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La pharmacienne

Chapitre 1

Hétéro
Ce premier jour de printemps, tout allait mal. Il pleuvait et pour tout arranger, ma femme était plus acariâtre que jamais. Je décidai d’aller acheter des fortifiants dans une pharmacie. La porte s’ouvrit automatiquement sans faire de bruit. Devant moi, une femme était juchée sur un escabeau en train de ranger des médicaments sur des rayons élevés. Elle me tournait le dos, ce qui me permit d’admirer son superbe fessier. Il était comme je les aime : très large, les jambes un peu courtes étaient en proportion, cuisses très dodues, mollets très marqués, chevilles assez fines. Mon regard devait être très lourd car elle se retourna tout de suite et me dit :’bonjour monsieur’. Je lui répondis les politesses d’usage pendant qu’elle descendait de son escabeau. Sa jupe, un peu trop serrée, remonta assez haut, suffisamment pour m’apercevoir qu’elle portait des bas et non les horribles collants habituels. Je me déplaçai légèrement pour la voir de profil, elle avait du ventre mais cela était compensé par une cambrure exceptionnelle et des fesses très proéminentes. Elle portait des escarpins avec des talons assez hauts.

Pendant que je lui expliquai ce que je souhaitais, je regardai son visage. Elle n’était pas des plus jolies : une chevelure châtain très clair, des lunettes à travers lesquelles de petits yeux vifs m’examinaient des pieds à la tête. Une bouche très large avec des lèvres fines, une peau blanche avec un peu de fard. Elle accusait la cinquantaine, ce qui n’était pas pour me déplaire car j’ai toujours aimé les femmes mûres, d’autant plus lorsqu’elles ont un cul superbe comme cela semblait être le cas.

Je ne sais pas pourquoi un climat de confiance s’installa tout de suite entre nous. Elle me proposa plusieurs produits qu’elle mit sur le comptoir et malgré tout, nos mains n’arrêtaient pas de se frôler. J’ai de petites mains pour un homme. Cela ne déplait pas aux femmes jusqu’ici, car cela me permettait d’accéder à des endroits très sensibles de l’anatomie féminine. Par contre, elle avait de grandes mains soignées. Quand ma main se posa par mégarde sur la sienne, elle ne la retira pas, au contraire. Des clients entrèrent dans l’officine et le charme fut rompu. Elle me demanda si je pouvais passer le matin avant 8 heures car à cette heure la boutique était calme.

J’attendis deux jours bien que le temps me sembla long. Il faut dire que son cul énorme me donnait des érections rien qu’à y penser. Donc, deux jours plus tard, j’arrivai devant la pharmacie. Tout était éteint. Je regardai ma montre, il était 7 h 30. Par acquis de conscience, je cognai à la devanture. Une porte s’ouvrit au fond de la pharmacie et elle me fit signe de passer par l’entrée de l’immeuble, située à côté de l’officine. Je pénétrai dans l’immeuble, une porte au rez-de chaussée était entrouverte, laissant passer un flot de lumière. Nous étions très contents de nous voir et sans le faire exprès nous nous embrassâmes très naturellement sur la joue. La pièce dans laquelle nous nous trouvions était sans doute la réserve. Après quelques mots, une atmosphère bizarre s’installa entre nous. Elle me dit :

-’Voici vos fortifiants, j’en ai rajouté deux autres que j’ai fait moi-même. Vous verrez, ce sont les gélules vertes, 8 par jour pendant une semaine.

Comme je voulus la payer, elle sourit malicieusement et dit que l’on verrait plus tard. Elle me proposa une prise de sang en ajoutant que cela lui ferait plaisir. J’acceptai donc. Plus tard je sus pourquoi. Elle me mit à la porte gentiment en me disant qu’elle avait beaucoup de travail de paperasserie à faire pour la sécurité Sociale. Elle me dit de ne pas oublier de prendre les gélules vertes. Je passai souvent devant la pharmacie, toujours bondée de monde. Elle avait comme adjointe une superbe jeune femme, style mannequin.

Une semaine passa : ma femme était toujours aussi acariâtre et la pharmacienne au gros cul et à la grande bouche me donnait des érections comme j’en avais rarement eu. J’ai un sexe d’une longueur normale mais d’une grosseur très largement supérieure à la moyenne. Ma femme s’en était toujours plaint. Mais je sais par expérience que beaucoup de femmes aiment les grosses bites. Mais en ce moment, ma queue était toujours à moitié gonflée et quand je bandais, je ne la reconnaissais plus : très épaisse avec un gland violet, énorme.

