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La pièce rapportée

Chapitre 3

Ecoutés

Voyeur / Exhibition
De retour de la plage, Lilly et Amaury sont allés se doucher ensemble, "pour économiser l’eau". Ben voyons! Ils avaient surtout très envie l’un de l’autre, et se sont jetés l’un sur l’autre dès la porte de la salle de bain refermée. Fébrilement, maladroitement, ils se sont déshabillés. Amaury a dénoué avec peine le soutif de Lilly, qui a rejoint sur le sol son caleçon, et a fait glisser sa petite culotte le long de ses jambes. Il a passé ses doigts dans le petit triangle de poils courts de Lilly, pendant qu’elle effleurait ses couilles du bout de ses doigts fins, remontant ensuite le long de sa bite étroite jusqu’à son gland si doux...
La petite chatte de Lilly était déjà bien humide, il y introduisit son majeur sans difficulté, provoquant un premier soupir, signe de l’abandon de sa chérie à son désir, à son plaisir. Ils se roulaient de nouveau des grosses pelles de jeunes amoureux, en se branlant mutuellement leurs sexes prêts pour la bataille. Tout en lui branlant la chatte, Amaury faisait rouler le téton droit de Lilly entre les doigts de sa main libre. Elle n’en pouvait plus, elle voulait se faire baiser. Elle fit un petit pas en arrière, pivota sur ses talons pour tourner le dos à Amaury, appuya ses mains sur le bord de lavabo, se pencha légèrement en avant tout en écartant un peu ses pieds l’un de l’autre.
Le message était clair, et Amaury le reçu cinq sur cinq. Il frotta un peu sa queue contre la fente de Lilly, sur tout sa longueur, avant d’en coller l’extrémité contre l’entrée du vagin de sa belle. Il empoigna Lilly par les hanches et fit rentrer brutalement sa bite en elle, le plus loin qu’il pouvait. Un premier cri s’échappa de la bouche entrouverte de Lilly, suivi de couinements à chaque coup de bite de son étalon intello. Les yeux grands ouverts, elle regardait dans le miroir son corps tressaillir, son bassin aller et venir, ses seins ballotter... Elle se sentait femme, amante, pute... Elle était fière d’être sa chose, elle était heureuse d’être bien baisée, elle était bien.
De l’autre côté de la porte, les parents de Lilly s’étaient assis côte à côte et préparaient la salade pour le repas. Un silence pesant régnait. Laurence, bibliothécaire de 45 ans, petite brune aux cheveux courts et au regard espiègle écoutait sa fille baiser à quelques mètres d’elle. Les sons lui en parvenaient très distinctement. Les bruits des corps, les halètements des amants, les gémissements de sa fille. Bien sûr, c’était sa progéniture. Mais dans ce moment, c’était avant tout une femme, un couple. Un beau couple, de surcroît. Et être ainsi projeté dans l’intimité d’un couple, quel qu’il soit, c’est très troublant. Malgré elle, des images lui venaient à l’esprit, inspirées par ces sons. Des images indécentes. Laurence avait les jambes croisées. Elle commença à exercer une pression de ses cuisses sur son sexe, au rythme des gémissements de sa fille. Elle sentait l’excitation monter en elle, elle commençait à perdre pied. Elle posa sa main sur celle de son mari et la serra étrangement fort.
Lionel, son mari et père de Lilly, entendait lui aussi ces bruits obscènes. Il avait les tempes en feu. Lui aussi, des images lui venaient à l’esprit. Des images et des mots, des mots vulgaires que jamais un père ne devrait associer à sa fille. Des images et des mots qui le mettaient mal à l’aise autant qu’ils l’excitaient. Car oui, excité il l’était. Son érection ne lui permettait plus de nier cette évidence embarrassante. Il bandait et avait furieusement envie de se saisir de sa bite et de se branler comme un porc en écoutant sa fille chérie prendre son pied.
La façon qu’avait eu sa femme de se saisir de sa main et de la serrer fort, il la connaissait bien : elle le faisait parfois quand ils faisaient l’amour et qu’elle était proche de l’orgasme. "Ça t’excite?" lui demanda-t-il à mi voix. Le regard vide, tremblante, la bouche entrouverte, Laurence était trop proche de la jouissance pour parler. Se sentant comme une mère indigne prise en flagrant délit d’indignité, elle baissa les yeux et serra encore davantage la main de son mari, en continuant à contracter ses cuisses contre son vagin à un rythme calqué sur les couinements de Lilly.
Lionel craqua. Il recula sa chaise, se leva et sortit sa grosse bite sous le nez de sa femme. Il posa sa main gauche sur l’arrière de la tête de sa femme et l’approcha de son membre. De son autre main il agrippa sa queue et colla son gland contre sa bouche. Il appuya. Elle écarta les lèvres et le laissa coulisser en elle. Il s’enfonça lentement dans sa bouche. Il prit sa tête à deux mains, allant et venant en elle comme si c’était une poupée gonflable. Laurence glissa une main entre ses cuisses et commença à se branler le clito en se faisant baiser la bouche. Elle jouit, la bite de son mari étouffant ses cris.
Amaury redoubla d’énergie, il défonça brutalement la frêle Lilly, dont les gémissements étaient remplacés par des petits cris de moins en moins contenus. Elle perdit peu à peu le contrôle de son corps, son bassin était comme animé d’une vie propre, indépendant de sa volonté. Il bougeait violement vers la bite d’Amaury, accompagnant ses coups de reins. C’était le visage grimaçant d’une petite jouisseuse qui se reflétait désormais dans le miroir au dessus du lavabo, mais d’une grimace pleine de beauté. Son vagin se contracta fortement sur le sexe de son amant. L’orgasme fût violent, elle cria son plaisir en projetant son petit cul vers l’arrière, pour enfoncer cette queue qu’elle aimait tant le plus profond possible en elle.
C’en était trop pour Amaury, qui déchargea à grandes giclées au fond de sa chatte, accompagnées d’un râle particulièrement sonore. Son râle couvrit celui de Lionel, qui au même moment éjacula dans la bouche de la maman de Lilly. Les yeux fermés, il pensait à sa fille, à son corps nu, à la position qui peut-être était la sienne, à la tête qu’elle devait faire quand elle jouissait. Giclée après giclée, le foutre du papa s’accumulait dans la bouche de sa femme.
Amaury resta quelques instants enfoncé en Lilly, avant de sortir sa bite à demi ramollie. Elle se tourna vers lui et l’embrassa tendrement. "On va peut être se doucher, maintenant"? lui dit elle gentiment.Dans la cuisine, l’excitation était retombée. Lionel regarda sa femme d’un air penaud. Elle garda les yeux baissés et avala son sperme.
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