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Le piège.

Chapitre 20

Jeux variés .....

Erotique
Le week-end se termine et j’ai donc été le jouet de ma mère comme je ne m’y attendais pas. Après l’avoir bien prise sous la douche, elle m’a obligé à enfiler une guêpière et m’a ensuite sodomisé longuement avec son gode ceinture. S’est elle révélée à moi sous son vrai visage de mère libertine et dominatrice ? Ou bien n’était-ce qu’un moment d’égarement au cours de nos jeux incestueux ? L’avenir me le dira mais je dois bien reconnaître que de plus en plus de petits détails me font penser qu’elle a percé mes secrets les plus intimes. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai la quasi certitude qu’elle est au courant de mes aventures avec monsieur Dubout. Ils sont tous les deux médecins et il est possible qu’ils se connaissent bien mieux que je ne pense. Je n’ai cependant pas trop le temps de ruminer tout cela car les cours reprennent en ce lundi matin et je dois me hâter pour être à l’heure à la fac. C’est ce mardi après-midi, alors que nous attaquons notre deuxième heure de théologie que mon portable bipe dans ma poche. Je jette un rapide coup d’œil ; c’est un message d’Henri. Je ne peux pas attendre la pause pour en prendre connaissance et, très discrètement, je lis « Bonjour ma jolie Davina. Dis moi vite quand tu es libre, j’ai très envie de toi. J’adorerais te sortir à Pigalle. Bises. Maître Henri ». Le coquin a vraiment le chic pour m’exciter en plein cours.Pour l’instant, je ne sais pas quand ma mère doit être de garde et je préfère éviter de lui poser directement la question. Je ne voudrais pas lui mettre la puce à l’oreille ! Heureusement, le hasard fait bien les choses car, alors que nous achevons presque notre dîner, elle me dit— Chéri, je devais être de garde tout le week-end prochain, mais je me suis arrangée avec des collègues. J’ai fait ça pour que tu ne sois pas privé de moi trop longtemps.Je lui réponds— Merci maman. Comme je te l’ai déjà dit, ce n’est pas parce que tu m’as encagé que je n’en suis pas moins un homme avec des envies.Elle me rassure d’une voix suave— Mais oui chéri, je le sais ! Et je sais aussi que tu n’en es que plus excité et plus fougueux lorsque je te libère.Disant cela, elle se lève et vient se mettre à mes genoux. Elle ouvre ma braguette, baisse un peu mon boxer et commence à me caresser et me mordiller les bourses. Puis elle me dit— L’excitation sexuelle favorise la production de sperme. Vivement ce week-end !Puis elle se relève et vaque à ses occupations me laissant la queue à l’air. Quelques minutes plus tard, alors que je suis installé au salon pour suivre le journal de 20h00 à la télévision, elle vient me dire— Je serai donc de garde jeudi et vendredi soir. J’espère que tu ne vas pas t’ennuyer sans moi. Pour faire diversion, je lui mens— Non maman, j’ai pas mal de devoirs en ce moment.Elle me répond d’un air espiègle— Ce n’est pas bon de trop rester renfermé. Accorde toi quand même une soirée cool pour te changer les idées. Tu peux toujours faire une séance de cinéma. Je lui rétorque— Maman, tu ne sais donc pas que toutes les salles sont fermées à cause de la Covid-19.Elle me gratifie d’un grand sourire avant de me dire— Mais chéri, moi je te parlais d’un petit film X dans l’une des boutiques de Pigalle. Cela te fera patienter en attendant ce week-end !Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, elle me tourne le dos et disparaît vers sa chambre. Sa remarque me laisse pantois. Est-ce de l’humour ou de la provocation ? Le lendemain, alors que je prends mon petit-déjeuner et que ma mère est déjà partie au travail à l’hôpital, je me décide à mettre un message à monsieur Dubout. Au point où j’en suis, encagé depuis déjà trois jours, je n’ai pas d’autre choix que de jouer à la salope avec lui en espérant pouvoir inverser les rôles avec ma mère samedi ou dimanche. Je lui écris « Maître Henri, je suis disponible jeudi soir si vous le souhaitez. Très envie d’être votre petite salope. Davina votre soumise ». Je n’ai pas fini mes tartines beurrées à la confiture que je reçois sa réponse « Parfait ma belle. RDV