Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 77 J'aime
  • 8 Commentaires

Le piège.

Chapitre 22

Le piège se referme ...

Inceste
Tandis que passent les jours et les semaines, mes sorties avec monsieur Dubout sont de plus en plus lubriques. Il a certainement compris que le port de ma cage de chasteté fait de moi une proie facile qui, faute de pouvoir assouvir ses pulsions sexuelles masculines, les assume en se travestissant et en devant une vraie salope.Il a maintenant pris l’habitude de me sortir à chaque fois que ma mère est de garde et j’ai vraiment l’impression qu’il est de connivence avec elle. En effet, dès qu’elle m’annonce qu’elle est retenue pour un service de nuit à son hôpital, j’ai dans la foulée un message de Henry qui me sollicite pour la soirée. Jamais je ne refuse car, je dois bien l’avouer, je prends vraiment du plaisir à être sa femelle qu’il présente à ses vieux amis ou à des inconnus. De plus, je me rends compte que chacune de nos sorties me donne des idées pour les sorties avec ma mère. C’est un peu comme si tout ce que j’apprenais avec Henri me servait ensuite avec ma elle. Dernièrement, avec l’arrivée des beaux jours, il apprécie tout particulièrement me sortir en extérieur dès qu’il fait nuit. C’est parfois au bois, à Boulogne ou à Vincennes, ou bien aussi sur le boulevard des Maréchaux. A chaque fois, il me dit— Ce soir ma belle, je t’emmène tapiner !Selon ses envies, mais aussi selon la météo, je joue la salope debout près de sa voiture tandis que lui reste au volant. La règle du jeu est que je dois m’offrir au premier type intéressé. Le scénario est donc toujours un peu le même.Je suis debout près de la voiture et je dois laisser mon manteau ouvert de manière à montrer mes jambes. De plus, depuis qu’il m’a offert une fausse poitrine en silicone, je dois fièrement exhibée mes seins. Quelques hommes passent et repassent à pied, me matent, hésitent et poursuivent en général leur route. Ils vont voir plus loin s’il y a mieux. Si on me demande le tarif, je dois impérativement répondre— C’est gratuit ! Je me travestis pour le plaisir de mon homme qui est dans la voiture.Si le mec est partant, nous nous installons à l’arrière de la voiture. Henri me passe une capote que j’enfile sur la queue que l’on me présente. Je suce jusqu’à ce que le mec soit bien raide puis il peut me prendre dans la position qu’il souhaite. Il fait sa petite affaire puis repart comme il est venu. En général, Henri ne m’offre qu’à deux ou trois hommes puis s’occupe de moi à son tour. Si la météo n’est pas terrible, je suis installée à l’arrière de la voiture et Henri roule au ralenti dans les allées du bois. Dès qu’il voit un mec ou un groupe a pied, il se gare : je dois baisser ma vitre et montrer mes appâts. Si le contact est positif, un ou deux mecs montent alors dans la voiture et Henri distribue les capotes avant de reprendre la route.Il roule au pas tandis que je m’affaire à l’arrière du véhicule. Heureusement il a une grosse limousine Mercedes allemande et non pas une Fiat 500. J’ai donc de la place pour sucer une queue et me faire éventuellement prendre par une seconde. J’adore être à quatre pattes et avoir une bonne bite qui me remplit la bouche tandis qu’une autre me ramone la croupe. J’ai alors l’impression de n’être qu’un jouet dont on peut user comme on veut. C’est aussi les situations que préfère monsieur Dubout. Il encourage alors les mecs en gardant un œil sur le rétroviseur intérieur et l’autre sur la route— Allez-y les gars ! Cette petite salope adore ça !