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Petite soumise

Chapitre unique

SM / Fétichisme
[Un homme m’a écrit cette histoire pour m’exciter, je vous en fais profiter :)]
On a prévu de se voir pour la première fois. Quand j’arrive chez toi, j’ouvre la porte et tu m’attends à genoux en sous-vêtements. Je ferme la porte puis j’enlève ma ceinture que je viens te passer au cou. J’avance en tirant sur la ceinture pour que tu me suives. Tu me suis à quatre pattes pour me montrer tes hanches et tes fesses en te cambrant. Je souris légèrement avant de les claquer. Ça te tire un petit gémissement de surprise avant que je ne retire sur la ceinture.
— Met-toi à genoux.
Une fois en position, je te regarde de haut en bas. Je passe une main sur ta joue avant de te gifler. Je laisse ma main contre ta joue et j’ouvre ta bouche en y mettant mon pouce, pendant que tu me regardes dans les yeux. Je m’accroupis à côté de toi et, en glissant ma main dans tes cheveux, je tire ta tête en arrière.
— Tu n’es pas trop mal. Tu vas peut-être pouvoir servir.
De mon autre main, je viens presser ta gorge puis la faire descendre jusqu’au-dessus de tes seins en laissant des marques de griffures. Je caresse légèrement la naissance de ta poitrine avant d’amener ma main dessus... Et de refermer rapidement mes doigts sur un de tes tétons pour l’écraser. Je me redresse alors, face à toi. Je reprends la ceinture et, en tirant dessus, je viens coller ta tête contre une de mes cuisses.
— Maintenant, sers-moi.
Tu commences à défaire mon jean de tes mains tremblantes. J’en profite pour te caresser la tête en passant ma main dans tes cheveux, et je viens aussi passer un de mes pieds entre tes jambes. Tu te débarrasses de mon jean et de mon caleçon. Je pose mon sexe en érection sur ton visage, recouvrant ta bouche entrouverte et un de tes yeux. Tu commences à la caresser, d’abord lentement, puis plus fort. Tu y rajoutes quelques coups de langue, tu prends lentement le gland en bouche en me regardant dans les yeux. De ma main libre, je te gifle à ce moment-là.
— Tu t’y prends mal. Retiens bien, sale chienne.
J’attrape tes cheveux d’une main et, lâchant la laisse, j’ouvre ta bouche en grand avec mon autre main. Je te regarde dans les yeux à mon tour, et j’enfonce mon sexe dans ta bouche, centimètre après centimètre, jusqu’à le loger dans ta gorge. Une fois en toi, je lâche ta mâchoire. Je fais bouger ma queue lentement, allant le plus loin possible à chaque fois pour t’étouffer. Te giflant à chaque fois que mon sexe te fait tousser. Avant que tu ne perdes conscience par manque d’air, je me retire de ta bouche.
Reprenant la ceinture, je tire dessus à t’en étrangler pour t’amener jusqu’au lit. Je me penche alors pour t’attraper et je te porte pour t’allonger sur le lit, la tête dans le vide. Je fais glisser une de mes mains sur ta joue en signe d’affection... Avant de venir poser mon gland contre tes lèvres et rentrer ma queue directement dans ta gorge d’un seul coup. La position étant plus pratique, je me mets à prendre ta bouche et ta gorge de plus en plus fort. Voyant mon sexe se déplacer au travers de ton cou, je viens y plaquer une main pour commencer à t’étrangler en même temps. Des larmes coulent de tes yeux et tu essaies de te débattre en gémissant.
— Débats-toi, petite chienne. Vas-y.
Je libère ta gorge de ma main avant de la faire glisser sous ta lingerie pour pincer un de tes tétons avec force. Te sentant en train de me griffer les jambes pour essayer de respirer avant de suffoquer, je retire mon sexe de tes lèvres et prend un peu de recul. Tu reprends ton souffle à grande peine, la voix rauque, tremblante, le visage en larmes.

