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Petite Ombeline et "L’autre"

Chapitre 2

"L’autre" est-elle réelle ?

Hétéro
Après presque trois mois d’enquête dans le collège où j’effectuais ma première mission d’infiltration, nous avions enfin découvert qui faisait quoi dans le trafic de drogue. Nous étions réunis pour la dernière soirée afin de préparer le coup de filet final. Dans le collège, quatre profs et deux agents d’entretien, ainsi qu’une dizaine d’élèves, dont la fameuse Olivia, la caïd du collège, étaient impliqués dans le trafic.
Il y avait aussi des personnes extérieures au collège qui étaient dans le coup, car le prof de physique chimie qui fabriquait les pilules en vendait aussi à des lycéens.Mais vous n’êtes pas là pour mes réussites professionnelles, vous êtes là pour les aventures de "L’autre". Je vais vous raconter ma dernière nuit avant le grand coup de filet et mon dernier jour en tant qu’élève dans ce collège.
Le briefing pour la journée du lendemain fini, nous allâmes tous nous coucher. L’autre était plusieurs fois venue hanter mes nuits, me frustrant chaque fois un peu plus. Et malgré tous les jouets que j’avais tenté d’utiliser, je n’arrivais pas à assouvir le manque que L’autre provoquait en moi.

Cette dernière nuit, quand L’autre prit les commandes, elle entrait dans la classe de Philippe. Elle était vêtue d’un kilt au tartan rouge et vert, sur des bas noirs, et d’un chemisier blanc légèrement transparent, sous lequel on pouvait voir sa poitrine dans son soutien-gorge orné de dentelles. Elle était chaussée d’escarpins à talons hauts. Le prof, en train de corriger les copies du contrôle de maths que nous avions eu la veille, leva la tête, surpris par cette irruption. La brune alla s’asseoir à la place que j’occupais dans cette salle. Il se leva, et s’approcha de sa nouvelle élève. À peine arrivé devant elle, il descendit son pantalon et en sortit son bâton à plaisir encore flasque. Elle ne put s’empêcher de regarder ce vit avec gourmandise et se lécha les lèvres. En bonne élève, L’autre attendit que son professeur veuille bien lui expliquer l’exercice qu’il allait lui demander de faire. Il prit sa queue d’une main et la plaça dans la main de la jeune femme, qu’il venait de prendre de l’autre main. Il lui montra comment imprimer un va-et-vient lent et délicat. L’autre, désireuse de le satisfaire s’appliqua à la tâche avec toute sa fausse ingénuité. Rapidement, de flasque qu’il était, le gourdin devint dur.
Gourmande et entreprenante, L’autre prit le bout en forme de champignon dans sa bouche, implorant du regard son guide de lui confirmer si elle faisait bien. Pour tout assentiment, celui-ci grogna de plaisir et lui posa la main sur la tête pour lui indiquer d’aller plus loin le long de ce membre turgescent. Sans se faire prier plus longtemps, elle entreprit une fellation avec gorge profonde, car elle en avait trop envie. Et puis jouer les ingénues, c’est amusant un moment, mais déguster une belle bite, c’est mieux.
L’autre pompa le prof pendant un moment avant de se relever et d’embrasser son bel amant noir. Elle prit ensuite place sur la table derrière elle et releva son kilt, révélant qu’elle ne portait rien dessous. Philippe passa ses doigts sur le sexe qui lui était offert et découvrit qu’il était déjà très humide. Il lécha ensuite ses doigts, et savoura le goût de celle avec qui il avait déjà baisé plusieurs fois depuis trois mois. Il l’embrassa passionnément avant de prendre possession de sa chatte avec son pieu d’ébène. La belle était tellement lubrifiée que ça coulissait tout seul. Le piston entrait et sortait avec une régularité de métronome. En amant attentionné, Philippe guettait le moment où sa fausse élève approchait de la jouissance.
Quand il vit les premiers signes annonciateurs de plaisir chez la belle qu’il besognait, il arrêta tout mouvement. Celle-ci, frustrée, l’embrassa et bougea son bassin pour l’encourager à reprendre son ouvrage. Mais Philippe ne voyait pas les choses comme ça. Il sortit son sexe bandé de la gaine lubrifiée, arrachant un grognement plaintif à son amante, et il la retourna, plaquée sur le bureau, face au tableau noir. Ainsi, il empala sa partenaire par-derrière. Dans cette position, il allait plus profondément dans le sexe de L’autre. De plus, ses couilles battaient en mesure sur le clitoris de la femelle en chaleur qu’il avait devant lui, accélérant la remontée de son plaisir. Il lui écrasa le torse sur la table et entreprit des mouvements amples. À chaque fois qu’il rentrait son sexe dans celui de L’autre, il faisait avancer un peu le bureau sur lequel ils copulaient. Tant et si bien que le bureau finit bloqué par l’estrade devant le tableau. C’est dans cette position que Philippe acheva sa partenaire d’une dernière estocade. Il vida ses couilles dans le sexe de la belle en train de jouir.
Comme à chaque fois, quand L’autre eût joui, mon rêve s’arrêta. Au réveil, j’étais doublement frustrée. Frustrée parce que je n’étais toujours pas comblée sexuellement, bien que mon corps avait encore joui dans la nuit, comme en témoignait l’état humide de mon lit... Mais aussi frustrée, parce que ce serait mon dernier jour dans ce collège, la dernière fois où je pourrais voir Philippe, mon beau prof de math ébène et amant de mes rêves.

