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Petite pute pour daddies

Chapitre 6

Gay
Avec les deux nouveaux venus autour de moi qui demandaient à ce que je m’occupasse de leur tringle à rideaux pendant que leurs mains s’immisçaient partout où c’était possible sur mon corps tout en pelotant à l’occasion le gros queutard qui s’agitait dans mon trou, l’ambiance monta d’un cran.
–              Tu te pousses Dav’ que je m’insère.–              Va te faire enculer Léonard ! J’suis presque au jus. J’me vide les burnes dans sa chatte et je vous le laisse.
La bite a un langage universel. Même prononcé dans une langue étrangère, le vocabulaire du cul prend très vite un sens et s’assimile rapidement. Du reste s’il advenait que je ne comprisse pas, je demandais une traduction, qui me valait souvent un surcroît d’explications à grand renfort de coups de reins.
–              Comment ça t’as pas compris que j’allais te bourriner comme une petite pute ?
Les trois observateurs firent alors cercle autour de nous, les deux derniers arrivés se masturbant lentement au-dessus de moi pendant que Juan se caressait les balloches toujours pendantes.
David, se crispa enfin et éjacula en jurant tout en poussant violemment sa bite tout au fond. Il resta quelques instants à reprendre son souffle, puis se retira, non sans omettre de venir me faire rincer son nœud.
–              Allez deux zobs en même temps maintenant.
Je crus utile de préciser que ce serait ma première double et que j’avais besoin d’un peu de repos après avoir été secoué comme je venais de l’être.Pour toute réponse, Tom me plongea sa queue dans la bouche tandis que Léonard, qui semblait être le plus vicieux des deux, me dévorait l’anus en enfonçant sa langue le plus loin possible pour récupérer un max de jus.
Pas satisfait sans doute, il plongea sa bite dans mon trou, d’un coup, sans prévenir, me fit mal, la retira, la regarda, la replongea avec un peu plus de délicatesse et la fit aller et venir à toute vitesse pendant une à deux minutes. On entendait claquer mes fesses et le bruit couvrait celui des baisers qui s’échangeaient autour de moi.
–              Ouais, c’est de la bonne petite chatte de PD ! Commenta-t-il en se retirant pour laisser sa place à l’autre qui me sonda bien profondément pendant quelques minutes.
Puis ils alternèrent ainsi, me prenant le cul l’un après l’autre en me mettant finalement en levrette.
Je pus ainsi voir David et Juan qui jouaient pépère sous la douche avec leur urine. Puis David s’éclipsa.
Juan se rapprocha. Son pubis dégoulinait de pisse. Il me fit sucer sa queue.
Tom quitta ma chatte et s’allongea sur le dos.
–              Allez enfourche-le ! Dit Juan qui bandait à nouveau.
Alors je me mis à califourchon sur le gars, j’attrapai sa queue et je la guidai entre mes fesses, j’ ajustai ma position puis je m’ empalai dessus.C’était de la super bonne queue. Je me suis mis à danser dessus tout en appuyant fortement mes mains sur le torse puissant de l’actif.
Juan, vint par derrière et appuya sur mes épaules pour que je me couche complétement sur Tom. Il s’installa, je sentis son gland dur entre mes globes fessiers déjà bien écartés ; la pression devint de plus en plus forte, puis il inséra sa pine.
C’était ma première double péné mais les chairs s’écartèrent plus facilement que ce que j’appréhendais mais avec douleur quand même. Cependant comme j’avais le cul hyper bien lubrifié, une fois le diamètre bien alésé, mon amant put glisser comme un patineur sur de la glace pendant que Tom restait quasiment immobile pour empêcher sa queue de s’en aller.
M’ayant ainsi bien évasé et entraîné, Juan laissa la place à Léonard et les trois gars tournèrent à tour de rôle, en changeant sans cesse de place, de façon à ce qu’ils fussent à tour de rôle dessus ou dessous.
Puis finalement il n’en resta que deux après l’éjaculation de Léonard dans mon cul.
Ils maintinrent la position ainsi jusqu’à ce qu’ils jouissent l’un contre l’autre presque simultanément.
Quand ils se retirèrent de mon cul, ils m’obligèrent à nettoyer leurs bites bien sales. Elles étaient enduites de jus et de mouille. Elles avaient le goût de mon trou avec lequel il fallait que je me familiarise car cette pratique de l’hommage dû à de belles tiges qui m’ont fait l’honneur de me féconder s’avéra comme une obligation quasi institutionnelle pour mes fourreurs.
Pour le moment, je demandais grâce. J’étais claqué. Je fis une petite sieste, laissant à tous mes daddies le temps de planifier la suite des opérations, et je décidai d’aller faire un peu de tourisme dans les rues de la station balnéaire comme j’avais prévu et annoncé que je le ferais. Juan ne m’accompagna pas pour accueillir ses prochains hôtes prétexta-t-il. Les autres garçons avaient disparu. Léonard resta avec moi et proposa de m’accompagner dans les rues de la ville que l’obscurité gagnait déjà. Il la connaissait comme sa poche.
