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Petite pute pour daddies

Chapitre 4

Nuit torride.

Gay
Aussitôt après l’éjaculation, je me relâchai. Il mit ses doigts dans mon sperme et me les tendit.
— Bouffe !
Je fis mieux que cela. Je me dégageai et vins lécher son torse recouvert de foutre. Puis je le regardai droit dans les yeux, fier de moi, souriant avec un filet de bave et de jute s’échappant de ma bouche.
Il m’attira à lui et m’embrassa avec fougue.
Puis il me bascula sur le côté. Je sus ce qu’il désirait et j’ouvris les cuisses.
Il s’allongea sur moi, guida sa bite et m’enfila. C’était extraordinaire. Je le serrais contre moi. J’avais son corps pour moi seul et ses coups de queue, quoique violents encore et parfois douloureux, me ravissaient.
J’étais abandonné à son désir, à son plaisir, à son ardeur.
Il y mettait toute sa force, et il reprenait ce qu’il avait commencé dès le début, c’est-à-dire sa posture de maître. Les insultes repleuvaient, mais il savait alterner avec des moments plus tendres. J’étais souvent, et de plus en plus fréquemment, sa petite pute, sa lope, son garage à bites, mais aussi quelquefois sa petite chatte, son bébé en sucre, ou autres conneries du genre. Je dois reconnaître que tout m’allait. Il était en moi, sur moi et à moi, et je m’abandonnais à sa violence comme à sa délicatesse.
Enfin, il éjacula en se propulsant à fond comme s’il pouvait s’enfoncer encore plus en moi. Je sentis sa bite pulser et le liquide se répandre en moi.Puis, il se retira et m’amena sa verge à sucer. Elle sortait de mon cul, mais je la pris sans hésiter et la tétai longuement pendant qu’il se pinçait les tétons.
Puis il vint s’étendre à côté de moi et nous restâmes ainsi un très long moment, l’un à côté de l’autre, à nous dire mille choses ; je lui avouai ma passion pour lui, mon amour. Il en riait, se plaisait à dire que je lui avais tapé dans l’œil tout de suite, qu’il aimait mon corps juvénile, la douceur de ma peau, la souplesse de mes poils, mon regard de biche, surtout derrière mes petites lunettes rondes, l’homme viril en devenir qu’il se proposait de transformer par des séances de muscu et un apprentissage sexuel ad hoc, apprentissage qui venait de débuter et qui allait se poursuivre.
Je lui dis que j’étais prêt à tout accepter de lui, pourvu qu’il y allât progressivement. Il le promit pour autant que la brièveté de notre séjour le permettait... et comme il n’y avait pas de temps à perdre et qu’il bandait de nouveau, je dus le resucer avant de me mettre à quatre pattes. D’un tiroir, il sortit une paire de pinces à tétons. Elles étaient pour moi. Elles me firent peur, mais, dès que je les portai, elles m’excitèrent au plus haut point.
Dans les différentes positions dont il usa pour me baiser, il s’en servit plus ou moins. Elles me firent mal au bout d’un moment et, me prenant au jeu, je lui demandai servilement si je pouvais les abandonner. Il répondit affirmativement, mais ce fut pour sortir un gode en plastique à la place, un énorme truc, gros comme sa bite. Il le posa à terre, dans la salle de bain. La ventouse le solidarisa avec le carrelage et je dus m’empaler dessus, les pieds à plat en appui sur le sol et mes bras tendus en arrière. Il m’ordonna de danser sur le sexe en caoutchouc et me branla furieusement pendant ce temps-là.
Bine que je fatiguasse vite, il me maintint ainsi le temps que je lui lèche la rondelle et le boules. Enfin, comme vraiment je n’en pouvais plus, il se retourna, me fit mettre à genoux et, la queue toujours tendue, il me pissa dessus.
C’était inattendu, mais je laissai passer l’averse en fermant les yeux, mais en ouvrant la bouche comme il l’exigeait.
Alors je pus me relever et me retrouver contre lui. Il m’embrassa fougueusement, lécha mon torse couvert d’urine et mon pubis mouillé comme une éponge. Il me suça puis me retourna. Je me penchai vers le lavabo, y posai mes mains et il m’enfila d’un coup par derrière en me faisant crier, ce qui ralentit un peu ses ardeurs, au moins pour un moment, car, très vite, les insultes redoublèrent comme les claques sur le cul. J’étais totalement soumis et je jouis en éclaboussant le meuble du lavabo.
Mon sperme dégoulina rapidement sur la laque des portes, mais pas assez vite pour que je n’aie le temps de le recueillir dans mes mains et de l’avaler ensuite comme j’en fus prié.
Puis je me remis en position d’accueil et il me pilonna à fond. Ma queue, désormais molle, et mes boules ballottaient au rythme de ses coups de queue, bien profonds et rapides.
Puis il m’emmena sous et douche et, pour finir, il me présenta son zob à sucer pour éjaculer dans ma bouche.
Comme il n’en était pas à sa première fois, il y en eut peu et je pus tout avaler.
Nous nous douchâmes et regagnâmes le lit.
Et nous reprîmes nos babillages, tout en nous bisouillant, nous tripotant les burnes et la tige, nous doigtant un peu.
Il était tard et je commençai à sentir une douce torpeur m’envahir, au chaud, dans ses bras. Et puis il banda à nouveau, me fit rabattre mes jambes vers moi pour lui offrir à nouveau mon petit trou et il me laboura à nouveau. Il était insatiable. Je n’avais plus d’énergie et je ne pus que subir ses assauts aussi vigoureux que s’il me prenait pour la première fois. Il ne changea pas de position, se contentant de me faire couiner comme ça jusqu’à son orgasme dans ma chatte douloureuse d’avoir tant été limée pour son dépucelage.
Je m’endormis alors qu’il était encore sur moi.
Il était 14 h 00 quand je me réveillai, alerté par un bruit de chaînes et de gémissements très appuyés.
J’avais faim. Je sortis dans la salle à manger. Elle était vide, mais il y avait des churros sur la table. J’en grignotais trois ou quatre avant de me diriger vers le couloir d’où venaient les bruits. Il y avait trois portes.
J’ouvris celle qui cachait la scène de sexe dont le son non équivoque m’avait tiré du sommeil.
A suivre
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