— Vous avez vu, je lui ai mis sa cage de chasteté car elle ne se sert plus de sa bite depuis longtemps. — Oui, profitez en bien ! Vous êtes ses derniers clients, après je la ramène chez elle.Ce qu’il ne dit pas c’est qu’avant de prendre le chemin du retour, il va s’arrêter sur un petit parking et va me baiser à son tour. Il me fait descendre de la voiture, m’oblige à m’allonger à plat ventre sur le capot de la voiture, trousse ma mini jupe, écarte mon string et me prends ainsi. Tant pis s’il y a des voyeurs ! Lui, bien évidemment, ne met pas de capote. Il m’encule, me possède et se vide longuement dans mes entrailles. Comme il dit, il marque son territoire ! Pour ce qui est des jeux avec ma mère, ils deviennent également de plus en plus pervers et de plus en plus lubriques. Lorsque je suis le maître de nos jeux, j’aime la sortir et c’est souvent dans des endroits où monsieur Dubout m’a sorti lui aussi. Je l’exhibe dans des tenues très osées, mais jamais dans la rue ni près de chez nous. Du côté de Pigalle, je crois bien que je connais tous les lieux chauds. Le sauna Le Moon City, le cinéma porno L’Atlas, le Sexodrome et les boutiques de lingerie et autres sexe shop n’ont plus de secrets pour moi. J’ai découvert ces lieux habillée en petite salope sous la direction de Henri. J’y reviens en mec et, cette fois-ci, avec ma mère habillée en bourgeoise sexy et BCBG ou bien en tenue bien plus osée sous un manteau ou un trench coat bien comme il faut.Je la montre, je l’exhibe et je l’offre à quelques mâles vigoureux. Elle doit accepter ce que je lui dis et ne rien refuser. Parfois, ce sont de jeunes mâles sportifs qui peuvent la prendre ou l’enculer, mais toujours avec préservatif. D’autres fois, je prends plaisir à voir de vieux messieurs bedonnants et vicieux la caresser, lui malaxer les seins et lui mettre la main aux fesses. Elle doit sucer de vieilles queues fripées et se faire prendre par celles qui sont encore bien vertes malgré le poids des ans. Un jour, ma mère a fini par trouver dans ma chambre la cachette où je stocke toute la panoplie de femelle offerte par Henri. En fait, je me demande si ce ne serait pas monsieur Dubout lui-même qui lui aurait parlé de mes tenues et chaussures, de ma perruque et même de ma fausse poitrine. J’ai menti en lui disant que j’avais acheté moi-même tout cela en espérant qu’un jour ou l’autre j’aurais le courage de lui avouer mes envies de travestissement. Bien évidemment, elle en profite maintenant pour m’obliger à me travestir lorsque c’est elle la maîtresse de nos jeux.Ces jours là, c’est elle qui choisit ma tenue et il lui arrive même de me faire porter certains de ses vêtements et même sa lingerie. C’est aussi elle qui me coiffe et me maquille pour que je sois tout particulièrement crédible en femme. Un samedi matin, elle m’a même emmené de nouveau chez son amie Bénédicte qui s’est avérée être une esthéticienne. Elle m’a entièrement épilé et, une fois ma cage de chasteté retirée, ma mère et son amie m’ont longuement sucé jusqu’à la jouissance. Bien évidemment, je me suis retrouvé encagé de nouveau immédiatement après. 
Samedi dernier, maîtresse des jeux, elle me dit vers 19h00— David, nous sortons ce soir. Tu vas te transformer une jolie petite femelle !Une heure plus tard, me voici apprêtée comme elle le souhaite : escarpins à talons hauts, lingerie noire très sexy, petit mini jupe en tissu écossais, petit haut moulant pour mettre en valeur ma fausse poitrine, maquillage un peu outrancier et perruque blonde. Elle me regarde et me dit— Tu es superbe ! Je suis certaine que tu vas avoir beaucoup de succès.Elle s’est quant à elle habillée tout en cuir, pantalon et petit blouson par-dessus un tee-shirt noir. Elle fait très dominatrice et j’imagine déjà le sort qu’elle me réserve.A 20h00, nous sortons de l’appartement ; parée comme je suis, nul ne peut me reconnaître. Dans la rue, un taxi nous attend et, une fois que nous sommes installés à l’arrière, ma mère dit au chauffeur— Rue de Provence s’il vous plait !Aussitôt je comprends qu’elle m’emmène au sauna où monsieur Dubout m’a déjà sorti.Une fois sur place, elle règle le chauffeur et lui dit— Avec ma fille, nous allons nous offrir une bonne soirée !Quelques secondes plus tard, nous voici au pied de l’escalier qui mène au sauna. Avant de monter les marches, elle sort de son sac un collier en cuir noir ainsi qu’une laisse. Elle m’ordonne— Tiens, mets ce collier !Une fois le collier bien serré autour mon cou, elle y accroche le crochet