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Petites anecdotes

Chapitre 3

Inceste
— Camille ! Camille ! Ma chérie. Réveille-toi.
J’ouvrais les yeux et vis maman assise au bord du lit.
— Il est 12h30 ma chérie. Tu descends, on va déjeuner...— Déjà midi ?? Je fais un brin de toilette et j’arrive, commencez sans moi.
Maman quittait la chambre. Elle était là assise près de moi ! Moi qui étais nue sous cette couverture, où est mon soutif ? Ma culotte ? Mes vêtements ? Je balayais la chambre et m’aperçus que mes vêtements étaient posés au pied du lit. Je tâte sous la couverture si je trouvais mon soutif, ouf sous mon oreiller, mince, le drap est encore mouillé, alors je n’ai pas rêvé, hummmm, c’était vraiment bon, j’enfilais mon soutif et mes vêtements, enlevais les draps du lit et me dirigeais dans ma chambre. J’attrape mon bikini rouge, une robe de plage blanche transparente, et une serviette. Je pris ma douche et allai rejoindre tout le monde dans le jardin.
— Aaah !!! Bravo !!! Cria oncle Chris en applaudissant. Notre chère belle au bois dormant nous fait part de sa présence !
Tout le monde jouait le jeu et applaudissait, moi qui pensais arriver inaperçue, je me sentais donc obligée de jouer le jeu aussi et je fis une révérence.
— Merci tout le monde ! — Laisse la tranquille ! Intervint ma tante pendant que je cherchais une place autour de la table.— Ici !! À côté de moi !!! S’enjouait oncle Chris en me faisant signe de la main qu’il n’y avait qu’une place près de lui.
Je prenais alors place près de lui puis tout le monde commençait à se servir, salade verte, grillade, salade de riz, et chacun discutait avec son voisin de table.
— Bien reposée ? S’amusait oncle Chris.— Hum, oui, très bien, même !
Oncle Chris me faisait du pied sous la table.
— Camille ! Cette après-midi avec toutes les mamans, on va lézarder au bord de la piscine pendant que les gars jouent au volley et les papas aux boules, ça te dit ? Me demandait Sarah de l’autre bout de la table.
— Je sais pas trop, lézarder ça me dit rien. T’as pas envie de faire du paddle ?— J’suis trop crevée ! Un peu plus tard si tu veux ! Au pire je te rejoindrai ! Me lança-t-elle.— OK, pas de problème.
Le déjeuner se terminait sans encombre, quand tout le monde filait à ses occupations, je me dirigeais donc vers le lac avec ma planche. Au milieu du lac, sous le soleil, je décidai alors de m’allonger sur le dos pour profiter du soleil. Je repensais à ce matin, hummm je n’avais jamais connu cela avant. Je me posais mille et une questions. Était-ce moral ? Est-ce que je devais tout arrêter ? Et si quelqu’un l’apprenait ? Pourquoi je ne l’ai pas stoppé? Quand soudain quelqu’un me jeta de l’eau.J’essayais de regarder qui c’était mais le soleil l’éblouissait.
— Bah alors on s’isole ?
Je reconnaîtrai cette voix parmi d’autreS.
— Oncle Chris ? Qu’est-ce que tu fais là? Tu crois pas qu’ils vont se douter de quelque chose ?— Je fais du paddle avec ma nièce, qui, d’après sa question, se pose elle-même, plein de question. — Ouais, je sais plus trop ce que je veux ou pas...— C’est pour ça que je suis venu. J’ai senti à table que quelque chose te préoccupait, du coup je suis là si tu as besoin de discuter ou même d’arrêter.— Je suis perdue lui dis-je en m’asseyant sur ma planche les pieds dans l’eau, j’éprouve à la fois des remords mais aussi l’envie de continuer, je ne veux blesser personne, tu comprends ?— Je comprends et il est encore temps de tout arrêter, on n’a pas vraiment, enfin si on a franchi une ligne mais on n’a pas...— T’inquiète oncle Chris j’ai compris, dis-je amusée de la situation. On n’a pas couché quoi !— Oui voilà, répondait-il en s’asseyant comme moi.— Non c’est sûr, mais toi tu m’as déjà vu, enfin tu comprends ? D’ailleurs je voulais te dire enfin te demander, pour ce matin, j’avais jamais ressenti ni même vécu ça. Cette envie d’exploser, mon corps tout crispé, c’était une première pour moi. Comment, pourquoi...— Ce que tu as vécu ce matin était un orgasme, et je suis flatté de savoir que c’était le premier. Je comprends toutes tes interrogations et comme je te l’ai dit on peut encore tout arrêter...— On a dit pas de retour en arrière, lui dis-je avant de me glisser sous l’eau et de me poster devant lui ma tête entre ses jambes.— On ne peut pas retourner en arrière, on ne peut qu’arrêter ou continuer, me dit-il en me caressant la joue, d’un ton rassurant. Toutes les cartes sont et resteront entre tes mains.
Je décidais alors de caresser ses jambes, je remontais mes mains vers ses cuisses, les passaient derrière lui, caressais le bas de son dos.
