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Petite nièce, longue nuit

Chapitre 2

divine culpabilité

Inceste
Assis sur le canapé, le short baissé sur mes genoux, le sexe amorphe, je m’empresse d’avaler mon whisky comme pour me remettre de mes émotions. Florence, elle s’est assise près de moi et boit le sien par toutes petites gorgées. Dans ce temps de silence et d’accalmie, les idées se bousculent dans ma tête. Il en ressort un terrible sentiment de culpabilité, de colère envers moi-même, presque de dégoût... Non, mais merde ! Je me suis fait faire une fellation par ma nièce ! Jamais je n’aurais pu l’imaginer. Et sur le moment, loin d’être dégoûté, j’ai joui rapidement comme un petit puceau surexcité !Embarrassé par ma nudité, je tire sur mon short pour le remonter et couvrir mes parties intimes. Florence finit son verre et le pose sur la table, puis aussitôt, elle vient se lover contre moi, embrassant mes épaules, mon cou, mes joues... Elle voit bien que je reste de marbre à ses baisers, les yeux perdus dans le vague. Elle m’interpelle alors :
— Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’as pas aimé ? — Ce n’est pas la question Flo. Mais ce n’est pas bien... moralement je veux dire. On n’aurait pas dû.— Bah, on est des adultes, on en avait envie, on l’a fait, point barre. Il n’y a pas à se torturer l’esprit.— Ce n’est pas si simple que ça...— Si, ça l’est. J’avais envie de te sucer et je l’ai fait. Et vu comment tu étais dur et la quantité de sperme que tu m’as envoyé dans la gorge, je pense que tu en avais envie aussi ! Et ce n’est pas fini...
A ces mots, sa main se dépose sur mon entrejambe, saisissant d’emblée ma queue molle entre son pouce et ses quatre autres doigts. Elle presse délicatement mon sexe quelques secondes, et au moment où je sens que le désir va reparaître et durcir sous ses doigts, je l’empoigne vigoureusement.
— Non Flo !! On arrête là, on a fait une connerie ! Elle était délicieuse, c’est vrai, mais ça doit s’arrêter là !— Quel nigaud ! Du calme, je veux juste voir combien de temps tu vas mettre pour bander à nouveau... la... voilà...ça vient... je la sens durcir... je suis sûre que ma tante ne te fait pas rebander aussi vite...
Et mince, je me suis encore fait avoir... Sans même m’en rendre compte, je suis encore aussi dur qu’un matin au réveil ! Et elle a raison la coquine, sa tante ne me fait pas « revenir » aussi rapidement !
Florence se tient à genoux près de moi, ses talons repliés sous ses fesses. Alors qu’elle continue à presser délicatement ma bite à présent bandée à l’extrême, j’aperçois par l’entrebâillement de son débardeur sa toute petite poitrine. Des globes très peu marqués, à peine de quoi remplir une brassière de pré-ado, mais des tétons bien présents, rose foncé, tirant sur le marron clair et contrastant avec sa peau très blanche. La conjugaison de cette vision et de sa main qui malaxe ma bite me fait définitivement renoncer à toute moralité. Je dégage mon bras alors coincé entre ma hanche et ses genoux, je fais glisser une bretelle de son haut de sorte à dénuder son sein, je plaque fermement ma main contre ses reins et je m’empresse d’embrasser son petit téton aussitôt durci par le contact de ma bouche fraîche et humide. La petite salope gémit quand je commence à la mordiller assez profondément tout en collant une claque sur son cul joufflu.
Elle passe sa main dans mon short et branle ma bite frénétiquement alors que je continue sur ses seins mes morsures, mes baisers et mes coups de langue tout en giflant ses fesses sur son short.
— - Hum tonton... j’aime ta bite... j’ai rêvé d’elle si souvent...— Ah bon ? Et tu n’es pas déçue ?— Oh non, la tenir dans mes mains fait dégouliner mon minou...— Hum, je vais vérifier ça...

Je passe alors ma main entre ses jambes, insinuant mes doigts entre ses cuisses et le tissu, et je découvre en effet une petite chatte chaude et trempée. Avec trois doigts, j’effectue des allers-retours sur toute la longueur de sa vulve, recueillant à chaque passage son jus précieux. Puis de la pulpe de mon majeur, j’entame une délicate danse sur son clitoris que j’effleure d’abord, puis que j’active plus fermement, le sentant se raffermir sous ma peau.