de la laisse puis, tenant l’autre bout en main, elle me dit— Viens petite chienne ! On t’attend là-haut ! En pénétrant dans l’établissement tenu par Thierry que j’ai déjà rencontré deux fois avec Henri, j’ai honte d’être ainsi tenue en laisse par ma mère. S’adressant à ma mère, Thierry lui dit— Bonjour Jeanne, comment vas-tu ? Cela fait bien longtemps que tu n’es pas venue ici.Puis il enchaîne— Oh, je vois que tu es venue accompagnée !Ma mère lui répond— Oui Thierry, cette petite salope est ma fille. Je crois savoir qu’elle apprécie tout particulièrement les blacks. Surtout ceux qui fréquentent ton sauna.Elle saurait donc que monsieur Dubout m’a déjà emmené ici lors de l’une de ces soirée « Blacks » organisée au Provence. C’est plus que certain, ils sont de connivence !Après m’avoir bien exhibé dans le grand salon et les couloirs de l’établissement, ma mère me conduit dans l’un des petits salons où deux grands blacks semblent nous attendre. Ma mère défait la laisse puis dit aux deux hommes— Messieurs, elle est à vous !Pendant la demi heure qui suit, les deux hommes ont bien profité de ma bouche et de ma croupe à tour de rôle. Montés comme des ânes, ils m’ont presque défait la mâchoire à force de les sucer. Ma petite rondelle a quant à elle été bien dilatée par de longues saillies et je suis resté allongé sur le ventre un bon moment après que les deux mâles soient repartis.Une fois à la maison, ma mère a enfin daignée retirer ma cage et j’ai pu enfin la prendre. J’ai toutefois noté qu’elle avait déjà la chatte bien trempée. Se serait-elle faite baisée au Provence ? Par Thierry qui semble la connaître ou bien par quelqu’un d’autres. A la fac, les cours se poursuivent tant bien que mal avec la pandémie de Covid-19. Tout récemment, j’ai fait la connaissance de Carla, une jeune étudiante brésilienne. Elle ne suit pas les cours de philosophie comme moi mais ceux de psychologie. Elle est superbe, grande et un corps sublime ; sa poitrine me fait fantasmer. Lorsqu’elle porte des pantalons moulants, tous les mecs matent ses fesses et lorsqu’elle est en jupe, on ne peut qu’admirer ses longues jambes. C’est vraiment une superbe plante.Nous apprécions passer du temps ensemble et discuter des différents cours que nous suivons. Nous avons échangé de brûlants baisers mais nous n’avons pas encore dépassé ce stade. Il faut dire que je suis toujours encagé et j’appréhende un peu la réaction de Carla même si j’ai noté qu’elle ne semble pas avoir beaucoup de tabous. Elle me dit souvent— Tu sais, au Brésil, on fait la fête, on danse, on fait l’amour sans se prendre la tête. La vie est bien trop courte pour ne pas en profiter !C’est vraiment le genre de fille qui me branche et je suis certain qu’avec elle je vais apprendre plein de choses sur le sexe même si je ne suis plus un novice depuis que je fréquente monsieur Dubout et couche avec ma mère. Le problème, c’est que je ne vois pas très bien comment mettre fin à ces deux relations. C’est finalement le destin qui m’a ouvert les yeux et permis de briser mes chaînes. Cela s’est passé ce mercredi soir ; ma mère est de garde et monsieur Dubout m’a mis un message en début d’après-midi « Je passe chez toi ce soir à 20h30. Sois bien sexy comme j’aime ». A l’heure fixée, il sonne à la porte de l’appartement et je l’accueille comme une bonne petite salope. Depuis que ma mère me donne des conseils de travestissement, je suis plus que crédible !Nous nous dirigeons aussitôt vers ma chambre. Henri me dit— Ce soir, nous allons varier un peu nos jeux. Je vais te bander les yeux et tu vas être une bonne petite salope. Quelqu’un devrait me rejoindre tout à l’heure pour que nos jeux soient encore plus vicieux.Je m’écrie— Oh non, pas d’autre hommes ici. Que vont penser les voisins ?Il me rétorque— Sois tranquille ! Tout se passera bien.Quelques instants plus tard, je suis en guêpière et bas. Avec ma fausse poitrine, je fais très provocante ainsi parée de dentelle sexy noire. Henri vient près de moi et me met un bandeau sur les yeux qu’il