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La pièce rapportée

Chapitre 1

Vacances avec la belle-famille

Voyeur / Exhibition
Lilly et Amaury se sont rencontrés il y a quelques mois, en hypokhâgne.C’est une petite brunette à lunettes, fluette, au look discret. Détestant attirer l’attention, elle a toujours des tenues passe-partout qui font qu’on ne la remarque pas. Sa voix est douce, mais on l’entend rarement. Elle s’est toujours sentie en décalage, trop intelligente et raffinée pour son milieu populaire pendant son enfance et son adolescence, trop gourde et mal assurée pour le milieu intellectuel bourgeois qu’elle côtoie depuis qu’elle a commencé ses études supérieures.
Amaury au contraire a la confiance confinant a l’arrogance de ceux qui ont toujours dominé, que ce soit intellectuellement (il a toujours été un excellent élève), physiquement (c’est un grand et beau blond aux yeux bleus) ou socialement (il est issus d’une famille de la grande bourgeoisie française). Il a très vite été attiré par Lilly: par son tempérament mystérieux voir secret, par la pertinence de ses interventions en classe, par ses traits fins, sa silhouette harmonieuse et son élégance sobre. Sa façon de rougir et de détourner le regard quand il venait lui parler l’a fait fondre.
Lilly à tout de suite été séduite par ce grand échalas au sourire radieux, par son mélange de douceur, de tendresse, et d’ironie mordante. Elle en est tombée folle amoureuse. L’alchimie entre eux a été immédiate. Amoureux transis, passants leur journées et leurs soirées ensemble, l’arrivée des grandes vacances a été une grande angoisse pour Lilly.Comme chaque été elle allait partir trois semaines avec ses parents dans un bungalow dans un camping du Midi. Trois semaines sans son chéri, impensable. Bien sûr elle aurait pu taper du poing sur la table et rester à Paris, elle était majeure après tout. Mais elle dépendait encore de ses parents financièrement, et surtout ce n’était pas du tout dans son tempérament de se dresser ainsi contre la volonté de ses parents. Et leur volonté était claire: ils voulaient partir en vacances avec leur fille adorée, comme chaque année.
A force d’insistance, elle avait réussi à les convaincre d’inviter Amaury à ce joindre à eux. L’idée venait de lui: il n’était jamais parti en vacances en camping, il trouvait l’idée amusante, et puis il savait que c’était pour lui la seule possibilité si il voulait passer l’été avec son amoureuse.
A l’arrière de la voiture qui les emportaient dans la nuit vers leurs premières vacances ensemble, Amaury remarqua une première différence entre la Lilly de Paris et la Lilly vacancière : la robe. Pendant tous les premiers mois de leur relation, pas une seule fois il n’avait vu Lilly en robe! Ce n’était que jeans et pantalons, sweats et pulls. Et là, enfin il l’a voyait au premier stade de sa métamorphose estivale: une petite robe d’été en coton avait fait son apparition. Lilly était capable de coquetterie! Elle s’endormit la tête tendrement posée sur l’épaule d’Amaury.Il avait la main posée sur la cuisse de Lilly. Il sentait son souffle régulier contre son épaule. Elle dormait paisiblement. A l’avant, sa mère avait l’air de s’être endormie également. Son père conduisait, l’air taciturne.La maman était sous le charme d’Amaury, elle était ravie que sa fille soit si amoureuse, et s’imaginait déjà leur mariage. Le papa était beaucoup plus circonspect: Lilly était encore son bébé, et il avait du mal à réprimer une certaine forme de jalousie.
Sur la banquette arrière, Amaury caressait doucement la peau blanche de Lilly. La lueur des phares et des réverbères éclairait par intermittence la cuisse gracile de la jeune fille. Des pensées lubriques venaient à l’esprit du jeune homme. Du bout des doigts, il repoussait le tissus de la robe toujours plus haut sur la cuisse. La robe était maintenant remontée à un point tel que n’importe quel regard extérieur aurait trouvé cela indécent. Si il s’était retourné, le papa de Lilly aurait vu, sous l’accumulation de tissus de la robe, la petite culotte de sa fille qui formait comme un pincement épousant les formes de la fente de son sexe."Heureusement, il n’a aucune raison de se retourner" pensa Amaury. Les cuisses naturellement entrouvertes de Lilly lui permettaient de passer sans effort un doigt sur les lèvres de son vagin. La tentation était trop forte pour qu’il y résiste: il effleura la fente de Lilly du bout du doigt, a travers la fine étoffe de la culotte. Le plus doucement possible, il passa et repassa, avant de s’enhardir davantage et d’accentuer la pression de la pulpe de son majeur contre l’intimité de sa chérie. Il fit rentrer la culotte davantage en elle.
Le tissus et le doigt s’enfonçant en elle sortirent Lilly de son sommeil. Elle ouvrit les yeux et redressa légèrement la tête.... Rêvait elle? Son regard balaya ses cuisses, son entrejambe.... Elle n’en croyait pas ses yeux... L’amour de sa vie la masturbait tranquillement à quelques centimètres de ses parents! Plus incroyable encore, elle n’était pas en colère! Elle éprouvait même une certaine satisfaction à être ainsi traitée en Femme là où d’habitude on la traite encore comme une enfant.Elle avait envie de plus. Elle posa sa main droite sur la main gauche d’Amaury, celle qui s’activait si tendrement sur sa vulve. Ils échangèrent un bref regard, qui lui fit comprendre qu’il pouvait aller plus loin. Elle écarta un peu plus les cuisses, et la main d’Amaury s’écarta un instant de la culotte pour la contourner. Il glissa sa main sous la petite culotte, par le pli de l’aine, et massa de nouveau le sexe de Lilly, peau contre peau cette fois. Son doigt glissait sur ce sexe mouillé, et lui bandait dur dans son bermuda en jean. Lilly passa sa main devant et appuya fort sur la bite de son amoureux. Elle était tellement dure! Elle aurait tellement voulu qu’il la pénètre fort, brutalement.... Mais c’était impossible. Elle appuyait fort sur son gland, en le massant sans finesse. Il enfonça son majeur en elle: la sensation du violente, elle eut juste le temps de tourner la tête vers l’épaule d’amaury et de le mordre a travers le t-shirt pour ne pas laisser s’échapper un cri.Il comprit à cette morsure, combinée avec la contraction du vagin de Lilly et à ses mouvements de bassin qu’elle venait de jouir... Putain, c’était plus fort que lui, avec la pression de la main de Lilly sur sa bite il jouissait aussi! Il se mordit la lèvre pendant qu’il déchargeait comme un con dans son bermuda! Giclée après giclée, le sperme imprégnait son caleçon et sans doutes aussi la toile denim... Il se sentait un peu ridicule, mais c’était trop bon!Ils échangèrent un regard tendre et amusé, plein de complicité, avant de s’endormir, repus.A suivre...
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