Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 105 J'aime
  • 9 Commentaires

Le piège.

Chapitre 12

Première sortie en femelle ...

Travesti / Trans
Cela fait maintenant toute une journée que ma queue est encagée. Il s’avère finalement que cela n’est pas aussi gênant que je pensais puisque je peux faire pipi sans trop de difficultés. Le plus ennuyeux, c’est lorsque je commence à avoir un début d’érection. A peine ma queue commence-t-elle à se déployer qu’elle est sous forte contrainte dans cette cage d’acier inoxydable. J’ai l’impression que mon cerveau régule de lui-même la situation, car, dès que cela commence à me faire mal, je débande et mon sexe reprend des dimensions adaptées à la taille de la cage. Je m’interroge quand même, car je ne voudrais pas devenir impuissant - sans aucune érection- à force d’être ainsi contraint. J’ai trop envie de vivre de nouvelles aventures sexuelles avec ma mère et ce n’est donc pas le moment de devenir impuissant.
Alors que je suis installée à table avec ma mère pour le dîner, je décide de me lancer. Je lui dis.
— Maman, serait-il possible que tu me retires la cage que tu m’as mise il y a presque deux jours ?
Elle prend quelques secondes de réflexion puis me dit :
— Voyons chéri, comme tu le dis, cela ne fait que deux jours que tu l’as. Je souhaite te la laisser jusqu’au week-end prochain. A moins que tu aies rendez-vous avec une petite amie ?
Je ne peux tout de même pas lui dire que le seul rendez-vous que j’ai de prévu c’est avec Monsieur Dubout et que j’y vais en travesti. Je lui dis.
— Non pas du tout maman. Mais j’ai un peu peur que cela me rende impuissant.
Elle rit à gorge déployée et me rétorque :
— Voyons David chéri, je n’ai nullement l’intention de te rendre impuissant. Je serais la première peinée de la situation.
Puis elle poursuit :
— Vois-tu, j’en ai parlé avec une amie sexologue. Il n’y a rien de tel qu’une cage de chasteté pour doper la vitalité et la virilité d’un homme. La contrainte et l’abstinence pendant plusieurs jours de suite, voire quelques semaines, ne peuvent que lui faire du bien. C’est un peu comme le jeûne, quand on recommence à manger, on n’en est que plus heureux.
Alors que je m’apprête à lui formuler quelques objections, elle me coupe la parole :
— Je me doute bien que tu as l’habitude de te masturber régulièrement, certainement en pensant à moi, et cela va certainement te manquer. Pour y remédier, si tu es gentil, je pourrai te libérer de manière très occasionnelle. Mais pour l’instant, je laisse ton sexe sous coffre-fort au moins jusqu’au prochain week-end.

