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De la petite Marie à la redoutable Malika

Chapitre 1

Erotique
J’étais fatigué et en colère. Non seulement la journée avec les enfants du centre avait été usante, mais en plus je m’étais fait allumer durant la réunion du soir pour des activités soi-disant mal préparées. Le directeur, Francis, s’était montré plutôt bienveillant mais son adjointe, la redoutée Malika devait en avoir après moi, je ne sais pas, elle avait pointé mes insuffisances pédagogiques ou je ne sais quoi. Je me jurai de laisser tomber ces travaux de moniteur saisonnier pour aller vendre des glaces au bord de mer dès l’année prochaine. J’étais dépité. Enfin, c’était le dernier soir. Il était minuit et demi et tous les enfants étaient couchés. Demain, c’était le retour en car et le long trajet du retour chez papa et maman pour tous les petits et les ados.
Le dernier soir de colo, c’était l’occasion de faire la fête, sans faire trop de bruit, de veiller, grignoter ensemble en cuisine et de boire un peu en draguant gentiment les monitrices, jeunes pour la plupart. Moi j’avais 25 ans, il y avait cinq autres garçons parmi les moniteurs et une demi-douzaine de femmes de 18 à 30 ans environ. Parmi elle, la petite Marie, juste majeure, les cheveux blonds fins, le regard bleu. Elle me fixait souvent d’un œil langoureux et c’était encore le cas ce soir-là...
Je n’arrivais pas à me détendre et à profiter de l’instant. Je n’arrêtais pas de penser à Malika, à son regard noir ou méprisant sur moi. Je ne devais pas être son genre. Et depuis que son chéri, l’aide-cuisinier de la colo, un jeune costaud prénommé Farid, avait dû rentrer précipitamment pour un problème personnel, c’était pire. Je dois reconnaître qu’elle m’impressionnait. 35 ans environ, la peau mate et les yeux sombres, de longs cheveux épais et bouclés, elle était en outre assez grande, avec des courbes partout. Avec les rapports professionnels tendus qui existaient entre nous, je n’avais pas l’esprit à fantasmer sur elle, et pourtant...
Catherine aussi, n’était pas mal. Mais c’était la chérie d’Oumar. Un jeune collègue sympa et marrant avec qui je m’entendais bien. Ça ne m’empêchait pas de plonger dans le décolleté plongeant de cette Marseillaise à l’accent chantant dès que je le pouvais, c’est-à-dire pas très souvent, Malika lui faisant reboutonner ses chemises lorsque nous étions avec les ados dont nous avions la charge. Il est vrai que les petits mâles avaient aussi l’œil souvent baladeur...
Nous étions tous en train de discuter tranquillement, il était à peine une heure du matin, quand Malika entra dans la cuisine, l’air fatiguée et énervée tout à la fois :
— Demain vous devez vous lever de bonne heure, alors ne tardez pas trop à aller vous coucher. Pour l’équipe qui dort dans le bâtiment principal, vous ferez attention de ne pas claquer les portes. Francis est couché et les petits ont mis beaucoup de temps à s’endormir. Pour ceux qui sont au camp d’ados, les jeunes risquent de discuter tard ou d’avoir envie de faire des conneries pour fêter la fin du séjour, alors soyez vigilants.
Je ne pus m’empêcher de répondre :
— Oh, Malika, c’est bon, on n’est plus des bébés, on peut s’amuser un peu et être dispos pour les gamins au cas où...
Elle me rétorqua d’un ton méprisant
— Oh toi, Ben, c’est sûr que la journée n’a pas dû trop te fatiguer et je comprends que tu sois en pleine forme !
Je n’avais pas envie d’en rajouter et je me levai en allumant une cigarette avant de sortir. Tout le monde obéit et sortit tranquillement du bâtiment composé de la cuisine et du réfectoire.Les cinq moniteurs des petits se dirigèrent vers le bâtiment des petits, que nous appelions "le château", tandis que je gagnais le campement, ma lampe torche à la main, éclairant mes pas dans la nuit, suivi de mes collègues Benjamin, Oumar, Catherine et la petite Marie. Celle-ci me rattrapa rapidement en hâtant le pas et me prit le bras en marchant à mes côtés : "Ben, elle n’est vraiment pas sympa, Malika, qu’est-ce que tu lui as fait ?", fit-elle en chuchotant. Je haussai les épaules :
— Je lui ai rien fait à cette garce, je m’en voudrais. Vivement demain qu’on se casse !
Oumar s’approcha à son tour :
— Vous inquiétez pas les potes, je lui ai vidé un sachet de somnifères dans son verre de jus de fruit et elle va pas moufter de la nuit.
Je me tournai vers Oumar :
— Tu as du somnifère, toi ?