La douceur du temps maintenait de gens dehors, à la terrasse des cafés ou sur le pas des boutiques à fumer des cigarettes. Je suivais mon mentor en toute confiance.
Un groupe de mec riaient bruyamment sur le trottoir d’une petite ruelle par où nous sommes passés alors qu’elle représentait à l’évidence un détour. Ils étaient sur la terrasse d’un débit de boisson. Au rainbow flag qui flottait sur l’établissement, je compris vite où nous étions.
Les gars étaient plutôt âgés, mais il y avait quelques plus jeunes, bien trentenaires tout de même jeunes du genre hipster ou PD cuir.Quelques mecs ont appelé Léonard. Il les a rejoints, leur a claqué la bise. Les gars l’ont questionné tout en me dévisageant… ou m’envisageant peut-être. Je n’ai pas tout compris, mais j’ai retenu deux ou trois trucs.
-      Elle est avec toi ?-      Non avec Juan !-      Belle prise. Bonne chatte ?-      Au top !
Léonard est entré dans le bar, très sombre. Je l’ai suivi machinalement tout en regardant en arrière les mecs qui se passaient la langue sur les lèvres ou se touchaient le paquet avec ostentation en me matant. La musique électro était forte. Là encore il a claqué quelques bises.
L’un des barmen, le patron sûrement, lança un tonitruant bonjour à Léonard, en lui demandant, comme les autres si j’étais avec lui.-      Non, c’est Juan qui te l’envoie  !
Je n’étais pas sûr d’avoir bien compris.
Le type fit le tour de son comptoir en demandant à un autre d’y prendre sa place.
Il pouvait avoir soixante ans, était gros, portant une barbe courte et un boléro trop petit ouvert sur un ventre énorme et un poitrail gigantesque couvert de toison blanche. Il ruisselait de sueur.
Il avait un pantalon de cuir, ouvert des deux côtés sur un jockstrap qui moulait une bosse généreuse et laissait voir un cul bombé et poilu.Il nous emmena tous les trois vers une backroom.
-      Tu as de la chance me dit Léonard. Elle est fermée à cette heure-là. Il l’ouvre que pour toi.-      Non répond-il l’autre, en français parfait mais avec un fort accent espagnol… Ma femme y est avec de petites recrues. Elle les forme.-      Nous descendîmes quelques marches. Au bout du couloir, des cris et des bruits de chaînes montaient crescendo à mesure que nous avancions.-      Il se passe quoi ? demandai-je discrètement à Léonard.-      Un échange de bon procédé...tu vas voir.
La cave était une backroom plongée totalement dans l’obscurité mais il nous fut facile de nous guider vers un rayon de lumière qui filtrait au fond du corridor. D’ailleurs les gars connaissaient parfaitement l’endroit.
Une pièce faiblement éclairée contenait quatre mecs.
Un vieux bedonnant, complétement à poil, recouvert de poils plus gris que noir, fourrait violemment un jeune gars recroquevillé dans un sling.Deux autres mecs à peine plus âgés que moi regardaient sur le côté. Un brun frisé, assez maigre et grand, bandait comme un âne en regardant la scène. Sa queue était longue et fine.
L’autre plus petit et très mastoc était blond, presque roux, sa peau très blanche constellée de taches de rousseurs lui donnait un air juvénile que démentait un menton carré et un visage très anguleux. Sa verge était molle et luisante. Il la tripotait. Voulait-il la ranimer.
En nous voyant entrer, le gars qui enfilait le mec sur le sling s’interrompit. Il interrogea l’autre en catalan. Je n’y compris rien, sauf qu’il était question de Juan.
Le patron, Jorge, reprit partiellement en français.
-      Si c’est la nouvelle puta dé Juan.
Le brun frisé intervint.
-      Ah tu es le nouveau de Juan ?-      Comment ça le nouveau ?
Pendant ce temps-là, le gars qui baisait sur le sling avait dit à l’autre qui y était de se casser, ce qu’il fit apparemment soulagé à la façon qu’il eut de porter la main à son cul.
— Mets-toi là  ! me dit Jorge en me poussant littéralement vers le sling.— C’est quoi ce bordel demandai-je ? Il est au courant Juan ?— Oui, oui, pas de souci me dit Léonard. Il va même nous rejoindre tout à l’heure.
Je me laissais faire tout en posant d’autres questions. Qui étaient ces mecs, où nous étions etc…
Pendant ce temps, je m’étais retrouvé entièrement à poil et j’étais maintenant installé sur le sling.
Jorge, déjà, me lubrifiait la rondelle pendant que l’autre vieux, qui était son mari me présentait sa queue à sucer. Elle était courte, mais très épaisse et solide comme un roc. Elle sentait la mouille de cul.
En espagnol il me donna l’ordre de le pomper. Mes lèvres se refermèrent sur le dard gluant. A suivre
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