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"Le piège"

Chapitre 9

Une journée à la ferme

Zoophilie
Cela faisait une quinzaine d’heures que les trois malotrus étaient partis en voiture avec ma femme en toute petite tenue. En désespoir de cause, ne sachant vers qui me tourner et pour tuer cette attente insupportable, j’étais allé voir la grande sœur de Cécile, Emma, jolie blonde bien faite, aux cheveux blonds bouclés.Elle me reçut chaleureusement comme d’habitude, mais comprit à ma mine défaite qu’il se passait quelque chose :
— Il y a un problème ? C’est ma sœur, c’est ça ?— Heu oui, en partie... c’est un peu long à expliquer, alors regarde cette vidéo. Tu me diras ce que tu en penses.
Après quelques minutes de sidération bien compréhensible, Emma ne put décoller son regard de la nuit fort agitée qu’avait passée sa sœur Cécile...
— Mon Dieu, je n’arrive pas à le croire... c’est ma petite sœur Cécile qui fait tout ça... avec trois mecs en même temps ?! Mais qu’est-ce que tu as donc fait pour qu’elle fasse tout ça ?— Bon, soyons honnêtes, j’ai déconné, je l’ai trompée et je l’ai un peu mise entre les pattes de ces mecs. Mais il faut dire que "leur chef", Ruiz, a bien réussi à nous manipuler, tous les deux !— Et maintenant que t’es dans la merde, tu fais appel à ta gentille belle-sœur pour qu’elle vous tire de ce mauvais pas ?— C’est ça !— Oui... mais ce ne sera pas si simple... j’ai bien peur que tu n’aies réveillé d’anciens démons...— C’est-à-dire ?— Eh bien justement, je vais avoir du mal à t’en parler... cela concerne mes parents.— Je ne vois vraiment pas ce qu’ils viennent foutre dans la déchéance de ma femme !— Eh bien, tu sais que mon père dirige une grosse entreprise financière. Il nous a appris le goût du lucre et de l’argent facile. Nous savons toutes que nous toucherons un gros héritage à nos 50 ans. Néanmoins, il y avait une condition... un peu particulière.— Explique-moi, je nage en plein étonnement.— N’as tu jamais remarqué que ma mère était un peu spéciale par moments ?— Nadine ? Eh bien, elle est très bien conservée pour son âge, et elle m’aime bien... parfois un peu trop, même.— Oui... on peut dire cela. Eh bien pour tout t’avouer, mes parents font partie d’un cercle un peu particulier, composé d’une compagnie d’hommes très puissants, tous directeurs de grosses sociétés. Un cercle ou règne le sexe et l’argent. Et la condition pour y appartenir, pour pouvoir profiter d’appuis qui profiteront à ta carrière...— Oui, eh bien vas-y, continue...— C’est de faire participer ta femme et tes filles devenues majeures à leurs soirées un peu spéciales...— Attends, tu veux dire que ma belle-mère Nadine a été amenée par Henri, mon beau-père, à des partouzes  ? Qu’il a obligé ma belle-mère à baiser avec des étrangers ?! Et... et toi ?— Et leurs filles, sauf une... Oh, ma mère... il n’a pas fallu la forcer : elle a révélé sa vraie nature de grosse salope !
— Mon Dieu ! Tu... toi aussi ?— Oui, j’y suis allée, on s’est fait baiser, maman et moi, côte à côte, devant mon père. Par toute la bande d’amis de mon père, et même leurs femmes...— Attends, mais je comprends pas pourquoi tu me racontes ça... c’est quoi le rapport avec mon histoire ?— On a toutes été préparées à ce moment par nos parents, notre initiation. Mais Cécile s’est défilée, elle n’a pas voulu le faire. Alors, peut-être que quand tu l’as mise au défi avec tes potes, cela lui a rappelé son éducation un peu spéciale... qu’elle a voulu y goûter ?! Je ne sais pas jusqu’où ira ta femme, mais si tu veux stopper le jeu, je ferai intervenir mes parents...— Mes beaux-parents libidineux et partouzeurs ! Mon Dieu, mais dans quelle merde je me suis mis ? Tu crois que le remède ne serait pas pire que la maladie ? Ils vont prendre ça comment ?— Ils seront très en colère contre leur fille. Il y a 10 ans, ils ont accepté de mauvaise grâce qu’elle ne participe pas aux partouzes... mais là, ce qu’elle fait, c’est se foutre de leur gueule. Ils n’accepteront jamais qu’elle ait une sexualité débridée en dehors de la présence de son mari. Mon père a perdu beaucoup d’argent et d’avantages à cause de la renonciation de ma sœur... il est prêt à lui faire payer cet affront... très cher !— Ils vont s’y prendre comment ?— Ah ça !? Je te laisse imaginer... en tout cas, elle risque de prendre cher !— Ah ! Attends, j’ai un appel. C’est ce salop de Ruiz.— Salut mon pote, merci pour ta femme, on te remerciera jamais assez ! Tu n’imagines même pas toutes les saloperies qu’on lui fait faire ! A côté, Simone est une sainte !
