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"Le piège"

Chapitre 12

Drôle de réunion de famille...

Trash
Nadine, splendide dans sa colère noire, faisait les cent pas, dans le salon, entre le sofa et les fauteuils dans lesquels nous avions tous pris place, et l’écran plasma. Je la regardais comme je ne l’avais jamais vue auparavant. Femme de 49 ans, elle avait des cheveux blonds coupés assez courts, des yeux gris acier qui fulminaient, une silhouette très mince avec des seins assez alléchants, dans sa robe tout en cuir, qui lui moulait bien le corps. Avec ses bottes hautes à bout pointu, elle était tout simplement divine...
Henri, lui, assis près de sa fille, Cécile, suivait du regard sa femme. On comprenait tout de suite qui portait le pantalon dans ce couple peu banal. Ma belle-sœur était assise près de moi, et elle ne disait mot non plus, attendant les directives de la “gestapiste en chef” qui faisait une diatribe assez sévère quant aux égarements coupables de sa fille cadette... ma femme !
— Comment tout cela est-il possible ? Je n’en reviens pas. Tu avais choisi une vie bien rangée, différente de celle que nous t’avions proposée, nous avons respecté ton choix. Après tout, Paul semblait un très bon mari pour toi. Et puis tu t’égares dans des sentiers de perdition, avec des va-nu-pieds ! Tu deviens une traînée, une déviante sexuelle, tu t’abandonnes dans des expériences salaces et vulgaires, et pour finir, tu acceptes de quitter ton mari pour suivre des brigands, qui vont te placer en esclavage sexuel ? Mais qu’as-tu donc dans la tête ma fille ? Si tu désirais une vie sexuelle moins routinière, tu pouvais le demander à ton mari ou venir nous en parler, à moi et ton père... tu connais nos divertissements favoris ?
Mais non, tu agis de ton propre fait, sans limites et sans précautions. Tu as certes toujours été rebelle et un peu gourgandine sur les bords. Mais en arriver à de telles extrémités, il va falloir en payer le prix. As-tu compris ce que nous voulons ? dit-elle en regardant sa fille de façon peu amène. Et arrête de te recroqueviller sur toi même ! Après t’être exposée nue à tout le monde, le moins est que tu nous offres la vue de tes charmes. Allez, écarte les cuisses et repose tes bras sur les côtés de ton corps.
— Oui maman “, répondit une Cécile qui n’osait s’opposer à sa mère.

Elle obéit servilement, en écartant ses jambes, et en retirant ses mains, présentant son pubis lisse, une vulve toute brillante et ses seins à sa mère. Celle-ci pinça les lèvres de son sexe, et rudement lui écarta davantage les cuisses avec sa botte :
— Mieux que ça, traînée ! Tu voulais être dominée ? Tu vas voir tes souhaits accomplis !
Et ma femme ouvrit toutes grandes ses cuisses pour mieux offrir la vision de son sexe. Henri, un petit sourire vicieux aux lèvres, observait la nudité très érotique de sa fille. J’observais cet échange très dur extrêmement étonné, et excité, je pensais " Ils ne vont quand même pas baiser leur fille ici, sous les yeux de son mari ? ", Mais en définitive, j’imaginais que cela ne les aurait pas gênés... leur fille était redevenue leur esclave consentante. Un silence suivit l’échange, la tension dans la pièce était perceptible...
— Nous allons parfaire ton éducation, avant de te rendre à ton mari. C’était le sens de votre démarche, Paul ? C’est ce que vous désiriez lorsque vous nous avez contactés ? — Heu oui Nadine, mais qu’allez-vous lui faire exactement ? — Ah ah ! Cela ne vous regarde en rien ! Nous emmenons votre femme... si bien sûr celle-ci est d’accord ? Alors ma chérie, que décides-tu ? — Je viens avec toi maman..." dit Cécile en baissant la tête piteusement.

