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Ma petite voisine et sa copine se font saillir par des poneys

Chapitre 1

Zoophilie
Je suis dans mon jardin, quand les deux gamines passent pour aller se promener en compagnie de leurs chiens.En passant Alice m’interpelle, en me disant qu’elles souhaitent me montrer quelque chose, je leur réponds qu’aujourd’hui je suis occupé, en revanche, c’est d’accord pour demain à quatorze heure.Le jour suivant, nous voilà sur un chemin en terre, en très mauvais état ou il y a de nombreuses ornières assez profondes, ou seul un 4/4 peut s’aventurer sans risque de s’embourber.Il fait assez chaud, les filles comme à leurs habitudes, ont des tenues assez légères et sexy, petites jupes courtes et petits haut transparent, par moment, au gré d’une légère brise, je peux entrevoir les petites fesses de ces deux cochonnes.Leurs compagnons en laisse, nous marchons depuis vingt bonne minutes, nous traversons plusieurs bois, nous longeons prés et champs, ou seuls les corbeaux sont présents je me demande bien ce qu’elles ont bien pu trouver ?Je commence à avoir chaud, et je m’impatiente, les minettes rient et plaisantent entre elles, après le petit bois, nous sommes arrivés disent elles.
Nous arrivons enfin, il y a un enclos, ou paissent deux ânes, et quatre mini poney, que l’on trouve généralement dans les cirques, je regarde les petites, mécontent et interrogateur, vous m’avez fait transpirer, pour voir des ânes et des poneys dis-je.Elles m’expliquent qu’en se promenant avec leurs compagnons à quatre pattes, elles ont découvert cet endroit et ces animaux, en passant, un des poneys était en train de saillir une des femelles.Il n’en fallait pas plus pour que ces jeunes filles s’intéressent au spectacle offert, elles sont restées me disent elles une bonne partie de l’après midi à les observer et à regarder ces petits mâles monter leurs femelles.Elles m’avouent en baissant la tête qu’elles étaient excitées, et avaient participées, tout d’abord en caressant les pénis, puis en les suçant, elles ont selon leurs explications, réussies à les faire éjaculer, elles me demandent maintenant que je les aide à se faire pénétrer.Je les regarde assez surpris de ce qu’elles me disent, j’essais de les résonner, car même si ce sont de petits animaux assez docile, lors d’une saillie, ils sont assez rugueux, et difficile à contenir même s’ils sont de petite taille.Rien n’y fait, et je suis obligé d’abdiquer.Les filles qui ont tout prévues sont entrain de les attirer, en leur donner des gâteaux, les deux mâles ont le sexe qui pend, Alice est passée sous les barbelés, et se met à masturber un des équidés, qui semble apprécier le traitement.Sa pine, est maintenant bien raide, elle fait dans les vingt centimètres pour une grosseur d’au moins quatre.Pendant que sa copine le masturbe, Magalie, a enlevée sa culotte et se caresse la chatte pour se faire mouiller.Pas très loin d’où nous sommes, j’ai repéré une botte de paille qui devrait faire l’affaire, je demande à la mignonne de se positionner dessus à plat ventre, les cuisses bien ouverte, j’attrape l’animal par la crinière en le dirigeant vers la petite qui malgré l’envie de se faire sauter est un peu anxieuse.Le mâle est maintenant au dessus de la gamine qui ouvre bien sa moule avec ses mains, le sexe tendu du poney est à quelques centimètre de l’entre-cuisse de la petite femelle, je dis à Alice de mettre en contact les deux sexes, dés qu’il sent la douceur et la moiteur du vagin, le géniteur s’excite et donne de violent coups de reins que j’essais de contrer, pour qu’il ne blesse pas la petite.Sous l’assaut, la fille est embrochée assez profondément elle pousse un cri, j’ai du mal à contenir le petit mâle qui le sexe tendu et bien raide, enfile cette salope qui est ballottée et qui à plusieurs reprises a bien failli être désarçonnée de sa botte de paille.Après l’avoir tringlé pendant quelques instants, le petit cheval lâche une quantité impressionnante de sperme qui coule sur les cuisses de la mignonne, le reproducteur se retire, son sexe a perdu de sa rigidité.La gamine ne bouge pas, heureuse, et repue de ce qu’elle vient de se prendre dans sa chatte qui n’en fini pas de se vider d’un liquide blanchâtre assez épais.
Une fois remise de ses émotions, Magalie entreprend de masturber l’autre poney, qui très vite s’est mis à bander en présentant de bonnes dispositions.Alice qui n’aspire qu’à une chose, subir le même traitement que son amie, s’est positionnée sur la botte de foin, excitée, les cuisses bien écartées, les doigts dans la fente, elle attend cette queue qui va lui fourrager son intimité.Comme précédemment, j’approche la bête en la tenant par la crinière, Magalie se saisi du membre bien raide pour le diriger dans la grotte de sa copine.Dés qu’il rentre en contact et qu’il sent les douceurs vaginales, le pénis de l’assaillant plonge dans la moulette, poussé par de violents coups de reins, il écarte les chairs intimes de la mignonne, pour venir se ficher dans le ventre de la jeune fille.Le petit cul d’Alice est mis à rude épreuve sous les assauts répétés de son amant que j’ai peine à contenir.Malgré tout la petite femelle projette son postérieur au devant de cette pique qui la laboure en lui arrachant plusieurs cris.La belle pine ne met pas longtemps pour cracher son plaisir dans ce jeune vagin.Les deux filles après s’être fait ramoner le minou, reprennent peu à peu leurs esprits dans l’herbe tout en se nettoyant leur foufoune d’où ne cesse de couler un liquide épais qui fait penser à du yogourt.
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