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Petite pute pour daddies

Chapitre 3

Douloureuse perte de mon pucelage

Gay
Croyez-moi si vous voulez, dans ce jacuzzi, il ne s’est rien passé. Deux mecs à poil, avec de l’alcool, l’un contre l’autre... et pourtant... rien.
D’abord, je n’ai que très peu bu. Je n’ai pas l’habitude. Je me méfiais.
Et puis ensuite, j’attendais qu’il prenne l’initiative. J’étais convaincu qu’on en viendrait là. Quel sens cela avait-il autrement ? Toutes ces semaines d’intimité, d’ambigüité, de frôlements, de sous-entendus, tout cela pour arriver ici tous les deux, nus... Et pourtant, je ne voulais pas y croire et je n’osais rien faire.
Il ne tenait qu’à moi de faire un geste, de lui mettre la main sur la cuisse ou même d’aller plus loin... Il avait son bras gauche derrière ma nuque, nos cuisses se touchaient... mon cœur palpitait comme pour une première fois... car c’était ma première fois... J’avais eu des flirts, des branlettes, mais j’étais encore puceau. Mais si j’étais sûr à 99,99 % qu’il n’attendait que ça, je craignais de tout perdre pour m’être juste trompé.
On a parlé, surtout de notre relation, de notre complicité, de notre "amitié". J’aurais voulu lui crier que j’étais amoureux de lui, mais je n’ai pas pu... la différence d’âge peut-être.
Et puis, au bout d’un long moment, il s’est levé. La fraîcheur tombait sur nos épaules et il fallait nous plonger jusqu’au menton pour ne plus la sentir...
— Eh ! il est tard. J’irais bien me coucher. On se mate un film avant ?— Oui, d’accord.— On débarrasse ?
Il est sorti, s’est essuyé et m’a frotté le dos fermement, mais toujours sans bander. On a mis nos peignoirs et je l’ai aidé à ranger.
— Tu viens ?
La télé est dans sa chambre... enfin, le home cinéma. Et ce n’est pas une chambre. C’est beaucoup plus que cela. Un lit gigantesque, une cloison de verre brouillé qui sépare de la salle de bain avec douche italienne.
Sur l’écran, le film était en pause. Il l’avait préparé.
Il a ouvert les draps, a enlevé son peignoir et s’est couché. Je me suis assis au pied du lit.

— Viens avec moi. Tu seras plus confortable contre les oreillers.
Je l’ai fait. C’était une invitation. J’avais laissé passer ma chance dans le jacuzzi, il m’en offrait une autre, plus explicite. J’allais m’allonger à côté de lui, complètement nu. Il fallait que je saisisse cette opportunité sous peine de gâcher mes chances. J’ai enlevé mon peignoir, me suis allongé à côté de lui. J’avais un début d’érection... et quand il a ramené les draps sur nous, j’ai été soulagé. Il avait sûrement vu ma queue se tendre. Maintenant, c’était à lui de faire le premier pas.
Il a lancé le film. C’était un vieux truc américain des années 1980 ou 1990, en anglais. Une femme divorcée y présentait à son fils, son nouveau beau-père. Coïncidence ? Peut-être, dans le fond, n’était-ce que cela. Peut-être voulait-il simplement que je sois son gendre en créant avec moi une complicité absolue. Peut-être m’étais-je trompé... mais, nous étions quand même nus l’un contre l’autre...
Assez rapidement, le beau-père est allé à la douche. On ne cachait rien de sa nudité avec de gros plans sur son sexe énorme et velu. Putain, me suis-je dit, c’est un film de cul.
Le jeune entrait dans la chambre et matait discrètement son beau-père sous la douche. Son débardeur dévoilait une belle musculature et son jean était serré. Il y a porté la main en tirant ostensiblement sur sa bite.
Puis le garçon a pris le slip du beau-père et à commencé à le sniffer.
— Ça te rappelle quelque chose ?— Le... le film ?— T’es coriace toi... tiens !
Et il m’a tendu son tanga.
— Je le porte depuis trois jours... vas-y ! C’est bien ce que tu as fait avec le mien non ?
