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Le piège.

Chapitre 2

Premières tentations ...

SM / Fétichisme
Cette première journée passée à la fac avec ma lingerie sexy sous mes fringues a été très excitante. A chaque pas, mes testicules sont délicatement caressés par le fin tissu de mon string et savoir que je porte des bas me procure un délicieux sentiment de perversion. J’ai profité de plusieurs intercours pour aller aux toilettes, me renfermer dans l’une des cabines et me masturber d’une main tout en caressant mes bas de l’autre. A chaque fois, j’ai longuement joui.
Ce soir à la maison, ma mère est là et nous dînons ensemble. Je la trouve très séduisante dans son tailleur et je me dis qu’elle doit certainement porter des bas dessous ; comme moi. Lorsque nous sommes installés au salon, elle sur le canapé et moi dans un fauteuil, je mate discrètement ses jambes pour essayer de voir les jarretières de ses bas, mais impossible. Elle part se coucher avant moi et je reste un peu devant le film policier, mais mon esprit est ailleurs. A mon tour, je rejoins ma chambre et, une fois en string et en bas dans mon lit, je prends mon ordinateur portable et je cherche une vidéo érotique avec les références « bourgeoise, bas noirs, string ». Je choisis l’une des vidéos et je me branle longuement en regardant une jolie bourgeoise mature se soumettre aux envies d’un vieux pervers.
Pour décupler mon plaisir, je m’imagine dans la peau de cette femme qui doit s’exhiber, se laisser caresser, sucer..... et ce sont de longs jets de foutre qui fusent lorsque je parviens à l’orgasme.
Deux soirs plus tard, ma mère est de nouveau de garde à l’hôpital Bichat et je décide d’en profiter pour explorer de nouveaux horizons. Cette fois-ci, je repère dans son armoire un superbe body rouge et un tailleur très BCBG. Une fois dans ma chambre, j’enfile le body et les bas autofixants puis je mets le tailleur. A l’exception de la poitrine, j’ai quasiment le même gabarit que ma mère, car le tailleur me va comme un gant.
Je m’installe à mon bureau devant la fenêtre, j’allume mon ordinateur et j’éclaire la chambre de ma seule lampe de chevet pour créer une ambiance discrète. Je décide de me connecter sur le site placelibertine où je me crée un profil sous le pseudo Davina. Je remplis la fiche comme si j’étais une fille, mais sans modifier ma description physique. Faute de photo, je mets un avatar androgyne récupéré sur un site de manga.
A peine cela est-il fait que j’ai quelques messages de membres connectés et je dois vite me décider à faire un tri si je ne veux pas passer mon temps à répondre à des
— Salut, ça va ? — Tu cherches quoi ?— Coucou !— Tu es là pour quoi ?...
Parmi tous les messages, celui-ci, d’un dénommé Jean75, m’interpelle un peu plus que les autres.
— Portes-tu des bas ? J’adore !
Une petite discussion s’installe entre nous deux.
— Oui, j’ai mis des bas noirs.— Tu as un porte-jarretelles ?
— Non, pas ce soir ! Ils tiennent tout seuls !— J’adore caresser des jambes gainées de soie noire !— Et moi j’adore porter de la lingerie !— Tu me montres par webcam ?— Non, impossible ce soir !— J’aurais aimé me branler en matant tes jambes.— Un autre soir peut-être.
Notre conversation se poursuit pendant une bonne demi-heure et je me prends en jeu de lui répondre comme si j’étais vraiment une femme. Il me déclare être un fétichiste des tenues sexy et de la belle lingerie. Mais son problème est qu’il n’arrive jamais à concrétiser avec les personnes avec qui il discute sur le site. Il m’avoue, un peu gêné, que deux ou trois fois il s’est laissé aller à rencontrer des travestis et que cela lui avait permis de combler ses envies. De mon côté, je lui dis que je viens juste de m’inscrire et que pour l’instant je ne recherche aucune rencontre.
Après m’être déconnecté, je vais dans la chambre de ma mère pour ranger dans son armoire les fringues empruntées. Alors que j’ai retiré et rangé le tailleur, je m’allonge sur son lit et j’entrouvre le body rouge à l’entrejambe de manière à me masturber tout en me caressant les cuisses. Le souvenir de notre conversation érotique sur internet, le contact du tissu sur la pointe de mes seins et le doux contact de la soie sous ma main m’excitent au plus haut point et je jouis longuement en pensant que c’est Jean75 qui est en train de me caresser et de me branler.
En rangeant le body et les bas, je découvre que ma mère a caché un petit coffre au fond de son armoire. Je le sors, le pose sur le lit et tente de l’ouvrir, mais c’est impossible, car il est fermé par un petit cadenas. Je ne vais tout de même pas forcer la serrure, car ma mère s’en apercevrait immanquablement. Je fonce alors dans ma chambre, prends mon téléphone portable et je reviens faire une photo de cadenas. Si je pouvais en acheter un qui lui ressemble, je pourrais peut-être adapter la clé pour ouvrir celui-ci. Comme la fois précédente, je remets tout en ordre.
Le lendemain est un samedi et je peux faire la grasse matinée. C’est d’autant plus nécessaire que mes recherches et discussions sur internet suivies de plusieurs masturbations nocturnes m’ont tenu éveillé fort tard.C’est ma mère qui me réveille en entrant dans ma chambre et en ouvrant mes rideaux.
— David, tu devrais être levé depuis déjà un bon moment. Tu as vu l’heure ?
Je me justifie comme je peux.
— J’ai regardé un bon film à la télévision puis j’ai débuté la lecture d’un ouvrage de Raymond Aron sur lequel nous devons faire une fiche de lecture détaillée.
Elle poursuit de son côté.
— Ta chambre sent le fauve, aère pendant que je prends ma douche. La nuit a été harassante !
Je me lève avec lenteur, m’habille, range mon bazar et ouvre en grand la fenêtre. Ma mère est déjà sortie de la douche, je l’entends dans sa chambre en face de la mienne. Par le jeu des différents miroirs, celui de mon armoire et celui de sa coiffeuse, je l’aperçois de dos debout près de son lit. Elle retire son peignoir et je peux alors voir ses fesses bien dessinées. Ses cheveux châtains mi-longs lui tombent sur le haut des épaules et je reste à la mater sans bouger. Elle ouvre son armoire, se penche pour y saisir quelque chose et se relève en enfilant un superbe tanga noir qui lui fait une superbe croupe. Elle se penche de nouveau puis se relève en se tournant. Je peux alors admirer ses seins qui sont encore bien fermes, elle n’a pas de ventre et sous une touffe de poil je devine son sexe. Elle met maintenant son soutien-gorge puis un porte-jarretelles auxquels elle accroche les bas qu’elle vient de passer.
En la regardant, je me dis qu’un corps de femme est tout de même bien plus sexy et désirable qu’un corps d’homme. Tandis qu’elle est ainsi assise devant sa coiffeuse pour se maquiller, j’imagine toute l’excitation qu’il doit y avoir à se parer ainsi de belle lingerie et tout le plaisir qu’une femme doit ressentir à s’apprêter. Lorsqu’elle enfile sa robe, je considère qu’il est plus sage que je me dirige vers la cuisine pour prendre un petit-déjeuner bien tardif.
Devant ma tasse de café au lait, savourant les croissants que ma mère a rapportés, je suis songeur. Je pense à ce plaisir de porter de la lingerie, je me remémore cette jouissance ressentie en pensant à Jean75 et j’envisage toute l’excitation que je pourrais éprouver en poussant un peu plus loin ces premières expériences.....
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