— Hummm... — Et donc, si je comprends bien, j’ai toutes les cartes en mains ? Lui demandais-je en griffant délicatement le bas de son dos. Ce qui le fit frémir de plaisir. Alors, je ramenais lentement mes mains vers ses cuisses en prenant le temps d’orienter mes doigts à l’intérieur de ses cuisses. Je le regardais, il me fixait. Il se mordait les lèvres, il ne voulait pas perdre une miette de la vision qu’il avait, moi, entre ses jambes prête à le prendre en bouche.
Avec une main, je caressais délicatement la bosse qui avait déjà pris forme. Je pouvais voir qu’il appréciait mon initiative. Je décidais alors de déposer un doux baiser sur cette bosse, ce qui le fît pencher pour attraper ma bouche et donner un langoureux et passionnel baiser.
— Hummm, tu vas me rendre fou, tu es sûr de vouloir...— J’en ai envie, je veux, laisse-moi faire...
Je sortis son membre qui ne demandait qu’à jaillir de son maillot. Sa taille était parfaite et son épaisseur, hummm, je le pris en main, commença un mouvement de va-et-vient, il était dur, si dur, j’avais envie de le goûter.
— Hummm, gémit-il
Ça m’encourageait de savoir qu’il aimait ça, alors je commençais par laper la tête, j’adorais son goût. Hummm. J’ouvris un peu ma bouche pour pouvoir y insérer son sexe, je m’appliquais à faire durer son plaisir, je voulais le faire languir.
— Haann, hummmm, t’es parfaite, continue...
Je commençais un mouvement de haut en bas avec ma tête et enfonçais son large membre un peu plus à chaque fois jusqu’à atteindre ma gorge et à chaque butée je pouvais l’entendre gémir. Ensuite, je le retirais pour le lécher de haut en bas. Je prenais le soin de ne pas oublier ses boules, hummm, je jonglais entre gober et aspirer les bourses, pomper et téter son sexe. J’adorais titiller le bout hummmm, je descendais jusqu’à la garde et remontais en aspirant. Hummm. Je pouvais le sentir vibrer, alors je décidais de le saisir dans ma main, de le branler tout en continuant à le pomper frénétiquement.
— Hummm, c’est trop bon, je vais jouir...
A ses mots, j’étais encore plus excitée, je voulais le garder en bouche, j’ouvris alors encore plus ma bouche. Et Il posa sa main sur ma tête, il me donnait la cadence d’un rythme effréné...
— Haann, huumm, oooh...
J’avais avalé toute sa semence, hummm, je continuais à nettoyer son membre tout en le regardant amusé de la situation.
— Hummm..., fit-il en se mordant les lèvres, faudra que tu me dises un jour où t’as appris à faire ça...
Gênée, je me laissais couler dans l’eau. Il m’y rejoignait, m’enlaçait et m’embrassa fougueusement.
— Tu as étais parfaite, et même mieux, n’en doute jamais. Tu n’as pas à avoir honte ou à être gêné. Si c’est ce que j’ai dit qui t’a gêné, je m’en excuse. C’était tellement wahoou...
Oncle Chris était réconfortant, rassurant.
— J’ai adoré...(ce sont vraiment les seuls mots que j’avais pu dire, désolée pour cette intervention) dis-je en rougissant.
Il souriait, ça l’amusait de me voir dans cet état...
— Tu es étonnante...— Je me sens bien avec toi oncle Chris, j’ai des remords, mais je sais pas, ta voix, ta présence, toi tout est rassurant, tout paraît si simple, si facile pour toi, j’ai pas envie que ça s’arrête.
Il me regardait...
— Je veux que tu saches que quoi que tu décides je respecterai ton choix. — Moi aussi je veux que tu saches que je ne veux blesser personne. Je ne te demanderai jamais de quitter ma tante, je veux qu’on se promette que si l’un de nous deux voit ou sent que l’autre a envie de plus, il faut tout arrêter. OK ?
Il m’embrassait...
— Tu as bien grandi ma petite Camille, dit-il en me caressant les épaules, une jeune femme au corps magnifique, mature et réfléchie, rajoutait-il en passant sa main dans ma nuque, au visage si doux, et cette bouche, son pouce caressait mes lèvres, on s’embrassait passionnément, langoureusement, comme si le monde autour nous était égal.
Puis on remontait sur nos planches, et on restait là couché au milieu du lac à discuter... Je lui racontais donc comment j’avais découvert la fellation... Ça l’amusait... (Peut-être un jour j’en ferai un chapitre annexe)En fin d’après-midi, Sarah nous rejoignait, heureusement que nos esprits étaient bien retombés, que chacun était sur sa planche.
— Bah alors !!! Ça fait un moment que vous êtes partis !! S’écriait-elle en s’approchant, encore un peu et c’est toute la famille qui venait vous chercher, les vieux veulent aller au restau, euh pardon tonton...
Pouffant de rire, je répondais:
— T’es conne !!! Ils partent avec les gamins ?— Bah non, je crois qu’on y va tous ! Non ? Me demandait-elle.— Bah moi ça me dit rien le restau, pourquoi pas pizzas ??— Oh !! J’ai dit la même chose !!! On est trop en phase !!! Me lançait-elle fièrement— Tu me fais trop rire !!! Allez, venez, on va voir ce qui se passe là-bas.
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