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Le piège.

Chapitre 4

Cinéma X première ...

Erotique
Ce matin, mes cours ne commencent qu’à 10h00, mais je prends tout de même mon petit-déjeuner avec ma mère qui doit partir de la maison à 08h30 pour être à son travail à l’hôpital Bichat à 09h00. Elle est déjà habillée et maquillée, prête à foncer vers la station de métro en bas de chez nous dès qu’elle aura pris son café noir et ses deux biscottes matinales. Jamais plus, pour maintenir la ligne dit-elle !Je la regarde, elle a mis un joli tailleur gris et elle a les jambes gainées de soie noire. Je me demande si c’est des bas ou bien un collant. Comme beaucoup d’hommes, je me demande si les femmes qui travaillent dans les hôpitaux sont en lingerie sous leur blouse blanche. Ce doit être excitant d’être dans une telle tenue !
Elle m’embrasse et me dit.
— A ce soir chéri. Travaille bien !
Avant de refermer la porte de l’appartement derrière. J’entends le bruit de ses talons résonner sur les escaliers qui mènent de notre étage au rez-de-chaussée. Je me précipite à la fenêtre et la regarde marcher dans la rue avant de disparaître dans la station de métro. Je vais à la salle de bain et me rase. Cela fait maintenant dix minutes qu’elle est partie, il n’y a aucune raison qu’elle revienne à l’improviste. Je me précipite dans ma chambre, récupère la clé du petit cadenas acheté il y a quelques jours et fonce dans la chambre de ma mère. J’ouvre son armoire, fouille dans le bas du meuble et en sors son petit coffret secret. Bien évidemment, ma clé ne s’adapte pas dessus, mais, en y regardant de plus près, je me dis que je dois pouvoir ajuster la forme de ma clé à celle de la serrure du cadenas du coffre. Compte tenu de l’heure qui tourne, je ferai cela en rentrant ce soir.
Puisque je suis devant l’armoire de ma mère, je décide d’en profiter pour lui emprunter un peu de lingerie. Je choisis ce que j’aime bien, referme l’armoire et vais dans ma chambre pour m’habiller. C’est un régal d’enfiler les bas noirs autofixants sur mes jambes avant de mettre le petit string blanc et noir Simone Pérèle. Me regardant dans le miroir fixé derrière la porte de ma chambre, je me dis que c’est vraiment dommage de ne pas avoir plus de pectoraux, car j’aimerais bien tester le port d’un soutien-gorge ou d’un body.
Rien que le fait de mettre cette lingerie sur moi m’excite au plus point, et je pense alors à Jean75 qui m’a demandé de faire quelques photos. Il va aussi falloir que je m’en occupe bientôt. Mais pour l’instant, je m’allonge sur mon lit et me masturbe rapidement en pensant à cet homme qui m’a caressé et masturbé dans la cabine du sex-shop à Pigalle. Je regrette vraiment d’avoir joui trop vite ce jour-là, car c’était vraiment le pied de m’offrir à lui en lingerie. Une fois que je me suis bien branlé, j’enfile mon jean et mon polo et me voilà parti pour la fac.
Ma journée d’étude se passe normalement et je profite des pauses entre les cours, comme j’en ai maintenant pris l’habitude depuis quelques semaines, pour aller me faire une petite branlette dans les toilettes. Parfois, tandis que je me masturbe dans la cabine w.c., j’entends discuter les mecs qui viennent aux urinoirs. Leurs conversations ne volent pas très haut et sont parfois très graveleuses. Cela m’excite et je me dis qu’ils seraient bien surpris de me voir avec les dessous que je porte.
L’après-midi, j’ai deux heures de cours consacrés à la philosophie antique avec l’étude d’œuvres de Platon et d’Aristote. Au bout d’une heure, je décroche un peu et je décide de surfer sur internet pour passer le temps. Compte tenu du nombre d’étudiants dans l’amphi et de ma place dans les rangées du milieu, je suis tranquille ! Après quelques minutes, je tombe sur un site appelé « Lieux d’échanges » qui répertorie les endroits coquins sur Paris et leur fréquentation. En affinant ma recherche par types de lieu (sex-shop, sauna, cinéma, club ...) je découvre qu’il existe un cinéma pornographique rue de la ville neuve près du cinéma Le Grand Rex juste à côté du métro Bonne Nouvelle. En lisant les commentaires, je découvre qu’il est surtout fréquenté par des hommes murs, à majorité bisexuels, adeptes de caresses discrètes entre adultes consentants. Je note l’adresse sur l’une de mes pages de cours, à toutes fins utiles.
