Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 152 J'aime
  • 3 Commentaires

"Le piège"

Chapitre 5

Ma femme, " Nymphe de la foret ".

Voyeur / Exhibition
Caché sur le coteau, entouré par la pinède et ses odeurs agréables, je regarde les alentours avec une paire de jumelles. 18h15 à ma montre, une vieille guimbarde, hybride de Deux-chevaux, rafistolée avec des pièces de 4L apparaît. La voiture, enfin si l’on pouvait l’appeler comme cela, du gros Alban.

Il se gare dans un chemin de terre, caché par les pins, en contrebas de la route qui serpente dans les bois. Évidemment, les trois branleurs en sortent pour se poster juste derrière un buisson, de l’autre côté de la route... ils ont une vue sur environ 500 mètres de route droite, c’est d’ailleurs la seule portion qui ne serpente pas, et où l’on a un dégagement suffisant pour voir venir... des salopes qui font leur footing par exemple !La question est : dans quel appareil va-t-elle apparaître... sachant que le petit Lucien aura bien fait sa commission aux autres !
J’avais calculé un départ de notre maison à 18h30, environ 20 minutes de course pour y arriver... elle ne devrait plus être très longue maintenant. Les trois malotrus semblent s’impatienter aussi. “ Et si elle nous avait posé un lapin” semble être la question qui taraude les faibles esprits des trois abrutis ! Mais non la voici. Seulement voilà, elle est tout ce qu’il y a de plus habillée. Et encore devrais-je dire, plus que d’habitude, car elle porte une espèce de combinaison, certes légère, mais qui ne lui laisse que les avants-bras et les jambes nus.Rigolant doucement, je perçois la frustration des trois connards ! Marché de dupes ! Ils auront poireauté trois quarts d’heure pour rien !
Et puis le truc irréel, le miracle, enfin pour eux, pas pour moi ! Toujours courant, d’une très bonne foulée, ma femme Cécile commence à déboutonner un, puis deux, puis trois boutons qui ferment la blouse sur son buste. Très vite, elle enlève les deux manches, le vêtement pend autour d’elle, révélant sa poitrine splendide et son ventre, dénudés. Seuls trois derniers boutons cachent encore le petit trésor.
Alors elle déboutonne l’ensemble du vêtement, qui tombe à ses pieds, et continue sa foulée. Ma femme est à poil, sur cette route de campagne, sous les yeux plus que grivois des trois voyeurs. Des gouttes de sueur s’immiscent entre ses seins, qui bougent au rythme de la course, puis le filet de sueur passe sur son ventre, et semble absorbé par le petit triangle blond de poils de son pubis. A chaque enjambée, on discerne aisément les lèvres de la vulve, que Cécile a assez proéminentes ; surtout que cette dernière, ralentissant la cadence de sa course, fait tout pour bien délier son mouvement, et écarter au maximum ses cuisses en courant. Bref, l’effet est d’un érotisme torride.
Bien malgré moi, je suis la victime d’une érection volumineuse... je ne dois pas être le seul ! Je me demande alors, en proie aux affres de la jalousie, mais aussi dominé par une excitation très malsaine, ce qui va se passer, ce que ma femme va faire en arrivant à la portée des trois gougnafiers... et surtout quelle va être leur réaction à eux !

En tout cas, elle a continué sa course dans le plus simple appareil, le corps nu, bronzé, brillant de sueur, en abandonnant sa blouse, seul rempart pour sa vertu, environ 400 mètres derrière elle. Difficile de pousser un sprint pour la récupérer, quand elle sera entre les mains des trois vicieux. Après tout, peut-être a-t-elle mal calculé les dangers inhérents à ce genre de situation. Tant pis pour elle ! Si les choses devaient prendre une mauvaise tournure, je la regarderais se faire prendre par les trois pervers, consentement ou pas. Quand on joue avec le feu, il faut accepter le risque de se brûler... mais d’un autre côté, je pense que Ruiz, lui, n’est pas assez con pour risquer une agression sexuelle de ma charmante épouse. Il est beaucoup plus malin que cela !