serre bien fort pour qu’il ne bouge pas. Il me guide ensuite pour que je me mette à quatre pattes sur le lit. Me voici livrée à Henri et à son complice qui devrait arriver tout à l’heure. Henri se positionne devant moi et me donne son sexe à téter. Depuis que je le connais, je suis impressionné par sa capacité à rester bandé malgré son âge et je me suis toujours demandé s’il ne se dopait pas au viagra. Il est médecin et je suis certain que ça ne doit pas être compliqué pour lui de s’en procurer. Je profite donc de sa queue bien raide qui coulisse entre mes lèvres. Le coquin ne semble pas pressé, il doit certainement temporiser en attendant son complice. Nos fréquentes rencontres m’ont prouvé qu’il aime bien les parties à plusieurs.Soudain, j’entends la porte de ma chambre qui s’ouvre et voici Henri qui s’adresse à un interlocuteur que je ne peux pas voir avec mes yeux bandés— J’espère que tu ne m’en veux pas mais j’ai commencé sans t’attendre.Puis il poursuit— J’espère que tu as fait attention en venant car cette petite salope a peur que ses voisins de palier jasent.Son complice ne répond pas mais j’entends des froissements de vêtements que l’on retire puis je devine que l’on monte sur le lit. Deux mains se posent sur mes fesses et commencent à me caresser.Henri me plaque une main derrière la nuque et m’oblige à le prendre jusqu’au fond de la gorge. Quelques secondes plus tard, un doigt agile commence à m’enduire les fesses de gel lubrifiant. C’est froid et je me contracte un peu mais bien vite je me détends. Le doigt est bien vite remplacé par un gros gland et deux mains m’enserrent la taille. Henri encourage de la voix son acolyte— Tu vas voir, cette petite salope accepte les gros calibres !— Prends la doucement au début, tu verras qu’ensuite elle couine comme une chienne !Je suis un peu surpris car mon enculeur ne répond rien mais pousse un peu plus loin sa grosse queue. Pour du gros calibre, c’est vraiment du gros !Après quelques minutes, je suis effectivement bien ouverte et celui placé derrière moi s’en donne à cœur joie. Je l’encourage de la voix— Oh oui, vas-y ! Plus fort !— Tu as vraiment une grosse queue ! J’adore !Toujours pas de réponse mais le rythme accélère, la bite sort entièrement de mon cul pour mieux y replonger. C’est un régal.Henri continue à coulisser dans ma bouche et m’excite de ses commentaires— Tu aimes vraiment ça petite salope !— Si ta mère savait ce que tu fais quand elle est de garde, elle n’en reviendrait pas !Puis il ajoute— Allez, je vais te retirer ton bandeau ! Tu seras plus à l’aide.Une fois que mes yeux sont libérés, tout en continuant à sucer Henri, j’arrive à jeter un coup d’œil sur ma gauche vers le grand miroir fixé sur la porte de mon armoire. J’ai comme un choc en constatant que c’est ma mère, équipée de son gode ceinture, qui est en train de m’enculer pendant que je suce Henri.Ainsi, comme je m’en doutais depuis déjà de nombreuses semaines, ma mère et Henri sont complices. Il est fort probable qu’ils jouent avec moi depuis le début. Ils sont complices et ils m’ont piégé ! Le lendemain, après une longue explication avec ma mère, je lui annonce que je souhaite mettre fin à nos aventures incestueuses. Cependant, je lui explique bien que cela ne remet nullement en cause tout l’amour filial que j’ai pour elle. A la fin, je lui dis— Je ne regrette rien de mes aventures avec toi et monsieur Dubout. J’y ai pris beaucoup de plaisir et j’ai appris beaucoup de choses. Mais vois-tu, j’ai rencontré une jeune étudiante brésilienne et je souhaite explorer un autre type de relation.Très compréhensive, elle me répond— Chéri, je ne regrette rien moi non plus ! Avec Henri nous t’avons piégé mais c’était un piège pas si désagréable que cela !Je la rassure— Oui, cela a été très agréable !Toujours aussi joueuse, ma mère me lance— J’espère que je ferai rapidement connaissance de cette jeune brésilienne. Qui sait si cela ne va pas nous donner la possibilité d’explorer d’autres jeux…. FIN.
Diffuse en direct !
Regarder son live