Sur l’écran, le gars aspirait le machin maculé de taches blanches comme un rail de coke et plongeait la main dans son pantalon.
— Vas-y... c’est ça que tu veux, non ?
Alors j’ai pris le calbut et je l’ai porté à mes narines... et j’ai respiré de toutes mes forces en fermant les yeux et me mordant la lèvre inférieure.
— Pourquoi m’as-tu dit que tu n’étais pas gay ?— J’sais pas... j’ai jamais eu de relations sérieuses avec un homme...— T’es puceau ?— Oui... ai-je répondu timidement avant de reprendre une grande goulée d’air masculin.
Dans le film, le mec avait sorti sa bite et se branlait en bouffant le slip. Sous la douche, le daddy se savonnait la queue qui formait un angle de 90 ° avec son pubis mousseux.
— Fais comme lui ! m’a ordonné Juan en tirant les draps.
J’avais une gaule d’enfer. J’ai pris ma trique de la main droite en serrant toujours le slip de la main gauche.
— Eh, eh ! Belle tige ! On dirait pas quand elle est au repos. 17 centimètres ?— A peu près...— 5 de diamètre ?— J’sais pas.— J’aime bien ton gland... pourtant, en règle générale, je préfère les bites avec prépuce... Il est vachement bien dessiné, c’est rare quand on a le gland moins large que le haut de la hampe... belle queue en forme d’obus.
Alors il l’a prise dans sa main et m’a branlé un peu, sa bouche presque contre ma joue en soufflant :
— Tu aimes ?— Oh ouiiii... ai-je dit en me détendant.
Puis, tout en la tenant fermement, il s’en est rapproché et l’a mise dans sa bouche et s’est mis à l’agiter dans tous les sens. J’ai écarté les jambes, laissé tomber mes bras et j’ai gémi.
Quand il a arrêté, il s’est remis à côté de moi.
— Tu te rends compte du temps que tu nous as fait perdre ! J’ai failli te croire quand tu me disais que tu n’étais pas gay.— Pardon... ai-je balbutié.
Et pour me faire pardonner, je me suis penché vers son braquemart, tendu comme un arc.
Au moment où j’allais y poser mes lèvres, il m’a violemment tiré par les cheveux.
— Eh... tu fais quoi là ?— Ben...
Je ne comprenais plus rien.
— Tu la veux ma queue ?— Oui. Oui, bien sûr...— Tu la veux vraiment ?— Oui...— D’accord, mais il faut que tu acceptes mes règles.— D’accord, ai-je répondu sans réfléchir. On y était. Je n’allais pas tout rater en jouant les timides.— Tu les accepteras toutes ?
J’avais trop envie. J’ai tout promis.
— Moi, ce que je veux, c’est d’abord quelqu’un de discret. Tout cela restera entre nous.— Oui.— Maman n’en saura rien...— Non.— Ni personne...— Promis.
Il a relâché la pression et je me suis rapproché du nœud qui agissait sur moi comme un aimant. Il m’a de nouveau arrêté.
— Tu vas être ma petite chose.— Quoi ?— Ma petite lope. Ce que je veux, c’est une bonne petite pute qui fasse tous mes désirs.— Oui...— Tu vas être mon vide-couilles, ma chienne, tu feras tout ce que je voudrais.— Oui...— Tu le jures ?— Je te le promets Juan... j’veux être à toi, mon amour, fais de moi ce que tu veux...— Alors vas-y, astique bien ma queue... tout à l’heure, j’vais te dépuceler salope et tu vas te pâmer ma belle.
Et je me suis mis à le sucer avec gourmandise.
— T’es pas puceau de la bouche... C’est pas la première fois que tu manges de la bite !— Non, ça m’est déjà arrivé...— T’as du potentiel... T’arrêtes pas. Lèche mes couilles aussi.— J’préfère les couilles lisses.
Je reçus une petite claque.
