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Le piège

Chapitre 2

Hétéro
Simon commençait à paniquer ! Qui était-ce ? Un employé qui revenait rechercher quelque chose, le gardien qui faisait sa ronde ? Avec la tête, il faisait un signe à Sonia qu’il était dans une situation compromettante mais celle-ci ne lui prêtait aucune attention, tend et si bien qu’elle se dirigea vers la porte sans aucune gêne !!!Il n’avait presque plus d’érection, les rebondissements et les émotions se succédaient à une vitesse qui le dépassait. Hors de lui, Simon voulait que tout s’arrête tout de suite. Il se trémoussait comme un enragé sur sa chaise.Simon allait s’évanouir lorsque Sonia qui ne portait plus que son string et ses chaussures ouvra la porte à un homme qu’il ne connaissait pas.Cette fois, la perte de contrôle était totale pour Simon qui se rendait compte à quel point il avait encore pied, il y a encore quelques minutes à peine.Qui était cet homme qui le voyait nu, attaché et bâillonné? Que venait-il faire ici?— J’ai reçu ton message et je suis venu aussi vite ma chérie ! Alors c’est donc lui qui bande sur ma femme enceinte…— Oui mon lapin, rétorquait la jeune femme, je voulais lui donner une petite leçon et…— Tu as bien fais, occupes-toi de lui pendant que je me déshabille.Sonia se plaçait à genoux entre les cuisses de Simon :— Alors, tu ne bandes plus? Regarde-moi bien, je vais t’aider un peu. Je te promets que tu ne le regretteras pas !!!Alors, elle entreprit de masser son sexe endormi. Son cœur battait tellement vite qu’il pensait frôler la crise cardiaque et Sonia en rajoutait :— Mmmh, regarde cette bonne queue, t’aimerais ça que je la porte à ma bouche?Le ventre de son collègue brûlait de trac et d’angoisse. Cependant, petit à petit, son état d’impuissance avait raison de sa révolte.Sonia glissait une main sous ses bourses et, de l’autre, elle tenait son membre énorme qu’elle porta à sa bouche. L’archiviste en gobait une partie seulement avec difficulté malgré sa bouche généreusement ouverte au maximum et ses efforts pour aller plus en avant.Le mari de Sonia grognait de plaisir en regardant sa femme travailler la queue de son amant.Simon sentait monter en lui une terrible excitation, son érection était magistrale, du moins… à sa mesure. Sonia le remarqua :— Bon, dit-elle, ironiquement, tu vas enfin pouvoir te laisser aller et profites bien du spectacle…Après avoir bien léché le sexe du comptable sur toute sa longueur, elle le regardait avec admiration. Puis, elle se releva. Tenant toujours son membre en main, elle le masturba lentement. Elle s’adressait maintenant à son mari, en parlant de Simon :— On va lui montrer comment une femme enceinte de six mois aime se faire baiser, d’accord?Voulait-elle l’humilier ? Mais à la grande stupéfaction de Simon, sa verge était agitée par un spasme d’excitation car son sexe était à son paroxysme. Il voyait se matérialiser sous ses yeux son fantasme : être voyeur d’une baise !