— - Oh, tonton chéri, j’aime que tu me branles comme ça !— Il faut dire que ton minou est très accueillant ma puce...— Ohhh oui, j’ai tellement désiré que tu me baises... Dis-moi que tu en as rêvé toi aussi !— Oui ma puce, j’en ai rêvé aussi.— Dis-moi que tu penses à moi quand tu baises ma tante.— Oui... je pense à toi quand je la baise...à ton cul, à ta chatte, à ta bouche...— Mes mots, même s’ils ne sont pas totalement empreints de vérité, lui font perdre les pédales, l’écoulement de son jus redouble, les mouvements de sa main sur ma queue également. Je n’ai quasiment plus besoin de bouger mes doigts sur son intimité. Par de grands à coups de son bassin d’avant en arrière ,elle se branle littéralement toute seule sur mes doigts. Je reprends mes baisers sur sa poitrine quasi enfantine, rien à voir avec le 95D de ma femme, c’est sûr, mais ses petits seins m’excitent tout autant. De sa main restée libre, Florence s’accroche à mon cou, griffe mon crâne et se tortille de plus belle sur ma main prisonnière de ses plis intimes. « Baise-moi tonton, baise-moi comme une chienne, mets ta queue dans mon ventre...
Merde ! Il est encore temps pour moi de tout arrêter, de revenir à la raison et me comporter en adulte.Elle voit bien que je tergiverse, que je ne prends pas les devants, que je me contente de laisser ma main entre ses cuisses et sucer ses tétons, et cela ne lui suffit plus.Elle s’impatiente sans doute et se lève précipitamment, m’arrache mon short et enlève le sien. Avec beaucoup d’autorité, elle me fait m’allonger de tout mon long sur le canapé et aussitôt, elle s’étend sur moi. Elle cherche à m’embrasser et je reste le plus passif possible, tiraillé entre mon désir et ma culpabilité. Elle replie alors ses genoux à hauteur de mon bassin, puis de sa main gauche, elle vient chercher ma queue encore dure et la présente à l’entrée de son minou. Oh merde, que c’est bon... et que c’est dur de rester impassible ! En quelques secondes, elle fait disparaître mon mandrin épais dans son con encore étroit. De tout son diamètre, mon sexe écarte et force les parois de son conduit intime pourtant inondé. Flo lâche un cri d’extase quand enfin, ses cuisses se posent sur les miennes et que ma bite la pénètre entièrement. Moi-même, je ne peux retenir un râle de plaisir.
Sans attendre, elle repousse sur ses cuisses pour se remonter et faire coulisser nos sexes l’un contre l’autre, l’un dans l’autre.
Ses mouvements se succèdent, s’enchaînent, s’accélèrent... je sens son jus chaud couler sur mon pubis et sur mes couilles. Je vois ses joues se pâmer, ses yeux s’écarquiller alors qu’elle s’agite désormais à toute vitesse sur ma hampe et que ses cris succèdent à ses gémissements. Pour ma part, je me contente de la laisser faire en la regardant, réprimant le plus possible mon plaisir et mes gémissements. Tout juste si j’ose poser mes mains sur ses cuisses et accompagner timidement ses va-et-vient. Après dix bonnes minutes, son corps est ruisselant de sueur, elle accélère encore la cadence, ses cris et ses griffures sur mon torse trahissent sa jouissance, elle me demande de lui parler, lui dire qu’elle est bonne, que j’aime la baiser... je me contrains à ne pas le faire, mais en revanche, je ne peux plus retenir mon plaisir. Je râle, je souffle, j’éructe et je finis par jouir en trois ou quatre longues salves au fond de sa grotte.
Harassée par ses efforts et son plaisir, Florence s’écroule sur moi et cherche ma bouche pour l’embrasser. Je parviens cette fois à esquiver son baiser. Revigorée par cet affront, elle bondit du canapé, extirpant avec soudaineté mon sexe du sien, et sans mot dire, elle file à la salle de bain et fait couler l’eau immédiatement...Alors qu’elle prend sa douche, je suis plongé dans une longue réflexion qui porte sur mon sentiment de culpabilité et la suite à donner à cette histoire. Ma petite nièce adorée dont je me suis toujours occupé sans la moindre arrière-pensée m’a allumé, sucé et baisé, sans que je n’aie le courage de l’interrompre... faiblesse de la chair. Mais bon sang qu’elle est belle, attirante, sublime, quel homme résisterait ?