Après ma douche, je m’habillai sans vraiment réfléchir que ma tenue ressemblait à celle que portait L’autre dans mon rêve de la nuit, à savoir, un kilt au tartan rouge et vert sur des collants noirs et un chemisier blanc, mais pas transparent le mien. De même qu’au pied, je n’avais pas d’escarpins à talons mais des Converses.J’allai au collège comme tous les matins de la semaine depuis trois mois. Je ne devais pas participer au coup de filet, histoire de ne pas griller ma couverture. Je devais jouer mon rôle d’élève normalement, mais aussi veiller discrètement à ce qu’aucun des impliqués identifiés n’échappe au piège.
En arrivant en classe, je commençais par les maths ce matin-là, je pris ma place habituelle. Philippe arriva peu après que je fus installée. Quand il entra dans la pièce, je crus qu’il allait faire un malaise en regardant dans ma direction. J’aurais juré qu’il pensait avoir vu L’autre à ma place. Il alla s’asseoir à son bureau et, chose étrange, il commença par nous donner une interro surprise. Ça n’était jamais arrivé avant ce jour, surtout que deux jours avant, nous avions déjà eu un contrôle. Durant toute l’interro, j’eus l’impression qu’il regardait dans ma direction, son regard était étrange, comme s’il n’arrivait pas à croire ce qu’il voyait. Il finit par se ressaisir, et poursuivit son cours pendant le restant des deux heures. Au moment de la récréation de dix heures, il me demanda de rester dans la classe, il voulait, soi-disant, me parler de mes notes. Le coup de filet étant prévu pour onze heures, tout allait bien.
Quand tout le monde fut sorti de la classe, Philippe ferma la porte et s’assit à son bureau. Moi je n’avais pas bougé du mien. Il me surprit alors en me demandant si je n’avais pas une grande sœur qui me ressemblerait beaucoup. Soudain, il parut se réveiller en sursaut et me dit que non, tout allait bien, que je pouvais rejoindre mes camarades dans la cour. Ce fut la dernière fois que je vis Philippe et que je rêvai de lui.
Le coup de filet fut une réussite, notre unité fut grandement félicitée pour cette première enquête rondement menée et le démantèlement du réseau qu’alimentaient les producteurs de drogue.

Encore une fois, aurais-je rêvé qu’il me demandait si j’avais une sœur me ressemblant ? Il semblait réellement avoir vu L’autre en rentrant dans la classe. Et qui sait, peut-être avait-il aussi partagé ses frasques dans ses rêves ?Quoi qu’il en soit, mes rêves m’avaient terriblement frustrée sexuellement.
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