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Le piège.

Chapitre 14

Liberté toute provisoire ...

Inceste
La fin de semaine est particulièrement dure à supporter, car j’ai de plus en plus souvent envie de me masturber. A la maison, ma mère est de plus en plus provocante et elle multiplie les occasions de me montrer ses charmes. Matin et soir, je la vois déambuler en lingerie entre sa chambre et la salle de bain. Lorsque nous regardons la télévision ensemble après le dîner, elle est allongée sur le canapé et sa chemise de nuit entrouverte laisse voir le haut de ses cuisses et je devine son sexe sous la fine nuisette qu’elle porte. Un soir, j’ai tenté de susciter une réaction de sa part en lui disant.
— Maman, n’aurais-tu pas envie d’un bon massage pour te délasser après ta journée à l’hôpital ?
En lui disant cela, j’espérais ainsi l’amener à me retirer la cage de chasteté pour que je puisse ensuite satisfaire mes envies avec elle. Mais elle me répond de manière très désinvolte.
— Non chéri, pas ce soir ! J’ai envie de suivre la fin de cette excellente émission.
Monsieur Dubout n’est pas en reste non plus. Il me sollicite régulièrement par de petits SMS me disant qu’il a très envie de moi, mais qu’il est débordé en ce moment. Ne pouvant ni jouer au mâle avec ma mère ni à la salope avec Henri, il m’est donc impossible de satisfaire mes envies.
Lorsque je me réveille ce vendredi matin, je me dis qu’il n’y a plus que 24 heures à tenir, car ma mère m’a promis une surprise demain samedi. J’espère vraiment qu’elle tiendra ses promesses. Pendant toute la journée, mes pensées sont obnubilées par ce samedi matin que j’attends avec impatience. Deux semaines que mon sexe est en cage, deux semaines que je ne me suis pas branlé, deux semaines que je suis obligé de retenir mes envies. A la fac, quel que soit le sujet du cours – théologie, philosophie antique, philosophes des lumières ...- rien n’y fait ! J’imagine ma mère livrée à mes envies, je la prends et je la reprends. J’en fais ma bourgeoise soumise, ma docile salope, ma femelle lubrique. Ce vendredi soir, j’avoue avoir du mal à m’endormir et, lorsque c’est fait, mon sommeil est des plus érotiques.
Ayant mal dormi, je n’émerge que vers 9h30 en ce samedi matin et c’est avec bonheur que je vois ma mère m’apporter le petit-déjeuner au lit. Tandis que je dévore mes croissants et bois mon café, elle vaque dans ma chambre pour y mettre un peu d’ordre même si ce n’est pas dans ses habitudes. Comme il fait chaud dans la pièce avec le radiateur à fond, elle ne porte qu’une légère nuisette ultra-courte. Lorsqu’elle est de dos, je devine ses fesses et son petit cul. Lorsqu’elle est de face, il suffit qu’elle soulève un peu les bras pour que je voie son sexe. Ma queue cherche à se déployer dans sa cage, vivement que le supplice se termine. Ayant terminé mon café et mes croissants, ma mère s’approche du lit et s’empare du plateau. Elle me dit:
— Mets-toi à l’aise chéri et reste allongé sur le lit. Je reviens tout de suite !
Je lui réponds aussitôt.
— Oh oui maman. Depuis le temps que j’attends cette libération.
Ma mère me tourne le dos et s’éloigne en direction de la cuisine. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je retire ma veste et mon pantalon de pyjama. Me voici nu sur mon lit, je suis impatient que ma mère ouvre la cage afin que ma queue retrouve cette liberté dont elle privée depuis déjà deux bien trop longues semaines. J’imagine le stock de foutre que je dois avoir dans les bourses et qui ne demande qu’à se répandre dans la matrice maternelle. Quelques minutes plus tard, ma mère est de retour après avoir changé rapidement de tenue. Elle porte des cuissardes de cuir noir et des bas retenus par un large serre-taille rouge avec de longues jarretières assorties. Elle a les seins libres et ses bras sont parés de longs gants noirs. Sa tenue lui donne un petit air de dominatrice auquel je ne suis pas habitué. Elle se rapproche, caresse mes couilles de sa main droite et la douceur du satin de ses gants ne fait qu’exacerber mes envies lubriques. Elle me dit.
— Chéri, ce matin, j’ai envie que l’on joue un peu. Je suis aussi excitée que toi et j’attends ce moment avec impatience. Es-tu prêt à te laisser aller de bonne grâce à mes désirs ?
Je réfléchis quelques instants, car ce n’est vraiment pas ainsi que je pensais que ça allait se passer. Je me voyais dans le rôle de maître des jeux, pas dans celui du simple exécutant. Mais je sais au fond de moi-même que je prends un risque si je ne veux pas jouer selon ses règles. Le risque est que l’on en reste là et que je reste encagé encore une semaine. Tant pis, j’ai trop envie ! Je lui réponds, tout en espérant que le déroulement des jeux me permettra de renverser la situation.