Je sentis mon estomac remonter, j’avais le goût du fiel dans la gorge.
— Putain, mais vous lui faites quoi au juste ? Vous êtes où, là ? Il n’y a personne à la maison ! Et c’est quoi ces bruits ?
Effectivement, il y avait comme des grognements d’animaux, j’entendais ma femme rire aux éclats et gémir en même temps.
— On est à la ferme du père Auguste. On a baisé ta femme toute la nuit ! En échange d’une petite pipe de ta femme, que le vieux a adorée, il nous laisse imaginer des choses incongrues avec ton épouse et son cheptel... Ah, au fait, Auguste s’est bien tapé ta femme aussi... en plus de tout le reste, elle aime les vieux !— Non ! Je le crois pas, tu veux quand même pas dire que…J’étais horrifié, mais peut être avais-je trop d’imagination.
— Non, c’est pas possible, ma femme ne peut quand même pas faire des trucs contre nature avec... avec...— Des animaux ? Ben écoute, nous, on force personne, mais je crois que ta femme est en train d’explorer de nouvelles formes d’expériences.— Putain, mais c’est pas possible ! Tu veux dire que ma femme va se livrer à la zoophilie ? Je le crois pas !— Ben écoute, ce ne sera ni la première ni la dernière. Peut-être que tu aurais dû l’étudier plus en profondeur, ton épouse ! En tout cas, elle n’a pas l’air d’être malheureuse. C’est vraiment une grosse cochonne, ta Cécile !— Merde, ne me dis pas qu’elle est en train de se faire baiser par un chien, ou un truc comme ça ? Je ne te croirais pas ! Je veux lui, parler, tout de suite !— Non, là elle ne se fait pas baiser, mais c’est vrai que l’idée d’un rapport canin a été évoquée. A priori, cela ne semble pas la dégoûter... elle serait plutôt open. Mais je te la passe.
Tous ces grognements étaient plus forts à présent.
— Cécile, tu rentres tout de suite à la maison. Dis-moi que Ruiz se fout de ma gueule... tu ne vas pas tenter d’expériences zoophiles ? — Oh mon Dieu, si tu savais comme je suis bien... ah ouiiii ! Mhumm, les coquins, ils sont tous autour de moi.— Quoi ! Quoi ! Ils ? Tu es où, là, tu fais quoi ?— Ah, tu aimerais bien savoir, hein. Non, je ne me suis pas encore fait saillir, mais j’ai bien envie d’essayer...— Je... je t’interdis !— Tu m’interdis quoi, pauv’con  ? Je baise avec qui ou quoi je veux. Tes potes y sont déjà tous passés. C’est pas toi qui avais laissé intentionnellement ouverte la porte du bas pour qu’ils entrent dans la maison et me trouvent au lit ? Tu m’as littéralement donnée à eux. Maintenant, tires-en les conséquences. Ah ! Au fait, c’était bien avec Simone, hier et les autres fois, ordure ? Alors toi tu peux t’éclater et pas moi ?— Bon, bon c’est vrai, j’ai joué avec le feu, mais je t’en prie, reviens, tu ne peux pas baiser avec un animal quand même, c’est... c’est révoltant !— Ah bon ? Et quand tu allais sur les sites zoophiles pour mater des filles qui se faisaient saillir ? Tu trouvais ça dégueulasse ? Ah, quand c’est ta femme qui va prendre une queue de chien dans sa chatte ou son cul, c’est pas pareil, hein ? Pourtant tu devrais venir voir, je suis certaine que ça t’exciterait.— Non, je t’interdis de faire quoi que ce soit.— Tu n’as rien à m’interdire ! Je suis une femme libre. Écoute, si tu ne viens pas me regarder m’avilir sous tes yeux, je te jure que je me fais saillir par tous les animaux de la ferme, du cochon au cheval ! Après, tu pourras m’enfoncer ton poing dans la chatte, ça rentrera comme dans du beurre... n’était-ce pas ce dont tu as toujours rêvé ? Ah ouii ! Ça chatouille, mais c’est trop bon !— Qu’est-ce que tu fais ? Cécile, Cécile ?