Ce jour là, je passai à 14 heurs devant la pharmacie, elle était vide, à part un homme qui se tenait près, très près de mon amie pharmacienne. Intrigué, je rentrai dans la boutique. L’homme détala aussitôt. Je ne suis pas particulièrement courageux mais je tendis le pied et il trébucha. Je lui sautai dessus et le plaquai au sol. Il ne remua plus, assommé sur le coup. Le reste se déroula très vite : la police, l’arrestation. L’assistante de la pharmacienne était rentrée de déjeuner. Aussi Elisabeth, c’était son nom, me proposa de venir chez elle pour qu’elle me soigne. Elle habitait au-dessus de l’officine un appartement très confortable. Elle me fit entrer dans le salon. Elle amena un drap qu’elle mit sur le canapé et me dit de m’allonger et de me mettre à l’aise.

Je me déshabillai, gardant seulement mon slip et m’allongeai sur le canapé. Elle revint au bout de quelques minutes avec un plateau sur lequel il y avait des fioles et diverses choses. Les volets étaient fermés. Elle alluma une lampe d’ambiance et se tint devant elle, faisant semblant d’ignorer le spectacle qu’elle offrait. Elle avait mis une blouse en nylon complètement transparente. Elle portait des sous-vêtement transparents ainsi que des bas et un porte-jarretelles noir. Elle avait chaussé des escarpins vernis avec des talons aiguilles très hauts. De profil, cela faisait ressortir la cambrure exagérée de ses hanches et donnait du galbe à ses jambes un peu courtes. Ma verge était dure à faire mal. Elle s’avança vers moi avec le plateau et se mit à genoux devant le canapé. Je voyais de près ses seins qui en fait n’étaient pas si petits que cela. Ils étaient très particuliers et à mes yeux d’autant plus excitants. Fixés très haut sur le torse, leurs auréoles faisaient plus de la moitié du sein, les pointes brunes étaient très longues et grosses. Je n’avais jamais vu de pointes de seins pareilles.
Elisabeth s’occupa de mes écorchures aux genoux en silence puis me dit :

-’Alors cela ne va pas avec ta femme ?’

Je lui répondis que non. Ses yeux étaient fixés sur mon slip, trop petit, duquel dépassait à la taille le gland entier, violet d’excitation. Elle m’aida à baisser le slip et à l’enlever complètement.

-’J’aime bien ta verge me dit-elle, c’est important, tu sais. Moi je les aime pas trop longues et bien grosses.’

Elle prit une fiole et en vida un peu sur la paume des mains, ensuite elle en enduisit la totalité de mon sexe. Elle se mit à le masser doucement et lentement. En même temps, elle me demanda :

-’Tu veux voir un film ? Je suis sûre que cela va te plaire. D’ailleurs, j’avais tout préparé car je savais que tôt ou tard on serait ensemble dans cette pièce.’

Elle se leva et alla au fond de la pièce et mit en marche un vieux projecteur. Elle éteignit la lumière et revint près de moi. C’était un fil muet en Noir et blanc qui datait des années 60.

LE FILM : Une femme bien en chair entrait dans une cuisine. Elle ressemblait étrangement à Elisabeth.

-’Je te présente ma mère, me dit Elisabeth.’

Elle caressait délicatement l’extrémité de mon gland. Un jeune homme entra aussi dans la cuisine. ’Mon frère, dit-elle’. La mère et le fils se disputèrent et la mère lui mit une claque. Le jeune homme se mit à pleurer. Sa mère le prit dans ses bras. Il lui dit quelque chose à l’oreille. La mère offusquée, mais pas trop, secoua la tête négativement. Le jeune homme insista, menaçant. Elle acquiesça et déboutonna lentement sa jupe qui tomba à terre. Elle portait des bas, soutenus par un porte- jarretelles et un slip qui bâillait. Le jeune homme avait ouvert sa braguette et sorti une grosse queue qu’il branlait tout doucement. La mère faisait semblant de pleurnicher en baissant sa culotte à mi-cuisses. À la demande de son fils, elle écarta les lèvres imposantes de son sexe et fit apparaître un gros clitoris Le jeune homme s’était approché de sa mère et, lui prenant la main, la posa sur son sexe.