à 20h00 dans la courette arrière de notre immeuble. » Avant de mettre mon jean, j’enfile un petit string pour cacher mes bourses et mon sexe encagé. Vivement jeudi soir que je me transforme en petite pute.Ce matin, sur le chemin de la fac, la ligne 4 est bondée malgré les règles sanitaires de lutte contre la Covid-19. Alors que nous repartons de la Gare du Nord et que je suis toujours debout, je sens une main qui me caresse les fesses. Je fais semblant de rien mais j’arrive tout de même à voir dans le reflet de la porte vitrée que c’est un homme BCBG, costard cravate, qui est derrière moi. La situation m’excite et je décide de jouer à la victime consentante. La main contourne mon ventre et vient se plaquer sur ma braguette. Deux ou trois stations défilent, il y a toujours autant de monde et la main inconnue arrive à ouvrir la fermeture éclair de mon jean et à se glisser à l’intérieur. L’homme dans mon dos semble marquer un instant de surprise lorsque il palpe la soie de mon string puis touche l’inox de ma cage de chasteté. Pendant une bonne minute, il joue avec mes testicules ; une érection commence à poindre et ma queue se tend dans sa prison d’acier. A la station Châtelet, la main se retire brusquement et l’inconnu descend de la rame en me faisant un grand sourire. J’adore quand ma journée commence ainsi. C’est le soir en me changeant, une fois revenu à l’appartement, que je découvre un petit carton dans la poche arrière de mon jean. J’y lis « Joli petit cul comme j’aime ! J’en profiteras bien un soir » signé Pierre avec un numéro de portable. Pour je ne sais quelle raison, je prends en photo le message et l’expédie à monsieur Dubout en lui expliquant comment le papier s’est retrouvé dans ma poche.
 Nous voici enfin jeudi soir ! Pour être certain que ma mère n’ait pas eu de changement de dernière minute, je lui mets en message « Bonne garde maman. Vivement ce week-end ». Elle me répond aussitôt « Oui chéri, vivement dimanche. Excellente soirée et ne rentre pas trop tard ». D’un côté sa réponse me rassure, elle est bien de garde. Mais d’un autre côté, je suis inquiet. Comment sait-elle que je sors ? Est-ce une supposition de sa part ou bien en est-elle certaine ? Et si oui, comment le sait-elle ? Je n’ai pas vraiment le temps d’y réfléchir car je dois me préparer.Le rituel est toujours le même : douche, rasage de près, maquillage puis habillage. Je mets la guêpière offerte par ma mère, se doute-t-elle que je sors avec ? Je lui emprunte une paire de bas et un string. Au point où j’en suis, je pourrai toujours lui dire que le fait d’être encagé me rend particulièrement accro à ses dessous. Une fois ma perruque mise et mes escarpins enfilés, je me parfume avec Poison emprunté également à ma mère. Finalement, ne serais-je pas en train de m’identifier à elle lorsque je me travestis ? Ne serais-je pas en train de devenir la petite salope de monsieur Dubout comme j’aimerais que ma mère devienne la mienne ? Je crois bien que je serais un excellent cas d’étude pour un sexologue psychologue ! A 20h00, je sors dans la petite courette à l’arrière de notre bâtiment. Henri est déjà là et m’attend près d’un Uber. J’embarque avec lui, il demande au chauffeur de nous conduire sur le boulevard de Clichy en face du Moulin Rouge. Même si la destination n’est pas très loin à pied, je préfère y aller en véhicule car j’ai toujours un peu de mal à marcher longtemps avec des talons hauts.Je donne le bras à monsieur Dubout et nous déambulons comme un couple normal. Nous traversons le boulevard et remontons le trottoir opposé en direction de la station Pigalle. Devant chaque vitrine de sexshop ou de magasin de lingerie, Henri m’oblige à m’arrêter et me fait des commentaires sur les accessoires et tenues tout en me flattant la croupe sans aucune gêne. Bien évidemment, notre manège n’échappe pas aux mâles noctambules en goguette dans le secteur. Soudain, alors que nous passons devant le Vidéo Star au numéro 51, Henri me force à franchir le pas de la boutique simplement obstrué par un rideau de velours grenat. Il me dit — Faute de pouvoir t’inviter à l’Atlas qui est fermé, nous allons regarder un