Je lui réponds :
— Maman, j’accepte tes conditions et je me prête de bon cœur à ton jeu. J’ai toutefois hâte que le week-end arrive.
Avant de se lever pour débarrasser la table, ma mère me dit :
— Tu dois apprendre à maîtriser tes envies de mâle. Et puis, tu dois pouvoir réussir à jouir sans te servir de ta queue.
Cette dernière remarque s’additionne aux autres qu’elle m’a faites précédemment. C’est drôle, mais j’ai l’étrange impression qu’elle se doute de quelque chose. Aurait-elle remarqué que je lui emprunte parfois sa lingerie et ses vêtements ? Se douterait-elle de ma double vie sexuelle ? A-t-elle entraperçu mon jardin secret de travesti et ma liaison avec Monsieur Dubout ? Ces pensées me travaillent encore lorsque je me couche et caresse mon sexe par-dessus sa cage d’acier.
Le lendemain soir, comme prévu, ma mère est de garde à l’hôpital et je peux me préparer tranquillement pour aller rejoindre Monsieur Dubout. Cette soirée de préparation ressemble aux précédentes, bain moussant, épilation complète, maquillage, perruque, lingerie sexy et petit tailleur BCBG. La seule différence est que mon sexe se retrouve pour la première fois dans un double écrin ; une petite cage de fer qui lui interdit de bander et un petit string de dentelle qui le met en valeur. Ce n’est finalement pas désagréable à regarder et cela a un petit côté très excitant et très ambigu. La cage entrave mon côté masculin et le string sublime mon côté féminin. J’espère tout de même que Monsieur Dubout ne me posera pas trop de questions sur le sujet.
Il est tout juste 20h30 lorsque j’emprunte l’escalier de service qui me permet d’accéder discrètement à l’étage de mon hôte. En veillant à ne pas faire trop de bruit avec mes hauts talons qui résonnent sur chaque marche, je monte les trois étages et arrive devant la porte qui donne sur la cuisine de Monsieur Dubout. Ce n’est pas l’entrée principale qui donne sur le vaste escalier de marbre et l’ascenseur, mais disons que c’est l’entrée la plus appropriée pour nos rendez-vous secrets. Inutile de mettre en émoi tous les résidents du bâtiment, surtout qu’ils sont plutôt du style catho bobo écolo. Je donne quelques coups légers sur la porte, Monsieur Dubout m’ouvre et m’invite à entrer.
La porte est à peine refermée derrière moi que Monsieur Dubout plaque ses mains sur mes fesses, m’attire tout contre lui et m’embrasse à pleine bouche. Je me laisse aller à ses envies viriles comme si je n’étais qu’une poupée de chiffon entre ses mains. Une fois ses premières pulsions apaisées, il me dit.
— Alors Davina, comment vas-tu depuis notre dernière soirée il y a maintenant deux semaines ?
Je lui réponds.
— Je vais très bien Henri, mais j’ai beaucoup de travail à la fac.
Il enchaîne.
— Rien de tel qu’une soirée débridée pour se changer les idées. Sais-tu que mes deux amis Gilbert et Christian me demandent régulièrement de tes nouvelles ?
Je ne doute pas que ses copains, avec qui il m’a partagé lors de notre dernière rencontre, se souviennent encore de nos ébats torrides et de nos joutes sexuels. Il faut dire que je me suis comporté en véritable petite salope avec ces deux sexagénaires. Mais je crois que c’est ce qu’ils attendaient et Henri avait dû les prévenir que j’étais du genre petite salope bien docile.Mais voilà que mon hôte m’attire dans son salon et m’oblige à me mettre à genoux devant lui. Il me dit alors.
— Ce soir, nous allons prendre l’air en extérieur, car il est bon que tu t’habitues à sortir en femelle.
Alors que je m’apprête à lui dire que ce n’est nullement dans mes intentions, il poursuit.
— Mais auparavant, tu vas me faire une petite gâterie. Cela fait longtemps que je n’ai pas joui et ta bouche est le plus doux des réceptacles.
Je prends sa queue en bouche, bien vite il bande et sa bite remplit ma bouche. Il doit vraiment être en manque ou bien être particulièrement excité, car en moins de cinq minutes, il m’inonde la gorge de ses puissants jets de foutre. Une fois tout avalé, je lui dis.
— Je ne suis jamais sorti en fille et je ne voudrais pas tomber sur des gens de l’immeuble qui pourrait nous reconnaître. Vous imaginez ce que dirait ma mère si cela lui parvenait aux oreilles !
Avec un grand sourire, il me rétorque.
— T’inquiète pas pour les gens, ils seraient incapables de te reconnaître sous ton maquillage et ta perruque. Ils se diront simplement que tu es une jeune fille de ma famille ou bien l’une de mes patientes. Mon cabinet de sexologue est installé au rez-de-chaussée de l’immeuble et j’ai un certain nombre de jeunes femmes dans mes patientes.
Il a vraiment réponse à tout. Puis il poursuit.
— Quant à ta mère, elle est de garde ce soir. Ne t’inquiète pas pour elle, elle en sait peut-être bien plus que tu ne penses sur tes sorties.
Une nouvelle fois, une petite lumière rouge s’allume dans mon cerveau. Ma mère et Monsieur Dubout se connaîtraient-ils mieux que je ne pense ?Mais je n’ai pas le temps d’y réfléchir davantage qu’Henri m’entraîne vers la porte et nous voilà tous les deux dans l’ascenseur. Quelques secondes plus tard, nous sommes dans la rue, il arrête un taxi qui passe et nous voilà à l’intérieur. Il dit au chauffeur.
— Déposez-nous boulevard de Clichy à proximité du Moulin Rouge.

