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Petites anecdotes

Chapitre 2

Inceste
Je rejoignis Sarah.
— Ah bah enfin ! Avec des chips en plus ! T’es la meilleure, tu penses toujours à tout ! Bon assieds-toi j’ai plein de trucs à te raconter...
Elle me parlait de ses histoires, amours, sexe, amitiés. Je l’écoutais à moitié, je repensais à oncle Chris, et s’il avait mal pris mon petit jeu...
— Camille ! Allô ! Tu m’écoutes ?? Alors ? T’en penses quoi ?— Euh. Je sais pas. — Mais tu m’écoutes pas en fait !!?? Me dit-elle en pouffant de rire. A quoi tu penses ??? Ou plutôt à qui ??— Pfff arrête, à rien et à personne, lui répondis-je. Bon, il est tard, si tu veux aller te coucher, vas-y, je vais ramasser les bouteilles et nettoyer un peu histoire que ma mère ne me tombe pas dessus au réveil...— OK j’y vais, je t’aurais bien aidé mais je suis trop crevée, mais t’inquiète pas je ne t’oublie pas, je sais que tu me caches quelque chose...— Laisse tomber Sarah, je suis clean. Vas-y j’arrive.
Après avoir fait un petit semblant de nettoyage, je rejoignis Sarah dans ma chambre. En y arrivant je constatai qu’elle avait pris toute la place. Du coup je me résignai à dormir dehors, sur un transat. J’attrapai quelques bougies à la citronnelle et un deuxième plaid puis allai me poser dans le transat. Je repensai à oncle Chris. Hummm, c’était si bon, j’avais vraiment envie de me caresser, mais j’avais trop peur de me faire prendre. Du coup j’ai dû m’endormir ainsi...Au petit matin, j’entendai ma tante dire:
— Faites moins de bruit, y a Camille qui dort !— Elle a ouvert ses yeux !!! Elle est réveillée ! Cria un de mes petits-cousins. Camille, t’as dormi dehors ? Avec les loups ?— Oui, et même qu’il en a un qui est venu me dire que si t’es pas sage il te mangera tout cru ! — Allez faire votre toilette, et on ira à la boulangerie, leur dit ma tante. Bah alors ma grande, tu t’es endormi dehors ?— Y avait plus de place dans mon lit, j’avais pas trop le choix.— T’aurais dû venir dormir avec ton oncle et moi, y a de la place dans notre chambre...— Ben oui Camille, t’aurais dû venir dans notre chambre ! Dit oncle Chris, sourire en coin, en surgissant dans le jardin.
Il revenait sûrement de son footing du matin. Ma tante retourna dans la cuisine. Je restais là sur mon transat avec oncle Chris qui s’installa sur un deuxième transat.

