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La petite histoire de mes experiences zoophiles.

Chapitre 2

Zoophilie
Il s’est passé ensuite quelques dizaines d’années où j’ai plutôt batifolé avec des filles même si je suis resté puceau très tard. Je vous rassure je me suis beaucoup branlé entre temps.J’avais 25 ans j’étais en vacance à la mer dans la villa d’une amie de ma mère qui possédait un caniche nain couleur abricot. En jouant avec lui, j’ai commencé à retrouver mon goût pour le sexe animal et j’ai passé mes vacances à branler ce petit chenapan qui y prenait pas mal de plaisir. L’apothéose fut le jour où il s’est carrément excité et branlé entre mes doigts de pied incroyable comme il a joui le cochon. J’étais en tong et je jouais avec son fourreau lorsqu’il commença à passer son sexe entre mes orteils et à baiser mon pied comme si c’était une femelle, il a vraiment éjaculé fort ce jour là. Il y a une chose amusante au sujet de ce caniche je le soupçonnais d’être un peu « gay » car un jour je le surpris en train d’essayer de monter un teckel mâle dans le jardin de la villa, comme vous pouvez l’imaginer cela provoqua une énorme érection dans mon short.Mais mon penchant zoophile s’est pleinement exprimé depuis que je suis arrivé dans le sud est de la France pour mon premier boulot. De l’âge de mes 26 ans jusqu’à maintenant, j’ai pu expérimenter de nouvelles aventures aussi bien avec des chiens que des chevaux. J’ai ainsi sucé mon premier chien, cela se passa avec un petit bâtard berger, pour lequel j’avais une grande tendresse, que possédait un ami de travail. Un jour qu’il trainait seul dans la cour de la maison de ses maitres, je l’ai appelé pour qu’il m’accompagne en promenade dans les bois. Un peu plus loin à l’écart du chemin principal, je me suis caché sous un buisson et j’ai commencé à le branler au début il n’a pas beaucoup aimé ça il grognait ! Mais après un moment j’ai approché ma bouche pour emboucher son petit sexe rouge sortant à peine du fourreau, il ne tarda pas à agiter son arrière train comme s’il sautait une femelle en chaleur du voisinage. Ce fut divin, il possédait ma bouche et il finit par éjaculer copieusement en moi, quel délice, ce dépucelage restera pour moi inoubliable.Depuis j’ai découvert les joies de côtoyer les équidés dans des champs isolés de la région ou même près de chez ma copine. La première fois je me promenais dans la campagne quand je vis 2 chevaux dans un pré à l’abri des regards ni une ni deux, je franchis les barbelés et je les rejoins. L’un deux bandouillait gentiment j’ai saisi son membre et commencé à le branler son sexe était très sale recouvert de vieilles peaux. Bien sûr il n’a pas pu jouir de mes caresses car c’était un hongre mais malgré tout j’ai beaucoup aimé cet épisode. Mais ma plus belle expérience équine fut avec une jument qui se trouvait dans le pré que louait ma copine à une femme de la ville. J’avais pris l’habitude de lui amener du pain et de lui caresser longuement la croupe, en un mot de l’habituer à moi. Puis je me suis enhardi et un samedi soir vers 1h du mat je suis retourné voir la jument pendant que ma copine dormait. J’ai commencé à la doigter j’ai pu introduire jusqu’à trois doigts dans son sexe brulant. A ma grande surprise bien qu’elle ne soit pas en période de chaleur, elle se laissait faire. Au bout d’un moment elle s’est retournée à renifler mon sexe à travers mon short et commença à le lécher, je ne tardais pas à le sortir. Pour ceux qui connaissent les chevaux, cela à d’énormes dents, j’avoue que j’appréhendais un peu un coup de dent de sa part mais cette jument, câline, se borna à me laper le gland puis la hampe de mon sexe, pendant quelques minutes avant d’aller paitre plus loin. Je ne jouis pas mais quel plaisir cela fut !Je voyais bien qu’elle voulait que je joue avec elle. Parfois l’initiative venait d’elle, me tournant sa croupe vers moi après que j’ai joué avec ses tétines. Elle reculait d’elle-même la sa croupe dans ma direction. Un jour que j’avais un peu peur d’une ruade de sa part, je compris d’un coup qu’elle était en chaleur et que les effluves de mâle excité provenant de mon sexe devaient la titiller bien que je ne sois pas un étalon, dans tous les sens du terme d’ailleurs. J’ai alors sorti ma bite que j’ai frottée difficilement contre sa vulve, car elle était grande d’encolure, il m’aurait fallut un petit support pour avoir mon sexe à parfaite hauteur de ses lèvres. Comme une vraie femme qui se fait désirer, elle se retirait dès que je voulais m’introduire plus profond en elle. Je n’ai pas pu la pénétrer correctement mais j’ai quand même énormément joui, répandant mon sperme sur sa chatte.La dernière expérience en date s’est passée l’année dernière avec un terre-neuve celui du boulanger pour être précis qui divaguait seul dans la rue le soir vers minuit. Je me suis approché de lui et je l’ai amené en le tirant par le collier chez moi dans mon appartement, par souci de discrétion. J’ai commencé à le branler comme il se doit, ensuite je l’ai sucé il a éjaculé clair dans ma bouche, puis je me suis mis à poil sous ses pattes pour qu’il me saillisse, depuis le temps que cela me trottait dans la tête je voulais franchir le pas. A mon grand désarroi, peu excité, il n’a pas voulu me monter, il ne bandait même pas. J’ai alors entrepris de l’enculer, bien entendu comme vous pouvez l’imaginer il ne s’est pas laissé faire mais j’ai quand même frotté mon gland sur son anus pour finir par éjaculer à son contact. Je le relâchais dans la rue non sans lui avoir donné à manger deux saucisses de Strasbourg trouvées dans mon frigo, c’était bien la moindre des choses surtout que le pauvre avait du sperme plein les poils de sa queue et de son train arrière.Voila j’espère que vous aurez apprécié mon petit récit. Tout est vrai et j’espère bien avoir d’autres belles histoires réelles à vous narrer prochainement.
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