petit film ici.J’ai beau regardé autour de moi, je ne vois pas de salle de projection. Il n’y a là que de la lingerie, des accessoires érotiques et des rayons de DVD. Henri se dirige vers la caisse où se tient un homme. Je l’entends demander deux billets pour le premier et tendre un billet de vingt euros. De retour près de moi, il me dit— Viens, c’est au premier étage. La salle n’est pas très grande mais tu verras qu’on y est très bien ! Nous empruntons quelques marches et nous voici dans une salle plongée dans la pénombre. Il suffit de regarder les images qui passent à l’écran pour comprendre que l’on est dans un ciné X. Une bourgeoise mature à la poitrine imposante est aux prises avec deux blacks montés comme des ânes. Mais je n’ai pas le temps d’en regarder plus car Henri me fait mettre à genoux sur les bancs en bois qui servent de sièges. C’est du rustique ! Mais je me doute bien que celles et ceux qui viennent en ces lieux ne viennent pas pour le confort. Aussitôt quelqu’un vient se positionner face à moi et je reconnais l’homme qui m’avait tripoté dans le métro il y a quelques jours. Henri me dit— Si tu m’as fait suivre le message que ce monsieur t’avait laissé, je me suis dis que tu ne serais pas contre une rencontre. Puis s’adressant à l’homme, il poursuit— Pierre, je te présente Davina ma petite salope ! L’homme lui répond— Merci de m’avoir invité Henri. En caressant ce petit cul dans le métro, je ne pensais pas que je pourrais en profiter si vite.Pierre ouvre sa braguette et on sort un superbe braquemart qui trouve vite sa place dans ma bouche. Henri baisse mon string et frotte son gland contre mon petit trou. J’adore ce genre de rencontre car je sais que je vais bien me faire embrocher de part en part. Et c’est effectivement ce qui m’arrive dès que je commence à sucer Pierre et dès que Henri débute ses violents coups de boutoir. Bien vite, quelques mâles en rut se rapprochent. Certains se branlent en nous regardant ; d’autres me tripotent. L’un d’eux s’exclame— Oh la salope ! Elle a le clito coincé dans une cage de chasteté.Henri lui explique— Oui c’est pour lui interdire de jouir avec ! Ma petite pute ne doit prendre son pied que dans sa bouche et dans son cul.Un autre lui demande— C’est toi qui gardes la clé ? Ou bien c’est elle qui se met en cage quand elle se travestit ?Henri lui répond— Non, moi je n’ai qu’un double ! Je crois bien que c’est sa mère qui garde l’originale !Comment Henri peut-il savoir que c’est ma mère qui a la clé ? Est-ce une simple déduction de sa part ? Après tout c’est bien possible ! Pendant la demi heure qui suit, je vais être le jouet de Henri et Pierre qui vont alterner fellation et sodomie. Bien vite dans l’obscurité de cette petite salle de cinéma, je ne sais plus lequel des deux je suce et lequel des deux me baise. Mais ce n’est pas grave car c’est terriblement excitant. Quelques hommes jouissent sur moi et une odeur de foutre et de sexe envahit la salle. Une fois que mes deux amants se sont bien vidés, Henri me fait allonger sur l’un des bancs et je suis prise à la chaîne par ceux qui le souhaitent. Je ne compte pas les saillies que je subis mais j’ai le popotin en compote. Les bites défilent, des grosses, des longues, des fines, des épaisses, des énormes et même des petites. Lorsque vers 23h00 je regagne ma chambre, je suis exténué et je m’endors vite après ma douche. Au petit matin, je vois que j’ai un message de ma mère « J’espère que ta séance de cinéma s’est bien passée ». Sait-elle la vérité ou bien pense-t-elle simplement que je suis allé seul dans l’un des sexshop comme elle me l’a recommandé ? Je me contente de lui répondre « Oui cela s’est bien passé. Mais avec toi cela aurait été bien mieux ».  