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Piègé

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Plusieurs mois ont passé depuis l’épisode avec la collègue de ma femme. Malgré le plaisir ressenti ce jour-là, aucun de nous n’en a reparlé. C’était le coup extra d’un soir, un souvenir qui nous excite encore à mots susurrés lors de nos ébats. Mais la collègue a changé de boulot et il n’était pas question que cela devienne une habitude.
La routine a ce pouvoir de rassurer les couples autant que de les détruire. Mais pour le moment elle a ce bon côté. Les enfants sont chez leurs grands parents pour le week-end car nous devons partir juste Sabine et moi pour une échappée romantique en bord de mer ce samedi midi.
Quand je me lève ce jour-là, il est très tôt, le jour n’est pas encore tout à fait levé. Les nuits commencent à être chaudes en juin et Sabine dort vêtue d’une de mes chemises, sur la couette, les fesses à l’air. Avec une jambe repliée contre elle je peux deviner son corps dans la pénombre. Ma main effleure cette offrande du matin, d’un toucher presque imperceptible. Je sens le fin duvet soyeux sur ses globes de chair. En m’aventurant à l’entrée de sa vulve je caresse la fine toison sans aller plus loin. Comme le souffle d’une brise légère.
Comme elle trémousse son popotin dans ses vapeurs oniriques, je lui écarte délicatement ses grandes lèvres avec l’index et l’annulaire. Mon majeur s’immisce d’abord par de petites rotations. Très vite sa mouille imprègne l’extrémité de mon doigt. J’enfonce alors une puis deux phalanges. Sa chatte accueille mon doigt avec délectation. Ses fesses remuent de plus belle pendant que des murmures gémissent du fond de sa gorge. C’est un réveil comme ma femme les aime. Pourtant je ralentis mes mouvements, laissant juste ce qu’il faut à son subconscient pour être excité une fois qu’elle sera debout. Je lui murmure alors à l’oreille :
« -Tu te souviens que j’ai un rdv ce matin ? Je reviendrai un peu avant midi et ensuite à nous la plage et les restos.
-Salaud, tu ne vas pas me laisser dans cet état-là avant de partir quand-même ? Me dit-elle d’une voix enrouée de sommeil.
-Je suis très en retard. On aura tout le week-end pour se rattraper, promis. »

En me levant je reçois un oreiller en signe de mécontentement. Ça ne fait rien, mon plan diabolique ne fait que commencer.Après avoir pris ma douche je coupe la vanne de sécurité dans la salle de bains. Et voilà la douche hors service. Je sors de la maison en voiture puis je me gare pas loin pour aller me promener et profiter du magnifique lever de soleil.
Quelques heures plus tard, Sabine émerge un tantinet excitée et frustrée. Elle se souvient que je l’ai laissée en plan avant de partir. Il lui reste une bonne partie de la matinée pour se préparer alors elle prend son temps. Déjeuner, nouvelles du matin et direction la salle de bains. Elle se déshabille et s’apprête à faire couler l’eau. Rien ne se produit.
« Il y a des matins à la con… » bougonne t’elle. Toujours à poil, elle va dans le salon téléphoner à son mari et l’enguirlander au passage :
« - Tu as bien dormi chérie ?-Non je suis mal réveillée parce que mon mari m’a chauffée mais ne m’a pas baisée comme il se doit et que la douche ne fonctionne pas. Tu parles d’un week-end en amoureux. Hors de question d’aller où que ce soit si je ne suis pas toute pimpante.-J’ai un peu de retard je m’en occupe en rentrant d’ici deux heures.
Deux heures encore!! Espèce d’…. »

Mais Sabine n’a pas le temps de finir sa phrase qu’on frappe à la porte. Elle s’apprête à aller ouvrir quand elle réalise qu’elle est entièrement nue. « Quel réveil ! »marmonne t’elle. Puis d’une voix plus puissante « Un instant j’arrive ! »
Là voilà qui file remettre sa chemise ample. Pas de culotte sous la main et ça frappe à nouveau! Tant pis pour la lingerie, elle court ouvrir.