Elle sort de la salle de bain et file vers sa chambre, enveloppée dans une serviette de bain. Pas un regard et pas un mot à mon égard, elle prend même soin de claquer la porte suffisamment fort pour que je comprenne son message de colère.
A mon tour, je vais reprendre une douche et je monte me coucher dans ma chambre emportant au passage la bouteille de whisky, béquille dérisoire dans cette situation boiteuse... Une fois au lit, je bois deux ou trois gorgées en espérant qu’elles m’aident à trouver le sommeil... C’est peine perdue, je me tourne et me retourne dans mon lit sans pouvoir fermer les yeux. Les images de son torse menu, de sa bouche agile, de ses fesses musclées, de son minou étroit se bousculent dans ma tête. Je re-bois une longue rasade, ma gorge est en feu, mais rien n’y fait, Morphée me fuit.
Bien deux heures ont passé et mon excitation grandit. Je sais que c’est mal, mais repenser à la soirée me fait encore bander au beau milieu de la nuit. Soudain, un bruit à l’étage en dessous. La porte de sa chambre, puis celle des toilettes. Quelques secondes de silence, puis la chasse d’eau et à nouveau les portes dans l’ordre inverse...
Elle est réveillée, et je suis là à bander seul comme un con en pensant à elle. Sans plus de réflexion, je me lève et descends les marches de l’escalier le plus discrètement possible. Je me poste devant sa porte, le souffle court, le cœur battant, la queue à peine débandée. J’écoute à la porte comme un voleur, mais ne perçois aucun bruit. Nouveau dilemme pour moi, remonter la queue entre les jambes et me finir tout seul ou bien tenter d’apaiser sa colère en lui faisant part de mon désir ?
Coupable pour coupable, je ne veux pas avoir à me branler cette nuit. Sans la moindre précaution de discrétion, j’ouvre alors sa porte. « Tonton c’est toi ? », dans la pénombre, je la distingue allongée sur le ventre, la tête légèrement relevée, le visage tourné vers la porte. « Oui ma puce, c’est moi ».
J’avance vers les pieds du lit que je franchis sans mal et je m’installe à genoux sur son drap de part et d’autre de ses jambes étendues. Je glisse mes mains sur elle, le haut de ses cuisses, ses fesses galbées qui ne me semblent recouvertes que du drap, puis son dos nu, ses cheveux éparpillés, sa nuque.
Je m’allonge sur elle, ma queue dure trouvant sa place entre ses masses charnues. J’embrasse ses épaules, sa nuque, sa gorge, je suce ses oreilles tout en frottant mon sexe entre ses fesses, nous gémissons tous deux. Puis cette fois, nos bouches se trouvent, nos lèvres se redécouvrent, s’entremêlent, s’entrouvrent pour laisser nos langues s’enlacer. Quel baiser mes amis, plein d’ardeur, de sensualité, de tendresse...! J’ai de plus en plus envie d’elle, elle le sent bien à l’intensité avec laquelle je presse ma bite contre elle.
— Tonton... il te plaît mon cul ?— Oui chérie, il me plaît beaucoup.— Alors, prends-le, il est à toi...— Et je serais le premier ?— Non, pas le premier, mais celui dont j’ai toujours rêvé...
Hum, me savoir autant désiré par cette magnifique jeune fille me fait perdre les pédales. Je fais glisser le drap pour que nos peaux soient entièrement en contact. Je continue à frotter mon sexe entre ses fesses puis je me retire, me faisant glisser vers l’arrière en couvrant de baisers son dos, ses reins, puis enfin son cul. Un globe, puis l’autre, puis l’intérieur des fesses. J’insère mes doigts entre ses cuisses chaudes et laiteuses et chatouille habilement son minou. Dès ces premiers gémissements, je plonge ma tête dans son cul et lèche son trou plissé en excitant fermement son clitoris de mes doigts. Puis je retire ma bouche, mes doigts s’égarent sur ses lèvres, la tension retombe, et je recommence. Ma langue sur son trou, mes doigts sur son berlingot rose...
A chaque séquence, ses gémissements s’amplifient, son corps est pris de spasmes de plus en plus féroces. Fermement, je la saisis par les hanches et la fais se relever, sa croupe généreuse m’étant ainsi largement offerte. Je lèche encore son cul longuement, puis y insère sans aucune difficulté mon index à peine imprégné de salive. Un tout petit cri aigu s’élève dans le silence de la nuit au moment où je le ressors.