— T’as rien à préférer pour le moment. Tu boufferas toujours du poil avec moi. La pine, les roustons, le cul, les dessous-de-bras... tout. Tu fais ce qu’on te dit... C’est clair ?— Oui, répondis-je tout bas, un peu surpris par la tournure que prenaient les évènements.— Oui comment ?— Oui Juan !— Oui, master Juan !— Oui, master Juan.
Allons, je vois que tu es un bon petit. Viens là faire un bisou.
Et il m’embrassa violemment, enfonçant sa langue jusqu’à ma luette, puis m’embrassant dans le cou puis à nouveau sur la bouche. J’essayai de lui rendre ses baisers avec la même fougue. La salive dégoulinait.
Il m’allongea sur lui et, pendant que je continuais à rechercher sa langue avec la mienne, il m’écarta les fesses avec ses mains puissantes, cherchant ma rondelle, relâchant, me claquant le cul, écrasant les globes. Puis il me bascula sur sa gauche, s’assit au bord du lit, ouvrit la table de chevet et en sortit un objet.
— Tu sais te servir de ça ?— Jamais fait.— Viens. Je vais te montrer. Ce serait con que t’aies "tes règles"...
Et il me tendit la pomme à douche en forme de pénis et il m’attira vers la salle de bain.
Cette première toilette intime fut longue et, pour tout vous avouer, un peu gênante au début. Mais pendant toute sa préparation, Juan insista sur le plaisir qui allait en découler. Et il donna lui-même de sa personne pour bien m’enseigner l’art de l’hygiène intime.
Quand il estima que j’étais bien préparé, il me prit dans ses bras, me souleva et me transporta vers le lit.
— Et maintenant, notre jeune marié va perdre son pucelage. Tu vas être mon petit mari, ma petite pute.— Oh oui, Juan, oui...— Graisse-moi la queue ! dit-il en me tendant un tube de gel.
Je recouvris l’immense verge de lubrifiant. J’attendais avec un mélange d’impatience et de crainte. J’allais me faire prendre pour la première fois, et par l’homme que j’aimais ! Mais son engin était tellement gros !
— Mets-toi à quatre pattes.
Et il commença à m’introduire un doigt, puis deux. Il les roula de tous les côtés, remit du gel et essaya trois doigts, mais cela résistait. Ce n’était pas très agréable.
— Vraiment pucelle... hmmmm, j’vais te déchirer.
Puis il se colla contre moi, sa queue dans ma raie... Il s’appuya un long moment puis se recula et guida le gland dur vers mon trou. Je sentis la forte pression sur ma rondelle.
— J’vais te déflorer comme un gentleman, lentement pour pas traumatiser ta nuit de noces... mais après...
Mais bien qu’il y allât précautionneusement, au moins au début, la taille de la bite était telle que mes mains se crispèrent sur les draps.
— Doucement Juan, doucement. Ça fait mal.— On dit, Pitié master !— Pitié master.
Il s’y reprit à de multiples fois, relâchant la pression, renfonçant l’engin... mais chaque fois plus fort... C’était encore plus douloureux que ce que je redoutais... et je me demandais comment des mecs pouvaient prendre leur pied comme ça.
— Ça y est mon chéri, j’y suis, tu sens le gland ? Il est rentré. Maintenant ça va aller.— Ouf ! Elle est grosse ta bite... ça fait mal... master...— C’est autre chose qu’un embout de douche en plastique, hein ! Aller plus à fond.— Aaaaah !— Crie salope, crie... personne va t’entendre.— Aaaaaah...... Aaaaaaaaah..... AAAAAAAAAAAh... Je hurlai quand il enfonça d’un coup toute la queue jusqu’aux couilles.— Putain ! Elle est bonne ta petite chatte !
Mais j’avais mal, très mal. C’était même insupportable. Je le suppliai d’arrêter, mais plus je suppliais, plus il se déchaînait, me donnant de grandes claques sur le cul.
— Ta gueule. T’arrêtes de gémir ! J’veux d’entendre couiner de plaisir, pas pigner.
Mais moi je n’en pouvais plus. Sa queue allait au fond, je sentais ses couilles sur mes fesses et le plaisir ne venait toujours pas, au contraire. Plus j’avais mal, plus je me crispais. Les insultes pleuvaient.