C’est Diego, le fils ainé des voisins qui a maintenant 23 ans. Toujours étudiant il passe plus de temps à sortir le soir qu’à bosser ses cours. Mais ce beau brun ténébreux est vraiment canon et Sabine sait qu’il la mate par dessus la clôture quand elle jardine. Jeans et T-shirt moulant sur un corps d’Apollon c’est la première bonne chose de la journée pour Sabine qui se rince l’œil. L’inverse est valable puisque le benêt met un peu de temps à réagir :
« -Bonjour euh… je voulais demander un coup de main à votre mari pour porter du matériel dans le garage. Mon père est absent et je dois bricoler sur un nouveau projet de menuiserie. -On dirait que tout le monde a besoin de cette andouille ce matin. Il ne reviendra pas tout de suite et j’ai aussi besoin de lui. -Je peux vous aider ?-Si tu t’y connais en plomberie eh bien oui, ça me ferait grand plaisir ! »
Sabine a répondu avec un drôle de sourire. Presque carnassier… En guidant le jeune homme elle devine ses yeux posés sur elle. Sa chemise ne lui couvrant pas le bas des fesses, le beau samaritain doit bien en profiter. Cela fait émerger chez elle des picotements à l’entre-jambes et une envie toujours inassouvie.
La salle de bains est assez spacieuse. Diego s’engage dans la douche afin de tester la robinetterie. Il commence à dévisser la tête de douche expliquant vouloir la déboucher du calcaire. Pendant qu’il s’affaire Sabine détaille ses biceps et son torse en action. Elle sent sa chatte s’humidifier d’être en manque. Elle imagine le sexe dur du jeune homme bien à l’étroit dans son jeans. Instinctivement, elle tourne la tête vers le mur opposé à la douche et constate un compartiment ouvert dans le mur. Elle y aperçoit des tuyaux. Au ras du sol la voilà à quatre pattes en train d’examiner cela de plus près. Sans se retourner, Diego l’aperçoit alors dans le miroir juxtaposant la douche. Son cul redressé est complètement exhibé à son regard. Une croupe généreuse à la peau laiteuse encadre un large sillon légèrement poilu. Un filet de cyprine pend même entre ses cuisses.
Lorsque Sabine tourne la valve dans la bonne position, Diego redescend de son nuage en une fraction de seconde. La douche, froide, le trempe sans qu’il ait eu le temps de réagir. Honteuse, Sabine comprend son erreur et aide le jeune homme à s’extirper de la cabine. Lui intimant l’ordre de venir passer des vêtements secs, elle l’aide à retirer son T-shirt découvrant son torse nu. Sentant ses joues s’empourprer et sa chatte s’exciter davantage, elle le guide jusqu’à la chambre pour lui donner des vêtements de son mari. Quand elle se retourne, les vêtements en mains, Diego est alors entièrement nu devant elle. La chambre, volets encore fermés, est juste éclairée par la lumière laiteuse du matin qui filtre à travers la fenêtre. Elle perçoit un corps puissant et musclé. Sa peau est bronzée. Son sexe, énorme, est dressé à l’oblique, le gland à quelques centimètres de son nombril. Sabine n’a jamais vu d’engin comme celui-là. Elle est fascinée, bouche entre-ouverte, le dévorant du regard. Lorsqu’il s’approche pour lui prendre la main, elle ne bouge pas d’un cil. Lorsqu’il lui met la main autour de son chibre, elle pousse un petit cri de surprise. Puis lentement, elle ne résiste pas à l’envie de le caresser du bout des doigts sur toute sa longueur. Diego pose une main sur un de ses seins et immédiatement le téton se dresse sous la soie du chemisier. Puis la poussant doucement à s’agenouiller directement sur le parquet de la chambre, il lui présente son sexe à hauteur de la bouche.
