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Le piège.

Chapitre 8

Premier travestissement ...

Erotique
Cette journée de mardi m’a paru interminable à la fac, et même si les cours ont été aussi intéressants que d’habitude, c’est comme si les aiguilles de ma montre faisaient du sur-place. Dès la fin de l’ultime séance de théologie, je fonce vers le métro et prends le chemin de l’appartement.
Une fois arrivé à la maison, il n’est que 18h00 et je vais donc avoir le temps de me préparer pour mon rendez-vous de 20h30 chez Monsieur Dubout. Ma mère est de garde cette nuit et elle ne rentrera donc pas, je peux donc profiter de son dressing pour choisir ma tenue. Initialement, j’avais envisagé de me rendre avec un sac à mon rendez-vous et de me changer sur place. Cependant, après réflexion, je me dis que c’est beaucoup plus excitant d’arriver en femme pour lui faire la surprise. La difficulté, pour ne pas dire le défi, c’est de réussir à y aller sans croiser quelqu’un de l’immeuble qui pourrait me reconnaître sous mon travestissement. Je me dis que le plus simple sera d’utiliser l’escalier de service au lieu de l’ascenseur. Cet escalier, autrefois réservé au personnel de maison qui travaillait chez les différentes familles de l’immeuble, n’est aujourd’hui emprunté que par les quelques étudiants qui occupent les chambres de bonne du dernier étage.
Il y a donc peu de risque de rencontrer quelqu’un de connu !
Je suis donc nu dans la chambre de ma mère, en train de choisir ce que je vais mettre pour me travestir. Histoire d’être crédible, je décide de mettre un soutien-gorge noir à armatures de manière à me faire comme une belle poitrine. En fouinant un peu dans les tiroirs de lingerie, je trouve un superbe porte-jarretelles noir et rouge. Je bande, rien que de le toucher et de l’attacher autour ma taille. Lorsque j’enfile les bas et les attache aux jarretelles, cela est loin de faire retomber ma tension. Pour ce qui est des strings, je n’ai que l’embarras du choix. J’en choisis un noir qui me dessine de belles fesses musclées, mais j’ai un peu de mal à y loger mon sexe bandé.
Il faut maintenant choisir ce que je vais mettre par-dessus. Pour le haut, je prends un chemisier facile à boutonner et je me décide pour une petite jupe assez évasée facile à trousser. Maintenant, il n’y a plus qu’à mettre les escarpins que Monsieur Dubout m’a offerts. Pour la suite, je vais rapidement sur internet pour voir les secrets d’un maquillage réussi. Puis, devant le miroir de la salle de bain, une fois mon visage bien lavé, je m’applique une légère couche de fond de teint pour me donner un air un peu bronzé. Ensuite, je m’attaque aux sourcils et aux yeux avec un peu de mascara et de fard à paupières. Une fois que j’ai ma perruque blonde, je n’ai plus qu’à me mettre du rouge à lèvres pour terminer ma transformation. Dans le miroir, je me trouve très crédible en jeune femme !
Vers 20h25, j’ouvre la porte de notre appartement qui donne sur l’escalier de service et je tends l’oreille pour vérifier que personne n’est en train de monter. Une fois que c’est chose faite, je monte les marches une à une en faisant bien attention de ne pas me tordre les chevilles. Quand on n’est pas une vraie femme, marcher avec des talons hauts n’est pas une sinécure ! Lorsque je frappe à la porte de Monsieur Dubout, il met bien une bonne minute à venir m’ouvrir et mon cœur bat la chamade tandis que je patiente devant sa porte. Si quelqu’un me voit ainsi, que va-t-on penser de moi ? Dès que mon hôte ouvre la porte, je me précipite à l’intérieur. Monsieur Dubout me met tout de suite à l’aide.
— Bonjour ma belle ! Tu es vraiment très sexy et très crédible. Viens au salon, nous allons boire quelque chose.
Dans la pièce, il n’y a qu’une lampe orientale qui diffuse une lumière tamisée rouge et rend l’endroit très intimiste. Il me sert un petit porto puis s’installe en face de moi. Nous commençons à discuter et je croise mes jambes comme j’imagine le ferait une femme. Je vois tout de suite qu’il me mate de la tête aux pieds et me dévore des yeux. Au cours de la conversation, il me dit :
— Je te remercie pour les photos de ta mère. Le produit semble avoir fait de l’effet si je ne me trompe pas ?
Je lui réponds :
— Oui, elle a été très coopérative et j’ai pu faire les photos sans problème.
Il poursuit :
— Tu n’as pas essayé de prendre des photos plus osées ? C’était l’occasion rêvée !