— J’savais qu’t’aimais ça, petite pute. Dès que je t’ai vu, j’ai compris que tu ne serais qu’une paillasse à foutre... j’ai tout de suite eu envie d’t’éclater le cul... quel pied... J’savais pas que t’étais puceau... bien étroite... tu vas payer de m’avoir fait attendre salope.
C’était trop ! La douleur et la déception me firent venir les larmes aux yeux. Je m’étais imaginé quelque chose de totalement différent, de plus romantique. Mais j’avais peur de le dire de crainte de passer pour une midinette.
Cependant, après avoir demandé grâce une dernière fois et reçu pour toute réponse un très violent coup de queue, Juan me serra la mâchoire dans sa main droite, à me la briser, son visage contre le mien en me couvrant d’ordures et m’intimant l’ordre de ne reparler que pour vanter les mérites de son sexe ravageur qui était censé me donner tout le plaisir du monde.
Cette fois, j’éclatais en sanglots et pleurai abondamment.
Juan sentit mes larmes sur ses doigts et s’arrêta aussi sec. Il se retira et me retourna. Je cachais mon visage, mort de honte.
Il s’allongea à côté de moi et me prit par l’épaule avec une tendresse qui tranchait brutalement avec les assauts des secondes précédentes.
— Eh ? Mon bébé, qu’est-ce qui se passe ?— Rien, rien...— Je t’ai fait mal ? Vraiment ?— Oui... très... et puis... je m’attendais pas à ça.— Mais... t’as dit que t’acceptais tout...— Oui... mais... c’est trop, trop brutal... J’avais en fait espéré autre chose... et je voulais pas te refuser.— Mais tu déconnes ou quoi ? Fallait me le dire avant... J’ai cru que tu jouais moi... J’suis désolé mon petit homme... J’voulais pas te faire de mal... au contraire...— Tu m’en veux pas ?— Non... viens là ! On va y aller progressivement. On ne devient pas une bête de sexe du jour au lendemain. J’ai eu tort d’aller trop vite. Allez, viens mon trésor... Viens faire un gros bisou à ton daddy.
Je m’approchai de lui et posai mes lèvres sur les siennes. Nous nous embrassâmes en nous effleurant à peine d’abord, puis plus langoureusement... Au fur et à mesure, il s’allongea complètement et je me retrouvai sur lui.
Il me caressa lentement, pendant que moi, je le couvrais de bisous, sur la bouche, le nez, les yeux, dans le cou, sur la poitrine. Il riait quand je lui disais que je l’aimais. Cela se déroulait enfin comme j’en avais tant de fois rêvé.
— Moi aussi mon petit poulain, je t’aime.
J’étais consolé. Il était toute tendresse maintenant. Il caressait mes cheveux et mon corps. Et je descendis, embrassant ses tétons, puis son nombril et enfin sa verge, que je me mis à sucer.
C’était hyper-bon. Autant elle m’avait déplu dans le cul, autant elle ravissait ma bouche qui ne parvenait pas à l’avaler entière. Je mis un moment avant de réaliser qu’elle sortait de ma chatte.
— Faut vraiment que je t’initie à la gorge profonde boy... mais il y a plus urgent.
Et il ramena ses jambes vers lui, me présentant ainsi son fessier. Le message était clair. Je posai ma bouche sur sa rondelle.
Je trouvai cela délicieux même si les poils, comme sur les couilles d’ailleurs, me gênaient un peu. Il faudrait m’y faire. C’était curieux quand même, car sur le torse et le pubis, j’aimais bien cette abondante toison.
— Encule-moi !— J’ai jamais fait.— Y a un début à tout. Tu vas voir, c’est pas bien compliqué...
Je cherchai le tube de gel.
— Ma chatte est suffisamment lubrifiée... Pénètre-moi à sec !
Je fis donc entrer mon pénis et réussis à arracher un cri à mon amant.
— Ouais... bon calibre... Tu sens comme je suis lubrifié ?— Comment t’as fait ?— C’est naturel garçon. Question d’habitude. On mouille du cul... quand on a la chatte accueillante.