Sabine est confuse, gênée mais terriblement excitée. Alors du bout de la langue, elle goûte à son prépuce. Puis commence à le mettre en bouche. Énorme, elle ne peut aller plus loin que son gland. Sa bite est délicieuse, presque sucrée. Diego guide sa tête avec ses mains pour entamer de petits va-et-vient. Elle sent sa vulve baver sur le sol. Elle pourrait jouir de cette fellation lorsque Diego la relève et l’allonge sur le lit conjugal. Genoux repliés vers elle, Il s’accroupît sur le sol, la tête entre ses cuisses. Lorsqu’il lui lèche les petites lèvres qui débordent de plaisir, Sabine gémit son contentement. Lorsqu’il lui suce le bouton, elle ondule le bassin pour lui indiquer d’y aller plus fort. Des cris emplissent la chambre au moment où elle râle enfin son orgasme tant retenu. À peine remise, Diego la retourne à quatre pattes sur le bord du lit. Sa chatte pourtant dilatée de plaisir rechigne à accueillir son membre vigoureux. Doucement, d’abord par de petites rotations de son gland, Diego la pénètre. Puis il enfonce son engin par de petits mouvements, centimètre par centimètre, jusqu’à venir buter au fond de son vagin. Enfin les mouvements de son bassin se font plus amples et plus rapides. Sabine couine de satisfaction à chaque culbute. Elle halète, la bouche grande ouverte, pendant que Diego la chevauche avec la vigueur de la jeunesse. Lui tirant la crinière en arrière pendant qu’il la domine, il lui dit :
« -Ton mari a bien raison. Tu es excellente à baiser! Je pourrais te mettre la fessée toute la journée. Et il joint le geste à la parole, lui laissant une marque cuisante. -Il a osé te dire ça ? S’étonne t’elle entre deux souffles. -Tu ne comprends toujours pas ? Le réveil excitant, la douche en panne, le bon samaritain… »
Sur le pallier je me montre enfin. Je les espionne depuis le début et Diego est parfaitement au courant. Sabine me fait face, prise entre deux feux, rouge de honte et de plaisir. Je m’empresse de la rassurer:
« Tout va bien chérie. Je te rends juste la monnaie de ta pièce. Alors profite du moment… » Elle me sourit avant d’enfoncer ses doigts dans le matelas et de laisser monter l’extase. Je m’assois à ses cotés posant sa tête sur mes genoux et lui caressant les cheveux. Je la contemple en train de se mordre la lèvre alors qu’un second orgasme se dessine sur son visage. Diego, inlassable, continue de la labourer de fond en comble. Puis elle me demande de me relever et me déboutonne, debout face à elle, pour prendre mon sexe en bouche. Prise sur deux fronts, seule ma bite permet d’étouffer ses cris de possédée. Diego la ramone avec fougue et entrain, presque entièrement entré jusqu’aux tréfonds de son antre. Les seins de Sabine ballottent sous les coups de boutoirs et sa croupe claque et ondule à chaque mouvement. Lorsqu’elle se retourne sur le dos pour nous défier l’un et l’autre du regard, Diego lui remonte ses jambes et me les tend par les chevilles. Complètement offerte et bien écartée, il la pilonne brutalement. Elle s’agrippe fort à mon sexe en me léchant le bout comme une glace. Trempée de sueur, dans un ultime orgasme, elle nous implore de nous vider sur elle. Alors, galvanisés par ses propos nous déchargeons de longs jets blancs et épais sur sa poitrine et son ventre. Enfin rassasiée, Sabine laisse pousser un long soupir de soulagement. Elle m’aspire nonchalamment les dernières gouttes de nectar blanc pendant que Diego laisse glisser son sexe une dernière fois le long de ses lèvres.
Il est midi, le week-end ne fait que commencer.
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