— Alors Mademoiselle a passé une bonne nuit ?? Me demandait-il— Dans mes souvenirs, ce n’est pas moi qui « ai eu envie de toi » si je me souviens bien, euh il me semble que ce sont tes mots et pas les miens, non ? Lui répondis-je, sourire en coin— 1 point pour toi. OK. Mais si je te dis que moi j’ai pas dormi seul, et j’ai pas beaucoup dormi, me lançait oncle Chris.
Ouch... ça me blessa au plus profond de moi, je ne savais plus quoi dire, alors que je me levais, il m’attrapa le poignet...
— 1 partout ? Me demandait-il.
Agacée, je me dirigeai dans la cuisine.
— Mauvaise perdante en plus ! Répliquait-il.— Tu as grise mine, me dit ma tante. Tu devrais aller te reposer un petit peu, et si jamais il n’y a pas de place dans ton lit, va dans notre chambre, ça te fera du bien.
Je lui fis un bisou sur la joue et pris la direction de leur chambre. Elle se trouvait au dernier étage de la maison, les combles. Papa et oncle Chris avaient rénové ensemble les combles pour en faire une magnifique suite parentale. Et donc à chaque fois qu’oncle Chris et ma tante venaient c’était leur chambre. Je m’arrêtai dans la chambre de mes parents pour leur dire bonjour.
— Oh toi tu n’as pas beaucoup dormi. J’ai entendu dire que tu as dormi sur un transat ? Me demanda maman d’un air inquiet.— Sarah a pris toute la place, le temps que je ramasse un peu les bouteilles dehors, du coup j’ai pas voulu la réveiller, je me suis donc résignée à dormir dehors. Je suis fatiguée, j’ai mal dormi, j’ai eu froid toute la nuit, je crois que je vais aller prolonger ma nuit dans la chambre de tata et tonton Chris.— C’est vrai que là-haut tu seras bien tranquille, me dit maman. Elle me fit un bisou sur le front.
Je me dirigeai donc vers la chambre de ma tante. Arrivée sur les dernières marches, on entendait le bois grincer. La porte était entrouverte. Je refermai la porte derrière moi. Je pouvais encore sentir le parfum d’oncle Chris, hummm qu’est-ce qu’il sent bon...Je balayai du regard la chambre, personne juste son odeur qui planait encore dans la pièce. De la fenêtre on pouvait voir tout le monde dans le jardin. Je me mis en sous-vêtements et me faufilai dans le lit, m’enveloppai sous la couette et me laissai porter par la fatigue...Des mains attrapèrent mes chevilles et me tirèrent vers le bord du lit. J’ôtai la couverture de ma tête et vis oncle Chris en short, cheveux mouillés.
— Tu n’as pas répondu à ma question, 1 point partout, balle au centre ?? Me demandait-il l’air abattu.— Laisse tomber, je suis fatiguée, moi j’étais seule cette nuit et j’ai pas beaucoup dormi parce qu’il faisait froid, lui dis-je.— J’adore quand tu fais la tête, dit-il en remontant ses mains le long de mes jambes. Si je te dis que quand je me suis couché hier soir, j’ai pensé à toi.
Je retins mon souffle en le fixant.
— Si je te dis que j’ai pensé à toi tout le temps où je ferais l’amour avec ta tante, ses mains remontaient de plus en plus vers mon entrejambe...
Ma respiration commençait à être saccadée...
— Si je te dis que j’avais envie que ce soit toi à la place de ta tante...
Ses mains atteignirent mon entrejambe...Haletante, je n’arrivais pas à parler.
— Alors oui, hier soir j’avais envie de toi, oui tu es ma nièce, oui ce n’est bien, oui tu hantes mon esprit. Mais c’est plus fort que moi, et je sais que tu as autant envie que moi.
J’écartai un peu plus mes jambes, je sentis sa main caresser ma vulve au travers de ma culotte. Je le regardai avec envie, pinçai mes lèvres entre mes dents, poussai un gémissement. Sans réponse de ma part, je sentis sa main rebrousser chemin...
— Non ! Continue, s’il-te-plaît, t’arrête pas. Moi aussi j’en ai envie, moi aussi je pense à toi, j’ai envie de toi. Je sais que c’est pas bien, je sais qu’on ne devrait pas mais, s’il te plaît, continue.
J’ôtai la couverture de mon corps, repliai un peu plus mes jambes, attrapai sa main pour ne pas qu’il la retire. Il s’assit au bord du lit, s’approcha de moi, je décidai alors de l’embrasser à pleine bouche. Sa main se plaqua alors contre mon sexe. Hummm, je mouillai abondamment, il me tira plus près du bord, m’enlevait ma culotte, la mit dans sa poche. Il retira mon soutien-gorge, me lécha les seins, hummm, sa langue, si douce, il s’accroupit entre mes jambes déposa un doux baiser sur ma vulve qui luisait de désir. Il commença à me lécher, hummmm. Je planais de bonheur. Pendant qu’il s’appliquait à lécher mon entrejambe, une main pinça mon téton. Hummm, il porta sa main vers bouche, instinctivement je pris son doigt en bouche et commençai à le sucer. Il arrêta de me lécher, me regarda faire, puis d’un coup il m’embrassa langoureusement, vînt s’asseoir à côté de moi sans quitter ma bouche.
Je sentis sa main caresser mon vagin, puis il y introduisit un doigt.
— Hummm, fis-je haletante, hummm
Il inséra un deuxième doigt...
— Chuuut, regarde-moi, je veux que tu me regardes te donner du plaisir, me chuchota-t-il.
La paume de sa main était sur ma vulve, son majeur et son annulaire étaient en moi. Il commença frénétiquement ses mouvements de haut en bas.Je n’en pouvais plus, j’avais envie d’exploser de plaisir. Tout en le fixant il mit son autre main sur ma bouche comme pour m’empêcher de crier. Ses mouvements, plus puissants, plus rapides, me firent perdre la tête. D’un coup il retira sa main, ce qui fit jaillir un liquide de mon sexe. Il continua à frotter mon clitoris frénétiquement. Hummmm, tout mon corps se crispait, impossible pour moi de crier mon plaisir. Il ôta sa main de ma bouche et inclina mon corps en arrière. Il m’embrassa sur la bouche et n’ayant plus de force, je me laissai bercer par ce mélange de plaisir et fatigue.
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