C’était extraordinaire.
— C’est bon... c’est bon...— Tu comprends moi, tout à l’heure dans le tien... serré à mort... Le mien là, il est large.— Ah bon ? Pourtant... c’est...— Allez, vas-y, accélère... mets-moi ce que je t’ai mis tout à l’heure.
Alors, j’essayai de faire comme il avait fait, mais, d’une part, je n’avais pas l’air de le secouer beaucoup, même s’il émettait quelques râles et, d’autre part, je fatiguai vite sans arriver à maintenir le rythme. Je capitulai rapidement et revins m’allonger sur lui.
Il fit avec ses bras ce qu’il avait fait avec ses jambes et je compris qu’il fallait lui bouffer les aisselles ; je m’acquittai plutôt bien de cette tâche.

J’aimais ça.
J’étais suffisamment excité maintenant pour prendre des initiatives et, malgré la crainte qu’elle m’inspirait, je revins vers sa queue.
Elle gisait, dure, tendue, contre son ventre et je m’assis dessus. Puis je me soulevai, la saisis et la guidai de façon à m’y empaler. Mon homme souriait. Il me tendit le gel et, pendant que je me graissai le fion, il s’astiqua la bite.
Curieusement, je glissai sur elle plus facilement que je ne l’aurais cru, mais lentement quand même. Quand cela me faisait souffrir, la rondelle était encore sensible... j’arrêtai, puis recommençai, résolu à y arriver coûte que coûte pour lui.
Juan commença à me pincer les tétons, mais très doucement. Toujours à cheval sur lui, à genoux, je m’habituai peu à peu et son vit coulissant à chaque fois plus facilement et plus profondément en moi.
— Pince-moi les tétons aussi.
Je le fis.
— Plus fort... encore... Ouais... comme ça... c’est bon.
J’avais du mal à me concentrer. Je contrôlai de plus en plus la douleur, me branlai en même temps et cherchai les tétons de Juan. Je n’avais pas assez de deux mains pour aller de ma queue à celle qui disparaissait de plus en plus en moi, ou pour triturer la poitrine de mon amant, avant même de commencer à me tirer sur mes propres tétons quand Juan les laissait pour caresser mes hanches, mes fesses ou ma bite.
Il y eut un moment enfin où le plaisir submergea la douleur et je me mis à danser sur la queue.
— Tu y es... ça y est mon trésor... Tu n’as plus mal ?— Si... si... elle me déchire encore ta grosse queue, mais maintenant, ça me fait du bien en même temps... c’est bizarre... C’est bon... bon...— Vas-y... encore, descends jusqu’aux couilles...— Aaaaah, ouiiii, c’est bon...
Juan se mit alors à donner des coups de bite en jouant des reins. Ce fut un rodéo où sa queue tapait dans le fond à chaque fois qu’il se contractait. J’étais sur une bite éjectable et j’eus du mal à me maintenir sur l’homme. Je me cramponnai à ses épaules et finis par m’allonger sur lui. Il me pilonna de plus en plus fort, reprenant parfois son souffle pendant quelques secondes. Pour l’aider, je me mis pieds sur le matelas jambes pliées, accroupi sur sa tige, tendant les bras vers l’arrière pour trouver l’équilibre. Ainsi je pesai moins sur lui. Nos mouvements conjugués achevèrent de m’emmener au septième ciel, d’autant qu’il me masturbait pendant ce temps. La tête en arrière, bougeant mon petit cul frénétiquement, autant que mes jambes me le permettaient, pour faire glisser le gros pieu en moi, je finis par lui dire ce qu’il avait attendu.
— Oui Juan... c’est bon... j’y suis... encule-moi mon amour, pète-moi mon petit cul de salope... j’suis ta petite pute, détruis-moi...— Amen ! répondit-il en serrant davantage ma verge et en accélérant le mouvement.
Je ne m’appartenais plus et c’est dans ce délire de paroles que j’éjaculai sous l’étau puissant des doigts de Juan en criant de bonheur.
A suivre
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