Je ne sais nullement s’il croit mon mensonge :
— Non, je n’ai pas voulu prendre le risque de tout gâcher en la brusquant par des demandes trop osées.
Il enchaîne :
— M’as-tu rapporté le reste des pilules ? Il ne faudrait pas les laisser traîner n’importe où !
Là encore, je lui mens :
— Non, j’ai oublié la boîte dans ma chambre ! Mais elle est bien cachée et ma mère ou la femme de chambre ne risquent pas de la trouver.
Il semble me croire et me répond :
— Ce n’est pas grave !

Lorsque j’en suis à mon troisième ou quatrième verre de porto, il lance un DVD sur son téléviseur et je comprends bien vite qu’il s’agit d’un film érotique. Il vient s’asseoir près de moi et commence à me caresser les jambes. Sur l’écran de la télé, c’est une jeune femme en tailleur qui est assise entre deux hommes matures en train de la caresser et de l’embrasser.Excité par le film et par les caresses, je décroise les jambes et Monsieur Dubout en profite pour remonter jusqu’à mes cuisses. Il m’adresse un grand sourire lorsqu’il découvre que j’ai des bas retenus par des jarretelles. Il me félicite.
— C’est parfait ! Tu es une bonne petite femelle comme j’aime. Je suis sûr que tu vas très vite apprendre à bien tenir ton rôle.
Le fait qu’il me parle au féminin, comme si j’étais une fille, m’excite encore plus. Je lui réponds.
— Oui Monsieur Dubout, j’ai très envie d’apprendre à me comporter comme vous le souhaitez.
Il m’embrasse sur la bouche puis me dit :
— Appelle-moi Henri. Et moi, comment dois-je vous appeler Mademoiselle ?
Je lui réponds :
— Davina ! Ce sera très bien !
Il se fait maintenant plus entreprenant, reprend possession de ma bouche et me caresse sous ma jupe. Je décide alors de lui faire un petit numéro de strip-tease. Je me mets debout, lui tourne le dos et je défais lentement mon chemisier que je lui jette. Ensuite, toujours avec lenteur, je fais glisser ma petite jupe le long de mes jambes et lui lance. Toujours de dos, j’ondule de la croupe, je me caresse la poitrine et les fesses. Lorsque je me retourne, il est nu et son sexe est dressé fièrement comme un étendard.A l’écran, les deux hommes ont déshabillé la jeune fille qui s’avère être un travesti et ils sont en train de bien se faire sucer à tour de rôle. Henri me dit :
— Viens, montre-moi ce que tu sais faire.
Il est assis sur le canapé et je m’agenouille devant lui. Je prends sa queue en bouche et je commence à lui prodiguer une belle fellation. Comme j’ai vu faire dans les films X regardés sur internet, j’avale bien sa bite, je lui malaxe les bourses, je lui tète le gland, j’enserre fort sa hampe et j’aspire sa queue tout en la faisant coulisser jusqu’au fond de ma gorge. Se réglant sur ce qui se passe sur l’écran du téléviseur, il me dit :
— Mets-toi en levrette petite salope. Tu m’as bien excité et il est temps de bien me soulager.
Je suis maintenant à quatre pattes sur le tapis, face à la télé où le jeune acteur est dans la même position que moi. Ou plutôt devrais-je dire que c’est moi qui suis dans la même position !!
Je comprends qu’Henri est en train d’enfiler un préservatif sur sa queue puis il vient se frotter contre mes fesses. Comprenant que c’est mon dépucelage anal, il me conseille de la voix :
— Détends-toi Davina, ça va bien se passer !— Tu vas voir que c’est bon et tu vas en redemander.— Oui, c’est bien, pousse un peu !