— Oui maman. Je me livre à toi.

A peine ai-je prononcé ces mots qu’elle s’assoit sur mon torse, sort des rubans de l’une de ses cuissardes et commence à m’attacher les poignets aux coins de la tête du lit. Ce sont ensuite mes chevilles qui sont liées aux deux coins du pied de lit et me voilà entravé et écartelé sur mon lit. Je suis si bien attaché qu’il m’est quasiment impossible de bouger.Elle se met maintenant à genoux près du lit à la hauteur de mon sexe, pose une main sur mes bourses et me regarde droit dans les yeux tout en me caressant le haut des cuisses et les bourses. Ma queue se tend et me fait mal. Elle s’en aperçoit et me dit.
— Sois tranquille chéri, je vais te retirer cette cage de chasteté. Mais auparavant, je veux être certaine que tu ne vas pas jouir trop vite.
Elle se saisit d’un dernier ruban, le passe autour de mon sexe de manière à m’enserrer les bourses et la queue. Elle tire sur les deux extrémités du lien et fait un nœud bien serré. Elle m’explique alors.
— C’est un ami sexologue qui m’a expliqué qu’un cokring, ou un anneau pénien - comme celui que je viens d’improviser – permet aux hommes de prolonger et de renforcer leur érection tout en retardant leur éjaculation.
Elle se penche maintenant vers mon sexe et ouvre la cage à l’aide de la clé suspendue à son collier. Elle poursuit.
— Depuis le temps que tu ne t’es pas masturbé, je ne voudrais pas que tu joues à l’éjaculateur précoce et me prive de mon plaisir. Bien ligaturé comme tu es, je vais pouvoir en profiter comme je le souhaite.
A peine a-t-elle retiré la cage qu’elle se penche un peu plus sur mon bas-ventre et sa bouche s’empare de ma queue. Effectivement, heureusement qu’elle m’a mis cette sorte d’anneau pénien, car je crois bien que j’aurais déchargé dans sa bouche dès que ses lèvres se sont resserrées autour de ma hampe. Elle s’applique à bien me prendre en fond de gorge et ses cheveux qui effleurent mon ventre, mes cuisses et mes couilles rajoutent à mon excitation. Après un bon quart d’heure de ce traitement, elle cesse sa fellation, m’enjambe et pose son postérieur sur mon ventre.
Elle ondule maintenant sur moi, prenant un malin plaisir à venir frotter sa fente contre mon gland. Je donne des coups de bas-ventre pour réussir à la pénétrer, mais à chaque fois, elle arrive à m’éviter. Elle me dit.
— Tu as vu comme je suce bien ta queue. C’est important de bien savoir sucer une queue.
Elle me parle comme si elle savait qu’il m’arrive de sucer régulièrement Monsieur Dubout et comme si j’avais besoin de quelques conseils pour améliorer ma technique de fellation. Elle poursuit son cours.
— L’important c’est de bien saliver pour que la queue coulisse bien en bouche. Tes lèvres doivent se faire légères, enserrer sans serrer, et bien aller jusqu’à la base du sexe. Ta langue ne doit pas rester inactive, elle doit jouer avec le gland et la hampe tandis que tes mains caressent et malaxent les bourses. Tu vois, c’est tout un art !
