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Ma petite histoire au bureau

Chapitre 1

Erotique
Lorsque j’arrive, le plateau est encore bien vide. J’aime arriver tôt, prendre le temps de démarrer.Seulement trois de mes collègues sur une vingtaine de filles que compte ma section sont sur place.
Je suis la responsable de tout ce petit monde, anime, supervise, guide et conseille les assistantes commerciales de l’entreprise. Eh oui, il n’y a que des nanas. La moyenne d’âge est très jeune, ce qui fait de nous une équipe joyeuse et dynamique et parfois, je l’avoue, avec un petit manque de maturité. Tout comme il nous arrive de nous chamailler les rares garçons qui tentent l’aventure de s’égarer chez nous.
J’allume mon ordi. Rien. Tente une seconde fois. Toujours rien. J’adore quand la semaine commence ainsi...
Heureusement, non avons Etienne, l’informaticien de la boîte. Je file dans son bocal (c’est comme cela que l’on appelle son bureau-atelier). En principe, il doit être arrivé, le lundi il commence toujours une heure avant tout le monde pour s’assurer que les serveurs et le réseau fonctionnent bien.
Je frappe à sa porte et entre. Il m’accueille avec un large sourire enchanteur dont il a le secret. C’est un garçon complaisant et plutôt mignon. Rien à voir avec l’idée que l’on peut se faire de l’informaticien geek.Je lui expose mon problème et il se rend immédiatement à mon poste. Son diagnostic est rapide : alimentation cramée. Il se coule sous mon bureau (les filles qui commencent à arriver, le reluquent), débranche tout et emporte ma machine. Je récupère clavier et souris et je le suis tout en matant son postérieur fort agréable ma foi.
Rapidement, il extirpe un gros bloc de l’intérieur pour le remplacer par un autre. Il pose la tour par terre et me demande de récupérer les câbles du clavier et de la souris sous le bureau pendant qu’il me les passe par le dessus.
A quatre pattes sous le bureau, c’est à mon tour de lui offrir une vue imprenable sur mon postérieure. Habillée d’un jean slim délavé, taille basse, je sens mes reins passer à l’air libre. L’imaginer regarder mon string qui doit maintenant dépasser de mon jean m’émoustille quelque peu. Je me cambre bien histoire de l’émoustiller à son tour. Je peux ressentir son regard sur ma cambrure, mais c’est sa main qui, l’air de rien, vient se poser au niveau de ma taille ainsi dénudée.
Une personne fait irruption dans son bocal sans même frapper. Comme paniqué et en un éclaire, Etienne me pousse au fond du bureau. C’est Clémentine, sa petite amie “officielle” et potentiellement jalouse, alors que ce n’est pas la dernière à avoir fricoté avec un nombre non négligeable de mâle dans la boîte.
Elle passe derrière lui l’embrasse dans le cou. Ils échangent quelques mots. Je peux voir ses mains baladeuses passer sur son torse, sous son tee-shirt.
Clémentine bosse à l’administratif. Bien que très jeune (25-28 ans tout au plus), elle est toujours habillée strictement. Style tailleur et chemisier blanc. Mais la jupe est toujours courte, très courte même et sa belle poitrine (je dirai du 95-D) bien mise en avant dans des décolletés très pigeonnants.
Ses mains baladeuses et sa poitrine contre la joue d’Etienne ne loupent pas leurs effets : cette alchimie qui provoque inexorablement le gonflement du sexe d’Etienne. Je suis en bonne place pour apprécier son excitation qui gonfle, gonfle sous son pantalon.
Clémentine se déplace sur le côté du siège. Je ne vois pas ce qui se passe au-dessus du bureau, mais ses mains passent à l’attaque et défont un à un les boutons cuivrés du jean d’Etienne. Son sexe ainsi libéré, elle commence à lui malaxer les gonades et faire quelques mouvements de va-et-vient lui décalottant le sexe.
D’où je suis, je peux également voir que Clémentine porte un petit string dentelle qui me laisse apprécier, par transparence sa petite chatte parfaitement glabre, seule subsiste quelques courts poils, comme un trait de feutre noir, sur son mont de Vénus.
A son tour, la main d’Etienne remonte le long de la cuisse de sa copine. Je peux voir quelques frissons. Il arrive en buter contre son sexe et commence quelques mouvements le long de sa fente, par-dessus sa culotte. Sa mouille ne tarde pas à venir imbiber le tissu. Avec toute la longueur de son index, il appuie sur son sexe faisant ainsi s’introduire la fine culotte entre ses lèvres. La cochonne n’en demande pas moins et fait quelques mouvements du bassin pour bien se frotter et prendre plaisir.La scène ne me laisse évidemment pas insensible ; discrètement je dégrafe et passe ma main sous mon Jean et commence à me masturber.
Le portable de Clémentine sonne.
— Merde c’est ma chef s’écrie-t-elle. Je dois y aller, j’ai un rapport à lui remettre.
Sans même prendre le temps de se réajuster le string, elle part aussi brusquement que lorsqu’elle est entrée dans la pièce, laissant orpheline, sous mes yeux, une verge dressée comme un colosse.
