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Stéphanie et son amant

Chapitre 1

Inceste
Stéphanie était étendue sur le lit, à plat ventre. Ses mains ouvraient son fessier qu’elle savait très beau. Sa chatte et son anus étaient bien visibles devant l’homme qui se tenait derrière elle. Une invite à pénétrer l’un des deux orifices. Mais l’homme ne semblait manifester aucune intention d’y répondre. À son grand désespoir.
– Touche-toi ! Ouvre-toi de ta main !
La voix claqua, sèche. Stéphanie hoqueta à cette idée. Mais, docile, elle porta la main droite à bouche pour l’humidifier. Puis, elle ramena sa main sur son anus. Le majeur s’introduisit en premier. Au bout de quelques va-et-vient, l’index le rejoignit. Puis ce fut deux autres doigts. Seul le pouce restait en dehors. Son trou s’ouvrait sous la pression.
– Qu’est-ce que tu attends ? Enfonce ta main dans ton trou à merde. Et plus vite que cela. J’attends.
Le pouce se recroquevilla en direction de l’anus et commença à pénétrer le conduit anal. La salive initiale avait disparu et l’irrumation anale était douloureuse.
– Tu veux mon aide pour l’enfoncer ?
Stéphanie étouffa un long sanglot. Elle savait que l’homme pouvait se montrer brutal quand l’envie en prenait. Et surtout, elle savait qu’elle aimait avoir mal de sa main. Finalement, elle préféra pousser elle-même et la main finit par passer le sphincter. Heureusement qu’elle était souple.
Connaissant les goûts de l’homme, elle commença à se branler le cul. Rapidement, elle sentit une certaine humidification. Résultat très certainement de la dernière éjaculation de l’homme dans la nuit, combinée au besoin naturel qu’elle n’avait pas eu le temps de satisfaire à son réveil.
Elle vit l’homme s’approcher du lit. Son sexe était tendu, le gland turgescent, dû à la lente branlette effectuée devant le spectacle offert. Ce n’était pas un de ces sexes énormes qu’on voit parfois dans les films pornos ou dans les récits. Environ 4,5 cm de diamètre pour une longueur de 16 cm.
– Ne bouge surtout pas, reste comme tu es.
L’homme ouvrit un peu plus les fesses. Son gland chercha le joint entre la main et l’anus ouvert, côté paume. Il ne l’avait jamais fait et voulait tenter cette intromission peu commune. Ayant trouvé la faille, il appuya. Doucement au départ, mais, devant l’insuccès de ses efforts, ce fut avec plus de force. Nettement plus. L’anus résista, arrachant des cris à Stéphanie. Ce qui n’arrêta pas l’homme, au contraire. À force d’appuyer, le malheureux anus céda et la queue s’enfonça. Un peu seulement, car la main empêchait d’aller trop loin.
– Branle-moi.
Stéphanie se demanda comment elle allait réussir cet exploit. Finalement, elle réussit à saisir du bout des doigts le gland et joua avec le prépuce. L’homme savourait en silence, allant et venant dans le cul de la jeune fille dans de petits et lents mouvements. Stéphanie sanglotait de douleur, son anus devenant de plus en plus douloureux. Mais elle persévérait, souhaitant faire plaisir à son amant.

Brutalement, ce dernier amplifia ses mouvements, crachant son sperme dans le cul de la fille. Puis il se retira, ôtant en même temps la main du cul désormais ouvert. L’anus béait littéralement, un liquide jaunâtre en sortant peu à peu. Stéphanie voulut se redresser pour aller se laver. L’homme l’en empêchant, la maintenant par les épaules contre le lit. Puis, il vint sur le côté lui présenter sa queue malodorante. Pas une parole ne fut échangée. Elle ouvrit docilement la bouche et la bite s’y engouffra.
Stéphanie nettoya le gland, sa langue passant sur tous les replis de la peau. Puis vint le tour de la tige en elle-même. Chaque centimètre fut léché, sucé de manière amoureuse. Elle aimait ce moment si particulier où la queue de son homme regonflait sous l’action de sa langue. Elle se sentait reine, telle une souveraine dominante le désir de l’autre. Délaissant la queue, elle prit en bouche les deux œufs qui se balançaient au rythme imprimé par elle.
Au vu du traitement infligé, la queue redevient raide, tressautant à chaque coup de langue. Elle tétait tout ce qui passait, tige, gland ou testicules. Au bout de quelques minutes, au moment où elle croyait réussir à le faire jouir dans sa bouche, il se retira. Il repassa derrière elle. Stéphanie reprit alors sa pose première, étendue à plat ventre, les mains ouvrant son postérieur. Cette fois-ci, elle ne mit pas longtemps à attendre la pénétration.
Prenant appui de part et d’autre du corps de la fille, il entra dans le vagin d’une seule traite. Stéphanie grogna, approuvant cette entrée sans douceur que son corps réclamait. Puis, il recula de quelques centimètres avant d’entreprendre des va et viens. Pendant quelques minutes, l’homme varia ses efforts. Tantôt lent, tantôt rapide ; parfois sortant presque entièrement, parfois faisant des gestes de courtes ampleurs.
Cette fois-ci, c’était Stéphanie qui se tenait aux portes de la jouissance. Les coups de reins résonnaient dans tout son corps. La sentant proche de basculer, l’homme ralentit pour faire baisser la tension. Puis, sentant le danger temporairement écarté, il reprit son manège, faisant de nouveau grimper Stéphanie dans les tours.
Elle leva son regard dans le miroir en face d’elle. Elle y croisa le regard de son homme. Elle vit aussi les siens à moitié révulsés par le plaisir. Au moment où elle allait jouir, son amant s’arracha de sa chatte si chaude pour s’enfoncer dans l’anus. Ce mouvement déclencha la jouissance de la fille qui rua.
L’homme l’a maintint solidement aux hanches. Puis, la soulevant, la mise en levrette. Il reprit le pilonnage méthodique de l’anus de sa maîtresse. Stéphanie criait son plaisir. Elle délirait sous l’effet des mouvements de la queue dans son cul. Peu importe si celui-ci était démonté. Seul comptait le plaisir que l’empalement lui procurait.
Les mouvements devenaient plus amples, plus fougueux. L’homme perdait sa maîtrise tandis que Stéphanie perdait, elle, ses esprits.
Elle et lui n’étaient plus que deux animaux s’accouplant. Leurs regards fous se croisaient dans le miroir, si semblable.
Dans un dernier mouvement, l’homme jouit, vidant une nouvelle fois ses couilles dans le cul de Stéphanie. Cela déclencha chez elle sa propre jouissance. Elle s’affala sur le lit, entraînant son amant qui tomba sur elle.
Au bout de quelques minutes, le souffle court, l’homme se redressa. La pièce sentait fort. Il souleva la jeune fille dans ses bras et l’amena dans la salle de bain où il entreprit de la nettoyer sous la douche. Il en profita pour en faire de même. Stéphanie était anéantie. Quand ils furent propres, l’homme alla faire couler un bain. Puis il y déposa sa compagne. Celle-ci prit le visage de son amant tendrement entre ses mains.
– Nous sommes si semblables…– Je t’aime ma sœur.– Je t’aime, mon jumeau.
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