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Le piège.

Chapitre 11

Premières joutes incestueuses ...

Inceste
Ma mère est donc là dans sa petite nuisette, allongée sur son lit, les yeux bandés. Moi aussi, je suis bandé ! Je fixe en silence les petits gadgets qu’elle a posés près d’elle : un petit plumeau, de l’huile de massage, une poudre pour le corps, des boules de geisha et un gros vibromasseur nervuré. Je réfléchis ! A-t-elle sorti tout cela pour me provoquer ou bien a-t-elle vraiment envie que je me serve de tous ces jouets. Je décide de jouer la prudence pour ne pas la brusquer, mais de rester ambitieux pour tenter de réaliser mes envies les plus lubriques...
Mon érection me fait mal, je glisse une main dans mon jean pour redresser ma queue et la mettre dans une position plus appropriée. Je m’empare ensuite du plumeau et je commence à effleurer les pieds et les mollets de ma mère. Son corps frémit sous le contact des plumes légères et elle se mordille déjà les lèvres pour ne pas crier. Je remonte sur ses mollets, ses genoux puis le haut de ses jambes. Elle a la chair de poule, mais ce n’est pas le froid qui en est à l’origine. La preuve c’est qu’elle écarte les jambes et je peux alors découvrir qu’elle ne porte pas de culotte. Je peux à loisir contempler son sexe, ses grandes lèvres bien collées l’une à l’autre et dessinant une fente intime qui ne demande qu’à s’ouvrir ainsi que sa fine toison taillée de près pour former un petit bosquet au-dessus de son clito.
Le plumeau poursuit sa course vers le haut et, comme si je tenais un pinceau, je trace de jolies arabesques sur son sexe et à l’intérieur de ses cuisses. Son ventre est secoué de spasmes et, de ses deux mains, elle défait le lacet du devant de sa nuisette de manière à libérer ses seins de l’entrave du fin tissu. La vision de sa superbe poitrine et de ses deux aréoles aux tétons érigés me déconcentre une fraction de seconde. Mais je me ressaisis vite et le plumeau est déjà en train de dessiner des ronds sur ses seins. Je devine le plaisir qui monte en elle, il est temps d’aller plus loin.
Je pose le plumeau, ouvre le flacon d’huile essentielle et m’en verse dans la paume des mains. Comme avec le plumeau, je commence par lui masser les pieds en insistant sur la plante et les chevilles, car je sais qu’elle est particulièrement sensible. Puis lentement, en faisant de lentes arabesques, mes mains massent les mollets, remontent le long des jambes, caressent les genoux, effleurent l’arrière des cuisses, reviennent sur le devant et se glissent de chaque côté de la fente intime qui commence déjà à s’entrouvrir et à mouiller.
Ma main gauche poursuit sa route sur le mont de Vénus, dessine le contour du nombril, remonte et s’enroule sur les deux seins. Ma main droite ne reste pas inactive pour autant puisqu’elle se plaque sur la chatte moite et exécute un lent mouvement de va-et-vient d’avant en arrière. Les doigts de ma main gauche se concentrent ensuite sur les tétons et les pincent doucement. L’index de ma main droite se désolidarise des autres doigts et se glisse dans la chatte. Ma mère réagit aussitôt à l’action combinée de mes doigts sur ses seins et son sexe. Elle ondule du ventre, bombe le torse et gémit de plaisir. Au bout de quelques minutes, constatant qu’elle réagit très bien à mes premières envies, je décide de continuer à aller de l’avant.
Ma main gauche redescend vers son pubis et, du bout de mes doigts imprégnés d’huile de massage, je caresse délicatement ses grandes ouvertes comme les pétales d’une fleur. De mon autre main, je saisis les boules de geisha que j’enduis d’huile pour faciliter la suite. Puis, lentement, j’introduis la première boule dans la chatte de ma mère qui absorbe sans difficulté ce corps étranger. La seconde boule suit le même chemin et il n’y a maintenant plus que la petite ficelle, qui relie les boules entre elles et permet de les retirer, de visible.
Je m’allonge entre les jambes de ma mère de sorte que ma bouche est à la hauteur de son sexe. Mes deux mains remontent sur sa poitrine et reprennent possession de ses tétons qui sont toujours aussi tendus et durs. Elle doit sentir mon souffle chaud sur ses poils pubiens et c’est tout naturellement qu’elle soulève le bas-ventre. La pointe de ma langue se tend et glisse sur sa fente. Elle soulève encore un peu plus son bas-ventre et ma bouche se plaque sur sa chatte. J’attends ce moment depuis si longtemps et je sais que maintenant l’essentiel est fait. Je lui dévore le sexe tandis que ma langue se glisse au plus profond de sa vulve et secoue les boules de geisha. Elle fond dans ma bouche et ses gémissements sont remplacés par des propos complètement débridés.
— Oh oui chéri, c’est bon !— Encore, mange-moi plus fort !— Ohhhh, je jouis ! Oui, plus profond !
Ma queue me fait mal et mon jean est prêt à exploser. Sans que ma bouche se décolle de son sexe, j’arrive à déboutonner ma chemise puis la retirer. Ensuite, au prix de quelques contorsions, je réussis à faire glisser mon jean et mon boxer. A cet instant, je sais que je vais enfin posséder ma mère, en faire ma femelle et la transformer en la belle salope dont je rêve quand je me masturbe.
Je retire de sa grotte les boules de geisha, ses grandes lèvres restent bien écartées, prêtes à recevoir ma queue toute gorgée de sang. Je remonte un peu plus haut entre les jambes de ma mère – de ma femelle devrais-je maintenant dire – et c’est tout naturellement que mon gland revient à l’origine de mon monde. Je n’ai pas besoin de pousser pour envahir tout l’espace qui s’offre à moi ; j’ai l’impression que ma queue est aspirée par ce gouffre de plaisir. Impatient comme je suis, je me mets déjà à faire de puissants mouvements du bassin comme si je voulais aussi y rentrer mes bourses.
La salope s’offre à mes assauts et accompagne mes coups de queue par des ondulations du bas-ventre. J’entre en elle, elle vient vers moi ; mon gland cogne au fond de sa chatte. Elle se mord les lèvres. Est-ce la bourgeoise comblée qui n’ose pas me supplier de la baiser encore plus fort ou bien la mère honteuse qui n’ose pas me demander de stopper ces étreintes contre nature ? Qu’importe, je ne vais pas arrêter !
Tout en la besognant avec force, je lui dis.