Cécile arrive aux abords du buisson où sont cachés les trois compères, qui sortent de leur cachette en applaudissant la superbe créature sylvestre, et en rivalisant de compliments pour son corps de rêve.
— Alors cela vous plaît, messieurs ?— Oh putain oui alors, t’es vraiment trop bonne Cécile. T’es super bien gaulée !— Vous aviez pourtant déjà eu tout le loisir de me mater l’autre jour !
— Tu savais ? “

Ruiz seul, parlait à ma femme, les deux autres trop émus par la proximité d’une femme nue si désirable, ne pipaient mots. Ils s’étaient néanmoins rapprochés très près, derrière elle, en la calculant sous toutes les coutures, pendant que Ruiz tapait la discute avec elle. En un mot, Cécile était encerclée, à poil, offerte, sur une route de campagne déserte, à l’abri des regards, par trois vicieux libidineux qui rêvaient de se la taper depuis plusieurs mois. Tout cela était-il prudent ? Nous allions le découvrir, elle et moi, d’ici quelques minutes...
Le gros Alban, s’enhardissant, profitant que Cécile était en pleine discussion avec Ruiz, lui posa une main sur la fesse droite. Sur le coup, surprise, ma femme ne dit rien, continuant de parler avec Ruiz. Le contact qui aurait dû la faire crier ne la gêna pas outre mesure. Elle savait que la main appartenait au gros Alban, un type qui la dégoûtait de par son apparence physique, 130 kilos de mauvaise graisse, un air stupide et brutal, une odeur corporelle très forte... en effet Alban était fâché depuis un moment avec l’utilisation du savon. Tout dans ce type, qu’elle évitait au maximum dans le village, la repoussait, lui donnait envie de vomir. Et pourtant là, sur cette route, complètement nue, sans défense au milieu des trois hommes, ce contact lui procurait une sensation bizarre, un creux dans l’estomac, une boule de satisfaction malsaine, de désir inassouvi, de trouble sexuel.
Même en rêve, elle n’aurait jamais accepté l’idée que ce gros bouseux pose les mains sur son corps si parfait, dont elle était si fière. Et pourtant là, elle se laissait faire, se demandant jusqu’où il irait. Elle ne fut guère étonnée lorsque deux doigts s’introduisirent entre ses cuisses, dont elle desserra volontairement la pression, afin que cette main puisse atteindre son objectif : sa chatte ! Et effectivement, le gros Alban, ayant compris que la femme lui autorisait le passage, car il ne sentait plus la pression des cuisses, qui aurait pu lui interdire l’intromission tant espérée, fit entrer ses deux doigts boudinés, aux ongles noirs dans ce petit trésor, qui lui semblait alors accessible. Lui, qui rêvait de baiser ma femme, il lui mettait deux doigts dans ce puits chaud et humide, dont il sentit qu’il accueillait cette intromission discrète avec délectation.

Cécile qui répondait aux questions de Ruiz sur ses rapports pour le moins conflictuels avec son mari, sentait les deux gros doigts dans son intimité, qui commençaient à la faire chavirer de bonheur. Elle sentait que si cela durait un peu plus longtemps, elle allait être la proie d’un orgasme ravageur, l’un de ceux qu’elle n’avait plus connus depuis un bon moment avec moi !
Ruiz ne remarquait pas les signes avant-coureurs de la tempête, qui naissait dans le ventre et l’âme de la jeune femme. Celle-ci s’interdisait tout gémissement, alors qu’elle avait envie de crier : “ putain baise-moi, gros con, fous-la-moi ta grosse queue dégueulasse !”
Je connaissais très bien ma femme, enfin jusqu’à la découverte de ce potentiel érotique si bien enfoui, et j’imaginais sans peine ce qui devait se passer dans sa tête et son corps.Jamais jusque-là, de telles idées et un vocabulaire si sordide n’avaient effleuré l’esprit de la jeune femme, si polie et si bien éduquée ! Le seul signe qui aurait pu mettre la puce à l’oreille, de ce qui se passait devant lui, était le fait qu’elle se mordait les lèvres...