Faussement hésitante, elle commença à masturber son fils. Puis ce dernier, reprenant son sexe en main, en dirigea le bout vers le sexe béant de la mère. Face à elle, il frottait son gland contre la toison épaisse de la femme excitée, puis sur le gros clitoris qui pointait. La mère gigotait de plaisir à cette caresse insolite. Le fils ne put se retenir longtemps. Des giclées de sperme jaillirent de la pine et s’écrasèrent sur le large ventre bombé de la mère, striant les longs poils noirs et les grosses lèvres bâillantes de trainées blanches d’un foutre abondant. La verge était encore dure et le jeune homme demanda quelque chose à sa mère qui obéit. Elle se tourna, présentant au fils son gros cul. Le jeune homme s’approcha et, prenant son temps, essuya l’extrémité de son sexe encore baveuse sur les grosses fesses blanches. La mère reprit la direction des opérations.

Elle fit s’allonger son fils sur le dos, sur la table de la cuisine. Elle prit une chaise et monta elle-même sur la table. Elle s’accroupit au-dessus de la bouche du jeune homme et, face à la caméra, se masturba avec un plaisir et une excitation évidentes. Soudain son ventre se contracta et une puissante giclée d’un liquide clair et épais sortit de son sexe et frappa violemment la langue du garçon qui branlait sans retenue son sexe redevenu dur. Une seconde giclée, puis une troisième aboutirent dans la bouche grande ouverte du fils qui, d’excitation, éjacula lui aussi avec tant de violence que le premier jet de sperme aboutit aussi dans sa bouche. La mère descendit de la table et, debout devant son fils, se pencha avec avidité sur ce corps qui tremblait encore d’excitation. Elle lapa avec délectation les trainées de sperme. Le fils pendant ce temps avalait le jus copieux de sa mère. FIN DU FILM

Elisabeth se leva, éteignit le projecteur et ralluma la lampe. Elle était rouge d’excitation. Elle se remit à genoux devant moi et continua sa délicate caresse. Pendant ce temps là, je caressai à travers la blouse les énormes pointes de ses seins qui étaient dures comme du bois. Elle me demanda comment j’avais trouvé l’extrait de film que nous venions de voir. Je lui répondis que je trouvais cela très excitant. Elle sourit et me demanda si je la trouvais vicieuse. Je lui affirmai que tout cela, et en particulier elle, était très excitant. J’ajoutai qu’elle allait me rendre fou si elle continuait ses caresses sur mon gland. Il faut dire que c’était une des plus grandes expertes que j’ai connues à ce jour dans ce domaine. Avec le pulpe de l’index, elle effleurait les zones sensibles de l’extrémité de ma queue, juste ce qu’il fallait pour provoquer un maximum de plaisir et s’arrêtait juste avant l’éjaculation. Elle enleva son slip. Celui-ci était trempé de mouille. Elle le plia, mettant à l’extérieur l’entrejambe dégoulinant de son foutre et effleura mon sexe avec.

C’en était trop. La chaleur bien connue m’envahit les reins et j’éjaculai en de longues giclées un sperme épais et gras, de longues traînées dont la plus puissante atteignit aussi mon visage. Elisabeth prit en bouche mon sexe tressautant et aspira les dernières gouttes qui restaient dans mes couilles. Ensuite elle lapa les traînées blanches, dégustant avec un plaisir non dissimulé mon jus. Elle remonta du bas ventre au thorax et vint chercher les dernières traces sur mon visage. Elle lécha mes lèvres et enfin nous nous embrassâmes longuement. Un baiser au goût de foutre prononcé.

-’Tu jouis beaucoup me, dit-elle. J’aime beaucoup regarder mon amant avoir du plaisir, le regarder se vider de son foutre. Mais ce que je préfère, c’est le sentir jouir dans ma bouche et ensuite déguster lentement son jus tiède. Je lui signalai que j’aimerais bien aussi la caresser partout. Elle se leva, je déboutonnai sa blouse transparente qui glissa à terre. Je dégrafai le soutien gorg, libérant les énormes bouts qui bandaient. Je les pris tour à tour dans ma bouche et les suçai longuement. Elle s’assit sur le canapé, les cuisses ouvertes au maximum . Elle avait une chatte comme je les aimais. Dans la forêt de poils châtains clairs et blancs, un gros clitoris pointait, de grosses lèvres épaisses étaient entrouvertes sur un con rose et luisant.

