RETROUVAILLES FAMILIALES Annie s’assied sur le lit. Philippe lui prend la main, la porte à ses lèvres pendant que Chloé danse sur son sexe. — Aaaah! Que c’est bon!… Aaaah! Elle reste immobile quelques secondes puis se soulève. La verge de Philippe glisse hors de l’étui de chair et tombe sur la cuisse. Chloé disparaît dans la salle de bain. Ils entendent la douche. Elle reparaît essuyant les gouttes qui constellent son corps. — Je te choque n’est ce pas? Avoue… je ne t’en voudrai pas. — Euh… Un peu. — Un peu seulement? — Euh… oui. Vous… pardon, tu sais, je ne m’attendais pas… Philippe m’a rien dit. — Bien sûr, il avait peur de te choquer. Peut être, mais, après ses confidences à elle sur les relations avec son père, il aurait du lui dire qu’il en était de même avec sa mère. Ce manque de confiance la peine. Il comprend ce qu’elle pense. — Excuse moi ma chérie, je me rends compte que j’aurais du t’en parler. Tu me pardonnes? — Tu ne le mérites pas! — Chérie! Chloé les regarde. Quelque chose lui échappe. Ce n’est pas l’inceste qui perturbe la jeune fille. Elle interroge Philippe du regard. — Tu lui dis, propose celui ci à Annie. — Non, c’est toi. — Que se passe-t-il? s’inquiète Chloé. — Ben voilà, Annie m’a avoué quand nous avons commencé à nous fréquenter que son père et elle… euh… font… euh… enfin, elle me reproche de pas avoir eu la même franchise à son égard. — Et je la comprends cette petite! Fiche le camp mauvais garçon! Va rejoindre ton frère et ta sœur qui ont hâte de… euh… de te voir… Euh… ça ne te choque pas Annie? Tu sais, nous sommes très libres dans la famille. — Je m’en rends compte. — Allez file, fiston, ils t’attendent… non, reste ici, Annie. Elle retient la jeune fille qui suivait Philippe. — Vous voulez m’épargner le spectacle de votre fils baisant sa sœur? — Non, pas du tout, allons les admirer du balcon… Oui, les admirer, j’aime bien les voir faire l’amour. Je t’ai demandé de rester pour mieux faire connaissance.
Les deux femmes s’accoudent à la balustrade. Chloé interroge Annie sur ses études, sa famille, ses amis. Elle se justifie de sa conduite vis à vis de Philippe et Lucas. — Tu sais, moi, j’ai attendu que mes fils découvrent l’amour dans d’autre bras avant de coucher avec eux. Par contre je ne jurerais pas que Nicole n’a pas été dépucelée par l’un d’entre eux. — C’est pareil pour moi, je veux dire avec mon père. Il n’y a que depuis quelques mois que nous couchons ensembles. Un peu avant que Philippe débarque dans ma vie. — Il couche aussi avec ta sœur n’est ce pas? — Oh non! Plus maintenant! Elle refuse. Elle lui en veut parce qu’elle n’avait que douze ans quand il a commencé. — Je la comprends. C’est traumatisant à cet âge. En bas Philippe est pris d’assaut par son frère et sa sœur qui se battent pour être le premier à bénéficier de ses faveurs. Lucas gagne. Philippe se colle dans son dos et caresse le ventre, s’empare du sexe et le masturbe. Chloé épie Annie du coin de l’œil. La jeune fille semble accepter de partager son ami. Un bon point pour elle. Nicole un peu vexée d’être supplantée pousse les deux garçons à l’eau. Ils plongent sans se délier. Lucas s’accroche à l’échelle, Philippe se baisse derrière lui puis le soulève. Annie devine qu’il vient d’enfoncer la queue dans le cul de son frère. — Ce n’est pas que ça me plaise beaucoup ce que mes garçons font ensembles, mais Lucas est timide avec les filles. Annie lève un sourcil étonné. Timide? Il