Et puis la magie de l’instant fut perturbée par un bruit de moteur... une voiture arrivait dans le virage précédant la ligne droite.
— Putain, tout le monde à couvert, dans le fossé !” Ruiz, ancien homme d’action, semblait avoir retrouvé ses réflexes de guerrier !
Alors, tandis que la voiture, enfin plutôt la voiturette qui se traînait sur la pente du coteau, allait passer devant eux, Cécile se retrouvait nue, couchée sur un tapis d’aiguilles de pin, qui lui piquaient sa peau si douce et si soyeuse. Elle avait sauté dans le fossé, accompagnée du gros Alban. Elle sentit alors la main du gros qui revint à l’attaque de sa féminité. Cette fois-ci, elle écarta carrément les jambes, laissant son sillon fessier et sa moule ouverte à toutes les convoitises de ce gros porc... et le saligaud ne se fit pas prier.
Ce coup-ci, il lui fit la totale. De là où je me trouvais, avec mon bon angle de vue et mes jumelles de précision à fort grossissement, je voyais distinctement le pouce venir titiller la rondelle, les trois doigts venir limer la moule, et s’y introduire, pendant que le majeur venait agresser le clitoris. Cette fois, Cécile ne retenait qu’à grand-peine ses gémissements. Heureusement, les deux autres s’étaient réfugiés derrière le buisson à 6 mètres de là, et la voiturette faisait un bruit d’enfer.
Je regardais comme hypnotisé, le gros pouce qui faisait son chemin dans l’anus de ma femme, il y avait enfoncé les deux phalanges... elle, qui m’avait toujours refusé la sodomie ! Mais quelle salope ! Pas de doute, elle prenait son pied cette pute, avec un pouce dans le cul et trois doigts dans la chatte ! Je le voyais à sa cage thoracique, qui se soulevait, le cœur devait battre la chamade, et pas à cause du footing !

Le gros Alban put bien profiter de ma femme, car le conducteur de la voiturette, le vieil Edmond, qui avait sa vigne au-dessus du coteau, avait arrêté son bolide, étonné par la blouse oubliée par ma femme sur la route. Regardant de droite et de gauche, il se demanda d’où pouvait bien provenir le linge, dont il sentit les effluves féminins. Avec un coup au cœur, je me dis qu’il aurait vite compris à qui appartenait le vêtement, vu que Cécile écrivait toujours son nom sur ses vêtements au niveau de l’étiquette... et bien cela allait bien faire jaser dans le village !Après 5 bonnes minutes, le vieux repartit dans sa voiture et dépassa les protagonistes de cette sordide aventure ; puis disparut dans un dernier virage. Le gros Alban avait eu bien le temps de profiter des trous de mon épouse volage et consentante.
Cécile se retrouvait vraiment à poil, perdue en pleine campagne, elle ne pouvait remettre la blouse que le vieux avait emportée avec lui. Alban proposa poliment de la déposer à notre maison avec son “bolide”, et Cécile se retrouva donc à poil, sur le siège arrière, en compagnie de Lucien qui ne se lassait pas d’admirer sa plastique. Discrètement, alors que la voiture d’Alban redescendait le coteau à la vitesse fascinante de 39 kilomètres/h, je vis subrepticement le petit Lucien oser une main sur la cuisse dénudée de ma femme, alors que celle-ci posait sa main sur la bosse plus qu’impressionnante de son pantalon... je n’en sus pas plus, car le véhicule sortit du champ de vision de mes jumelles... il fallait quand même que je rentre le plus vite possible, pour éviter tout débordement ou orgie intempestifs.
Fébrilement, alors que je redescendais à pied, vers notre domicile, des images d’Alban en train de baiser ma femme sauvagement, en levrette, tandis, que celle-ci taillait des pipes baveuses aux deux autres, me parvenaient vicieusement à l’esprit. Comment réagir si c’était vraiment le cas ? Après tout, Ruiz avait un moyen de pression me concernant : Simone, et nos exploits au bord du lac de la carrière. Il me serait donc difficile de ramener ma fraise. Mais je pensais qu’il ne se passerait rien de tel. Ma femme ne paraissait pas encore mûre pour de telles acrobaties, surtout avec le risque que je les surprenne !

Ce soir-là, j’étais sur ma terrasse, à siroter un verre de Jack Daniel’s, et à fumer une cigarette, en regardant les étoiles... attendant que les 23h30 fatidiques retentissent, que je puisse rejoindre cette harpie un peu déglinguée, qui était devenue ma maîtresse du soir.Ma femme, quant à elle, était déjà endormie, quoique je me disais qu’elle devait repenser à tout ce qui lui était arrivé avec le gros Alban... mouillerait-elle les draps, ce soir ? En tout cas, même pas la peine de la rejoindre pour essayer de la baiser. Simone était plus sûre !