Je regardais ma femme se faire traiter comme une gamine écervelée, prise en faute, et elle obéissait sans rechigner ! Je ne l’avais jamais vue comme cela. Ses parents exerçaient sur elle une emprise, enfin plutôt un respect sur elle, incommensurable. La dynamique psychologique de cette famille était fascinante. Je n’avais pas vraiment cru les paroles de ma belle-sœur, Emma, quand elle m’avait décrit les mœurs assez bizarres de cette famille diabolique, mais là, j’étais obligé de la croire.

Nadine avait obtenu ce qu’elle voulait : la “reddition psychologique” de sa fille ! Alors elle lui demanda de leur préparer le repas. Ma femme se conduisit en parfaite petite ménagère, recevant sa famille, à un détail près ! Elle était accoutrée comme une fille de bordel ! Elle avait conservé ses bas, sa guêpière en redresse-seins, mais portait pour “protéger sa vertu”, un petit tablier de soubrette minimaliste. La voir déambuler dans cette tenue, au milieu de nous, qui discutions de sujets très éloignés de la sexualité, et des débordements passés de ma femme, avait quelque chose de surréaliste... et de très excitant !
Ma femme faisait le service comme si de rien n’était... sa situation de femme servile, et quasiment nue, devant sa famille, ne l’indisposait pas outre mesure. Au contraire, elle semblait prendre du plaisir à cette situation peu glorieuse. Elle ne perdait pas une occasion de se baisser devant nous, pour disposer, verres et plats d’apéritifs sur la petite table du salon, nous offrant ainsi la vue sur son sexe juteux et son petit cul de "salope ménagère". Je pouvais, et je savais ne pas être le seul, reluquer son petit cul appétissant, sa vulve brillante d’excitation, et ses seins aux pointes durcies, qui venaient échapper au petit tablier de soubrette...

Sa mère lui demanda de tamiser la lumière de la pièce, créant une atmosphère feutrée, propice aux caresses discrètes. Tandis que Nadine accaparait mon attention en me parlant de sujets divers, je vis que Cécile s’était assise sur les jambes de son père, et qu’il lui parlait à l’oreille, semblant lui faire des remontrances... je vis qu’il avait discrètement placé sa main sous le tablier, et j’imaginais sans mal qu’il avait ses doigts sur le pubis de ma femme, voire pire...
Nadine se détourna de moi pour regarder le manège de son mari, avec sa fille, tandis qu’Emma s’était rapprochée de moi, et venait lover sa tête dans mon épaule. Bientôt, je sentis sa main vérifier la bosse de mon pantalon, tandis qu’excité, je regardais mon beau-père tripoter discrètement sa fille. Il avait maintenant l’autre main sur son sein droit et en titillait la pointe. Emma attira mon visage vers le sien et m’embrassa fougueusement, comme pour détourner mon attention du "couple" incestueux. Je me demandais comment allait finir la soirée...