— Alors, n’est-ce pas bien meilleur que tes jouets ?— Tu sens comme ma queue est grosse ?— Je vais me vider en toi !
Ses paroles me montrent qu’elle a complètement oublié que je suis son fils.
— Oh oui, baise-moi fort !— Je suis ta salope, je suis toute à toi !— Oui, remplis-moi de tout ton foutre !— Tu as fait de moi une chienne, mais c’est si bon !
Mes deux mains se glissent sous ses fesses et je lui soulève la croupe pour mieux la plaquer contre moi. Ma bouche s’empare de ses seins et je lui mordille les tétons. Sa chatte est tellement mouillée que ma queue glisse en elle sans effort. Soudain, je sens que je vais jouir, je lui mords un peu plus fort les tétons et plante ma queue au plus profond de sa chatte. J’ai l’impression de jouir une éternité et des flots de foutre se déversent de ma queue dans sa chatte. Quel bonheur !
Je me retire d’elle et la regarde alanguie sur son lit. Elle a toujours le bandeau sur les yeux et me dit simplement.
— Cela fait longtemps que je n’avais pas joui comme ça ! Merci chéri !
Puis sans bouger, elle poursuit.
— J’imagine que toi aussi !
Ses propos me laissent pantois, mais je n’y pense pas trop, car elle rajoute.
— Il est tard, je vais maintenant dormir, car demain soir, je suis de nouveau de garde.
Après lui avoir souhaité bonne nuit, je rejoins ma chambre.Une fois au lit, je repense à ces étreintes incestueuses et je suis fier de ce premier résultat qui devrait en appeler d’autres. Alors que je suis sur le point de m’endormir, mon téléphone bipe, c’est un message de Monsieur Dubout. Il m’écrit « Hello petite salope, j’espère que tu vas bien. Je t’attends demain soir chez moi, cela te permettra de varier les plaisirs ! rendez-vous 20h30 ». A l’instar de la remarque de ma mère, son « Cela te permettra de varier les plaisirs » m’interpelle un peu. On dirait qu’il sait que je baise ma mère en plus de jouer la salope avec lui. Malgré tout cela, je réussis à m’endormir.
Au petit matin, encore dans un demi-sommeil je ressens une drôle d’impression, car je bande comme un taureau. Je reste les yeux fermés et je savoure ce rêve érotique qui me semble plus vrai que nature. Ma queue coulisse dans un fourreau brûlant et humide et des doigts me malaxent les bourses, c’est un régal ! Puis une langue agile excite mon gland, parcourt ma hampe et ma bite est avalée par une bouche gourmande. Soudain, je jouis et j’explose tout le foutre qu’il me reste depuis la séance d’hier soir avec ma mère. Ma queue débande et, lorsque je ressens une sensation de froidure sur mon sexe ramolli, je me décide à ouvrir les yeux et à sortir de mon rêve.Quelle n’est ma surprise de découvrir ma mère à genoux près de mon lit, penchée sur mon sexe ? Elle s’essuie la bouche du revers de la main et me dit.
— Délicieux ! Rien de tel pour se mettre en forme avant de partir au travail.
Mon sexe est un peu douloureux et, en portant le regard vers ma bite, je constate qu’elle est emprisonnée dans une sorte de muselet pour bouchon de champagne. Surpris, je demande à ma mère.
— Mais c’est quoi ?
Elle me fait un grand sourire et me répond.
— Je viens de te mettre une cage de chasteté dont je garde la clé.
Je lui rétorque.
— Mais ça ne va pas, ça va me gêner et me faire mal !
Elle pose sa main sur mon sexe et me répond.
— Non, cela ne te gênera nullement pour faire pipi. Pas contre, tu ne pourras baiser que lorsque j’ouvrirai la cage. Ainsi, je serai la seule à en profiter quand je le souhaite !
La suppliant, je lui dis.
— Non maman, tu ne peux pas ! En plus, je n’ai pas envie de faire l’amour avec une autre femme que toi !
Elle me rétorque alors.
— Donc ce n’est pas grave si tu restes encagé ! Et en plus, tu as bien d’autres façons pour prendre du plaisir.....
Puis elle sort de ma chambre et je l’entends refermer la porte de l’appartement. Elle vient de partir au travail.Une fois de plus, se dernière remarque me laisse songeur. C’est alors que je réalise que j’ai rendez-vous ce soir avec Monsieur Dubout. Que va-t-il penser en me voyant le sexe ainsi encagé.......
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