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Philippe

Chapitre 5

Hétéro
REPRISE DES RÉVISIONS
La vie s’organise. Tous les soirs, le couple trouve dans la petite cuisine le repas promis. Annie est heureuse de dormir dans les bras de son bien aimé. Elle flotte sur un petit nuage rose. Philippe se charge de la ramener à terre. Il a une idée derrière la tête. — Dis, tu laisses tomber tes révisions, c’est pas bien. — Tu es là pour m’aider! — Oui, mais le jour du bac je n’y serai pas! Tu m’avais bien dis que tu révisais avec Martine, n’est ce pas? — Tu veux que j’aille chez elle? — Pourquoi elle viendrait pas ici? — Chez nous? — Oui. Il y aurait personne pour vous interrompre. Annie soupire. Oui pour les révisions mais plus question de caresses maintenant qu’elle est presque mariée, ni de fricoter avec François, Philippe ne serait pas d’accord. — Oui, insiste-t-il. Vous pourrez réviser en paix et même vous… amuser, ou plutôt, NOUS pourrons réviser et…— Nous caresser? Ensembles? s’étonne Annie. — C’est pas parce que je suis là que tout doit changer dans vos habitudes. T’aimerais pas? — Euh… si. — Demande leur de venir mercredi prochain. — François aussi? — Il ne participait pas? Si? Alors? Annie soupire. Si François vient, il exigera de faire l’amour avec elle, malgré Philippe. Saura-t-elle l’en empêcher? — Ça te fera rien? Tu es sûr de bien vouloir? — J’ai envie de mieux les connaître moi aussi. Elle ne se pose plus de question. Puisque son Philippe le désire, elle invitera Martine et son frère.
Celle ci hésite à venir troubler l’intimité du couple. Ce sera différent d’avec Lucien. Il faut la persuasion de Philippe et François pour qu’elle accepte. Le mercredi, elle se présente seule à l’appartement. Annie et son copain ont déplié une table qui prend presque toute la place au salon. — François n’est pas là? s’étonne Philippe.
— Non, pas aujourd’hui. Cela contrarie les plans du jeune homme. Il comptait sur le garçon pour convaincre les filles à l’échange. Bah, on verra! La mise en route est laborieuse. Les filles sont intimidées, Martine par le nouvel environnement, Annie qui se demande comment se passera la suite. Avec l’aide de Philippe les révisions avancent grand train. Les filles se décontractent. Les chapitres succèdent aux chapitres. — Je crois que nous avons bien travaillé, estime le jeune homme en refermant son livre. — Oui, c’était nécessaire, admet Annie. — Tu l’as dit! renchérit Martine satisfaite du travail effectué. Je sais pas la note que j’aurai à la prochaine interro mais je peux affirmer que sans vous j’aurai eu une bulle! Merci à vous deux. — C’est Philippe qu’il faut remercier. — C’est une idée mesdemoiselles! J’accepte d’être remercié et je peux vous indiquer comment! — Précise! commande Annie qui croit deviner. — Ben en vous caressant comme vous aviez l’habitude de faire…— Oh! s’indigne Martine, tu lui as dit! — Mais il n’y a aucun mal, la rassure Philippe. Je suis curieux de vous admirer. La jeune fille est vexée que leur secret soit dévoilé mais suit le couple dans la chambre. Annie l’enlace et cherche ses lèvres. Martine voudrait résister mais n’en a pas le courage. Elle a trop envie des baisers de son amie. Depuis l’installation de Philippe elle n’y a plus goûté. Il est juste après tout qu’il leur accorde ce plaisir. Elle tique un peu lorsque qu’il tire la jupe mais la langue d’Annie dans sa bouche monopolise son énergie. Une partie de caresse à six mains commence. Martine emportée par le désir manipule la queue du jeune homme. Philippe regarde Annie. Elle comprend son envie. Un soupir… Qu’il la prenne puisqu’il la désire. Non, Elle lui donne! C’est elle qui lui fait cette offrande! Elle l’encourage d’un sourire et accapare la bouche et la poitrine de Martine dont la main n’a pas lâché la verge. Philippe se contorsionne pour se placer entre les jambes. La main comme par hasard pousse la tige vers le bas, juste en face du sexe. Philippe s’avance. Les cuisses s’écartent, le gland touche les lèvres du sexe. Martine gémit. Un mouvement du bassin, la queue qu’elle a lâchée s’enfonce. — Mmmh! gémit elle en emprisonnant la figure d’Annie. La possession est totale. Philippe donne des coups de rein auxquels Martine répond en avançant le bassin. Sa tête dodeline de part et d’autre. Annie ne peut plus l’embrasser et se venge en mordillant les tétons. — Aaaaah! Martine raidit, puis lance les jambes sur le coté. Elle tambourine des talons les fesses de Philippe qui amplifie ses mouvements. — Aaaah! — Ouiiii!