Nous descendons de la butte de Montmartre par de petites rues pentues et, à peine dix minutes plus tard, nous sortons du taxi. Henri me prend par le bras et me dit à l’oreille.
— J’adore sortir le soir dans ce quartier, c’est très excitant de déambuler sur ce boulevard dédié aux plaisirs de la chair.
Alors que nous passons devant le Moulin Rouge puis poursuivons en passant devant quelques sex-shops et magasins de lingerie, il prend son téléphone et me dit qu’il doit passer un appel. Tandis qu’il téléphone, je regarde les superbes tenues sexy dans la vitrine du magasin Secrets Pigalle. Je m’imagine les portant et jouant à la salope. Mais j’imagine aussi ces tenues sur ma mère qui joue les mannequins devant moi. Henri me sort de mes réflexions.
— Allez chérie, on continue notre balade.
Arrivés devant le Mac Do qui est juste après le Moon City et l’Atlas, Henri me fait traverser la rue et, une fois sur le trottoir opposé, nous nous retrouvons devant le grand complexe érotique Le Sexodrome.
J’hésite à franchir la porte, car j’ai vraiment peur que des gens me reconnaissent ou se moquent de moi dans mes fringues de femelle. Mais d’un autre côté, cela m’excite énormément de sortir ainsi en femme avec Monsieur Dubout. Je n’ai finalement pas le temps de faire marche arrière, car Henri m’entraîne à sa suite et nous nous retrouvons rapidement à déambuler dans les différents rayons de sex toys et autres gadgets érotiques. Il y a là quelques touristes, surtout des jeunes, qui s’amusent devant tous ces jouets dédiés au plaisir. Il y a aussi quelques couples matures et hommes seuls, des Parisiens en quête de distractions ou d’émotions fortes.
Nous passons devant le rayon de DVD, il y en a vraiment pour tous les goûts. Puis, après avoir descendu quelques marches, nous nous retrouvons dans une grande pièce où ce ne sont que des dessous sexy et autres tenues érotiques. Henri me pose une main sur les fesses et m’entraîne vers le coin des guêpières et autres portes-jarretelles. Il y en a en cuir, d’autres en satin et d’autres en matière diverse. Soudain, au détour d’un rayon, nous tombons nez à nez avec Gilbert et Christian qui ont bien profité de moi lors de ma dernière visite chez leur vieux copain Henri.
S’adressant à Henri, Gilbert lui dit :
— Merci pour ton appel de tout à l’heure. Tu t’imagines bien que nous n’allions pas manquer la première sortie à Pigalle de notre copine Davina.
Puis, se tournant vers moi, il poursuit :
— Salut ma belle. Heureux de te revoir dans un lieu aussi plaisant.
C’est Christian qui poursuit :
— Cela va être un plaisir de guider tes premiers pas dans le quartier. Comme tu t’en doutes certainement, c’est un quartier que nous apprécions tout particulièrement.

Mes trois accompagnateurs tombent soudain en arrêt devant une superbe robe noire quasi transparente fendue sur les côtés jusqu’en haut des cuisses. Gilbert s’écrie.
— Voici une tenue qui irait très bien à notre petite Davina. Qu’en pensez-vous les copains ?
Christian lui répond :
— Oh oui, elle va être sublime dans cette robe notre belle étudiante !
Tandis qu’Henri poursuit :
— Oui, elle va être super sexy comme on aime. Elle va l’essayer tout de suite !
Avant que j’aie pu répondre quoi que ce soit, Gilbert retire la robe du portant et Christian m’entraîne vers les cabines d’essayage situées dans un coin de la pièce. J’essaye de me rebeller.
— Oh non, pas d’essayage ici ! On va se moquer de moi !
En fait, je veux éviter de me changer devant eux, car ils vont vite s’apercevoir tous les trois que j’ai ma cage de chasteté. Mais rien n’y fait et me voilà dans la cabine avec la robe. Les trois hommes restent à l’extérieur, mais ne loupent rien du spectacle puisque je dois laisser le rideau grand ouvert.Je leur tourne le dos et retire le tailleur de ma mère emprunté pour la soirée. Alors que je vais enfiler l’autre robe, Henri me dit.
— Quel beau petit cul de salope ! Elle est vraiment super sexy en porte-jarretelles. Retourne toi qu’on te voit bien.
J’hésite, mais je dois finalement me résoudre à leur faire face. C’est Gilbert qui découvre la chose le premier. Il s’écrie.
— Mais regardez donc ce qu’elle porte sous son petit string de salope ! C’est toi Henri qui a ainsi encagé le petit oiseau de la dame ?
Henri porte la main à mon entrejambes, écarte la fine dentelle du string et s’exclame :
— Non, ce n’est pas moi, mais c’est très bien ainsi. Avec le clito ainsi en cage, c’est une vraie femelle.
Christian lui réplique :
— Oui, cela lui va très bien.
Puis, s’adressant à moi, il me demande :
— Alors petite salope, c’est toi qui t’es encagée ainsi ? Et je suis sûr que cela t’excite d’être en femelle avec la certitude de ne pas pouvoir bander.
Voyant là l’opportunité de trouver une explication plausible sans parler de ma mère, je lui réponds :
— Oui, exactement ! Je me suis enfermé le sexe pour être la parfaite petite salope d’Henri. Et j’ai laissé la clé à la maison pour être certain de ne pas être tenté d’ouvrir la cage.