Il me fit un grand sourire :
— Ouais mec. J’avais piqué ça dans la chambre de Francis, il a souvent du mal à dormir.
Je ne me pus m’empêcher de rire et de lui donner une tape amicale dans le dos :
— Tu vas pouvoir aller visiter une autre tente que la tienne, pas vrai Catherine ?.
Il me sembla que Catherine rougissait dans la pénombre. Elle prit la main d’Oumar avant qu’ils ne s’embrassent rapidement et ne s’écartent chacun vers leur tente. Malika n’était pas encore couchée et n’allait pas tarder. En tant qu’adjointe du directeur, elle était chargée des grands et avait aussi sa tente près des nôtres, dans le même coin du terrain – un petit pré entre les bâtiments et la forêt. Benjamin nous fit un signe de la main :
— Moi, je vais vraiment me coucher, je suis naze et j’ai chopé un de ces mal de crâne, tchao .
Le campement était calme. Tous les ados étaient dans leurs tentes, des tentes de quatre, non mixtes (enfin, normalement...). Ca discutait doucement, ils devaient également être fatigués de la randonnée de la journée et de la baignade dans le lac au bord duquel nous étions arrivés après de longs kilomètres de marche ensoleillée.J’ouvris rapidement ma tente pour récupérer mon gel douche et ma serviette de bain et je repartis vers le bloc sanitaire. Je vis plus loin la silhouette de Malika qui regagnait sa tente. Je l’entendis grommeler quelque chose à l’encontre de Marie qui, ses affaires de toilette à la main, avait failli trébucher en se prenant les pieds dans les fils d’une tente. Des rires d’ados se firent entendre à leur tour, Malika intimant ensuite le silence à tout le monde. Quelle rabat-joie que cette fille ! Je me jurai de ne jamais travailler de nouveau avec elle.Je me déshabillai rapidement et me mis sous la douche tiède, je me savonnais partout et j’étais en train que caresser doucement ma queue couverte de mousse lorsque j’entendis la voix de Marie, qui venait d’entrer dans la douche voisine de la mienne :
— Ben ? Ça va ? Tu sais, ça me fait drôle, je suis triste qu’on rentre demain et je serais triste qu’on ne se voie plus....
Eh, elle avait l’air sincère et cela me toucha :
— T’inquiète, petite Marie, le monde est petit.
Me baissant pour ramasser le bouchon du flacon de gel-douche, j’aperçus les pieds de Marie, fins et délicats, ruisselant de l’eau chaude et mousseuse qui coulait sur la jeune monitrice. J’approchai mon visage du carrelage pour voir si je pouvais jeter un coup d’œil par l’espace qui séparait le sol de la cloison. Je la vis parfaitement, savonnant son visage, elle était tournée vers moi et m’apparut dans toute la beauté épanouie de ses dix-huit printemps. Son corps était admirablement proportionné, ses petits seins étaient bien ronds, les mamelons larges et roses, le ventre plat, de belles hanches plus marquées que je ne l’aurais supposé et un splendide triangle de poils confirmant le caractère naturel de la couleur de ses cheveux. Cette fille était splendide et je ressentis l’excitation qui me gagnait, me donnant une érection maximum. Trois semaines de colo sans câlin, ça commençait à faire long ! J’écarquillais les yeux lorsque sa main pleine de shampoing se posa sur sa toison blonde, faisant mousser les poils, quel magnifique tableau ! Je caressais ma queue gonflée lorsque je la vis passer deux doigts plus bas, découvrant les lèvres roses de son sexe.
De mon côté, je laissais toujours couler la douche pour masque le bruit de ma respiration. Je n’aurais jamais imaginé assister à une telle scène ; en tout cas c’était la première fois. Peut-être cette dernière soirée allait-elle rattraper tous les mauvais moments du séjour ? Elle tourna les deux doigts rapidement autour du bouton, elle avait l’air d’avoir l’habitude, la coquine...Un peu sadique, pour le coup, je décidai de l’interrompre avant qu’elle atteigne le plaisir. J’éteignis la douche :
— Toujours là, Marie ?
Elle bredouilla :
— Oui oui, j’ai fini et je me sèche.
Je me séchai également, m’habillai et l’attendis devant les douches en allumant encore une cigarette. Elle sortit peu après. Je la fixai doucement du regard. Elle laissa ses yeux dans les miens, l’air triste. Je m’approchai d’elle, pris ses mains dans les miennes et l’embrassai rapidement sur la bouche. Elle avait le goût de cerise. Elle resta quelques secondes immobile avant de sembler se rappeler où nous étions et de vérifier que personne n’était présent et n’avait assisté à cette courte scène. Je l’attirai vers l’ombre d’un arbre, à l’abri de l’éclairage et la serrai doucement contre moi. Je sentis la pointe de ses seins, elle n’avait pas remis son soutien-gorge sous sa chemisette verte. Elle frissonnait d’émotion, c’était certainement la première fois qu’elle était aussi proche d’un homme.Je l’embrassai dans le cou, puis de nouveau sur la bouche, en laissant sagement mes mains sur ses hanches fermes. J’avais pourtant très envie de baiser, envie de cette super petite blonde. Je me décidai :
— Marie, tu veux venir avec moi dans ma tente, c’est le dernier soir, demain c’est le retour chez papa et maman.