Le vendredi soir, bien que ma mère soit encore de garde, je reste à la maison car j’ai du travail et je tiens à ne pas prendre de retard pour être relativement tranquille tout le week-end. Le samedi matin, je suis en train de prendre mon petit-déjeuner lorsque ma mère rentre de l’hôpital. Histoire de lui montrer que je suis aux petits soins pour elle après ses deux jours de travail non stop, je lui sers son café et lui prépare ses tartines.Je vois bien qu’elle est fatiguée et je ne suis pas surpris de la voir ensuite aller se reposer dans sa chambre après avoir pris une douche. Elle me dit toutefois— Ce midi nous sommes invités tous les deux à déjeuner chez mon amie Bénédicte. Tu sais, c’est ma collègue de travail qui est veuve depuis déjà quelques années et qui vit seule. C’est son anniversaire aujourd’hui.Je lui réponds— Je ne la connais pas ! Tu crois vraiment que c’est utile que je t’accompagne ? Je ne voudrais pas m’ennuyer !Ma mère me rétorque— Mais non tu ne vas pas t’ennuyer et Bénédicte a un petit souci d’ordinateur. Je sais que tu as réglé les soucis informatiques de monsieur Dubout donc tu devrais pouvoir régler les siens. Il doit être 13h00 lorsque nous arrivons chez la collègue de maman qui habite près de la place de Clichy. Elle nous accueille dans son petit appartement arrangé avec goût. Bénédicte est une femme élégante, petit gabarit, cheveux blonds et look BCBG. Elle porte une robe près du corps qui met ses formes en valeur.En attendant que le déjeuner soit près, j’ai le temps de régler le petit souci informatique sur la tablette de Bénédicte. C’est juste une affaire de mise à jour et cela me prend à peine dix minutes. Par curiosité, je décide de regarder l’historique de ses recherches sur internet car, bien évidemment, elle n’a jamais pensé à les effacer. Bien vite je repère qu’il lui arrive d’aller régulièrement sur des sites de vidéo érotiques. Je me dis qu’il n’y a pas de mal à cela !Le déjeuner se déroule le plus naturellement du monde. Bénédicte et ma mère parlent un peu du travail tout en me questionnant de temps en temps sur mes études. Après le gâteau d’anniversaire, Bénédicte nous invite à passer au salon pour prendre le café. C’est à instant que ma mère dit à son amie— Comme je te l’ai dit Bénédicte, David et moi entretenons des relations un peu particulières mais je sais que tu ne me juges pas.Bénédicte lui répond— Bien sûr que je te comprends ! Les femmes de nos âges ont encore des envies et je sais combien il n’est pas facile de trouver un amant vaillant et discret. Ton fils est un beau jeune homme et c’est bien plus discret que d’aller chercher ailleurs.Je suis un peu surpris par la tournure de la conversation car Bénédicte a l’air d’en savoir beaucoup sur les relations que ma mère et moi entretenons.Ma mère poursuit— Pour que David ne batifole pas à droite et à gauche, j’ai décidé de lui mettre une cage de chasteté dont je garde précieusement la clé sur moi. Ainsi, il est toujours au top pour moi.Puis, se tournant vers moi, ma mère m’ordonne— Chéri, déshabille toi pour montrer ta cage à Bénédicte.J’hésite mais son amie m’encourage— Oh oui David, montre moi ! Cela doit bien faire deux ans que je n’ai pas vu un homme nu en vrai. J’en regarde sur internet mais ce n’est pas pareil. Finalement, je décide d’obtempérer aux injections des deux femmes et je commence à retirer mes chaussures  puis je fais glisser mon pantalon et mon boxer. Ma mère me dit alors— Mets toi entièrement nu, ce sera bien mieux.Quelques secondes plus tard, me voici à poil devant les deux femmes. Bénédicte est toute excitée et demande  ma mère— Jeanne, tu m’autorises à toucher ?La réponse est immédiate— Bien sûr que tu peux toucher. Mais fais attention, David est très réactif et bande très vite.Je suis debout devant le fauteuil dans lequel est installée Bénédicte. De son fauteuil, ma mère nous regarde.Bénédicte me caresse délicatement les bourses et une douce chaleur commence à envahir mon bas-ventre. Mon sexe se tend, ne parvient pas à se déployer dans sa prison et j’ai un léger rictus de douleur.Bénédicte s’exclame— Effectivement, il réagit très vite ! Ma mère se lève soudainement de son siège et dit à son amie— Bénédicte, il y a longtemps que nous nous connaissons et nous sommes d’excellentes amies. Pour tes cinquante ans, je vais te faire un cadeau qui devrait te plaire.Elle plonge sa main dans son sac à main et en sort une petite clé dorée. Elle tend la clé à son amie et lui dit— Je t’ai fait faire un double de la clé pour que tu puisses profiter de David comme moi. Il est dans la