Mon mensonge semble les satisfaire même si je remarque que Monsieur Dubout me regarde d’un drôle d’air en me faisant un petit clin d’œil. J’enfile la robe qui me va comme un gant et Gilbert me fait sortir de la cabine d’essayage. Henri se saisit du tailleur et le range dans son petit sac à dos ; Christian se dirige vers la vendeuse à la caisse. Lorsqu’il revient, il annonce fièrement à ses copains.
— La robe est payée. Notre jolie demoiselle peut maintenant la garder sur elle.
Escortée par mes trois chevaliers servants, je suis entraînée vers le premier niveau du magasin puis, par un petit escalier, je suis poussée vers le niveau supérieur.Je comprends vite que nous sommes à l’étage le plus chaud du magasin. Un long couloir s’étend devant nous, de chaque côté il y a des portes et je comprends vite qu’elles desservent des cabines de projection plus ou moins grandes. Gilbert, qui semble être un habitué des lieux, se dirige vers le fond et ouvre une porte sur sa droite. Nous le suivons et entrons dans une petite cabine qui ne doit pas faire plus d’un mètre cinquante de côté. Henri et Christian s’installent dans le petit canapé de skaï rouge défraîchi qui fait face à la télé. Gilbert me fait mettre à genoux devant ses deux copains et il me dit.
— Allez petite salope, à l’ouvrage !

Pendant l’heure qui suit, je vais être le jouet sexuel de ces trois coquins. Je dois avouer que je ne sais pas quel film passe sur l’écran, mais, pour mes trois amants, le spectacle est dans la cabine de projection plutôt qu’à l’écran.Pour commencer, je suis copieusement saillie par Gilbert tandis que je suce ses deux copains. Leurs commentaires vont bon train et ils semblent vraiment aux anges.
— Quelle bouche gourmande ! Et si brûlante !— Oh oui, elle a un appétit de salope !— Et son cul ! Je suis certain qu’il est aussi brûlant que sa bouche !— C’est encore meilleur que la dernière fois chez Henri.— Oui Christian, tu as raison ! Plus on s’occupe d’elle, plus on l’adore !
Lorsque Gilbert semble satisfait de ma prestation, il se retire de mon cul, enlève sa capote qu’il jette dans la poubelle puis s’installe à la place de Christian. Il glisse sa queue dans ma bouche puis me dit.
— Oui chérie, je me suis retenu ! Plutôt que remplir une capote, je préfère me vider dans ta bouche.
Henri ajoute.
— Et Dieu sait qu’elle aime ça ! Une vraie petite pute accro au sperme.
Pendant ce temps, Christian me besogne à grands coups de queue et j’aime sentir ses grosses couilles cogner contre mes fesses.
Je ne sais nullement si ces trois vieux messieurs se dopent au Viagra, mais ils ont tout de même la santé. Dans cette petite cabine, ils se sont succédé entre mes fesses, me pilonnant avec toute la vigueur de jeunes étalons. Me tenant fermement par les hanches, ils ont su me faire jouir comme une vraie femelle et je crois bien que mes gémissements et mes paroles devaient s’entendre à l’extérieur de la pièce.Henri est le seul à s’être répandu dans mon petit cul, mais les deux autres ont évacué toutes leurs tensions sexuelles au fond de ma bouche. Je crois que la cage de chasteté a décuplé mon plaisir, car le fait d’être bien enculée tout en sentant mon sexe contraint dans sa cage a été très excitant.Lorsque nous sortons du Sexodrome, il fait nuit. Les passants que nous croisons sur notre chemin doivent trouver notre quatuor bien étrange avec une belle salope en robe noire très fendue et ses trois accompagnateurs qui la serrent ostensiblement de près.
Gilbert et Christian nous abandonnent lorsque Henri hèle un taxi pour nous raccompagner chez lui. Le chauffeur est un peu surpris lorsque les deux hommes m’embrassent sur la bouche et s’éloignent en me lançant un tonitruant.
— Bonne nuit chérie. A bientôt pour de nouvelles folies de ton corps !
Une fois arrivée à destination, Henri me laisse rentrer directement chez moi.Une fois redevenu David, je me glisse nu dans mon lit. Ma main droite se porte sur mon sexe et j’ai une grosse envie de me masturber après cette soirée de débauche. Mais impossible !
J’espère que ma mère voudra bien me libérer ce week-end pour que je me détende un peu. Mais en aura-t-elle envie ? Soudain mon téléphone bipe et c’est un message de ma mère « Chéri, je te souhaite une bonne nuit. J’espère que tu as passé une bonne soirée. Maman ».Lorsque je m’endors, je pense à ce message de ma mère. Aurait-elle deviné quelque chose ou bien est-ce sa façon de me faire patienter jusqu’au week-end prochain ?
Diffuse en direct !
Regarder son live