n’en donnait pas l’impression tout à l’heure avec Nicole. — Oui, poursuit Chloé. A part moi et ses sœurs, il ne connaît pas de femmes. Je suis inquiète. Pourvu qu’il ne tourne pas mal. Elle se tourne vers Annie. — Tu pourrais pas essayer toi? — Euh… moi? s’écrie-t-elle interloquée. Quelle famille! — T’as l’air si gentille, tu ne peux pas me refuser. — Euh… Que va dire Philippe? — Je suis sûre qu’il sera d’accord. Descendons les rejoindre. Les garçons sortent de la piscine. Annie s’attire un regard noir de la part de Nicole en isolant Philippe. Elle n’en tient pas compte, la gamine attendra bien quelques minutes, elle veut lui parler. — Tu te rends compte? se plaint elle, ta mère qui me propose de baiser avec Lucas! — Ça t’embête? — Oh toi aussi tu t’y mets? Qu’est ce que vous avez dans cette famille! — On s’aime les uns les autres… N’en parlons plus puisque cela te gêne. — Ta mère me l’a demandé comme un service, murmure-t-elle rêveuse. — Je me joins à sa prière… Avoue que ce n’est pas un grand sacrifice qu’on te demande, poursuit il en lui mordillant le lobe de l’oreille. Il est pas mignon mon frangin? Et je suis sûr que tu feras plaisir à tout le monde, toi y compris. — Oh vous alors!… Oui, oui, je te le laisse, déclare-t-elle à Nicole qui s’approche pour réclamer son du. Elle soupire. Elle doit s’habituer à partager son Philippe. Elle en avait eu un avant goût avec Martine et chez Sylviane. Le frère et la sœur s’étreignent. Elle se frotte contre lui. Le couple dandine en s’approchant du bord de l’eau où ils plongent. Pour Annie c’est la répétition de ce qu’elle a vu du balcon. Elle s’assied à coté de Lucas. Elle est intimidée. Comment faire avec ce garçon soi disant emprunté avec les filles? — Tu aimes bien ton frère, n’est-ce pas ? — Oh oui, et toi? — Oui. — Il te fait l’amour? — Oh oui, plusieurs fois par jour. — J’aimerais être comme lui, faire l’amour à des filles. — C’est pas ce que tu fais? Je t’ai vu du balcon tout à l’heure. — Oh! Avec ma sœur? Ça compte pas. — J’ai cru comprendre que ta mère aussi. — Oui et mon autre sœur. — Excuse du peu! Trois femmes rien que pour toi! — Je t’ai dit ça compte pas! — Tu te rattrapes avec les garçons alors? — Oh! Non, y a qu’avec mon frère. — Tu aimes ça, n’est-ce pas! Lucas ne répond pas. Il contemple sans les voir, son frère et sa sœur qui troublent la surface de l’eau par leurs mouvements désordonnés. Annie tente une approche directe. Elle pose la main sur la cuisse du garçon. — Et moi je te plais pas? Oh si, je vois! Il a honte de la brusque érection, qu’il tente de soustraire aux regards en refermant les jambes. Peine perdue, le bout de la verge pointe. Annie la gratte de l’ongle. — Mmmh! La jeune fille enfonce la main entre les cuisses serrées et enveloppe le sexe. — Mmmh!Elle tire sur la fine peau, découvrant le gland. — Mmmh! Tout à coup Lucas se lève. — Où tu vas? interroge la jeune fille que la timidité du garçon amuse. — Me baigner. — L’eau est bonne? — Oui, oui. Il plonge. Philippe en a terminé avec Nicole. Le couple reprend haleine en se tenant à l’échelle. Annie plonge à son tour. Elle nage vers Lucas. — On dirait que tu me fuis, je te fais peur? — Dis, tu peux encore me caresser comme tu l’as fait? murmure-t-il sans la regarder. Elle tâtonne sous l’eau, reprend la verge tendue et la masturbe doucement. — On dirait que ça te plaît. — Aah! — Tu aimes quand tes sœurs le font? — Elles m’ont jamais caressée