En ayant terminé avec ses conseils, elle décide de s’empaler sur ma queue et je peux enfin donner de grands coups de queue pour profiter de cet instant que j’attends depuis si longtemps. Je voudrais lui caresser les seins, la tenir par les hanches, lui dévorer les tétons, la besogner comme j’en ai envie, mais c’est impossible. J’ai un peu l’impression de n’être qu’un sexe-toy, un godemichet avec lequel elle prend son plaisir en solitaire. C’est d’autant plus frustrant qu’elle se caresse les seins d’une main et titille son clito de l’autre. Elle ondule sur moi, se soulève un peu puis s’empale de nouveau sur ma queue jusqu’aux couilles.
Ses gémissements sont de plus en plus bruyants et elle se mord les lèvres pour ne pas hurler son plaisir. Elle prend son pied et la moiteur qui se répand sur mon pubis me prouve qu’elle n’en est pas à premier orgasme. Sa chatte est trempée et ma queue va-et-vient en elle comme un piston dans une culasse bien huilée.Elle se penche sur moi, rapproche son visage du mien, colle sa bouche contre la mienne et joue de sa langue avec la mienne. Puis, d’une voix suave et sensuelle, elle me dit à voix basse à l’oreille.
— Ta queue est un régal ! J’ai bien fait de te faire connaître l’abstinence pendant ces deux semaines. C’est divin d’en profiter ainsi !
Elle redresse son buste et passe une main derrière elle pour me caresser les bourses. Elle ajoute.
— Je vais te libérer mon chéri. Donne-moi tout.
Sans même se retourner, elle arrive à défaire le nœud du ruban qui m’enserre la queue et les couilles. Aussitôt, c’est comme si on venait d’ouvrir une vanne. Ma mère est empalée à fond sur moi, mon gland bute au fond de son vagin et de longs jets de foutre fusent comme si ma queue n’était qu’un puissant geyser. Je jouis, je crie, j’explose. Ma mère m’encourage de la voix.
— Vas-y chéri, remplis-moi de tout ton foutre.
Toutes les tensions accumulées ces deux dernières semaines s’évacuent en même temps que tout mon sperme. Quel bonheur de pouvoir enfin se purger de toutes mes envies de mâle !
Nous restons quelques minutes ainsi emboîtés, elle sur moi. Elle se retire, se remet à genoux près de moi et reprend ma queue en bouche. Elle profite des dernières gouttes, me dit-elle. Alors que je m’attends à ce qu’elle me détache, elle me dit.
— J’espère que tu as apprécié cet instant d’égarement.
Puis, elle reprend la cage de chasteté posée sur ma table de nuit et la remet en place. Avant que je ne puisse exprimer le moindre mécontentement, elle me dit.
— Chéri, j’aime savoir que ta queue n’est que pour moi ! Tu verras que tu vas t’habituer à vivre avec cette cage dont je conserve précieusement la clé sur moi.
Elle me détache les chevilles tout en poursuivant:
— Ton sperme est le meilleur des élixirs de jouvence. J’en reprendrai régulièrement.
Elle détache enfin mes poignets puis s’éloigne en ondulant de la croupe.
Me voici de nouveau encagé pour je ne sais combien de temps. Je pensais réussir à faire de ma mère une femelle docile, on ne peut pas vraiment dire que c’est le cas ! Comment vais-je réussir à me tirer de ce guêpier dans lequel je me suis fourré ? Et avec Monsieur Dubout, comment vais-je réussir à gérer l’affaire ? Autant de questions qui me laissent bien songeur ...
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