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Un peu de réconfort....

Chapitre 1

Erotique
J’étais dans une école privé, j’étais dans la classe 6F. J’étais, à première vue "normal". J’étais un garçon ou un homme car à 18 ans tout n’est qu’une question de point de vue. J’ai les cheveux blonds, les yeux bleus et je mesure 1m70. Je suis très content que pour ma verge, la nature m’avait gâté. J’étais souvent habillé avec un T-shirt et un jeans. Malheureusement, je n’étais pas autant musclé que j’aurais aimé l’être, mais je suis (quand même) plutôt sportif. J’aurais aussi aimé être plus bronzé, mais bon... dans la vie on ne peut pas tous avoir!Les autres garçons étaient bruns ou noir avec des yeux bruns. J’étais la seul tête blonde!
En 6F, on a tous 18ans (ce qui fais assez plaisir à mes yeux) bien que malheureusement ce n’étais pas la classe la plus sexy. C’était plutôt sympa car il y a 50% de fille et 50% de garçon. 80% des filles étaient...80% étaient des thons! 15% étaient des planches à pain et les 5% restant étaient....Divin! Ces 5% étaient des Déesses sur terre. Leurs poitrines étaient généreuses et leurs fessiers avaient des bonnes proportions.
On était dans le premier jour où les températures commençaient à monter. Ce jour là, j’avais encore reçu (dans ma trousse) un message d’Alexandra. Il était écrit:"Retrouve-moi derrière l’école après les cours".
Je n’avais aucune attention d’aller au rendez-vous! C’était le pire thon de la classe. Elle portait une sorte de nano-jupe qui lui irait à merveilles, si seulement elle avait moins de gras.Pour bien être sur de ne pas la croisé, je séchais la dernière cour. En sortant de l’école, je croisais Sophie.Elle était plutôt petite, elle était bronzé, avait les cheveux noir, des yeux bruns et surtout une belle "personnalité" et un beau "charisme" qui faisait qu’elle était dans les 5%.
Ce jour là, elle était seule sur un banc. Comme nous étions en de bons thermes, je décidais d’aller la saluer. Lorsque je me suis rapproché d’elle, elle leva la tête. Son mascara coulait et son si beau sourire c’était transformé en horrible grimace. Je me suis assis à côté d’elle et lui demanda ce qui n’allait pas. Elle me dit qu’elle avait rompu avec son copain... (Encore une fois)…Je lui ai proposé de venir chez moi car je n’habite pas très loin. Elle à accepter.Bizarrement, mes parents n’étaient pas à la maison. Heureusement j’avais la clé. Je lui ai dit de s’assoir dans la cuisine et je lui proposais quelques boissons. Elle choisit du sirop menthe.
Je m’assis à côté d’elle, elle commençait à parler de sa rupture de son copain etc.….. Pendant qu’elle me parlait, je la regardais. Elle portait un leggings noir très serré, un T-shirt un peu trop large pour elle, il était écrit dessus : « Can you speak Français ? » Elle avait des sandalettes fines comme chaussure. Elle était très séduisante….même en larme.« -Tu comprends ? »Je fus interrompu dans mes pensées avec cette question.« -Oui, bien sur »Sa grimace se transforma en sourire et elle m’embrassa. Directement, je fus au Garde à vous. Lorsque je la serra plus contre moi, je senti ses seins pointer. Pendant le baiser, elle entreprit de défaire ma ceinture, elle y arrivera facilement à bout et commença à défaire ma braguette.« Attends stop. Dis-je.— Quoi tu n’aimes pas ? répondit-elle.-Allons plutôt dans ma chambre. »
Son sourire s’agrandi. C’est sur que sur le banc de la cuisine, ce n’étais pas très pratique.
Arrivé dans ma chambre, je m’installais sur le lit. Là, je la vit dans l’encadrement de la porte. Elle avait retiré son T-shirt. Ses seins pointaient presque à en exploser. Elle était bien bronzée uniformément, c’était magique à voir.« Ca te plait ?-Et pas qu’un peu ! »J’eus vite fais de retirer mes vêtements, je ne gardais plus que mon boxer. Elle en fit de même, mais elle, elle n’avait pas de sous-vêtement. Son coin de paradis était totalement rasé et sans même le touché, rien qu’ à la vue, il était totalement trempé.Lorsqu’elle retira mon boxeur, ma verge lui donna un coup. Elle sourit d’une manière malsaine qui me faisait encore plus d’effet et me dit :« Alors comme ça, on me frappe déjà ? »
Je n’eus même pas le temps de répondre qu’elle commença à aspirer mon gland. Puis, elle entama ma verge. Comme une longue glace. Ca me fit un bien fou lorsqu’elle arriva à tout mettre dans sa bouche ! Elle commençait à tout aspirer et débutait avec des mouvements de spirales avec sa langue. Elle enchaina de plus en plus vite. Lorsque j’ai sentit qu’elle allait se retirer, je lui bloquais sa tête pour qu’elle continue à me sucer comme une furie. Quand je lui ai dit que j’allais me décharger elle essaya de se dégagé de plus belle mais je lui chopais la tête et continua les mouvements de va et vient. « Maintenant avale mon foutre salope ! »J’éjaculais comme jamais dans sa gorge et lui bouchais le nez pour être sûre qu’elle avale tout. Lorsque j’eus fini, je relâchai mon étreinte et m’affaissa sur le lit.
Elle eut vite fais de grimper sur moi. Elle se plaça de sorte que son entre-jambe soit à quelques centimètres de ma bouche et me dit :« Maintenant que j’ai dus avaler ton foutre connard, c est moi qui commande !-Ok !-Tu as intérêt de bien me lécher car sinon je t’étrangle ! »Elle baissa encore son entre-jambe. J’eus vite fais de sortir ma langue et de la lécher. Avec ses jambes, elle bloquait mes bras. J’étais totalement soumis.
Elle était très humide, la cyprine coulait à flot ! Je commençais à faire rentrer et sortir ma langue en son intérieur. Elle appréciait car j’entendis ses premiers gémissements. Elle s’avança un peu libérant mon bras droit et mon bras gauche.Avec mon bras gauche je lui chopât et un téton qui était presque violait et je commençais à le malaxer. Elle appréciait de plus en plus car elle gémissait plus fort. Avec mon bras droit je commençais à lui titiller l’anus, puis je rentrais avec le pouce en va et vient. Ses gémissement étaient presque des cris car j’accélérais le mouvement à chaque fois.Puis avant un ultime cri elle lança :« JE VAIS JOUIIIIIR »Elle commença à trembler comme un démente sur moi avec à chaque imputions, ma bouche qui se remplissait de son nectar. Ses gémissements et ses spasmes commençaient à diminuer lorsqu’elle me bloqua le nez et me dit :« Avale »Je n’avais pas d’autre choix.
………………………………………………………………..Plus tard, nous nous étions rhabillé en échangeant de long et langoureux baiser. Au moment de partir elle me remercia pour le réconfort et parti sans se retourner.
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