Agenouillé devant elle je commençai un long cunnilingus comme j’aime les faire. Tour à tour aspirant, caressant avec ma langue, toute cette chair féminine En même temps un index curieux explorait l’anus qui s’ouvrit sans peine et accueillit aussi le médium. Les doigts jouaient avec la corolle élastique à souhait. Ce petit jeu dura assez longtemps. Les grognements de plaisir d’Elisabeth montraient à quel point elle aimait la caresse. Je la fis se retourner et elle me montra son superbe fessier. J’écartai les fesses, dévoilant sa raie du cul et son anus brun. Ma langue remplaça mes doigts en un long baiser profond qui la fit se pâmer d’aise. Elle aimait beaucoup que l’on s’occupe de ses fesses plantureuses et de son anus accueillant. Ma bite était à nouveau dure, je me levai et l’enculai d’un coup sec, la pénétrant profondément. Ses grognements se firent plus fort pendant que je la ramonai à bonne allure. Je la tenais par les hanches et m’enfonçai au ras des couilles. Je sortis du cul pour entrer dans la chatte visqueuse. Je fus littéralement absorbé. Longtemps, je la ramonai et nous jouîmes ensemble. Aussitôt après, j’allai dans la salle de bain. Quand je revins de ma petite toilette, je trouvai Elisabeth assise dans un fauteuil, les cuisses très écartées en train de se caresser les yeux mi-clos. Elle avait remis le projecteur en marche.

LE FILM : La scène se passait encore dans la cuisine. Une jeune fille entra, c’était Elisabeth qui à cette époque devait avoir 20 ans. Elle portait des escarpins à hauts talons. Voulant prendre un pot haut perché, elle prit une chaise et essaya d’attraper l’objet. À cette occasion sa jupe monta très haut dévoilant ses jambes gainées de bas et son gros cul blanc qu’une petite culotte noire rendait encore plus indécent. Un homme entra dans la pièce. L’homme très intéressé par le spectacle s’approcha, les yeux rivés sur le cul qui remuait. En même temps il ouvrait sa braguette et sortait son sexe qu’il caressait lentement. La jeune fille faillit tomber en descendant de la chaise et fut rattrapée par l’homme. Elle le remercia en souriant quand soudain, elle aperçut le gros engin. Son père la fit mettre à genoux devant lui et lui prit la tête à deux mains, approcha la bouche de sa fille de la grosse verge raide. Elle se débattit un peu et ouvrit grand la bouche pour absorber le gros dard. Elle suçait avec application et soudain l’homme jouit, la jeune fille se recula et reçut les giclées grasses sur le visage et les cheveux.

Elisabeth se leva et alla couper le projecteur. Elle revint vers moi et soudain me dit :

-’Tu as vu tout à l’heure ma mère éjaculer dans la bouche de mon frère ?’

Je lui répondis que oui. Elle ajouta que dans sa famille, les femmes éjaculaient de mère en fille et cela depuis plusieurs générations. Je ne pus répondre car elle m’attira vers elle et me fit allonger par terre sur le dos. Elle vint au-dessus de moi et nous nous trouvâmes étroitement imbriqués dans un parfait 69. Sa grosse chatte mouillée se trouvait devant mes lèvres et je commençai à la lécher et à la mordiller pendant qu’elle avalait littéralement mon sexe. Dans la pièce, le silence était tel qu’on n’entendait que des bruits chuintants, entrecoupés de grognements de satisfaction. Soudain je la sentis se contracter et j’ouvris la bouche en grand.

Une puissante coulée de liqueur épaisse sortit de son sexe, suivie de deux autres moins importantes. Ma bouche était complètement pleine de cette crème odorante. J’étais tellement excité que je me mis à trembler de tous mes membres et éjaculai violemment entre les lèvres tièdes d’Elisabeth. Je dégustai lentement son foutre, gorgée par gorgée et trouvai le goût un peu trop parfumé mais délicieux. Nous restâmes longtemps dans cette position et je me mis à rêver à la première fois où, très excité, j’eus un tel tremblement. Une sonnerie de téléphone me tira de ma rêverie. Je revins sur terre. Elisabeth se leva en maugréant lâchant mon sexe quelle avait conservé en bouche. C’était sa pin-up d’adjointe qui l’appelait pour lui dire que la pharmacie était pleine de clients et qu’elle avait besoin d’aide. Elisabeth s’habilla rapidement. Elle avait les yeux cernés mais portait avec élégance un tailleur gris qui faisait ressortir ses superbes fesses. Elle me tendit un gros dossier :

-’C’est le journal intime de ma famille. Tu dois le lire avant notre prochaine rencontre.’

