgasme sur orgasme.Je ne suis pas content que tu ais décidé de toi-même d’aller chez ta tourmenteuse. Tu n’y marches pas, tu y cours, tu y galopes, ne te plains donc pas car on dirait que tu adores ça. Je te le ferai payer. Maria, peux-tu m’expliquer ? Tu m’as parlé de ton mari, comment peut-il accepter que tu t’absentes sans arrêt sans rien lui demander ? Tu ne travailles donc pas et Christelle non plus ? Tu ne m’as jamais dit ton âge. Mes histoires sont des fantasmes couchés sur le papier. Ton aventure aussi peut-être. Tant que tu ne m’apporteras pas une preuve matérielle de toi et de Christelle, je douterai toujours que tu sois son esclave sexuelle. Une photo anonyme de vous deux, même habillées avec une feuille où tu marqueras mon nom d’auteur ferait taire mes doutes. Aïe, aïe, aïe ! Il m’a mise à jour… Je n’ose plus lui répondre… Mais je crois que j’ai mieux à faire. La maison de Xavier a un bout de terrain entouré de thuyas bien épais, l’isolant de la vue des voisins. Un endroit idéal pour bronzer… Je ne m’en prive pas et il aime faire sa sieste dans un coin à l’ombre.Je me lance :-Xavier, avec mes sœurs en Guadeloupe, on a trouvé une crique isolée où on adore bronzer toutes nues. Ça ne te gène-pas si je retire mon maillot pour ne pas avoir de traces ?Comme si ça ne le concernait pas, il me répond nonchalamment :-Fais comme tu veux. D’ailleurs moi je suis naturiste depuis de longues années. Et sans crier gare, il retire son short et va s’étendre pour piquer un petit roupillon. Et bien, je n’ai qu’à faire pareil… Je me mets à poil et m’allonge à son coté. Est-ce qu’il en profiterait ? Même pas… J’entends son souffle régulier. Sa verge pend entre ses jambes écartées. Moi je ne peux trouver le sommeil, admirant le spectacle. Branler une teub et la voir durcir, c’est bien, mais quand cette chose flasque entre seule en érection, s’allonge, grossit, devient de plus en plus rigide. Quand ce bout de chair peu appétissant se redresse seul, tressaute par à-coups sur sa cuisse avant de finir couché sur son bas-ventre, c’est merveilleux… J’ai tout le temps qu’il me faut pour admirer pendant son sommeil cette formidable verge passer par toutes ces étapes. On dirait un alpiniste montant à l’assaut de l’Everest. J’ose même avec une extrême prudence poser ma main gauche dessus. Je sens vivre sous mes doigts l’organe reproducteur de l’homme, et quel homme…Son chibre aux veines apparentes est chaud, la peau est douce sur ce gourdin si dur. Je le saisis et le décolle de son bas-ventre, il est si lourd, lourd aussi de promesses. Mes doigts et ma main ne peuvent en faire le tour. Il grogne… Je repose la bête et me donne du plaisir en silence. Ah que j’aimerais qu’il me prenne comme la chienne en chaleur que je suis…
 Ça fait plusieurs fois que j’essaie de lui faire du rentre-dedans mais il m’ignore, comme un ado qui se fiche d’une petite qui veut toujours être entre ses pattes. Peut-être la jalousie le ferait réagir?Je ramène donc un copain un jour et batifole avec lui sur le terrain à l’heure où Xavier à l’habitude de venir pour sa sieste, laissant croire au jeune godelureau qu’il m’intéresse. Il ne peut résister bien longtemps et veut me sauter. -Non Hervé ! Mais je veux bien te tailler une pipe.Trop heureux, il retire short et slip. Comme pas mal de garçon, il est fier de ses attributs. Il ne me faut pas longtemps pour le faire bander. Il a une verge fine de belle taille, enfin, il le croit…Xavier se pointe et vient prendre place dans le transat à coté de moi en tenue d’Adam. Hervé, surpris, débande à vitesse grand V et veut tout arrêter mais je m’agrippe des deux mains à ses hanches. Il se rassure enfin, peut-être dû au manque de réaction de Xavier devant la scène.Hervé rebande enfin dans ma bouche mais l’idée qu’on l’observe lui coupe un peu ses moyens. Quand il constate les yeux fermés de Xavier et sa poitrine qui se gonfle sous une respiration apaisée, il reprend un peu confiance en lui et du gourdin. Il ne regarde plus Xavier, se disant sûrement que ce vieux ne vaut pas le coup de se faire du mouron.Mais moi, je jette régulièrement un regard rapide sur le bas-ventre de Xavier qui fait semblant de dormir pour jouir du spectacle. Le miracle recommence, des centimètres s’ajoutent aux centimètres, que ça soit en longueur ou en épaisseur. Sa grosse verge repose maintenant sur son ventre, son gland recouvrant son nombril. Hervé me repousse et se branle pour arriver à la jouissance, il surprend mon regard et tourne la tête vers Xavier, apercevant avec effroi l’énorme manche de pioche du « vieux ». Quand sa main butte sur son bas-ventre, à peine le gland dépasse. Je suis sûre que si Xavier voulait arriver au même résultat, il lui faudrait prendre son pieu dans ses grosses pognes.Mais Hervé était trop proche du point de non-retour et expulse enfin quelques gouttes de sperme qui glissent sur son gland. Il ne demande pas son reste, relève son short et son slip tirebouchonnés sur ses chevilles et se sauve la queue entre les jambes, c’est le cas de le dire.Xavier me regarde avant de déclarer.