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Petits secrets au lycée

Chapitre 1

Erotique
— C’est pas vrai !
Marie avait du mal à en croire ses yeux. Ce qu’elle venait de recevoir, c’était tout bonnement incroyable. Passée la surprise – et l’excitation, il fallait bien l’admettre – elle commença à voir un nouveau monde se présenter à elle, un monde de surprises et peut-être bien de merveilles. D’abord se l’envoyer par e-mail à une autre adresse, puis faire plusieurs copies sur son disque dur et sur sa clef USB. Un truc pareil, il ne fallait pas le laisser passer ! Les hommes sont prêts à toutes les folies pour voir un bout de sein ; ça, elle l’avait déjà bien compris à 17 ans, mais de là à en arriver là... Elle n’en aurait jamais espéré autant.
Tout avait commencé deux mois plus tôt sur le site Xstory. Découvert par hasard lors d’une séance masturbatoire, elle y avait découvert plusieurs histoires très coquines qui lui avaient offert des matinées dominicales très agitées alors que ses parents étaient à la messe. Ils ne l’avaient jamais contrainte à pratiquer, mais leurs préparatifs la réveillaient toujours et elle s’ennuyait seule à la maison. La masturbation était une façon agréable de passer le temps, mais au bout d’un moment les idées qui venaient étaient toujours les mêmes et elle s’était retournée vers internet pour chercher de nouvelles choses... et puis voilà.
Après la lecture, elle s’était mise à l’écriture. Elle ne se débrouillait pas trop mal ; les hommes adoraient, en tout cas. Assez rapidement arrivèrent les premiers messages sur sa boîte mail : des messages coquins de rencontre, de discussion plus avancée. Elle les avait toujours ignorés : Dieu sait sur qui on peut tomber ! Cela aurait pu être un ami, un voisin, peut-être même un membre de sa famille. Moins elle en savait et mieux c’était, et vice-versa. Avec le temps, pourtant, sa volonté s’émoussa. Certains écrivaient très bien. Ils lui promettaient des jeux très tentants, si tentants qu’elle avait fini par se masturber rien qu’à lire ces messages et à imaginer ce à quoi ils amèneraient.
C’est un lundi après-midi, profitant de l’absence d’un professeur pour rentrer plus tôt, qu’elle finit par se décider à sauter le pas. Elle se créa une adresse mail anonyme et répondit à celui qui la tentait le plus. Il se montra très réactif, répondant à son tour dans la demi-heure, et tous deux se retrouvèrent sur MSN pour un premier scénario à quatre mains, une sorte de galop d’essai. Le moins qu’elle aurait pu dire, c’est que l’étalon lui plut bien, tant et si bien qu’ils réitérèrent plusieurs fois l’expérience. Il était délicieusement pervers, mais sans verser dans les excès malsains, sachant au mieux éveiller les désirs de la jeune fille sans la brusquer.
Évidemment, il est toujours difficile de danser au bord du gouffre sans y tomber. Elle jouait avec cela et refusait de trop s’engager ; mais la tentation était forte, d’autant plus forte que, sans la forcer, l’homme lui demandait toujours de se dévoiler un peu plus. Il réclamait des photos de ses seins et de son sexe, mais cela la gênait. Après maintes tractations, ils finirent cependant par conclure un marché : il allait l’entendre jouir en direct grâce à son micro, et en échange il lui enverrait une photo de lui en pied et tout nu. Des hommes nus, elle pouvait en avoir autant qu’elle voulait sur internet ; pourtant, cette idée l’excitait particulièrement : lui n’était pas un inconnu, c’était l’homme qui avait partagé avec elle tant de moments coquins, presque un amant.
Ce fut l’une des attentes les plus longues qu’elle ait jamais connues. Elle était surexcitée par anticipation ; et ses parents qui refusaient de partir... Elle ne pouvait quand même pas les mettre à la porte pour les voir s’en aller plus vite ! L’heure vint enfin qui les vit quitter la maison. Aussitôt la voiture partie, elle se précipita sur son ordinateur pour l’allumer et vite se connecter à internet. Ce vieux tas de ferraille était d’une lenteur à pleurer ; mais enfin la fenêtre de discussion apparut. Il était là, il l’attendait. Elle cacha sa webcam, au cas où elle l’aurait pu l’allumer en cours de route par erreur, et brancha le micro. Son amant, visiblement très excité, écrivait vite. Il continuait l’histoire dernière, ce qui finissait d’exciter Marie. Ses cuisses ouvertes attendaient avidement un doigt qui tardait à venir ; ses tétons tendus par l’attente et le désir se dressaient fièrement vers l’écran, comme si c’était une fenêtre vers celui qui l’attendait, d’une fenêtre ne dissimulant rien d’elle. Elle lança la communication audio et, à peine l’eût-il acceptée, elle se mit à soulager ce désir trop longtemps retenu.
Marie n’était pas spécialement une jeune fille exubérante ; mais là, elle se mit à pousser la chansonnette. Non seulement le plaisir était démultiplié par l’attente, mais cela lui faisait aussi plaisir de savoir que quelqu’un l’écoutait. C’était un peu comme de l’exhibitionnisme sans la crainte d’être vue, comme la gourmandise sans la vengeance de la balance. Les soupirs se firent grognements puis gémissements, jusqu’aux petits cris qui accompagnèrent enfin l’orgasme libérateur. Elle coupa alors le micro et put lire les commentaires de son auditeur. Il lui sembla qu’il avait aimé la chose tout autant qu’elle, si cela était possible. En vrai gentleman, même si la situation pouvait mettre en question la chose, il honora alors sa part du marché en lui envoyant la dite photographie. Elle était désormais certaine de trois choses :
1) Il était honnête : rien n’était dissimulé.2) La nature, sans excès, n’avait pas été vilaine avec lui.3) C’était son professeur de SVT.
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