— J’avais vu juste. Tu es un bon jouet.
Je monte à mon tour sur le lit et te ramène à moi en te tirant par les chevilles. Je me place entre tes jambes, au-dessus de toi. J’attrape tes poignets et je les bloque d’une main au-dessus de ta tête.
— A mon tour maintenant.
Je penche ma tête vers ton cou et viens d’abord embrasser la fine peau à la base de la nuque avant de la mordre. Je laisse mes lèvres et mes dents jouer sur ton cou au rythme de ta respiration et de tes petits cris, tandis que de ma main libre je viens griffer ton ventre. Te sentant tressaillir sous mes gestes, je fais courir les griffures jusque sur tes flancs, puis le long de tes cuisses, avant de revenir par l’intérieur de tes jambes. Tenant toujours tes mains bloquées, je fais descendre mes crocs jusque sur tes seins. Seins que je vais lentement lécher, embrasser tendrement, avant de venir me poser sur un de tes tétons pour l’humidifier de ma langue. Pendant que je ferai mon œuvre sur ta poitrine, mes doigts entre tes jambes viennent glisser le long de tes lèvres, prenant garde à ne pas toucher ton clito. Pour m’aider dans ton plaisir, je relâche tes mains pour venir glisser la mienne sur ta joue avant de la claquer et de venir se placer sur ta gorge.
D’un seul et même geste, je resserre mes deux mains et mes dents sur toi. La main sur ta gorge augmente la pression sur ton cou, t’empêchant presque de respirer. Mes crocs se referment sur un de tes seins pour le mordre violemment. Et ma seconde main fait glisser d’un coup deux doigts entiers en toi en venant plaquer son pouce sur ton clito. Refermant ma prise sur ton corps, ma langue se met à jouer avec le téton sensible et pointant entre mes dents. Mes mouvements et la force de ma morsure jouent avec tes gémissements et tes cris de surprise. A chacune des réactions de ton corps, les deux doigts en toi viennent appuyer légèrement vers l’avant de ton vagin pour appuyer sur ton clito depuis l’intérieur, tandis que le pouce au-dehors vient le presser en rythme. Tes gémissements et ta respiration m’excitant, j’accélère petit à petit la vitesse de mes doigts en toi, jouant sur la pression et la profondeur en plus du geste. Te sentant te tendre de plus en plus, je viens présenter un troisième doigt à ton entrée. Et, en t’étranglant un peu plus fort pour forcer un mouvement de ton bassin, je fais pénétrer ce nouveau doigt avec les autres. Je joue avec ton plaisir. Variant la vitesse et la forme des gestes de mes doigts en toi. Attaquant tour à tour tes seins de mes dents. Je continue de faire monter la pression. Profitant alors de ton état second, je me redresse au-dessus de toi et je te gifle sans prévenir.
— Assez joué, reprend ton rôle de soumise.
Je ressers ma prise sur ta gorge. J’accélère une dernière fois mes doigts en toi avant de les sortir d’un coup sec. Je te replace de force en tirant sur la laisse et je viens me mettre entre tes jambes, au-dessus de toi. Je te gifle à nouveau et attrape ta gorge à deux mains pour te regarder droit dans les yeux. Un sourire sournois apparaît sur mon visage quand je viens poser mon gland contre l’entrée de ton sexe. Je m’amuse à te frustrer en rentrant juste le bout de mon sexe et en le retirant aussitôt. Je joue comme ça avec toi, te laissant te tordre sous mon corps pour essayer de prendre quelques centimètres de plus. Malgré la pression de mes mains sur ton cou, tu me supplies.
— Prends-moi !
Je te mets une nouvelle gifle avant de me pencher et de te murmurer à l’oreille.
— Tu la veux ?
Je continue de jouer avec toi, attendant ta réponse. Faisant monter la frustration en toi.
— Si tu la veux, demande-le correctement, petite salope.
Tu commences à ouvrir tes lèvres pour formuler ton souhait. Les premiers sons commencent tout juste à sortir, que je te coupe la parole en te mordant le cou et en insérant d’un seul mouvement la totalité de mon sexe en toi. Tes yeux s’ouvrent en grand, sous la surprise et la sensation. Tu laisses échapper un gémissement de plaisir et ton corps se tend sous la pénétration. J’attends quelques secondes, que tu profites de la sensation, avant de presque ressortir mon sexe du tien et l’y replonger d’un mouvement similaire. Je répète ces gestes quelques fois, te prenant de plus en plus fort sans accélérer. Chacun de tes gémissements m’excitant encore plus.
Je descends alors une de mes mains de ton cou à tes seins pour venir en attraper un à pleine main au rythme de mes coups de hanches. Sentant le plaisir monter en moi à chaque coup de reins, j’accélère les mouvements en relâchant un peu ton cou pour que tu respires plus librement. La main sur tes seins descend alors jusque sur ton clito pendant que je continue de te prendre de plus en plus vite et fort. Mes doigts se mettent à jouer sur leur nouveau jouet. Je presse ton clito, je le caresse, je le pince. A force de jouer sur toi et en toi, on finit par avoir envie de jouir. Je te sens commencer à trembler sous mon poids tandis que ma queue palpite en toi. A ce moment précis, je me retire totalement de toi pour te frustrer.
Je remonte le long de ton corps et viens me placer au-dessus de ton visage. Je te gifle avant de t’ouvrir la bouche de force et d’y rentrer mon sexe. Je l’enfonce le plus loin possible avant de jouir directement dans ta gorge et de la ressortir. Je pose ma queue sur ton visage pour que tu la lèches avant de me redresser à nouveau. Je t’attrape alors par les hanches et te retourne. Je relève tes fesses et leur assène une énorme fessée. Profitant de ne pas être encore redescendu, je me place derrière toi et te force à te mettre à quatre pattes, la tête dans les draps, avant rentrer à nouveau mon sexe en toi.
— Cette fois-ci, pas de retenue.
Je prends tes hanches à pleines mains et je me mets à te prendre violemment pour t’entendre crier dans les draps. Chacun de mes mouvements enfonce sauvagement mon sexe au fond de toi. Je profite de ces va-et-vient pour t’attraper par les cheveux et te tirer la tête en arrière. Tes cris de plaisir résonnent dans toute la pièce et tu me supplies de te faire jouir. La main te tenant par les cheveux vient alors se placer sur ta gorge pour te retenir tandis que l’autre revient jouer sur ton clito. Mes coups de hanches se font de plus en plus intenses. Ta respiration s’emballe et tes fesses rougissent de mes coups de reins. Et dans un ultime pincement de ton clito, dans un ultime coup de reins, dans une ultime pénétration de mon sexe en toi, dans un ultime cri de plaisir, tu te laisses aller. Tu es prise de tremblements tellement l’orgasme est violent et tu t’écroules sur le lit.
— Tu m’as bien servi. Peut-être que je t’utiliserai encore une fois ou deux à l’avenir.
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