Après un ordre bref de Nadine, qui cassa l’ambiance, tout le monde se retrouva à table, avec toujours Cécile apportant les plats, tandis que les trois ne se gênaient pas pour la caresser discrètement, lorsqu’elle les servait. Alors que ma femme mangeait avec nous, je la surpris en train de serrer les lèvres et d’avoir une drôle d’expression sur le visage. Pour avérer mon intuition, je fis tomber ma serviette par terre. En la ramassant, je vis que Nadine avait le bout de sa botte profondément enfoncé dans le vagin de ma femme, les cuisses toutes grandes écartées, et qu’elle la masturbait de cette façon peu conventionnelle ! Nadine dut sentir mon trouble, car une main vint bientôt sur ma braguette. C’était Nadine, qui vint me déboutonner et farfouiller dans mon caleçon, pour en extraire mon membre turgescent, qu’elle se mit à caresser de bas en haut.
Je restai immobile, goûtant le contact délicieux de cette main experte : la vicieuse masturbait en même temps sa fille du bout de sa botte, et son gendre de sa main. J’imaginais que mon beau-père devait avoir lui aussi, la main sur le pubis de sa fille désobéissante...
Drôles de gens quand même. Je m’expliquais mieux le comportement aberrant de ma femme avec Ruiz et sa bande ! Quand elle me sentit tressaillir, ma belle-mère cessa sa caresse, afin que je ne me retrouve pas dans une situation difficile. Tout était permis, mais avec la plus grande discrétion !
J’avais le feu ! Il fallait que je me vide les couilles. Alors étant donné que tout le monde profitait des charmes de mon épouse, il était normal que je le fis aussi. Comme ma femme s’absentait quelques minutes, vers la fin du repas, je l’attendis dans le couloir sombre, près des toilettes, et je la retins d’un bras quand elle passa devant moi. Je l’embrassai vigoureusement et passionnément et elle répondit à mon baiser. Alors ma main alla directement sur son pubis, mes doigts prirent possession de sa petite chatte toujours très humide, et je commençai à la masturber frénétiquement. Elle se mit à gémir en se mordant les lèvres ; elle me dit :
— Tu veux que je te suce, ou tu veux me prendre par-devant ou par-derrière ? Fais vite, car ma mère ne doit pas nous surprendre !
Alors elle ouvrit ma braguette, en sortit mon sexe turgescent, et prenant appui des deux mains sur le mur, elles se cambra, m’offrant sa croupe. Elle était très désirable et offerte, je sus tout de suite que la pénétration allait être directe, puissante, mais rapide ! Mon gland suivant sa raie culière, trouva son anus raisonnablement ouvert... voilà à quoi s’était occupé mon beau-père quand il avait sa fille sur les genoux ! Il sodomisait discrètement ma femme avec ses doigts, ce salop ! Me positionnant sur son œillet disponible, elle donna un brusque coup de reins en arrière, pour se retrouver empalée sur ma queue palpitante. Je poussai moi aussi et je me retrouvai à enculer joyeusement ma salope de femme !
Cette sodomie très excitante, dans le noir de ce couloir, à quelques mètres de mes beaux-parents, nous procura beaucoup de plaisir à tous les deux !
Revenant d’abord dans la salle à manger, je repris ma place à la table. Mes beaux-parents ne firent aucun commentaire, mais la véritable directrice de notre petite réunion de famille ne fut pas prise en défaut. Alors que ma femme rentrait dans la pièce. Elle lui demanda de s’approcher d’elle et lui arrachant son tablier de soubrette, elle lui passa un doigt sur la vulve. N’y trouvant rien, elle la fit se pencher en avant, pour qu’elle lui présente son cul, et elle recueillit un filet de sperme qui s’échappait de son anus :
— Tu n’as pas respecté notre.