Complètement nu et démasquant ainsi son membre si raide, Patrick regardait sa femme, assise, retirer son string. Sonia se saisit délicatement de ce membre qu’elle caressait tendrement comme pour modérer les ardeurs de son mari, comme pour lui dire : "on va le faire jouir sans le toucher en étant moins pressé".Il l’aidait à se relever pour l’enlacer et la câliner. Sonia éprouvait une sensation de bien-être malgré la présence passive de son collègue lorsque son mari posa une main son sur ventre rond.Patrick appuyait gentiment sur le dessus de la tête de sa femme qui se retrouvait ainsi à genoux, juste à la hauteur de son sexe. Comprenant ce qu’elle devait faire, Sonia se mit à sucer son mari, en pensant en elle-même :
— « Que va-t-il penser de moi maintenant ? »Nue devant son collègue qui ne débandait pas, son gros ventre frottant un peu contre les jambes de son mari, ses seins de femme enceinte, la vulve accueillante, elle prenait maintenant un plaisir indicible à se pâmer devant Simon.Se donner ainsi en spectacle, elle, enceinte de six mois, alors que la plupart des femmes oseraient à peine se montrer à leurs maris, la grisait de plus en plus…
En position de femelle prête pour la saillie, elle attendait la grosse queue de son mari qui la pénétra d’un coup !Simon, au bord de l’explosion, regardait impuissant Patrick limer lentement la chatte bien baveuse de Sonia, en s’agrippant à la naissance de la courbure du ventre de sa jolie femme enceinte.Les seins douloureux, ballottant dans le vide, son gros ventre qui supportait un peu la pression du poids de son homme, tout ceci lui déclencha des râles de plaisir qu’elle n’avait jamais eu auparavant. Supportant son propre poids sur un seul bras et de son autre main elle se palpait ses seins, puis caressait sa raie des fesses.— Vas-y…ouiiiiiiiiiiiiiii, tu me fais du…u…u bien…, ouiiiiiiiiii, en…en…en…en…core  plus au fond, aaaaaaah ta gro…oo…oo…osse biii…ii…ii…iite me faii…iii…it  du…u…u bien… ! Son mari se mit à la pistonner de manière lascive mais à chaque poussée, Sonia sentait le gland buter au fond de son intimité : — Ouaiiiiiiiiii, t’es qu’une saaaaaaaaaaalope avec tes gros nibards de bouuuuuuurge, qui se fait saillir pour assouvir son manque de queue…tu aimes t’envoyer en l’air et sentir ta motte bien défoncée…tiens prends ça bien au fond…Sonia, un peu fatiguée, proposait de nouveau à Patrick de s’asseoir, pour qu’elle le branle.Elle écartait bien les jambes pour faire plus salope et continuer à faire bander Simon, elle qui avait toujours été si sage.Patrick s’assit comme pour faire une pause, et aussi pour prolonger son plaisir et ne pas jouir bêtement pour lui tout seul, il voulait durer pour que Sonia se pâme encore devant son collègue, en érection complète.Ils étaient assis tendrement enlacés, se bécotant, elle caressait la barre dure de son mari, lui, parcourant les courbes de sa femme, ses seins volumineux et fermes, son pubis, ses lèvres vaginales pulpeuses, l’amplitude de son ventre si tendu et couvert de vergeture qui reposait sur ses cuisses.— Et si je t’enculais devant lui, demandait Patrick ?— Non, il ne le mérite pas…— Non bien sûr mais le voir regarder et ne pas pouvoir se branler, devrait t’exciter un max…— Bonne idée mon lapin, rétorquait la jeune femme enceinte.Elle se remit à quatre pattes bien à vue de Simon, offrant ses fesses et son petit œillet à Patrick.Celui ci se mit à lui lécher son anus et sa fente aussi pour recueillir de la mouille de Sonia. En guise de préparation, il en profitait pour lui insérer les doigts lentement dans son rectum.Puis elle commença à sentir la rondeur du gland de son mari se poser délicatement sur son anus, puis presque imperceptiblement, le gland entra en elle sans difficulté, alors qu’elle était toujours stressée quand il la prenait de ce côté là, prise par les vagues de plaisir elle se surprit à pousser de son côté aussi.Le gland dilatait ses parties intimes, sans douleur. La tige de Patrick commençait maintenant à s’enfoncer en elle, puis il en avertit sa femme :— Je vais pousser d’un coup maintenant tu risques d’avoir mal mais je crois savoir que tu n’attends cela ?!— Oui vas y prends-moi entièrement, bourres-moi bien comme il faut mon chéri!!! Qu’on fasse bander ce cochon qui nous regarde avec sa queue au garde-à-vous !!!Sonia fut étonnée des paroles qu’elle venait de prononcer. Patrick poussa longuement et avec vigueur, Sonia ressentait un peu de douleur qui la fit se cabrer un peu, elle poussait aussi pour faciliter la pénétration.Il arriva à tout rentrer, son ventre tapait contre les fesses de sa chérie, il la prit par les épaules comme pour se mettre confortablement à l’aise dans une longue étreinte.Sonia sentait la dureté de Patrick en elle, elle suffoquait de charme et de volupté, lui la besognait, la ramonait, la limait en faisant attention à son ventre.Il la bousculait presque maintenant, le rectum de Sonia épousait bien le cylindre de Patrick, elle aurait voulu rester ainsi toute sa vie, tout son corps revivait, elle se sentait chienne : la chienne de son toutou. Chaque coup de boutoir de son mari l’envoyait dans une autre dimension.