ainsi. — Sans blague? Et comme ça? Annie plonge. Elle porte le sexe en bouche. Elle le suce trois ou quatre fois avant d’émerger reprendre de l’air. Lucas reste figé, la bouche ouverte. Annie entend le rire de Philippe. Elle lui sourit, il l’encourage d’un signe de tête. — Embrasse moi, ordonne-t-elle à Lucas. Cela, ses sœurs lui ont appris. Il étonne Annie par sa science. Ces préliminaires érotiques émeuvent la jeune fille. Point de caresses, c’est d’un bon gros sexe dans la chatte dont elle a besoin. Elle prend celui de Lucas l’insinue entre ses cuisses et descend dessus. — Aah! — Aah! Comme tout à l’heure Nicole, elle s’accroche d’un bras à l’échelle et de l’autre à l’épaule de son partenaire. La queue est douce dans son ventre. Elle est plus fine que celle de Philippe, mais au point où elle en est, cela n’a aucune importance. A son tour elle déclenche des petites vagues à la surface de la piscine. Philippe s’approche d’elle. — Il baise bien mon frangin n’est-ce pas? — Aah! — Tu es du même avis que maman n’est-ce pas? — Aah! — Vous ne savez pas le plaisir que vous me faites, déclare Chloé qui s’approche à son tour. — Aah!… Aa!… Aah!… Aah!… Aaaaah! — Continue Lucas, encourage son frère, tu la fais jouir! — Aaaaah! — Aaaaah! C’est fini. Lucas disparaît sous la surface. Philippe plonge et le ramène à l’air libre, soufflant, crachant. Il le confie à Chloé et Nicole qui le tire hors de l’eau et s’approche d’Annie. — Merci ma chérie, merci. Elle ne répond pas. Elle tient toujours l’échelle. Elle est encore sous le choc après l’orgasme. Philippe soulève une cuisse. Son sexe trouve son chemin. — Aah! Oui, elle la reconnaît, c’est la queue de son amant, de son homme, à nulle autre pareille! Ah! Quelle est douce! — Aaaaah! Une décharge la secoue. Annie entoure le corps de Philippe de ses jambes. Elle danse sur le manchon qui pénètre profondément. — Aaaaah!Un autre orgasme. Son Philippe peut baiser qui il veut pourvu qu’il ne l’oublie pas elle. — Aaaaah! Elle est coincée contre l’échelle. Elle n’en a cure. Elle ne vit que pour le plaisir qui la submerge. — Aaaaah! Encore un orgasme! Ah! Les jets de sperme! C’est bon! Oh! La verge qui se retire! Dommage… — Aidez moi! appelle Philippe. Lucas et Chloé sortent Annie. Ils étendent la jeune fille sur une chaise longue. Chloé l’entoure d’une serviette et la câline doucement. Les deux jeunes sont intimidés par ce déferlement de jouissance. — Calme, calme, c’est fini! Tu sais jouir toi au moins, sourit la jeune femme. Philippe s’essuie. — C’est pas que je ne me plaise pas en votre compagnie, mais nous devons rentrer Annie et moi. — Je vous raccompagne à Paris. — Pas la peine maman, Nous prendrons le train. La gare n’est pas loin, j’ai vu ça à notre arrivée. Ça nous donnera l’occasion de découvrir le chemin pour venir un autre jour. Tu viens Annie? — Dis, Philippe, si tu étais gentil, tu irais chercher mes affaires dans la chambre. J’ai la flemme de monter. — Je vous conduis en auto à la gare, je ne voudrais pas que cette petite tombe d’épuisement en route… Chloé les embrasse sur le quai. — A bientôt mes enfants. — A bientôt maman. — A bientôt Chloé. Ils se calent dans une encoignure d’un wagon. — Alors qu’est-ce que tu penses de ma famille? Pas trop déroutante? — Non. Tu sais, est-ce que ta mère pourrait inviter Sylviane et mon père, oh! Pas ensemble rassure toi! — C’est une excellente idée. Je suis sûr que maman les appréciera. (A suivre…)