fore de l’âge et n’aura aucun mal à t’honorer de temps en temps en plus de moi.Bénédicte lui répond— Merci beaucoup Jeanne. C’est le plus beau cadeau que l’on m’ait fait depuis longtemps.Ma mère lui répond— J’ai quelques courses à faire et je vais vous laisser tout les deux pour que tu fasses connaissance avec ton cadeau. Mais surtout n’oublie pas de bien remettre l’oiseau en cage après en avoir profité !Bénédicte lui fait un grand sourire et lui réponds— Non je n’oublierai pas. Mais je vais bien en profiter avant ! Sitôt ma mère partie, Bénédicte m’entraîne vers sa chambre et me fait allonger sur le lit. Je la regarde se déshabiller et j’admire sa ligne et son maintien. Elle doit veiller à ce qu’elle mange et doit certainement faire de la gymnastique pour être aussi svelte. Elle retire soutien-gorge et petite culotte pour ne garder que ses bas et son porte-jarretelles. Elle est délicieusement sexy.Elle me rejoint sur le lit et, avant d’emboucher mon sexe, me dit— Cela fait si longtemps que je n’ai pas fait une bonne fellation !Sa bouche est chaude et douce, un vrai régal ! J’ai l’impression d’avoir la queue dans le tube d’un aspirateur tellement elle me pompe avec voracité. Elle doit vraiment être en manque ! Je passe ma main dans sa chevelure et plaque sa tête contre mon bas-ventre. Je lui dis— Oh oui, c’est bon ! Encore !Après quinze bonnes minutes d’aspiration, elle se redresse et se met à califourchon sur mon ventre. Elle me dit— Tu ne peux pas imaginer comme ça me fait du bien. J’ai vraiment de la chance que ta mère veuille bien me partager avec moi.Je lui réponds— Tout le plaisir est pour moi !Puis je la saisis par la taille et l’oblige à avancer un peu pour que mon gland frotte contre sa fente. J’ondule un peu du bassin et bien vite ma queue pénètre dans sa chatte. Elle me dit— Doucement David ! A part les godemichés, il y a bien longtemps que je n’ai pas été visité.Puis elle ajoute— Et avec toi, pas besoin de préservatif puisque ta mère te surveille. Pendant une bonne demi heure, nous allons faire l’amour dans les positions les plus variées. Bénédicte est infatigable et semble vouloir rattraper les années d’abstinence depuis le décès de son mari. Je lui dévore la bouche et les seins, elle se donne sans réserve. Nous varions le rythme pour mieux tenir la distance ; il ne faudrait pas que je jouisse trop vite.Elle veut me sucer de nouveau alors nous nous positionnons en 69. Sa chatte fond dans ma bouche, ma queue disparaît dans la sienne. Je lui caresse les fesses, le dos et les seins. Elle me malaxe les couilles, me caresse les cuisses. Elle est aussi fougueuse qu’une novice.Sentant venir l’irruption, je la positionne en levrette sur le lit face au grand miroir de son armoire. Je la saisis par la taille et plonge ma queue tout en elle. Elle se cale la tête dans les oreillers et je peux alors la défoncer à grands coups de bite. Elle gémit sous mes assauts et m’encourage de la voix— Oui David, plus fort !— Baise moi bien. C’est si bon !— Rempli moi. Je suis toute  toi !Je m’immobilise bien soudé à sa croupe et déverse en elle des flots de foutre juvénile. Je reste en elle pour qu’elle n’en perde pas une seule goutte. Elle est ravie de cette première séance et me dit— Quel superbe cadeau d’anniversaire. Je mettrai un petit mot à ta mère pour la remercier encore.Puis, après m’avoir sucé un peu pour recueillir les dernières gouttes de sperme qui perlait de mon gland, elle me remet la cage de chasteté en me disant— Et voilà, le petit oiseau est en cage. J’ai hâte que tu reviennes me voir. Lorsque je suis de retour à l’appartement, ma mère est déjà rentrée de ses courses. Elle me dit— Bénédicte m’a laissé un petit message. Elle est ravie !Je lui réponds, pour la rendre un peu jalouse, que cela n’a pas été désagréable pour moi et que son amie est très gourmande.Ma mère me répond alors— Cela te suffit peut-être pour ce week-end ! Même si c’est à ton tour d’être le maître de nos jeux !Avec un petit sourire narquois, je lui réponds— Non maman, je ne passerai pas mon tour ! Demain, tu seras à moi comme je le souhaite….
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