Les deux partenaires s’affaissent. Annie les laisse respirer quelques secondes puis tire Philippe en arrière et l’embrasse sur la bouche. Elle est heureuse du plaisir qu’ils ont eu. — Merci ma chérie, merci. — Ce n’est pas moi qu’il faut remercier, sourit elle. — Si, car c’est toi qui m’as fait ce cadeau. — Ça t’a fait plaisir? — Oh oui!… Martine! — Oui Philippe. — Aide moi à redonner à Annie le bonheur qu’elle nous a procuré. — Je vous ai rien procuré du tout. — Tais toi et laisse nous faire. Martine et lui se jettent sur Annie, la chatouillent, la caressent. Pendant que Martine rend les caresses sur la poitrine, Philippe qui a récupéré sa vigueur plante son dard dans le vagin qui l’attendait. Annie l’enserre dans ses bras. Les deux amants roulent sur la couverture. Martine ne peut qu’assister au déferlement de jouissance. Ses mains frôlent les corps toujours en mouvement. Dès qu’elle veut pratiquer une caresse précise, le couple change de position et elle doit rechercher un autre emplacement pour ses caresses. A la fin elle s’écarte et regarde avec une pointe d’envie la fin de l’étreinte.
— Vous étiez beau, dit elle à Annie dans la salle de bain où elles se sont réfugiées. On voit que vous vous aimez! — Oui Philippe est un merveilleux amant. J’espère qu’il t’a fait jouir. — Oui, mais sûrement pas autant que toi. Quand elles reviennent au salon, Philippe a servi à boire. — Oui, il est temps que je m’en aille, admet Martine. Je vous remercie tous les deux de cette après midi. — Demande à ton frère de venir la prochaine fois. — Tu crois Philippe? T’as pas peur qu’il nous gêne? — Pas du tout! La porte refermée, Philippe enlace Annie. — Laisse moi enfiler ma robe de chambre et remettre un peu d’ordre. — Euh… J’ai envie de toi! — Encore … Oui, je vois, ajoute-t-elle en souriant à la vue de la verge qui se soulève toute seule. Elle tend la main pour la caresser. Il la pousse sur le lit et s’agenouille entre les cuisses qu’il écarte. Il pose la bouche sur les lèvres du sexe. — Aaaah! Pourquoi tu m’enlèves mon jouet! — Pardon ma chérie. Il s’allonge sur la couverture et Annie se place au dessus de lui,. Elle aime sucer cette queue, la mignarder la bisouter pour la remercier du plaisir qu’elle lui donne. Elle s’applique à varier les caresses pendant que Philippe s’amuse à introduire les doigts dans les deux orifices. Ils jouissent ensemble. Annie maintient la tête de son amant prisonnière entre ses cuisses pendant qu’elle avale la semence encore abondante malgré les deux étreintes.
— Pourquoi tu tiens à ce que François vienne? interroge-t-elle lorsque, un peu calmés, ils replient la table de travail. — Ben, puisque j’ai fait l’amour à Martine, il est bon que tu aies une consolation. — Tu me suffis, tu sais. — Puis… euh…— Je parie que t’as des visées sur ses fesses! — Euh… On peut rien te cacher, avoue-t-il. — Ben! T’es un drôle de phénomène, toi! — Tu regrettes? — Pas du tout… Laisse moi, se défend elle contre les mains qui soulèvent son déshabillé… Tout à l’heure… S’il te plaît. — Bon, j’accepte d’attendre, mais pas longtemps. — Tu es insatiable! — Que veux tu, t’es tellement bandante!