Il est 16h30 lorsque je sors de la fac et je saute dans le métro pour prendre la direction de la station Bonne Nouvelle où j’ai envie d’aller en repérage. A Opéra, je prends la ligne 8 et me voici arrivé. Avant de sortir de la station, je me repère sur le plan et c’est avec un peu de difficulté que je trouve la rue de la ville neuve. Tel un touriste qui déambule dans le quartier, je remonte le boulevard puis emprunte la rue pour passer devant Le Beverley. Je ralentis devant l’entrée, le lieu a l’air calme. J’hésite, j’y vais ou je n’y vais pas ?? Pas facile de se lancer même si j’ai la secrète envie de tenter l’expérience. Un homme arrive dans la rue en face de moi, il semble être un habitué des lieux. Il présente bien et ressemble à un cadre quinquagénaire qui vient de quitter son boulot et, mais s’accorde une petite pause avant de rentrer chez lui où sa femme et les enfants l’attendent certainement. J’hésite encore une minute et je me lance !
Je me présente à la caisse vitrée derrière laquelle se tient le gérant des lieux. Je lis une petite affiche qui indique « 12 euros ». Je lui donne le compte et il me donne un ticket d’entrée comme dans un cinéma normal. Je pousse la porte qui donne sur l’unique salle de projection et m’arrête quelques secondes pour que mes yeux s’habituent à l’obscurité.
Une fois que j’arrive à voir l’intérieur, je constate qu’il s’agit d’une petite salle. Il doit y avoir une dizaine de rangées de six ou sept fauteuils chacune. A l’avant de la salle, dans un recoin sur la gauche de l’écran, il y a deux autres rangées de quatre fauteuils. A l’écran, une belle bourgeoise mature est en train, semble-t-il, de faire des achats dans un magasin de lingerie. Je repère une place libre facilement accessible au centre de l’une des rangées au milieu de la salle. Je me faufile entre les sièges et je m’installe pour regarder l’écran. Il doit s’agir d’un vieux film, car l’image saute un peu et la pellicule semble piquée. Mais il semble y avoir une histoire et je préfère cela à une succession de gros plans érotiques. La femme a choisi une parure de lingerie et entre dans une cabine pour procéder aux essayages. C’est alors qu’un jeune homme, caché jusque-là parmi les rayons, se dirige vers la cabine et demande.
— Madame, tout va bien ?
La femme lui répond.
— Je crois que j’ai quelques soucis pour retirer le corset que j’ai mis ce matin. Mon mari a dû faire un nœud que je n’arrive pas à défaire.
On voit alors le jeune homme pénétrer dans la cabine, aider la femme à retirer son corset puis il se met à genoux derrière elle pour lui caresser les jambes. Jetant un œil autour de moi, je constate qu’il doit bien y avoir une vingtaine de spectateurs dans la salle, que des hommes ; la moyenne d’âge est relativement élevée et je suis certainement le plus jeune. Lorsque je parle de spectateurs, je dois tout de même reconnaître qu’il y a quelques acteurs dans la salle ! Certains, confortablement installés dans leur fauteuil, se masturbent en solitaire en regardant la bourgeoise se faire caresser les seins et dévorer la chatte dans la cabine d’essayage. D’autres se masturbent ou se caressent mutuellement en duo et je remarque même, dans le recoin à gauche de l’écran, que quelqu’un est penché sur le bas-ventre de son voisin de droite pour lui prodiguer très certainement quelques caresses buccales.
Ce qui est surprenant et marrant, c’est qu’il y a un ballet incessant dans la salle ; certains vont ou sortent des toilettes situées du côté du recoin gauche, d’autres changent régulièrement de place tandis que ceux qui quittent la salle sont vite remplacés par de nouveaux arrivants.
Alors que je suis captivé par la belle bourgeoise offerte en bas au jeune vendeur, un homme vient s’asseoir à ma droite. Au bout de quelques minutes, il pose sa main sur mon genou droit et laisse sa main immobile. Depuis mon expérience dans la cabine du sex-shop, je sais qu’il faut laisser faire. Encouragé par mon manque de réaction, la main remonte sur ma cuisse et se cale au niveau de ma braguette. Mon voisin doit être un redoutable chasseur - expert de l’approche silencieuse du gibier -, car, après encore quelques instants d’attente, il commence à aller et venir sur mon jean puis ouvre ma braguette et, après une nouvelle pause, glisse sa main dans mon pantalon. Il semble surpris de rencontrer la douceur de ma petite culotte empruntée à ma mère, mais cela semble lui plaire. Sa main descend dans la jambe de mon pantalon sur ma cuisse et là, nouvelle surprise quand il découvre la lisière de mes bas.
Il me caresse avec application la cuisse et les bourses, ce qui provoque immédiatement mon érection. Je décide donc de baisser complètement mon jean pour qu’il puisse mieux me caresser. Je suis maintenant bien calé au fond de mon fauteuil, ma culotte de soie et mes bas noirs bien visibles et accessibles. Ma queue bien bandée déforme le tissu et mon voisin décide de la libérer. Il prend ma hampe en main et commence à me branler. Quel régal !