Je me dis qu’il serait trop dommage d’en rester là.
D’un seul mouvement, je me saisis de ce sexe fièrement debout à quelque centimètre de moi.
A mon tour j’entame des mouvements de va-et-vient et présente son gland à ma bouche. J’y vais doucement, ma langue tourne autour du gland, puis mes lèvres pincent son extrémité pour s’arrêter à la couronne. Je m’attarde sur celle-ci pendant que ma langue titille le frein sous le gland. Les mains d’Etienne se crispent sur son fauteuil, je pense qu’il apprécie.
Je fais pénétrer et ressortir de ma bouche successivement le gland pendant que ma main se resserre sur le corps de sa verge tout en faisant de petits mouvements de haut en bas. Telle une salope digne de ce nom, je l’excite au maximum sans aller trop loin. Je fais monter la tension au maximum sur sa queue et relâche.Il se tend, il se cambre, il n’en peut plus et m’attrape la tête des deux mains. Sa queue pénètre ma bouche dans son intégralité. Je ne rechigne pas, même, j’aime cela.
Il me baise la bouche. J’en profite pour enlever mon jean. Je masturbe ma petite chatte qui ne demande plus qu’à se faire pénétrer à son tour. Comme une belle salope, je prends plaisir à le sucer à fond et tout au fond de ma gorge.
Une collègue frappe à sa porte et rentre dans son bureau.
Il repositionne ses mains sur son bureau faisant mine de travailler, mais il est plutôt proche d’un état physique de convulsions.Je n’arrête pas pour autant. J’engloutis sa bite, dure comme un nerf de bœuf, d’une main je lui caresse les couilles et de l’autre je me doigte la chatte, trempée, le plus profondément possible.
— Tu n’as pas vu Lussy ? Ses affaires sont là, mais son ordi a disparu, je pensai qu’elle était avec toi. Dit la collègue.
Etienne, dit sur un ton crispé :
— Heu... Non, non.
La collègue lui demande s’il va bien, il grommelle comme il peut un
— Oui, ça va.
Et finit par m’envoyer sa purée dans la bouche.Une décharge incroyable, quatre grosses secousses accompagnées d’une belle quantité de foutre, direct dans ma bouche.Je lui retiens la bite fermement avec la main pour continuer volontairement à asticoter son gland dans ma bouche.J’aspire tout le sperme possible. J’avale tout et crée une dépression autour de son gland resté ainsi prisonnier de ma bouche.
Ma collègue réitère :
— T’es sûr ? Tu es tout rouge.— Oui, oui, mais je dois me concentrer sur un problème, si tu veux bien me laisser seule.
Elle part sans trop comprendre. Il se retire, sa bite fait comme un bruit de ventouse en sortant de ma bouche.Il peut maintenant me voir ainsi : jambes écartées, deux doigts dans la chatte, bouche ouverte, demandant à me faire prendre comme une chienne.
Etienne se lève, donne un coup de clé intérieure à sa porte, revient vers moi.Je sors de dessous du bureau pour m’asseoir dessus. Garde une main pour continuer de m’astiquer tout en écartant mes jambes devant lui, pieds posés sur son bureau.
— Lèche-moi la chatte maintenant.
Il s’accroupit m’enfonce direct son index et majeur dans mon trou dégoulinant. Ce même index souillé par la mouille de sa copine. J’exulte.Avec sa bouche, il m’aspire le clitoris.Les mouvements de va-et-vient dans mon sexe et la torture qu’il inflige à mon clito avec sa langue et ses lèvres qui le pince ne tardent pas à me faire jouir à mon tour.
Mes jambes se mettent à flageller, je lui demande d’arrêter, ce qu’il ne fait pas. Il me laboure la chatte, enfonce maintenant violemment trois doigts, ils n’ont aucun mal à me pénétrer l’environnement étant tellement glissant. Le pouce de son autre main est dans ma bouche, je le suce machinalement tout en le regardant comme une traînée.Des secousses naissantes dans mon bassin commencent à ébranler tout mon corps vers une réplique orgasmique.Je jouis, je jouis si intensément que j’expulse une petite quantité de liquide incolore, ma première éjaculation féminine.
Etienne semble apprécier, je lui maintiens la tête pendant qu’il termine de me laper le sexe.
Le temps de nous remettre de nos émotions et de nous rhabiller, il termine mon ordinateur.Nous revenons à mon bureau pour le remettre en route. Toute l’équipe est arrivée. Ils ne semblent pas se douter de quoi que ce soit.
Je lui ai promis de ne rien dire à sa copine dans la mesure ou il ne se vante pas de ses exploits non plus.
A ce jour (cela fait grosso modo 2 mois) nous n’avons jamais recommencé, mais cela ne me déplairait pas. Qui sait ?
Tout comme je ne lui ai pas dit concernant Clémentine : lorsqu’elle est partie précipitamment le string l’excitant entre ses lèvres et la minette trempée, une rumeur circule comme quoi elle ne serait pas restée inactive ce matin-là. Mais ça, c’est une autre histoire.
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