Elle m ’embrassa longuement et me donna les clefs de l’appartement. La nuit même, pendant que ma femme dormait, je lus d’une traite le journal intime de la famille d’Elisabeth. Il y avait toutes les écritures de la famille et je dois dire que c’était gratiné. Il y en avait pour tous les goûts : de l’érotisme de bon goût à une obscénité délirante. Le moins que je puisse dire, c’est que toute la famille ne semblait vivre que pour le sexe. Certaines pages étaient illustrées de photos ou de dessins d’un très grand réalisme. Mon sexe fut raide pendant la toute la lecture. J’étais tellement excité qu’à un certain moment, je partis tout seul. Je relus le livre plusieurs fois et c’est très excité qu’un matin à 7 h 30 précises, je grattai à la porte de la réserve de la pharmacie. La porte s’ouvrit et je me trouvai tout bête, le livre à la main devant une Solange plus snob que jamais qui me toisait avec sa morgue habituelle. Je m’excusai et voulut me retirer quand elle aperçut le livre. C’est pour la patronne me demanda-t-elle ? Surpris je répondis que oui. Elle voulut le prendre et comme je refusai, elle insista et me l’arracha des mains. Quel empoté celui-la dit-elle !Madame Elisabeth est chez une amie malade et elle me claqua la porte au nez.

Je rentrai chez moi très ennuyé. Deux jours passèrent. Elisabeth devait être rentrée. N’arrivant pas à dormir, je me levai de bonne heure et me trouvai à 7 heures devant la porte de la réserve. Je frappai et ce fut Solange qui m’ouvrit. Elle n’est pas rentrée, me dit-elle et comme je voulais m’éclipser, elle me prit par le bras et me fit entrer dans la remise. Elle referma la porte à clef et me balança une gifle. Ses yeux brillaient de colère. Vous n’avez pas honte, me dit-elle, de lire des horreurs pareilles. C’est déguelasse. J’accrus sa colère en lui disant qu’elle n’avait qu’à pas le lire. Elle ajouta : j’ai tout relu plusieurs fois et depuis je n’arrive plus à dormir, tout cela me trotte dans la tête et mon mari est en déplacement professionnel.

Soudain je m’aperçus que ses seins pointaient comme jamais à travers son pull collant. Les points apparaissent nettement. La glace qui était derrière elle me renvoya l’image de son dos. Sa jupe claire était toute mouillée sur les fesses et l’on voyait nettement la couleur du slip. Cette salope était excitée comme une chatte en chaleur. Je m’avançai et relevai sa jupe sur le devant et avant qu’elle put protester, je pris son entrejambe entre mes doigts. Elle se figea, me laissant faire. Je dégrafai la jupe qui tomba à terre et lui baissai rapidement collants et slip. Sa chatte rose luisait de jus. Je la renversai sur la table, lui écartai les jambes et collai mes lèvres contre son sexe dégoulinant. Pendant que je la suçais, elle se trémoussait dans tous les sens. Ma bouche collée contre l’orifice gluant et odorant, je déboutonnai mon pantalon et le baissai ainsi que le slip. Elle se releva pour voir mon sexe. Ses yeux s’ouvrirent en grand. Je pris sa main manucurée et pleine de bagues et lui demandai de me branler. Elle se leva et, face à moi, commença à me masturber avec beaucoup de science. Pendant ce temps, je lui écartai les fesses et explorai son cul.

À ma grande surprise elle me dit :

-’Le cul c’est bon !’

Et posant ses lèvres sur les miennes, elle enfonça profondément sa langue dans ma bouche. Elle me fit allonger sur le dos et venant sur moi, elle prit mon sexe et l’enfila dans sa chatte. Elle remua dans tous les sens. À un certain moment je la fis relever un peu et posai mon gland contre son oeillet. Surprise elle s’enfila elle-même sur mon pieu. Elle hoqueta. Elle se cambra en arrière et eut un orgasme très fort. Je la fis se mettre à quatre pattes et me plaçant derrière, je l’enculai à nouveau. Elle gémissait pendant que je la ramonais. Je la fis mettre à genoux devant moi et lui demandai de me sucer. Elle était tellement excitée qu’elle m’obéit tout de suite. Elle suçait pas mal en fait. Elle se branlait en même temps. Je me retirai de sa bouche. Je lui ôtai son pull et son soutif et je l’allongeai par terre. Je m’accroupis au-dessus d’elle et lui dit de me sucer le cul. Elle était tellement parti qu’elle s’exécuta. Elle écarta mes fesses et me lécha la raie. Sans que je lui demande elle m’enfonça sa langue dans le cul. C’était très bon. Quand je me levai, je m’aperçus qu’elle recommançait à se masturber. Cela m’excita et debout, au-dessus de son visage, je me finis à la main. Je jouis comme un porc, l’inondant en de longues giclées qui lui maculèrent le visage. Je me rhabillai en vitesse et prenant le fameux livre, je me sauvai sans demander mon reste. Et depuis je cherche une amie pour dialoguer...
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