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Petite fleur des iles.

Chapitre 7

Xavier me fait découvrir que je suis une femme-fontaine.

Hétéro
Petite fleur des îles.
7) : Xavier me fait découvrir que je suis une femme-fontaine.


Préface : L’échange par mail pendant les cinq premiers chapitres de cette histoire entre Maeva et Xavier sont un copier/coller d’un échange avec une de mes fans avec quelques coupures pour garder son anonymat. Je l’avais prévenue de la possibilité de me servir de nos échanges dans une future histoire et lui dédie donc celle-ci. Jamais ma chatte n’a été embrassée et sucée de cette manière.  Je me mets sur les coudes pour jeter un regard curieux,  suivant le mouvement de sa bouche et de ses mains sur ma chatte. Xavier a poser ses lèvres sur mes grandes lèvres comme une demande d’introduction, puis il les écarte avec deux doigts pour prendre possession cette fois-ci de mes petites lèvres et de mon clitoris dressé comme un petit pénis, et qu’il lèche et suce avec force m’amenant vite à des sensations inconnues pour moi.
Suite : Sa façon de faire est si agréable que je ne peux m’empêcher de pousser de petits gémissements, comme une plainte de petit chiot. Je relève mon bassin pour mieux accroître le contact de sa bouche sur ma chatte,  lui faisant savoir le délice que j’en ressens et qu’il ne faut surtout pas qu’il s’arrête. Il se redresse quelques secondes pour m’arracher ma petite culotte et replonge sa tête entre mes cuisses. Plus aucun obstacle ne s’oppose au cunnilingus d’enfer que je subis. Je replie mes jambes et les pose sur ses épaules, ouvrant la fourche de mes cuisses au maximum. Il prend un temps infini à sucer et lécher mes petites lèvres, à prendre possession de mon petit clitoris durci par le désir, le mordille. Je ne peux retenir des petits cris de plaisir, je le force avec mes jambes pour que sa tête soit prisonnière entre mes cuisses. Par de petits mouvements brusques et saccadés, je relève mes hanches pour que sa langue aille au plus profond de mon vagin et que sa bouche s’abreuve de toute la cyprine qui s’écoule de moi. Soudain, je manque d’air, puis ma respiration devient de plus en plus rapide. Mes petits cris de tout à l’heure se transforment en râles rauques comme venus de mes entrailles les plus profondes. J’emprisonne encore plus fort sa tête  et m’immobilise dans cette position, sentant arriver un énorme orgasme, une véritable lame de fond comme je n’en ai encore jamais connue, elle arrive tel un torrent de montagne en furie après un fort orage. Je pousse un cri de bête à l’agonie en déchargeant une quantité incroyable de cyprine dans sa bouche, qu’est-ce qui m’arrive ? Je me vide comme un seau que l’on renverse dans la bouche prisonnière de mes cuisses, l’obligeant à tout avaler. Au bout d’un temps qui me semble une éternité, je m’effondre sur le lit, la bouche grande ouverte, pour reprendre ma respiration, desserrant mon étreinte autour de sa tête, permettant aussi à Xavier de reprendre lui aussi sa respiration. Une énorme flaque a détrempé le drap.Il s’allonge à côté de moi, me laissant reprendre mon souffle. Quand j’arrive à ouvrir les yeux et le regarder, je suis comme morte de honte. Ses yeux brillent et il a un sourire au coin des lèvres.-Tu aurais pu me prévenir que tu étais une femme-fontaine, j’aurais pris une précaution pour protéger mon lit !-Mais Xavier… Je ne le savais pas, ça ne m’est jamais arrivé, ce truc là !— Ne me dis pas que tu n’as jamais pratiqué le cunnilingus avec tes petits copains ?!— Si, mais pas comme toi... Pas comme ça… Si fort, si longtemps, si poussé…— Et tu as aimé, j’espère ?-Si j’ai aimé, j’ai adoré tu veux dire ! Je croyais avoir déjà connu l’orgasme…Mais je m’étais bien trompée, putain de merde ce que c’était fort !!!-Tu es prête pour la suite, Maeva ? J’espère que tu prends la pilule…-Oui Xavier, je peux même te dire que dernièrement j’ai fait une prise de sang, et comme à chaque fois, je demande une recherche de MST, tout est OK pour moi.-Bien, bien, petite fille, mais ça ne te gènes pas que j’ai trois fois ton âge ?-Oh non Xavier ! Déjà tu ne les fais pas…et tu n’es pas un « sexa » comme les autres. 
Il pose une main sur ma vulve et entre trois de ses doigts en moi. Ma chatte est tellement mouillée qu’ils entrent avec une facilité déconcertante. Je suis aussitôt prise de spasmes incontrôlables, déjà prête à exploser. Tout en léchant mon sein gauche, Xavier rajoute un quatrième doigt, écartelant ma fente. Je ne peux retenir un gémissement. Son index décalotte mon clitoris, l’excite, pendant que ses autres doigts fouaillent  entre mes lèvres intimes, et pénètrent ma chatte trempée. Ces caresses recommencent à me donner des frissons le long de l’échine, m’amenant presque de nouveau à l’orgasme.Quand je croise son regard, c’est à peine s’il est plus expressif que quand il lit un livre, complètement imperturbable, le mec, comme s’il ignorait ce que faisait sa main. Mais moi, je ne me maitrise déjà plus, complètement soumise à ces doigts qui me fouille, à me rendre folle. L’orgasme est de nouveau là. Je cambre mon bassin au devant de ces doigts qui me branlent. Ma chatte redevient cette source intarissable de mouille et de cyprine que j’ignorais il y a encore quelques minutes. Je plaque ma paume sur ma bouche pour atténuer mes hurlements de plaisir. Xavier me regarde en souriant puis me demande, toujours galant et précautionneux.