Je me lève et contourne le lit pour allumer la lampe de chevet, il serait dommage de rater un si beau spectacle, il y a bien longtemps qu’un aussi joli cul ne s’était pas offert à moi... En regagnant ma place, je fais une halte à hauteur de son visage, je prends le temps de bien la fixer dans les yeux, je veux qu’elle voie dans mon regard tout mon désir pour elle. La petite salope ne regarde pas mes yeux, mais uniquement ma queue encore gonflée de désir, mais pas totalement érigée. Elle passe sa petite langue pointue sur ses lèvres charnues en détaillant chaque centimètre de mon manche. Pour la provoquer davantage, je saisis ma queue et la branle en lenteur. « Oh putain tonton, prends-moi, prends-moi maintenant ». Je ne la laisse pas parler à nouveau et vigoureusement j’enfonce ma queue dans sa bouche, raclant sa langue et son palet. Très vite, je suis au maximum de mon érection et retourne me positionner derrière elle.
Je m’installe debout sur le lit, et je positionne ma queue luisante de sa bave à l’entrée de son trou étoilé. De mes mains, j’écarte ses fesses et vois son anus s’ouvrir comme une fleur au soleil. D’un coup sec, je fais pénétrer mon gland en elle, lui arrachant un cri strident. La laissant à peine respirer, j’introduis maintenant lentement, mais avec régularité centimètre après centimètre la totalité de mon membre en elle. Je me retire un peu, et aussitôt me ré-enfonce. Je répète ainsi la manœuvre jusqu’à trouver un rythme de croisière soutenu dans son cul.
Je dois vous avouer, mes amis, que jamais un cul ne m’avait paru si désireux de se faire prendre, remplir, pilonner. En vingt ans d’union, j’ai sodomisé ma femme une dizaine de fois tout au plus, lors de week-end amoureux ou à l’occasion d’événements, et à chaque fois, je fis preuve d’une extrême prudence afin de ne pas la braquer et m’offrir une chance de recommencer un jour. Mais là, le cul de ma nièce me fait perdre toute considération bienveillante. Ma seule obsession est de le baiser aussi intensément que possible, lui asséner de véritables coups de boutoir. Je veux que ma nièce crie de douleur et de plaisir, je veux la baiser si fort que plus jamais un homme ne se sentira à l’étroit en elle. Et c’est ce que je m’acharne à faire. Mes cuisses cognent contre ses fesses, je râle, j’exulte, je claque son cul vigoureusement. Elle a mal, elle gémit, mais elle aime ça, « oh oui, oh oui, oh oui... » sont les seuls mots qu’elle est capable de prononcer à présent.
Je descends ma main sous son ventre et la glisse jusqu’aux premiers plis de son minou. Je glisse mon index et mon majeur autour de son petit bout de chair durci de sorte que mes doigts le branlent à chacun de mes coups de reins. En quelques secondes, son plaisir se décuple, son corps devient incontrôlable, se désarticule en tordant ma bite prisonnière, ses bras ne la soutiennent plus, sa tête et ses épaules tombent sur l’oreiller, j’attrape ses hanches et la soulève littéralement pour continuer à l’enculer comme une poupée de chiffon. Après quelques secondes, je la relâche sur le lit et retire ma bite de son cul : « tonton, tu as joui ? » oh non ma belle, je n’ai pas joui encore et tu vas t’en rendre compte. Sans même lui répondre, de ma main puissante je la tourne sur le dos, puis relève ses cuisses et les écarte sur le côté, étirées au maximum. Je lui ordonne de tirer sur ses fesses et je me réintroduis en elle.
Je reprends mes allers-retours à bon rythme dans son cul et sentant que ma jouissance va arriver, je me penche vers elle tout en la martelant pour prendre sa bouche avec la mienne.
Je mords ses lèvres, suce et aspire sa langue, j’agite mon bassin le plus vite qu’il m’est possible de le faire, et dans un immense cri roque, je libère une quantité énorme de foutre au fond de son cul en m’écroulant de tout mon poids sur elle, ma bouche collée à la sienne. Ce soir-là, après nous être à nouveau douchés, Flo et moi avons dormi ensemble pour la première fois. Le lendemain, nous partions en week-end à la campagne rejoindre ma femme et sa fille et le week-end s’annonçait haut en couleur...La suite très vite s’il y a des amateurs...
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