Cécile sans demander son reste, le rouge aux joues, obtempéra, et ma belle-mère s’adressant à Emma, lui dit :
— Toi, tu t’occupes de ton beau-frère, pendant que nous avons à faire avec ta sœur. Allez dans le salon, puis après trente minutes, emmène-le dans la chambre à coucher !
Le ton ne permettait aucune objection, et servilement Emma m’attira par la main dans le salon. Là, me faisant asseoir dans le sofa, elle me fit un mini-striptease, et ayant quitté sa robe à fleurs, très légère, elle apparut nue en porte-jarretelles rouge, et bas gris. Son pubis aux poils blonds vénitiens un peu longs était une invitation au plaisir ! Elle se pencha pour dégrafer ma braguette, tandis que je caressais ses beaux cheveux bouclés blonds, puis attirai son visage vers mon sexe en érection qu’elle avait dévoilé. Elle commença à me sucer, mes mains toujours caressant sa chevelure. Je m’amusais aussi à taquiner ses deux petits seins en poire. Puis elle vint carrément se positionner sur mon sexe, les genoux autour de mon bassin, en fleur de lotus. Elle balançait son corps, les yeux mi-clos en exhalant de petits gémissements très érotiques ! Je décidai de prendre mon temps pour profiter à fond de cet intermède délicieux.
Mais au fond de mon esprit demeurait l’idée de mes beaux parents s’occupant de ma femme dans la cuisine. Qu’allaient-ils bien pouvoir lui faire ? Cette question me taraudait autant qu’elle m’excitait ! Alors n’en pouvant plus, alors que ma belle-sœur était toujours en train de se mouvoir, ma verge profondément logée au sein de sa féminité, je lui posai la question :
— Emma... ma femme... qu’est-ce qu’ils lui font ? — Hummmmm... tu es chiant, Paul. On baise ! Profite de ma chatte accueillante ! Je ne me donne pas comme cela à tout le monde ! On s’en fout de ma sœur ! Je ne te suffis pas ? — Non... mais je veux savoir ! — Mes parents la punissent ! Elle a désobéi ! Elle... oh mon Dieu... elle devait ne plus avoir de hummm... relations avec toi... ouiii ! — Mais quoi ? Ils lui font quoi ? — Tu fais chier Paul ! — Attends un peu ! Et je la pris par les aisselles, la basculai sur le ventre, lui fis se mettre à quatre pattes, et je la pris en levrette, avec beaucoup de conviction ! La pécheresse se mit à crier sa jouissance ! — Tu vas l’avoir ton plaisir, après on ira voir ce qui arrive à ma femme !
Et ainsi fut fait !
Ma belle-sœur toujours nue m’emmena silencieusement vers la cuisine. Moi, par acquis de vertu, j’avais remis mon pantalon... Délicatement, Emma entrebâilla quelque peu la porte et la scène qui s’offrait à nous apparut dans tout son caractère morbide et surréaliste...Emma chuchota à mon oreille :
— Tu voulais voir, et bien regarde ! Mais ne fais surtout aucun bruit... ils n’apprécieraient pas !
Ma femme était placée couchée sur le dos, sur la table de la cuisine. Son père lui maintenait les bras en arrière, quoiqu’au vu des réactions quasi orgastiques de Cécile, cela semblait dérisoire, mais rajoutait au contexte de la situation. Elle avait les jambes grandes ouvertes, présentant sans honte son sexe largement ouvert devant sa mère. Celle-ci, à l’aide d’un torchon mouillé, lui donnait de grands coups sur son pubis, sa vulve, l’intérieur de ses cuisses... et parfois sur ses seins. Elle se régalait de fouetter ainsi sa fille. Quant à ma femme, elle criait et gémissait de plaisir sous la flagellation. En redemandant à chaque fois que ma belle-mère, fatiguée par l’effort, s’arrêtait quelques instants.
La scène était terriblement obscène et excitante, et je sentis revenir mon érection. Quant à Emma, subjuguée par la scène, elle se caressait les seins et sa chatte.
Après avoir regardé la séance de domination de ma femme par ses parents, Emma me tira vers elle, m’embrassa fougueusement et me dit à l’oreille :
— Voilà ce que tu aurais dû faire à ta femme depuis longtemps. Elle est née pour être dominée et violentée. C’est son fantasme le plus secret et le plus enraciné en elle. Faute de l’avoir fait et compris, elle te l’a fait payer, d’abord par son rejet de toute sexualité banale avec toi, puis en se donnant à cette bande d’escrocs ! Viens partons, j’ai de nouveau envie de faire l’amour... mais de cette façon violente et perverse !
Je suivis Emma jusqu’à la chambre, le feu consumant ma chair, et la nuit fut déroutante de sensualité et de violence...
Au matin, me réveillant relativement tard, Emma m’annonça que ses parents étaient partis avec ma femme. Celle-ci me serait renvoyée dans deux semaines, le temps de sa "rééducation" qui avait fort bien commencé ! Emma restait avec moi tout ce temps, puis s’éclipserait.