Un peu fatiguée maintenant par ces assauts, Sonia voulait en finir, elle s’agita avec une certaine frénésie, enfin autant que son corps de femme enceinte le lui permettait. Patrick était au bord de la jouissance, puis dans d’ultimes efforts pour se retenir il donna à sa femme les coups de grâce en pointant bien son sexe à l’intérieur du cul de sa tendre chérie.Sonia ne sentait plus son cul, par contre la lourde de charge de sperme de Patrick commençait à lui remplir les boyaux ! La queue de son mari n’avait aucun mal à ressortir laissant un instant son anus dilaté. Du foutre s’en échappait pour dégouliner le long de sa fente et ses cuisses, Sonia se sentait délicieusement sale et fière de l’être.Peu à peu la bite de Patrick se ramollissait mais Sonia s’approchait pour la sucer tendrement comme pour la remercier de l’avoir fait tant de bien. Elle sentait des parfums qui étaient restés sur le sexe de son chéri.Pendant cette gâterie, Patrick s’adressait à sa femme :— Tu crois qu’il a mérité qu’on le détache ?— Je pense…que oui mais regarde un peu comme il bande encore très fort, s’exclamait-elle !— Ne bouges pas chérie, je m’en occupe, dit-il en se levant.Le mari déambulait dans la pièce, la queue ballante entre les jambes, pour aller débâillonner Simon qui n’en pouvait plus…— Alors tu as apprécié ?— Vous êtes monstrueux d’avoir fait cela devant moi...— Je sais mais pendant que Sonia se rhabille, je vais te faire un cadeau que l’on ne t’a jamais fait…Le comptable était si passif et surtout prêt à accepter n’importe quoi… — Un mec t’a-t-il déjà fait jouir ?— Non…pas ça…— Reste calme, tu vas voir tu vas adorer…Lèche-moi le gland…Simon sortit une langue hésitante, Patrick, la queue ramollie, présentait gland aux abords de des lèvres qui s’entrouvaient d’elle-même pour l’accueillir. Le comptable suça le gland un moment. La bite du mari commençait par la suite un mouvement de va-et-vient, entrant un peu plus profondément chaque fois. Simon suçait comme il pouvait, inexpérimenté mais volontaire. Son souffle devenait de plus en plus rauque. Ses mouvements accéléraient comme les battements de son cœur. La situation l’excitait au plus haut point. Pas la peine se s’astiquer car il bandait toujours comme un cheval !!!La queue entrait parfois trop profondément dans sa bouche et l’étouffait un peu. Patrick se retirait alors, le temps de le laisser souffler un peu, frottant sa queue sur le visage de son amant. Sa respiration devenait de plus en plus forte, de plus en plus rauque et les gémissements de Simon de plus en plus forts.La queue de Patrick abandonna la bouche et s’appuya sur le visage. Il se mit à se frotter vigoureusement sur la joue gauche du collègue de sa femme. Les gémissements s’enflèrent jusqu’à devenir presque des cris :— Tieeeeeens ….prends çaaaaa….j’t’en ai gardééééééééé…ouiiiiiiii…..ça vieeeeeent……..Les déhanchements de Patrick se faisaient de plus en plus rapides et sa main droite astiquait violemment sa queue au gland violacé lorsque tout à coup Simon sentait la queue exploser sur son visage. Des jets de sperme l’éclaboussaient et s’étendaient sur son visage par les va-et-vient de la queue.Le mari de Sonia qui était tout en sueur de s’être démené de la sorte s’adressait une dernière fois à Simon :— Allez, sois une bonne petite salope. Nettoie-moi bien la queue.Il ne se faisait pas prier, il reprenait le sexe en bouche, le léchant, le suçant, avalant sa salive mêlée de sperme. Déchaîné et plus excité que jamais, Simon gémissait comme une pute lorsque soudain, surpris lui-même, il mit à jouir de plusieurs jets de sperme, sans même se toucher. Son foutre giclait tant sur son bas ventre que le long de cette hampe enfin libérée de toute surpression…Patrick comprenait au travers des gémissements de Simon qu’il jouissait. Ce dernier, trop épuisé pour regarder son amant se rhabiller et quitter la pièce, gisait nu, assis par terre, dégoulinant de sperme…
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