— Tu sais comme je suis monté, tu crois que tu pourras encaisser ? Tu peux encore tout arrêter, je ne t’en voudrai pas.— Euh… Oui… Non… Enfin je veux dire que je crois que je peux et non, je veux que tu continues.-D’accore Maeva, mais pour la première fois, je vais te laisser faire. Xavier se relève pour se dévêtir. Il baisse son pantalon afin de libérer complètement son engin, entrainant la « bête ». Tel un gourdin monté sur ressort, sa verge massive, libérée de la contrainte du pantalon se redresse vivement et vient frapper son bas-ventre avec un claquement sec. Je suis maintenant habituée à la longueur impressionnante de sa poutre épaisse, mais je suis émue et une bouffée de chaleur me submerge devant cette colonne de chair qui oscille doucement à quelques centimètres de mon visage.Il s’étend sur le dos, saisit son chibre à deux mains pour le mettre à la verticale. Je ne peux refuser une telle invitation. Je passe une jambe de chaque côté de son corps comme pour chevaucher un étalon, soulève mon arrière-train et lentement m’empale sur ce pieu hors-normes pour moi. (Si vous voulez visualisez ce dont je parle, tapez « mlkjhg39, hors normes » sur votre ordi et vous devriez trouver mon modèle). Encore une chance que ma chatte est trempée quand son pénis entre en moi. J’ai l’impression de perdre ma virginité une deuxième fois. Je n’avais pas trop apprécié mon dépucelage pratiquement à sec par un petit con pressé, heureusement avec une queue deux fois moins grosse que celle de mon voisin. La sensation de chaleur est immédiate. Mon bas ventre s’embrase littéralement. Je ne bouge pas, savourant cet instant qui met le feu à mon corps tout entier. Je vois mon reflet dans une immense glace murale, j’écartèle ma petite chatte sur ce gigantesque pieu. Il me faut de nombreux va-et-vient pour m’empaler complètement sur son pal. J’ai le ventre en feu. Je jette un coup d’œil dans le miroir et constate, effrayée, que mon vagin distendu au-delà du possible n’a pu absorber complètement l’énorme verge de Xavier. De nombreux centimètres restent dehors et n’ont pas droit à la chaleur torride de ma grotte de jeune fille. Mon fourreau est complètement distendu par le diamètre peu commun du pieu qu’il accueille. Mes mains rejoignent les siennes au dessus de sa tête, nos doigts s’entrelacent. Je me penche vers lui pour que mes seins viennent effleurer son torse, je l’embrasse presque tendrement. Maintenant je monte et descends lentement sur cet axe, le temps que mon corps s’habitue à un tel intrus, les yeux clos, me mordant la lèvre inférieure jusqu’au sang. -Que tu es trop gros Xavier… Mais putain que c’est booonnn !!!A force de persévérance et un peu de douleur, j’arrive presque à  entrer entièrement sa verge phénoménale dans mon con. Mes lents va et vient ont progressivement éveillé mon plaisir et je deviens une véritable amazone en rut, l’abreuvant de mots crus que je ne me croyais pas capable de lui dire, poussant mon bassin au devant de ce gros porteur afin de le faire pénétrer encore plus profondément, si c’était encore possible. Mon vagin se serre sur son sexe à un rythme régulier. Mon regard se trouble et mon souffle s’accélère. Je bouge doucement mes hanches et mes fesses ondulent langoureusement autour de son axe d’airain. Mon cœur s’affole et mon corps m’ordonne d’aller plus vite. Mais je veux faire durer ce moment, faire monter encore le désir en moi pour décupler ma jouissance.J’hurle comme une folle, mais lui reste passif, comme si la folle qui se poignarde sur son sexe ne le concerne pas. Tant pis… je me donne du bon temps, espérant l’amener au plaisir. J’arrive plusieurs fois à l’orgasme avant de m’effondrer, toujours fichée sur lui et je ne bouge plus, heureuse comme une petite fille pelotonnée dans les bras de son père.-Bien. Maintenant que tu es chaude à point, à moi de reprendre les rênes… à quatre pattes ! Je lui obéis. Il se positionne derrière moi, avec son braquemart géant toujours aussi raide qui pointe à l’entrée de mon vagin dégoulinant de cyprine.Il s’amuse à y faire entrer et sortir son gland, rien que son gland, dans un va et vient lancinant jusqu’à l’écœurement qui prolonge mon dernier orgasme, je n’arrête plus de mouiller.Il s’enfonce soudain d’une poussée rectiligne faisant claquer ses cuisses sur mes fesses, m’arrachant un cri de bête qu’on égorge, me faisant à nouveau ressentir l’énormité de sa verge. Mais malgré la grosseur de ce piston qui étire au maximum mes muqueuses, il parvient pratiquement à enfoncer la quasi-totalité de son chibre dans ma gaine de velours. Je sais que le vagin est un organe extensible mais on a toujours un doute en voyant une pareille bête. Il attend un instant que mon corps s’habitue à un tel intrus puis se met ensuite en mouvement et commence à me baiser. Mais cela n’a vraiment rien à voir avec ce que j’ai connu dans ma jeune vie de femme en fleur. Il me baise à une allure lente, puis de plus en plus rapide de coups de bite puissants, profonds sans être trop violents. Il me faut bien deux  minutes de baise pour que la douleur s’atténue. Je passe par différentes étapes, attirance, puis douleur et enfin le plaisir. Mon vagin est si chaud que je suis sûre que ma cyprine se transforme en vapeur autour de son pal. Xavier me défonce maintenant sauvagement et je dois m’agripper à la tête de lit pour résister à ses ruades.  A suivre… J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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