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La petite tente

Chapitre 1

Inceste
" Voici ma première tentative, disons que ce sera une mise en bouche.

La voiture roulait depuis déjà trop longtemps.. Nous étions partis de Besançon à 6 heures du matin, et nous avions passé la frontière Espagnole depuis seulement 1 heure. Je regardais ma montre, il était 23 heures passées. Pourtant, je mourrais de chaud. J’avais ôté depuis longtemps mon petit débardeur, dévoilant mon 90 D, coincé dans un soutient-gorge, vieux de 2 ans, ce qui se traduisait par autant de bonnets. Ma poitrine était compressé, et la dentelle camouflait à peine les auréoles de mes tétons.
Je ne m’en rendais pas réellement compte. Il faut dire qu’à 18 ans, même si je n’étais plus vierge, je ne me sentais pas "allumeuse" malgré mon mini-short bleu qui moulait parfaitement mes fesses très rebondies. Mon frère, Antoine, me jetait des petits regards de temps à autres.

D’un an plus jeune que moi, je savais qu’il n’avait encore jamais vu de poitrine autre part que sur les sites pornos qu’il fréquentait. De l’autre côté de la banquette, à ma droite, Jason s’était endormi. Lui, il en avait vu beaucoup, des paires de seins. Il était revenu à la maison à 24 ans, et cette année là, il ne s’était peut-être pas écoulé un seul soir sans qu’une nouvelle fille ne vienne à la maison, afin de visiter son lit. Sa poubelle était constamment pleine de préservatifs, et sous son lit, on trouvait plusieurs sous-vêtements oubliés par ses différentes conquêtes. Il faut dire qu’il était ravissant, beau comme un astre, avec ses yeux bleus, ses cheveux blonds, assez longs, dignes des surfeurs de films, ses muscles parfaitement dessinés mais pas pour autant exagérés, et son petit cul musclé que je ne pouvais m’empêcher de mater dès que j’en avais l’occasion.
Antoine, c’était différend. Un vrai geek. Il avait des lunettes à la Harry Potter, quelques boutons d’acné sur un visage orné d’un tordu, et de deux oreilles quelque peu décollées, d’une bouche disgracieuse, et pour ne rien arranger, il était un peu enveloppé.
Mais c’était mon petit chouchou quand même, je l’aimais beaucoup.
Moi, Aline, j’étais assez petite, 1 mètre 62, mais plutôt fine, malgré des seins imposants et des grosses fesses, pourtant fermes. Mon visage, c’était avec ces deux atouts ce qui faisait de moi une vraie bombe. Au lycée, j’étais très courtisée. Mais ma timidité faisait que je m’étais retrouvée au lit avec un homme à 6 reprises, jamais avec le même. D’ailleurs, je n’avais eu qu’un seul vrai copain, qui m’avait fait comprendre que l’amour était quelque chose d’absurde, en me brisant le cœur.


