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Ma petite stagiaire

Chapitre 1

Hétéro
Je travaille dans une petite entreprise et nous accueillons souvent des stagiaires, trés souvent ce sont des filles qui sont en ecole de commerce, âgées entre 18 et 22 ans pour la plupart.J’ai bientôt 40 ans et je m’interdis toute relation "extra professionnelle" avec les personnes dans l’entreprise. Malgré tout ça ne m’empêche pas de mater ces jeunes filles surtout quand elles sont mignonnes. Un jour, arriva en stage l’une d’elle qui s’appelait Anaïs. Elle était magnifique, pas très grande, un cul à faire bander un mort et un visage d’ange avec des yeux bleus que la garce savait parfaitement mettre en valeur par un maquillage adequat.
Au départ, mon attitude resta pro mais Anaïs ne cessait d’accrocher mon regard et ne baissait jamais les yeux. Au départ, je ne soutenais pas son regard mais petit à petit ça devenait un jeu et je finis par ne plus baisser les yeux. C’était à qui les baisserait en premier.
Anaïs me faisait un effet terrible. Je ne cessait de mater ses fesses à la moindre occasion. Elle finit par s’en rendre compte et au lieu de faire en sorte que je ne puisse plus la mater elle faisait tout pour me provoquer.
C’était l’été et un jour elle arriva dans une robe qui mettait ses formes en avant. Je fantasmais grave mais je ne savais plus s’il fallait que je stoppe net tout ça, s’il fallait que ça reste un petit jeu entre nous ou s’il fallait que je tente d’aller plus loin avec elle rompant ainsi le devoir de déontologie que je m’étais imposé. J’avais du mal à me concentrer sur mon boulot elle m’excitait et je ne rêvais que d’une chose: me la faire !
Elle m’allumait c’était certain mais est ce que c’était un jeu ou bien avait elle envie de plus ?
Je tentais le tout pour le tout et en rentrant chez moi je lui envoyai un SMS en lui disant que j’avais beaucoup aimé sa robe qu’elle lui allait très bien. Je m’attendais à ce qu’elle ne réponde pas. Elle me répondit illico sans se démonter qu’elle l’avait mise pour moi.
Le stage se termina, la gamine de 18 ans habitant chez ses parents c’était compliqué et elle repartit faire ses études loin de chez moi.
Nous restions cependant en contact et bien souvent nos discussions par SMS étaient très chaudes. elle continuait à rentrer dans mon jeu. Un soir où ça avait été très chaud elle finit par m’appeler. J’étais dans mon lit elle aussi. Je lui avouai que je fantasmais sur elle que j’avais envie d’elle et je faisais en sorte de l’exciter au maximum. A l’autre bout du fil elle n’en pouvait plus. Elle finit par se caresser, une main tenant le téléphone l’autre sur sa chatte rasée qui devait dégouliner tant qu’elle pouvait. Son souffle devint de plus en plus haletant je l’encourageai à se laisser aller et à continuer jusqu’à ce qu’elle jouisse. "Vas-y Anaïs caresse toi ! Je veux t’entendre jouir" Elle finit par succomber et elle me dit que ça avait été trop bon. De mon côté aussi je finis par me faire jouir avec elle au téléphone.
La jeune demoiselle n’avait jamais fait ça au téléphone; elle avait aimé.
Quelques temps plus tard elle me recontacta pour me dire qu’elle serait de retour chez ses parents et qu’elle voulait qu’on se voie. Je lui avait dit que j’aimerai beaucoup faire des photos d’elle nue. elle me dit qu’elle avait beaucoup réfléchie et qu’elle était d’accord. Rdv fut pris le samedi suivant chez moi. Elle se pointa à 14h00 et me dit qu’elle avait tout l’après-midi de libre.
Je lui offris un café et on discuta de choses et d’autres. Je lui demandai alors si elle était toujours d’accord pour offrir son corps à mon appareil de photos. Elle me dit oui mais je te préviens je ne l’offrirai qu’à ton appareil tu pourras me matter mais pas me toucher. Je ne me sens pas prête à coucher avec toi en raison de la trop grande différence d’age. Je lui répondis qu’il n’y avait pas de problème que je comprenais....même si au fond de moi j’espérais bien qu’elle finisse par succomber.
On a donc commencé la séance de photos. D’abord habillée afin qu’elle s’habitue et petit à petit elle enleva d’abord son chemisier, puis son soutif. elle était les nibards à l’air devant moi avec son jean qui lui faisait des fesses sublimes et qui mettait en valeur sa petite moule.