Et progressivement, sa queue m’ouvre et me pénètre. Puis il se retire entièrement, me met un liquide gluant froid - un gel lubrifiant, je pense - et réinvestit les lieux. Au bout de quelques va-et-vient prudents, il peut coulisser plus facilement en moi et accélère la cadence. Sur l’écran, le travesti gémit sous les assauts de l’un des deux hommes et les caresses de l’autre. Mon plaisir commence à croître et je gémis à mon tour.
— Oui, c’est bon. J’adore !— Je suis votre petite salope, baisez-moi fort !— Oh oui, encore, plus fort !
Henri me maintient fermement par les hanches et me défonce bien en cadence en pensant déjà à la suite.
— Tu vas voir, je vais faire de toi une superbe petite salope !— Davina, tu es faite pour le plaisir des hommes, je l’ai vu au premier regard.— Bientôt, je te présenterai à quelques amis qui feront ton bonheur.— Dis-moi que tu aimes ça !
Entre deux gémissements, j’arrive à lui répondre :
— Oui Henri, je suis toute à vous !— Oui, apprenez-moi à être bien docile et attentive aux envies des hommes.
Soudain, il se raidit, me serre plus fort et s’arc-boute derrière moi. Il me crie :
— Oh petite salope, je vais jouir !— Je te dépucelle et c’est bon !
Sans même me toucher ou me branler, des filets de sperme s’échappent de mon sexe tandis que Henri remplit son préservatif de tout son foutre.Lorsque nous nous relevons, il me dit en prenant son téléphone qui était posé sur la table basse
— J’ai tout filmé de cette première séance. Lorsque je vais montrer ça à quelques vieux copains, ils vont être pressés de te rencontrer.
Comme je l’avais pressenti, le coquin me tient maintenant avec les photos et les films érotiques qu’il commence à avoir de moi. Tant pis, je vais devoir assumer mon statut de petite femelle travesti. Cela n’est pas pour me déplaire !
A peine suis-je de retour à notre appartement que mon téléphone portable sonne, c’est ma mère !
— Comment vas-tu ?
me demande-t-elle
— N’était-ce pas aujourd’hui que tu devais passer chez Monsieur Dubout ?
Prenant une voix la plus naturelle possible, je lui réponds :
— Oui, j’y suis passé rapidement tout à l’heure. J’ai réglé ses problèmes d’ordinateur.
Elle me félicite
— C’est parfait, tu es un bon garçon. C’est important de savoir rendre service.
Puis poursuit :
— Je te souhaite une bonne soirée. A demain, je rentrerai vers 18h00.
Je lui souhaite une bonne nuit de garde et raccroche.
Le soir, une fois au lit, je me masturbe longuement en pensant à ce dépucelage chez Monsieur Dubout. Mais en même temps, je me rends compte que je pense à ma mère que j’ai pu photographier comme je le souhaitais et elle s’est bien laissée aller à mes massages. Je prends mon portable et je visionne les photos d’elle. Je passe très rapidement sur les photos en lingerie que j’ai adressées à Henri pour m’attarder plus longuement sur celles plus intimes. Dire qu’elle s’est presque offerte à moi !!! De longs jets de sperme fusent sur mon ventre alors que je me demande ce qui se serait passé si je m’étais branlé tout contre elle et si j’avais tenté de lui faire sucer ma queue. Lorsque je m’endors, des images d’étreintes incestueuses me traversent l’esprit .....
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