A l’écran, c’est maintenant la bourgeoise qui est en train de sucer le petit jeune. Sur ma gauche, un homme vient occuper le fauteuil voisin du mien. Il observe un instant mon voisin droit qui me branle, puis sa main se pose sur ma cuisse gauche. Branlé par mon voisin de droite, caressé par celui de gauche, je me laisse aller. J’ai maintenant les yeux fermés et je m’abandonne à ces deux hommes.Tout en me caressant, mon voisin gauche se penche vers moi et me dit à l’oreille.
— Tu es très sexy dans ta lingerie de bourgeoise !
Celui de droite, qui a dû entendre, poursuit.
— Oui, nous avons là une jeune salope bien sexy !
Leur conversation se prolonge comme une partie de ping-pong dont je ne suis que spectateur.
— Elle a la peau douce et ses bas lui vont à merveille.— Et moi, j’adore sa petite culotte de soie.— Son clito est dur comme du bois.— On en goûterait !— Vas-y, ne te gêne pas pour moi !

Mon voisin de gauche se penche alors vers mon bas-ventre et prend ma queue en bouche tout en glissant une main derrière mon dos pour me doigter l’anus. Celui de gauche continue à me branler d’une main tout en poursuivant ses caresses sur mes bas noirs. Je suis comme dans un état second tellement je découvre des sensations inconnues. Notre trio devient le centre d’attraction de la salle et plus grand monde ne s’intéresse maintenant à la bourgeoise qui se fait enfiler dans la cabine d’essayage. Les trois hommes situés dans la rangée devant nous se sont retournés et nous matent. Celui qui est juste devant moi arrive même à glisser sa main entre les sièges pour se mettre également à me caresser. Derrière moi, quelqu’un réussit à glisser ses mains sous mon polo, remonte jusqu’à ma poitrine et se met à me pincer les tétons. Je me mords les lèvres pour ne pas crier mon plaisir d’être ainsi le jouet sexuel de ces hommes murs.
Je ne sais pas pourquoi, je me mets à penser à ma mère en lingerie sexy sous sa blouse blanche de docteur. Je l’imagine endormie et je lui défais les boutons de son vêtement pour mieux la voir. J’imagine ses seins lourds et sa chatte, je délire dans mes fantasmes.
Soudain, je ne peux plus me retenir. J’ouvre grand les yeux et, devant cette actrice bourgeoise en lingerie de salope, c’est comme si je voyais ma mère à l’écran. Devant ma respiration de plus en plus saccadée, mes gémissements de moins ne moins étouffés et mon abandon total à leurs envies, les mecs autour de moi ont compris que j’étais sur le pont de jouir. Mon voisin de gauche compresse ses lèvres autour de mon gland, celui de droite accélère le rythme de sa main et les pincements de celui de derrière se font plus prononcés. Dans un long râle, tout mon foutre se déverse dans cette bouche gourmande qui ne veut absolument pas en perdre une goutte. Je suis au bord de l’évanouissement.
Je reste bien cinq minutes à récupérer avant de remonter mon jean et réajuster mon polo. Mon voisin de droite me demande.
— Tu viens souvent ?
Je lui réponds.
— Non c’est la première fois.
Celui de gauche m’interroge.
— Tu t’appelles comment ?
Je m’entends lui répliquer du tac au tac.
— Davina !
Puis ils poursuivent tous les deux.
— Tu es très excitante Davina.— Oui, tu es une belle petite salope !— On espère que tu reviendras régulièrement.
Le fait qu’il me parle comme si j’étais une fille rajoute du piment à cette belle expérience. Je les quitte en les remerciant pour le plaisir qu’ils m’ont donné, et en leur avouant que je reviendrai certainement un jour ou l’autre.
Il à peine 18h00 lorsque je parviens à la maison, et ma mère ne devrait pas être là avant une bonne demi-heure. Je m’empresse de retirer mes bas et ma petite culotte que je jette dans la corbeille de linge sale dans la salle de bain avant de prendre une rapide douche. Puis je vais dans ma chambre et je commence à limer la clé de mon cadenas comme je l’avais prévu le matin. Je file à la chambre de ma mère et teste la clé sur le coffre secret. Mince, ce n’est pas suffisant ! Je retourne dans ma chambre et me remets à l’ouvrage en veillant à bien limer où il faut. De retour dans la chambre de ma mère, je savoure ma victoire en constant que la clé s’adapte à la serrure. Mais le bruit de la clé de ma mère dans la serrure de la porte de l’appartement m’oblige à tout ranger précipitamment. J’ai à peine le temps de sortir de sa chambre qu’elle pousse la porte. Je la regarde, elle me fait vraiment penser à la femme dans le magasin de lingerie du film......
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