Ruiz avait repris son téléphone.
— Bon, tu arrives ou quoi ? Je crois que ta femme est sérieuse dans ses menaces. Et je dois t’avouer qu’on ne pourra pas l’en empêcher. On n’en aura pas trop envie d’ailleurs non plus ! N’est-ce pas, les gars ?
Ils rirent de bon cœur.
— Ah, au fait, tu voulais savoir... ta femme est à poil, au milieu de la porcherie, entourée de cochons qui se pressent pour lui mettre le groin dans la chatte. Ça la fait rire aux éclats. Ah, elle s’est mise à genoux, les cuisses et la chatte dans le lisier. Elle tripote les bites des porcs. Une vraie cochonne, ta femme, en fin de compte !
La conversation fut coupée et je reçus peu après un MMS. Je l’ouvris, le front en sueur. On y voyait ma femme, nue, avec simplement un porte-jarretelles blanc autour de la taille, sans bas. Elle était en effet pieds nus dans le lisier de porc, et elle circulait au milieu d’une vingtaine de cochons qui s’empressaient autour d’elle. Les animaux lui reniflaient effectivement le sexe et le cul.
Mon Dieu, mais comment tout cela était-il possible ? Je n’aurais jamais cru que ma femme puisse parvenir à un tel degré de dépravation... Ma femme qui se faisait chatouiller la chatte par des groins de cochons... et cela la faisait rire aux éclats ? Allait-elle vraiment se livrer à la zoophilie avec ces animaux ? Ma femme ?! En tout cas, il fallait que j’y aille tout de suite pour éviter le pire. D’un autre côté, je me disais que si j’y allais pour lui interdire tel agissement, elle ferait pire par défi, pour me contrarier et me faire honte. Je devrais donc prendre une attitude discrète, prudente.
Mais d’un autre côté, voir ma femme baiser avec un chien... la voir se faire saillir par un animal, comme une vulgaire salope de bas étage... cela me causait une excitation douloureuse.
Après cette conversation surréaliste, Emma me regarda d’une drôle de façon... elle semblait à la fois surexcitée et effrayée par le comportement de sa sœur !
— Que vas-tu faire ? Tu y vas, ou pas ? Et si ma sœur met sa menace à exécution, tu la laisses faire ?— Je n’en sais rien... rien du tout ! En tout cas, je crois qu’il vaudrait mieux que j’y aille, sinon ce sera pire !— Quoi que tu fasses, je viens avec toi... il te faut un témoin et quelqu’un pour filmer tout ça !
Emma, assise face à moi, était dans un état de nervosité intense, elle se mordait les lèvres et se passait la main au milieu des cuisses, qu’elle serrait. Je savais que, comme moi, elle était excitée par les agissements de sa sœur... Elle devait se demander si vraiment elle allait voir sa sœur se faire prendre par un animal. Et moi, j’étais un peu dans le même état d’esprit.
Je m’approchai d’elle, et directement nos regards se croisèrent. Elle caressa l’immense bosse que j’avais dans le pantalon, puis elle se mit à ouvrir ma braguette, délier ma ceinture pour sortir ma queue en érection, qu’elle se mit à caresser. Elle retira son tee-shirt, révélant une magnifique poitrine aux seins dont les pointes étaient tendues. Se relevant, elle remonta sa jupe sur ses cuisses et retira sa culotte, révélant un pubis au triangle de poils blond vénitien, puis elle se mit à me sucer...
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