Puis elle enleva son pantalon le jean laissant apparaître une jolie petite culotte rose. Elle prenait différentes poses toutes plus sexy les unes que les autres.
J’avais une trique de malade et elle s’en aperçut en voyant la bosse que formait mon sexe en érection.
Elle me dit "eh bien je vois que je te fait de l’effet ! "— Tu pensais quoi  ? "lui répondis-je. "Je suis un homme et je suis trés attiré par toi; tu le sais et ce n’est pas nouveau !"- oui je le sais mais tu comprends tu as le double de mon âge et je suis gênée"-Tu sais ce sera notre secret personne ne le saura; Je te demande juste de ma laisser te faire l’amour une fois."
Sans lui demandais son avis je l’entrainais sur le canapé du salon et la pris dans mes bras. Elle essaya de se dégager plus par forme parce que je sentais qu’elle en avait autant envie que moi.
Je posai ma main sur sa cuisse et la caressais; elle ne tarda pas à écarter les jambes m’invitant à m’occuper de son minou. Sa vulve était toute lisse complètement rasée et je sentis vite qu’elle était trempée et trés excitée. Je le lui fis remarquée. — tu es trempée et tu mouilles ! Ne me dis pas que tu n’as pas envie que je te prenne !
Elle se leva et déboutonna ma chemise, puis mon pantalon. elle m’embrassait partout puis descendit sur mon ventre jusqu’à mon sexe tendu de désir. Elle me suça en me regardant ce qui me fit fondre. Je touchais sa poitrine ses seins étaient gonflés et durs.
Je n’en pouvait plus et je ne voulais pas décharger dans sa bouche. Je voulais pouvoir la prendre. Ainsi je l’ai retournai et je la fis se pencher en avant. J’avais une superbe vue sur son dos ses fesses et sa rondelle au dessus de son abricot tout lisse et tout humide. je dirigeai mon pénis le passant sur la raie de ses fesses histoire de l’exciter encore un peu plus.
Puis je l’ai prise sans grande douceur. Son sexe était bien étroit comme j’aime, je pouvais le voir entrer et sortir. Elle gémissait me demandant de continuer qu’elle était à moi qu’elle voulait que je la remplisse.
Je la tenais fermement par les hanches, je la pilonnais tant que je pouvais; son minou se contractait autour de ma verge et dans un dernier coup de rein je jouis en elle. J’ai eu l’impression que la quantité de sperme était très abondante. On est resté comme ça un moment mon sexe en elle le temps que je débande. Elle m’embrassa et me dit qu’elle avait pris son pied.
Mon jus coulait le long de sa jambe elle s’essuya puis revint dans la pièce. Elle était belle, son maquillage avait foutu le camp, les lévres de son minou étaient toutes brunes et ressortaient de façon très visibles.
On bu un verre et on alla se doucher. On se savonnait l’un et l’autre. Elle se rinçait le minou encore tout poisseux du mélange de cyprine et de sperme. Je passais ma main dans son sillon fessier. Ca glissait bien et j’appuyais sur son petit trou. elle se lassait faire. Elle savonna mon sexe qui dans ses petites mains ne tarda pas à se redresser. elle me regarda et me demanda: — et bien tu as encore envie ?— oui, fais moi jouir.
elle rinça ma queue puis l’engloutit dans sa bouche. Elle me suça comme une déesse. Elle malaxait mes couilles et alla même titiller mon anus. elle était belle agenouillée devant moi. Elle me pompait de plus en plus vite. — je vais venir lui indiquais-je afin qu’elle ne fut pas surprise.
elle me regardait encore plus intensément avec le regard malicieux de celle qui sait très bien ce qu’elle fait. Je sentais le plaisir monter dans mon bas ventre, ma queue se contractait et elle me masturbait dirigeant ma queue vers sa bouche grande ouverte.Mon sperme alla s’écraser autour de sa bouche et sur son visage. Elle recracha le fruit de mon plaisir pour mieux venir nettoyer mon gland avec sa langue.
L’après-midi était passé à une vitesse folle. On fuma une cigarette puis elle repartit.
Le soir je reçu un texto qui disait:"Merci pour ce bon moment que finalement je ne regrette pas. Garde les photos en souvenir mais je te demande de ne jamais les montrer à personne"J’ai toujours tenue ma promesse et je n’ai jamais plus entendue parler d’Anaïs...
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