-Un peu rapide le jeunot, excuse-moi de vous avoir dérangés. Et il referme les yeux. Je n’y tiens plus et explose.-Mais bordel ! Je suis pas transparente ! J’en ai marre que vous ne prêtiez pas plus d’attention à moi. Je sais que vous êtes un sacré baiseur, que vous ne comptez pas vos conquêtes, même vos nièces y passent, pourquoi-pas moi ?-Petite fouineuse, m’informe-t-il, ça fait un bon moment que j’ai découvert ton petit jeu. Je t’accueille et toi tu fouilles dans mes affaires, dans mon ordi. Je voulais savoir combien de temps tu allais résister avant d’exploser. Et bien, puisque c’est ce que tu désires, je te permets de me faire la même gâterie  qu’à ce petit connard !Il se redresse et vient présenter devant mon visage son engin dressé à l’horizontal. Il me faut bien trente secondes pour que ses paroles parcourent le chemin entre mes oreilles et mes neurones. Je réagis enfin et prends à deux mains sa verge. Y a pas photo…tout à l’heure, une main me suffisait pour branler Hervé, là mes deux mains peuvent s’activer et pourtant son gland me nargue encore.-Vas-y ma petite, donne-toi-en à cœur joie, mais sois patiente… J’écarte les mâchoires presque au maximum pour gober l’extrémité rouge vif de son chibre. Je retire une de mes mains pour pouvoir le branler et le sucer. Je voudrais prendre en bouche la totalité de ce formidable pénis mais j’échoue lamentablement. Peut-être que j’y serais arrivé avec un diamètre un peu plus fin, comme celui d’Hervé, mais sa queue est trop massive pour franchir le fond de ma gorge.-Mets tes deux mains dans ton dos et sers-toi uniquement de ta bouche !Je lui obéis, il pose ses deux mains dans ma chevelure et me baise littéralement la bouche. Il va si loin que j’en ai des haut-le-cœur.  Plusieurs fois, je le crois sur le point de jouir mais non, ça doit se bousculer dans ses bourses.-Je te laisse le manche, à toi de piloter.Et il s’assoie sur le bord du transat, la queue pointant vers le ciel. Ça fait maintenant bien dix minutes que je m’escrime sur son boutefeu mais le coup ne part toujours pas. Je me rappelle ses paroles « soit patiente ». Il grogne enfin.-Mmmm, ma petite pute ! Tu as gagné… Je retire son pieu de ma bouche et la branle à deux mains. Je sais de quoi elle est capable, je l’ai vu dans ses vidéos. Je sais que ces petits films datent pour certains de plusieurs années mais je me méfie avec lui.Je sens sous mes doigts vibrer la lance comme un tuyau de pompier qui se gonfle sous la pression de l’eau.Je vous l’ai dit au début, le « vieux » a dépassé la soixantaine, mais sa tige est encore verte, pleine de sève. Quelques gouttes suintent sur son prépuce. Je suis déçue, pas mieux qu’Hervé… Mais la déception est de courte durée, trois jets très rapprochés d’une extrême violence viennent de projeter une monstrueuse dose de foutre dans les airs qui retombe sur son corps, il en a du ventre jusque dans mes cheveux, comme dans les vidéos qu’il a posté sur le net. Putain, j’en reviens pas !!!Quelques jets moins puissants achèvent de lui vider les bourses. Je ne peux résister à ce festin et me précipite pour lécher son corps et déguster sa crème. Mes lèvres sont contre ses lèvres mais il ne cherche même pas à m’embrasser. Une fois mon « nettoyage » terminé, je me redresse, prenant appui des deux mains sur sa poitrine. Je croyais découvrir un organe ayant repris sa fonction « urinatoire » mais j’ai toujours sous les yeux un organe reproducteur, peut-être un peu moins fier.Il me regarde avec un sourire en coin avant de m’ordonner :-Recommence, je t’ai dit qu’il te faudrait beaucoup de patience, de persévérance, et un bon coup de main… A suivre… J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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