Epilogue :
Les deux semaines furent très constructives pour moi ! Emma m’apprit ce que je devais faire pour satisfaire définitivement mon épouse, lorsqu’elle reviendrait. Après ce petit stage de découverte, j’étais devenu un parfait dominateur, ayant compris les rouages psychologiques d’une femme masochiste et servile ! Quand Cécile revint chez nous, elle se montra très gentille avec moi, tout sentiment de rejet et de mépris à mon égard l’avait quittée ! Nous édifiâmes tous les deux une nouvelle vie sexuelle très enrichissante et déconcertante par certains côtés !
Par contre, malgré de multiples tentatives de ma part, elle ne voulut jamais me dire comment s’étaient passés les quinze jours avec ses parents... ce qu’ils lui avaient fait ?! Je n’en sus jamais rien...
La plupart du temps, nos rapports, quoique toujours très épanouissants, restaient "normaux", mais quand ma femme revêtait une tenue très sexy en cuir, et boucles de métal, je savais qu’elle voulait se faire dominer et souffrir, alors je revêtais "ma casquette de dominateur"... et une fois par mois, nous rendions visite au père Auguste...
Il y avait un code : quand ma femme me demandait de l’emmener acheter des œufs bio à la ferme, je savais qu’elle avait envie d’un rapport zoophile. Au début, l’idée me tracassait un peu, et puis je me dis qu’il valait mieux accéder à ses fantasmes même peu orthodoxes. Il valait mieux pour moi contrôler la situation, plutôt qu’elle n’exerçât ses fantasmes de son côté, sans sécurité ni limites !
La première fois, assise sur la voiture en imperméable beige, malgré une température assez clémente, elle se laissa conduire docilement à la ferme. Le vicieux père Auguste avait été contacté préalablement par téléphone, et nous attendait. Alors que je restais à quelques distances, pour voir comment ma femme allait réagir, le père Auguste se dirigea vers elle, lui fit la bise, puis sans façon, lui passa une main sous l’imperméable, pour lui palper le pubis. Ma femme se laissa aller, en poussant un soupir de contentement. Le vieux saligaud, sous mes yeux impassibles, défit alors la ceinture du manteau, et deux boutons, pour laisser tomber le vêtement par terre. Ma femme se retrouva nue en porte-jarretelles et bas blancs, les seins pointant et la vulve déjà luisante. Le vieux grivois embrassa fougueusement ma femme, lui enfonça sauvagement trois doigts sales dans son intimité, et lui caressa rudement les seins. Cécile commença à gémir, de toute évidence, elle adorait ce traitement !
Puis il la fit mettre à genoux, et sortant son sexe épais en érection, il le planta directement dans la bouche de ma femme, qui le suça avec passion. Ayant joui à gros bouillons dans sa bouche, il appela son chien. N’attendant que cela, ma femme se mit en position de "chienne" à quatre pattes et se laissa monter par le molosse. Le père Auguste dirigea la verge rouge de son chien dans la vulve entrebâillée de ma femme, et l’animal la pénétra avec vigueur et endurance. Cécile fut baisée violemment par le chien pendant dix bonnes minutes, n’arrêtant pas de jouir, gémir, ahaner avec conviction. Moi, je regardais la scène avec excitation, n’osant pas intervenir. Je respectais la volonté de ma femme. Je savais qu’au retour chez nous, Cécile serait déchaînée sexuellement, et que tous mes caprices seraient acceptés avec enthousiasme ! Déjà, de nouvelles idées très vicieuses me venaient à l’esprit !
Une demi-heure après, dans la voiture, ma femme ayant pris une douche, après avoir de nouveau "remercié" buccalement le père Auguste, et s’étant rhabillée, elle me dit avec candeur :
— Il est sympa ce père Auguste, il ne m’a même pas fait payer les œufs ! On reviendra le mois prochain !
FIN.
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