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La pièce rapportée

Chapitre 2

À la plage

Voyeur / Exhibition
Le père de Lilly venait de récupérer les clés du bungalow. Amaury découvrait pour la première fois l’univers du camping. Le quadrillage des allées, les alignements de tentes et de camping cars, les blocs sanitaires... Et le mobil home dans lequel il allait passer trois semaines avec sa bien aimée et ses parents presque quinquagénaires qu’il connaissait à peine.
L’ensemble du mobil home était petit, probablement plus petit que la cuisine chez lui. Les parents de Lilly avaient une chambre séparée de la pièce principale par une cloison de contreplaqué. L’isolation phonique était inexistante. Le lit du jeune couple était le convertible du salon, qui faisait donc office de chambre pour les jeunes amoureux. "Ça va être intéressant" pensa Amaury, un peu dépité.
Pas trop le temps de s’apitoyer sur son sort cependant, les parents de Lilly, parfaitement à l’aise avec cet environnement, avaient donné le signal pour se préparer pour la plage. Chacun avait ouvert ses bagages: serviettes de bain, maillots, crèmes solaires et lunettes noires s’accumulaient sur le sol. Les parents allèrent se changer dans leur chambre, Lilly commença à se déshabiller dans le salon. "Et tes parents?" chuchota Amaury en écarquillant les yeux et en désignant la porte de leur chambre. Lilly le regarda avec un air interrogatif. Elle mit quelques secondes à comprendre ce qu’il voulait dire, avant de pouffer de rire en haussant les épaules "ce sont mes parents, ils m’ont déjà vue toute nue!". Amaury avait du mal à comprendre, ses parents à lui ne l’avaient pas vu nu depuis un paquet d’années... "Je crois que tes parents ne sont pas encore prêts pour découvrir la bêêête" plaisanta Amaury en allant dans la salle de douche pour se changer.Quand il en sortit, il découvrit pour la première fois Lilly en bikini. Un petit bikini tout simple, à la coupe classique: une culotte couvrait ses petites fesses et un soutif à balconnets aux motifs fleuris intemporels abritait son petit 85B. Tout celà était fort mignon et discrètement sexy. Ils ont vite été rejoints par les parents et se sont dirigés vers la plage.
Étendue sur le dos sur son drap de bain, Lilly était la personnification de la douceur, de la pureté, de la féminité, de la beauté tranquille. "Tu t’es bien mise de la crème ma chérie?" interrogea sa mère. "Je m’en occupe!" répondit Amaury, trop heureux d’avoir un prétexte pour toucher ce corps qu’il adorait.
Comme un larbin au service d’une princesse, Amaury fit sortir l’écran total du tube et commença à l’étaler sur les épaules de Lilly. Il admira ses cheveux qui ondulaient gracieusement autour de son joli visage, ses paupières closes qu’il distinguait à peine sous ses grandes lunettes de soleil, sa bouche entrouverte... Il passa la main sur la base de son cou, il était hypnotisé par le décolleté de Lilly: sa peau blanche, ses courbes délicates, sa douceur.La plage n’était pas trop bondée, les parents de Lilly étaient derrière lui... Ne les ayant pas dans son champ de vision, il avait un peu l’impression qu’ils n’étaient pas là, qu’ils ne pouvaient rien voir. Ça lui donna l’audace d’oser laisser glisser ses mains vers ses seins... Ainsi allongée sur le dos, il y avait un petit espace entre sa petite poitrine et le maillot: il y faufila le bout de ses doigts, jusqu’au téton gauche de la belle alanguie. Sa bite se redressa dans son maillot, heureusement suffisamment ample pour ne pas trop trahir son émotion. Index, majeur et annulaire massaient doucement le galbe de sa poitrine, pendant que sur le côté, le petit doigt s’occupait du malelon. Il poussait le téton de l’extrémité de son petit doigt, le frottait, en faisait le tour, jouait avec...
Lilly laissait faire, elle esquissa même un petit sourire complice. Ses seins se raffermissaient, ses mamelons durcissaient, ses tétons pointaient sous les caresses de son amour. Elle pivota et s’allongea sur le côté, tournée vers lui. Amaury, jusqu’alors à genoux près d’elle s’étendit de tout son long de manière à se retrouver face à elle. Il posa ses lèvres sur les siennes et l’embrassa à pleine bouche.
La main droite sur ses hanches, la main gauche contre sa culotte, il lui roulait de grosses pelles. Ils étaient entièrement concentrés l’un sur l’autre, à l’affût de la moindre vibration, du moindre son, du moindre souffle. En osmose, tellement excités et donc aussi tellement frustrés ! Elle ne pensait qu’à cette bite si proche, qu’elle aurait tant voulu prendre en main, lécher, chevaucher, introduire en elle... Et lui aurait tant souhaité la pénétrer, la voir et l’entendre jouir de sa queue... Instinctivement, sans même s’en apercevoir, leurs bassins s’était animés de mouvements presque imperceptibles mais très évocateurs pour l’obervateur attentif.
Et des observateurs attentifs, il y en avait deux qui les accompagnaient. Le père de Lilly, d’un mouvement de menton accompagné d’un plissement de front réprobateur les désigna à sa femme. Il ne trouva cependant aucun soutien auprès d’elle, elle haussa légèrement les épaules d’un air détaché, semblant dire "et alors?". Le père, lui, avait la gorge nouée. Il voyait sa fille échapper à son emprise sous ses yeux. Il y a quelques mois encore c’était son bébé, sa fille chérie qui ne se souciait que de sa famille et de ses études, et la voilà maintenant qui assumait sans complexes sa féminité, sa sensualité et son désir. Son cerveau était en ébullition. Il aurait voulu ne pas s’en soucier de cette vision, y être indifférent, mais c’était plus fort que lui. Il ne pouvait pas détacher ses yeux du jeune couple, il était à la fois écoeuré et fasciné par le spectacle qu’ils offraient.
Heureusement pour tous, la mère de Lilly sonna l’heure de rentrer au bungalow pour le repas.
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