Pendant ce temps là, Cécile seule dans son lit était dans un demi-sommeil, la culotte complètement humide, une main entre les cuisses sur sa chatte... elle pensait au gros Alban, à ses mains fortes aux gros doigts sales, aux ongles noirs... ses gros doigts forçaient son intimité, qui s’ouvrait comme une fleur, des rus de cyprine venaient mouiller la main importune. Elle rêvait de ses doigts dans son trou du cul, là où son mari n’était jamais allé ! Mais elle voulait mieux, sa bite, cette bite qu’elle imaginait énorme au gland large et épais, qu’il lui introduirait férocement, dans son cul et sa chatte ! Oui elle avait envie de se faire enculer par ce gros homme malodorant. Cette pensée la faisait monter au septième Ciel...
Elle jouit très rapidement. Alors elle imagina des scénarios beaucoup plus élaborés, dans lesquels elle devenait la catin des trois hommes, leur jouet sexuel, leur sac à foutre... en un sens, elle se disait qu’elle n’aurait pas la volonté de refuser quoique ce fut au gros Alban... même des trucs immondes. Comment en était elle arrivée là, se demandait-elle, la tête prise dans un vertige de stupre.

Devant la caravane de Lucien, ses deux potes prenaient un bon petit jaune, sous les étoiles. Le gros Alban venait juste de raconter tout ce qu’il s’était permis dans l’intimité de la femme du menuisier... Ruiz avait les yeux brillants :
" Je te l’avais dit que mon plan allait marcher !
— Je pensais pas à ce point quand même ! La meuf, je lui ai foutu mes doigts dans sa chatte et son trou du cul, elle a rien dit la salope ! Je pensais pas qu’elle pouvait être dingue de cul comme ça, la bourgeoise ! — J’ai manqué quelque chose ? (C’était Lucien qui revenait de la caravane, une bière à la main.)
Faut que je vous en raconte une bonne... dans la précipitation, quand je vous ai appelés pour vous dire de vous pointer fissa, sur la route du bois de pins, je vous ai pas expliqué ce qui s’est passé avant, avec la femme du menuisier. Vous allez pas le croire, mais en plus d’être " exhibe" c’est une vraie dingue du cul qui veut faire chier son mari, qu’elle déteste !
— Attends... oohh ! Alban, dis-lui ce que tu as fait à l’autre salope ! “

Et sous l’air ahuri de Lucien, Alban expliqua comment il avait pris possession de l’intimité de la jeune femme, avec son parfait consentement. Lucien, lui, après un sifflement appréciateur expliqua comment Cécile s’était comportée chez elle, devant lui, avec le mari dans la chambre du haut !Sur ce, Ruiz prit la parole, tel un stratège animant un conseil de guerre.
— Bon, elle est mûre, demain, on la baise à trois chez elle... il reste plus que deux détails à régler. D’abord, je dis à Simone de baiser avec l’autre tocard demain soir... et pas plus tard que maintenant, je l’appelle. J’y mets un bon coup de pression ! “
Ruiz saisissant le portable composa le numéro de Paul.
— Ah, Ruiz ? Dis, je comprends pas, il est minuit passé et Simone est pas encore là ?— Elle viendra pas ce soir.— Pourquoi ?— Tu m’écoutes attentivement si tu veux te la faire demain soir. Bon alors elle te plaît Simone ?— Ben oui, elle est chaude comme la braise.— Pas comme ta petite femme, n’est-ce pas ? Bon, tu l’as bien baisée, grâce à moi ?— Oui, mais où veux-tu en venir ?— Bon alors, demain soir, tu pars à la carrière, tu laisses la porte-fenêtre ouverte, et moi et mes deux potes on baise ta femme... une salope contre une autre ça me paraît équitable, non ? — Non, mais ça va pas, non ? Vous voulez coucher avec ma femme ?— Allons, on se calme. Avoue que le marché est équitable !— Elle ne marchera jamais. Elle vous méprise tous les trois.— Tiens ? Ce n’est pas l’impression qu’a eue Alban.
Elle nous a fait un petit spectacle "d’exhibe". Et Alban s’est régalé de la doigter.
— Je vous crois pas !— Tu as tort... je vais t’envoyer des photos de ses exploits... elle est chaude comme la braise ta salope !
Encore un peu et c’est la partouze assurée !
— Ma femme, baiser avec vous trois... j’aimerais bien voir ça, tiens !— Eh bien, dis-lui un mot pour nous, laisse ouverte la porte-fenêtre et tu verras si je me trompe !
Bon de toute façon, tu n’as pas le choix... sinon je lui envoie les jolis films que j’ai faits de toi avec Simone.
Enfoiré ! "
Ruiz reposa le smartphone :
— Ah, le son a coupé ! — Il marchera, tu crois ? Demanda Alban.— De toute façon il est fait comme un rat ! Demain on se tape la bourgeoise, les mecs ! La soirée va être sexe !
Diffuse en direct !
Regarder son live