Le mercredi suivant, François accompagne Martine. Il est d’humeur morose. Il est jaloux de Philippe. Il a confessé sa sœur qui lui a avoué le plaisir éprouvé la semaine précédente. Il veut se venger sur Annie, et devant le garçon, cela lui fera les pieds! Il maîtrise mal son impatience devant la longueur des révisions. — Vous avez pas encore fini? demande-t-il en refermant son cahier. — On voit bien que t’as pas le bac en fin d’année toi! Laisse nous terminer cet exercice, le tance sa sœur. Où va se dérouler la partie récréative? Dans la petite chambre? Il regrette le salon de Julien et les canapés accueillants. Ici, il faut enlever la table si on veut avoir assez de place. Ah! Ils ont fini, c’est pas trop tôt! Il s’avance pour enlacer Annie, mais la jeune fille se tourne vers Martine et lui présente les lèvres. Déception! Et en plus Philippe qui le dévisage d’un air moqueur! — Je crois qu’on ferait mieux d’aller dans la chambre, propose celui ci. Les deux filles main dans la main le suivent. François emboîte le pas. Il se place derrière Annie et patouille la poitrine pendant qu’elle et sa sœur s’embrassent. Où est Philippe? Oh! Il est derrière lui! Mais, mais… Il lui caresse le cul, déboucle la ceinture, dézippe la braguette. C’est un vrai PD ce mec! — Aah! Une main enveloppe la verge. Une voix murmure à son oreille: — Ne crois pas que tu vas baiser ma meuf comme ça! Va falloir y passer toi aussi! La main qui décalotte le gland l’empêche de répondre. Annie lui fait face et sourit à la vue du sexe dégagé. — Oh! On dirait que tu es pressé mon gros! Tu permets qu’il me baise? demande-t-elle à Martine. Tant qu’il n’aura pas tiré son coup, il ne nous laissera pas tranquille. — Je te déshabille, propose celle ci. — Mer…La bouche de François la bâillonne. Elle se laisse emporter par les caresses du frère et de la sœur. Elle n’a pas honte comme lorsqu’elle était seule avec son père. Philippe est là, qui lui sourit! François enjambe son pantalon et son slip descendus sur les chevilles. Il pousse Annie contre le lit. — Martine s’il te plaît! Philippe présente sa queue aux lèvres de son amie. — Enduits là bien de salive, je ne veux pas faire du mal à ton frère. — Oh! Tu veux l’enc…Elle n’ose pas achever. — Pourquoi pas? Ça te gêne? En tout cas ça a pas l’air de le perturber lui. La jeune fille obéit. Elle prend la queue en main et la lèche sur toutes les faces. Elle veut la mettre en bouche, il se retire. — Non, pas tout de suite, tout à l’heure, je te promets. Il se place derrière François qui a embroché Annie. — Ecarte les fesses! Martine se précipite. Ça lui plait de participer à la sodomie. — Aaaah! gémit François quand la verge pénètre et le pousse contre Annie. — Ouiii! crie celle ci. J’aime quand tu te fais enculer, tu baises mieux! Le trio coordonne ses mouvements. Martine les contemple amusée. Elle n’est pas jalouse, Philippe a promis que ce serait bientôt son tour. Ils ont le temps jusqu’à six heures du soir!
François succombe en premier laissant Annie sur les berges de la jouissance. Philippe se retire et présente sa queue raide à Martine. — A ton tour. — Une seconde. Elle prend un mouchoir en papier et essuie les traces humides avant de la sucer. Il la laisse faire quelques secondes et se retire. — C’est pas ta bouche que je veux mais ta chatte! La jeune fille rampe à reculons sur le lit, sépare les cuisses et écarte les lèvres de son sexe. Philippe s’avance. La verge trouve sa place et s’enfonce dans le vagin trempé de sécrétions. — Aaaah! s’écrie Martine comblée. Annie apporte ses caresses. — Hein qu’il baise bien mon Philippe? — Ouiii!… Aah! François s’approche. Il est vexé. Sa verge pend misérablement au contraire de l’autre garçon qui fait braire sa sœur! Il quémande une caresse à Annie. Bonne fille elle triture la limace souple. Cela fait du bien au jeune homme mais c’est insuffisant pour lui rendre sa rigidité. Martine atteint les sommets de la jouissance. — Ouiii!… Aaah!… Je jouis… Aaaah!… C’est trop bon! Le plaisir de sa sœur fait mal à François qui s’isole aux toilettes. Là il se masturbe en vain. — Qu’est ce que tu fais François? Viens me rejoindre dans la salle de bain, appelle Martine.
Les jumeaux se douchent ensemble et reviennent dans la chambre s’habiller. Autant Martine est radieuse, autant son frère est morose. Pelotonnés l’un contre l’autre Philippe et Annie les contemple en souriant. — A demain! lance Martine. — A demain. Tu m’embrasses pas? — Mais si grosse bête! Les deux filles s’enlacent. François après une poignée de main à Philippe pelote Annie qui rit de bon cœur avant de le pousser dehors. — A demain garnement!… A nous maintenant, dit elle en se jetant sur Philippe. Fais moi jouir! J’ai été brimée, tu sais. — François n’a pas été à la hauteur? — Non! Il m’a laissée en plan. — Mon pauvre chou, heureusement que je suis là. Regarde ce que je te réserve, annonce-t-il en secouant sa verge qui pointe comme s’il n’avait pas encore éjaculé. — Oh oui! Viens ici au chaud ma toute belle! Annie tire Philippe par la queue jusque dans la chambre. Sans la lâcher, elle recule sur le lit et se l’enfonce dans le vagin. — Aaaaah!… Aah!… Elle a rai… Aah!… raison Martine… Aah! C’est trop… Aah!… trop bon!
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