Elle eut un regard douloureux avant de se coller de nouveau à moi
— Oh oui, je veux bien Ben, tu sais, je....
Elle eut un frisson. Je lui repris la main pour l’entraîner avec moi, tranquillement, vers ma tente. Je jetai rapidement un coup d’œil alentour. Tout était calme même si, visiblement, il y en avait encore qui ne dormaient pas et chuchotaient...
J’ouvris la tente, fis entrer Marie et refermai tout de suite derrière elle. Heureusement, ma tente était bien tenue, bien rangée, et accueillante. J’ai toujours eu horreur du bazar. Je me mis à genoux devant Marie, accroupie et la pris dans mes bras tendrement. Je me reculai légèrement et entrepris de déboutonner doucement sa chemisette émeraude. Elle frissonna de nouveau, en fermant les yeux. J’étais terriblement excité, je sentais que ma queue était grosse et dure mais, ce qui n’avait pas toujours été le cas avec d’autres filles, je me sentais devoir agir délicatement avec cette petite Marie de 18 ans. Eh, j’avais sûrement du sentiment pour elle, en tout cas un sentiment bien particulier...
Sa chemise était ouverte mais je ne la lui retirai pas, l’écartant doucement pour découvrir ses seins dans la pénombre. Il n’était pas question d’allumer la lampe, je ne me sentais pas d’organiser dans ces conditions un spectacle d’ombres chinoises ! Je retirai mon t-shirt et approchais ma peau de la sienne, quelle douceur que celle de ses petits seins ronds. Je pris Marie contre moi et l’amenai à s’allonger sur le dos, sur mon sac de couchage, la tête sur mon oreiller. Elle fermait toujours les yeux et sa respiration s’était accélérée. Ma bouche se posa sur son sein gauche que j’embrassais doucement, partout, puis je passai à son jumeau de droite, ma bouche s’arrêta sur le téton qui durcissait, l’aréole était large. J’entrepris de sucer ce sein tandis que je caressais l’autre pointe entre deux doigts. Elle commença à gémir, s’en rendit compte et mit la main devant sa bouche pour ne pas faire bruit. Elle ondulait tandis que je suçai alternativement ses pointes. Quel bonheur ! Cette jeune femme était délicieuse et j’en étais tout ému même si j’avais l’impression que ma queue allait exploser.
Ma bouche descendit d’entre ses seins à son ventre, lentement, patiemment. Arrivé au nombril, je le léchai en déboutonnant le jean de Marie. Je lui fis lever les fesses pour descendre son pantalon le long de ses jambes. Je découvris ses cuisses, douces et splendides, une petite culotte blanche de jeune fille pure, que je baissai doucement, découvrant le haut du pubis.Marie avait une magnifique toison toute blonde, dessinée d’un trait régulier, j’embrassai ses poils, les pris entre mes lèvres, léchant dans l’aine tout en descendant la culotte, dernier rempart de la chatte de la belle. Elle soupirait, une main toujours sur sa bouche, l’autre caressant mes cheveux. Je lui écartai doucement les cuisses et plongeai ma tête entre elles, passant les mains sous ses fesses rondes. Je passai la langue dans ses poils, ramenais une main pour découvrir les lèvres du con et chercher son petit clito que j’aspirai doucement avant de passer ma langue durcie de haut en bas. Marie avait mis ses deux mains devant sa bouche et se mordait, au comble de l’excitation. Elle tremblait. Je passai deux doigts dans sa chatte et en rentrai un légèrement. Je sentis que Marie était vierge et cela me fit un choc, même si je m’en étais douté, la petite chérie.
Je repris ma succion du clito en passant toujours ma langue entre les lèvres. Je n’avais pas de capote. Quelle situation. Je murmurai à Marie :
— Tu prends la pilule ?— Ben non, répondit-elle d’une voix de fillette.
Je remis ma bouche à l’ouvrage entre ses cuisses, lui dévorant la chatte, la couvrant de ma salive et de mes baisers. Marie trembla fortement en jouissant, se crispant, les doigts dans la bouche. Elle semblait pleurer. Je remontais embrasser sa bouche en la serrant, nue contre moi, avec juste sa chemisette. J’approchai la bouche de son oreille :
— Ça va Marie, tu as joui, ma chérie ?
Elle me serra très fort contre elle....à suivre ?
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