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le photographe

Chapitre 1

Hétéro
Coucou ! C’est encore moi ! J’espère que vous allez aimer cette nouvelle histoire.

Il est photographe. Il a 19 ans. Il est brun, les cheveux bouclés. De beaux yeux noisette, une bouche gourmande. Il porte un tee-shirt noir avec un col en V plutôt serré qui laisse deviner ses bras musclés, son torse et ses abdos. Je tairai son nom. Il ne sort pas de mon imagination…
Ce matin, je suis venue dans son studio pour une séance de photos. On s’est rencontrés grâce à une amie commune. Il m’a proposé de poser pour lui. J’ai accepté. Je suis intimidée. Mais je rentre dans son studio.
Il est là, derrière son appareil posé sur un pied, en train de faire des réglages. Le studio est assez petit, il y a un écran blanc en face de l’appareil photo. Il y a un lit à côté, une chaise, un parapluie, une coiffeuse, une malle de vêtements.
Il me dit bonjour avec son plus beau sourire. Je le lui rends avec délicatesse. Il me met à l’aise tout de suite en plaisantant sur lui, me demandant si j’ai déjà posé. Je lui réponds que non. Il se moque gentiment de moi en me voyant un peu timide (ce n’est pourtant pas mon genre). Nous rigolons tous les deux et je me détends.
Je porte un short en jean plutôt court. Avec un tee-shirt bouffant qui met en valeur ma poitrine. J’ai 18 ans depuis peu. Je suis danseuse et étudiante.
Il me demande de me mettre devant l’objectif afin qu’il puisse finir les réglages. Je me place, attends qu’il ait fini. Je lui pose des questions sur lui, sa vie, on discute de moi, de la photographie, de tout et de rien. Puis il me montre la malle de vêtements et nous nous y dirigeons pour choisir quoi me mettre. Il choisit une robe déchirée, trouée, et sale. Il se retourne et je la mets. J’enlève d’abord mon short. Je me dis qu’il doit entendre ma braguette s’ouvrir, le bouton se détacher, le jean glisser sur mes jambes. Puis le froufrou de mon tee-shirt que j’enlève. Je suis en sous-vêtements. Il ne dit rien. J’espère intérieurement qu’il se retourne et qu’il… Il ne se retourne pas. J’ai enfilé la robe. C’est bon, dis-je. Il se retourne et me regarde. Je rêve ou il y a une bosse sous son pantalon ? Non, je me fais des idées… Il a un regard approbateur envers ma tenue. Il s’approche doucement et porte ses mains à mes cheveux avec une douceur terrible. Il défait doucement l’élastique qui retient mes cheveux prisonniers. Mes cheveux se libèrent et tombent en cascade sur mes épaules presque dénudées par cette robe de souillon. Je plante mon regard dans le sien. Il ne dit rien. Il a pris un air de professionnel, très sérieux et, soudain, très attirant. Je sens un désir sourd s’emparer de moi… Il passe ses mains dans mes cheveux et me décoiffe dynamiquement. Il frotte mes cheveux, fait des nœuds, met du volume, rajoute de la laque un peu. Je me laisse faire bien que je n’aime pas qu’on touche trop à mes cheveux. Mais lui, c’est différent. C’est excitant. Il est proche de moi. Parfois nos corps se touchent.
Il prend du maquillage noir et m’en étale sur les joues, le nez, le front… Je me regarde dans la glace, je ressemble à une évadée, une réfugiée ou une fille du voyage. Il s’éloigne, me regarde. Puis il revient vers moi et, toujours avec son air sérieux, me dit : « Le soutien-gorge se voit trop, ça ne va pas. Tu pourrais l’enlever ? ». Quelque peu surprise, je m’exécute en ne le quittant pas des yeux. L’ambiance se chauffe d’un cran. Je retire le soutien-gorge de dessous la robe et le jette avec mes affaires. Puis il enlève son écran blanc. Et derrière, le studio n’est pas refait sur les murs. Il me demande d’aller contre le mur. Je m’appuie contre le mur, il approche son appareil photo et je commence à prendre des poses. Il donne des directives. Le regard plus bas, FLASH, ouvre un peu la bouche, FLASH, baisse-toi, dénude ton épaule, FLASH, regarde-moi, relève un peu ta robe, FLASH, montre tes dents, FLASH, sois sauvage, FLASH, renverse la tête en arrière, FLASH ! Le désir monte et je me sens féline. Mes pauses deviennent de plus en plus osées. L’ambiance se chauffe encore d’un cran.
On va changer d’habit. Il prend une veste en jean, la sienne ! Et il me la tend en me demandant d’enlever la robe, de remettre mon short et de ne mettre que la veste sur moi, rien en dessous. Je le regarde, un regard interrogateur. Il affirme ses paroles. Il se tourne. J’enlève la robe, je suis en culotte, j’attrape mon short, je ne le regarde pas, je me suis mis dos à lui. Soudain, je sens ses mains sur mes épaules nues. Je pousse un cri et, par réflexe, je me cache les seins. Il me maintient dos à lui et dépose un baiser dans mon cou, ma nuque. Il se colle à moi et je sens son sexe dur contre mes fesses. Je garde les bras serrés sur mes seins mais une vague version tsunami de désir déferle sur moi. Je me mords les lèvres pour n’en rien laisser paraître. Il glisse ses mains sur mes hanches qu’il caresse doucement. Je frémis sous cette caresse. Il ramasse se veste en jean et me la pose sur les épaules. Je l’enfile. J’enlève le noir que j’ai sur le visage, je me regarde dans le miroir, j’ai les joues rouges de désir. Il est retourné à son appareil, je n’ose pas le regarder.Je reviens devant lui et son objectif, et je reprends des poses lascives ou sauvages, félines ou innocentes. Il continue à me donner des directives, qui ressemblent à des ordres. Parfois, je lève les bras et la veste en jean s’ouvre, découvrant la quasi-totalité de mes seins. Le studio est sombre, hormis la lumière qu’il a posée sur moi, l’ambiance est propice aux aléas du désir. Je vois son pantalon s’orner d’une belle bosse qui me plaît terriblement. Je m’amuse à planter mon regard dans le sien en le provoquant, je semble lui dire « ose venir me toucher », ou a détourner les yeux comme timide et rougissante. Je me sens humide et bouillante.
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