C’est ainsi que dans la voiture conduite par mon beau-père, qui s’était résolu à poser la main sur la cuisse de ma mère, certainement pris d’une envie, faisait route jusqu’au camping où nous allons passer une semaine de vacances.
L’arrivée fut un soulagement pour tout le monde. Comme Jason ne se réveillait pas, et qu’Antoine avait fait tomber son portable, je passais par dessus lui pour sortir, prise d’une énorme envie d’aller au petit coin. Je lui écrasais la tête sans le faire exprès avec mes grosses fesses, et fut plaquée contre le dossier du siège conducteur alors qu’il essayait de se relever pour me faciliter la tâche. Je parvenais à ouvrir la porte, et me précipitait vers les sanitaires.
À mon retour, Jason s’était réveillé. N’étant pas des adeptes du camping, nous avions acheter ses fameuses tentes qui se montaient en 30 secondes. Ma mère et mon beau père avait finit de dresser leur belle tente à piquets, à environ 50 mètres de notre position.
Voyant que les garçons avaient déplié leur tente commune, mais que la mienne était à moitié froissée sur le sol, je m’intriguait :
-Vous auriez pu être galant, et me monter ça...-Ta tente est pétée, tu vas devoir dormir à la belle étoile Aline, me répondit Jason. -QUOI? Mais non, je vais me faire piquer de partout ! En plus, il y a des bestioles dans les toilettes, ça me dégoûte...-Si tu dors avec nous, il faudra qu’on prenne deux sacs de couchage pour trois, sinon, on ne tiendra jamais.-Oh, tu es adorable, tu me laisses ton sac, et je peux être au chaud ! -On va accrocher les deux et les mettre sur nous trois, et on mettra le troisième en guise de matelas, imbécile... T’es pas blonde qu’à l’extérieur toi...
Je m’écrasais, incapable de répondre à ce genre de boutades, lorsque mon grand frère les sortaient.
Je rentrais dans la tente, où Antoine lisait un livre, allongé sur le côté droit. On installa les sacs de couchage, la lampe-torche qui faisait l’éclairage de la tente, et je me mis entre les deux garçons. Par crainte de la chaleur, je ne gardais que mon mini-short, mon string, et mon soutient-gorge.
Une heure plus tard, je me levais, complètement suffocante. Jason ronflait, et son corps était chaud. Je décidais de retirer mon petit short, et je le posais dans un coin, du côté de Antoine.
Quelques minutes plus tard, je l’entendis bouger.-Tu ne dors pas?-Non... j’ai du mal à dormir..-Oh, mon chouchou, qu’est ce qu’il y a?-Arrête de m’appeler "mon chouchou" ! J’ai un an de moins que toi, et puis je suis pas spécialement chou...-Moi je te trouve très chou Toinou...-T’es bien la seule...-Tes copines te trouvaient certainement chou !
Il se redressa, et cria presque : -Tu fais exprès de te foutre de ma gueule Aline?
Je répondis prudemment : -Mais Antoine, je me fous pas du tout de toi... Calme toi...
Je me redressais, et le pris dans mes bras.-Qu’est-ce qu’il t’arrive?-Il se trouve que j’ai jamais eu de copine.. Je n’ai jamais embrassé une fille sur la bouche ou même la joue, et pour le reste... Tout mes potes l’ont fait, mais même les moches ne veulent pas de moi...
Je lui sourit.
-Ne t’en fais pas, ça viendra..-Non ! ça ne viendra pas ! J’attends, j’attends, et rien ne vient, et j’attend encore, et toujours rien ne vient. Donc je tente, je me prend des râteaux, et je suis la risée de tout le lycée...
Je me recouchais, le regardant.
-Qu’est ce que tu attends?
Il hésita.
-À ton avis?...
Je lui sourit encore, il baissa les yeux, puis se rallongea.
-Je n’y arriverais pas... Je suis trop moche...-Mais non, t’es adorable, tu as pleins de qualités !
Je l’embrassais sur la joue, langoureusement, me rapprochant de lui. Il m’adressa un sourire gêné.
-Tu n’as jamais embrassé une fille sur la bouche?-Non, jamais...-Embrasse moi, si tu veux...-Je... Non... enfin... tu es magnifique hein... mais... je...
Je poussais un petit rire.
-Au moins, tu verras ce que ça fait ! Pense à autre chose, et ferme les yeux..
Il s’exécuta, et rapprocha ses lèvres de mon visage.. Elles se posèrent doucement sur les miennes, et il les décolla aussitôt.
-N’aie pas peur !
Il approcha sa tête, plus rapidement, et m’embrassa à nouveau, prolongeant le baiser.. J’introduisis doucement ma langue dans sa bouche. Il effectua un petit geste de recul, avant de la titiller avec la sienne, timidement. On continua ainsi, durant deux bonnes minutes, nos langues se cherchant, se collant, se caressant.. Rien d’exceptionnel pour moi, mais je sentais qu’il respirait très fort. On se sépara finalement.
-Tu as aimé?-O...Oui, beaucoup...
Je caressais sa joue, un beau sourire sur mon visage.
-Tu embrasses très bien, tu es délicat.-Merci... Bon, bonne nuit...
Je déposais un petit smack sur le coin de ses lèvres
-Bonne nuit Antoine..
Je me retournais, et commençait à m’endormir...
Quelques minutes plus tard, je sentis quelque chose frôler mes fesses. Je m’étais recouchée dos à Antoine, et l’idée que ce fut sa main me gênait au plus haut point. Certes, j’avais donné à mon frère son premier baiser, mais en aucun cas je ne souhaitais lui faire découvrir le plaisir de l’acte sexuel.
Je décidais de ne pas bouger, ne voulant pas le déconcerter. Je sentais sa main, plus distinctement, aller et venir sur ma fesse nue, ce qui me faisait frissonner.
Mes fesses, c’était mon nid de plaisir. La plupart des filles préfèrent les caresses et contacts clitoridiens, ou les rapports vaginaux. J’aimais ça, j’adorais ça, mais mon point G, c’était mes fesses et mon anus. J’avais expérimenté l’anal à deux reprises, et ça avait toujours donné lieu à mes plus grands orgasmes.
Le simple fait que l’on me pétrisse les fesses, que l’on me les claque, que l’on me les caresse, qu’on doigt se promène sur mon petit trou, cela me rendait folle d’excitation. Moi même, lorsque je me donnais du plaisir, je ne pouvais m’empêcher de m’enfoncer des stylos, des doigts, ou tout autre objets de dimensions similaires dans les fesses, puis de les caresser pendant longtemps.
J’adorais aussi que l’on regarde mes fesses. Je mettais régulièrement des bas très moulants ou des jupes et robes très courtes pour offrir une vue sur mon postérieur à tous mâles intéressés.
Mais si les caresses de mon frère me donnait du réel plaisir, il restait mon frérot, et je ne pouvais me résoudre à lui proposer et à le laisser continuer ce genre d’agissements.
Je fus tout de même incapable de lui adresser la moindre remarque lorsque je sentis qu’il pétrissait fermement mes fesses à deux mains. "Laisse toi faire", me dis-je. "Il s’arrêtera bien tout seul"
Il continuait, malaxant mon fessier, écartant et serrant mes fesses, les claquant parfois, collant contre ma raie la bosse qui déformait le boxer qui lui servait de bas de pyjama, et MON DIEU ! Qu’il était bien monté !
Il fallait que je me reprenne. Moi, Aline, la jolie fille soit disant modèle qui avait assisté sans faute à chacun de mes cours de catéchisme étant petite, qui était connue pour être une jeune fille intelligente et innocente, et dont les ébats furent toujours discret, je laissais mon petit frère me toucher et frotter son sexe contre mes fesses, et en plus, j’appréciais ce contact !
Je l’appréciais tellement, que j’en lâchais un gémissement. Je le sentis sursauté et se recoucher rapidement. Il respirait fort. Le bruit fut coupé par un timide "Aline?" auquel je ne répondis pas.Je voulais qu’il continue, juste un peu... Je décidais de le provoquer, me cambrant complètement sur moi même, dos à lui, mes fesses touchant presque sa hanche.
Il ne résista qu’à travers une autre petite interrogation, pour voir si j’étais bien endormi, puis ses mains reprirent leur massage intensif de mes deux grosses fesses.
Soudain, il se retourna face à moi, et plaqua la bosse de son boxer sur la raie de mes fesses, et commença à donner des petits coups de bassins... "
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