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Le piège Mélissa

Chapitre 1

La rencontre

Hétéro
Je rencontre Mélissa pour la première fois à la bibliothèque universitaire. J’ai 19 ans et je m’appelle Marc. Je suis bien dans ma peau même si je n’ai jamais fait l’amour avec une femme.Mélissa est une jeune fille d’environ 1 mètre 70. Elle a le teint hâlé, comme si elle passait son temps au soleil. Elle a de longs cheveux châtains, lisses et fins qui lui arrivent au milieu du dos. Mélissa a des yeux verts et un petit nez en forme de trompette, un cou fin et un corps athlétique. Sa poitrine est correcte : ni trop grosse ni trop petite. Son cul rebondi, porté par des jambes minces, lui fait cambrer le dos.Je suis d’un naturel timide, mais porté par une force jusque-là inconnue, je l’aborde en lui demandant où se trouvaient les ouvrages de biologie.
— Étudies-tu la médecine ? demande-t-elle.— Non, l’électronique, mais quand je vois ta beauté, je me dis qu’il n’y a qu’un ouvrage de biologie qui pourrait me renseigner pour mieux te connaître.— Quel flatteur tu fais, me dit-elle, avec un grand sourire, si tu veux en savoir plus sur moi, invite-moi à prendre un café, je mérite une pause.
Nous parlons des heures durant, séchant les cours, j’apprends énormément sur elle, sa vie, sa famille. Elle est célibataire depuis deux mois.
— Est-ce que tu veux me baiser ? demande-t-elle.— Tu es toujours aussi directe ?— Tu me plais, tu es sympa et lorsque je regarde la bosse de ton pantalon, tu dois être monté correctement, donc je me répète, est-ce que tu veux me baiser ?— Je ne l’ai jamais fait avec une fille.— Tu es pédé ? Je n’ai pas de problèmes avec ça, je pensais que je t’intéressais. — Non, je ne suis pas pédé, je suis puceau.— C’est encore mieux, je vais pouvoir te former alors.
Nous allons dans son appartement, je ne sais pas où me mettre ni comment me comporter. J’enlève ma veste et je m’assois dans le canapé.
— Fais comme chez toi, prends-toi un verre, je te conseille la boisson de la bouteille verte et j’arrive dans un instant. Sers-moi aussi un verre.
Sur un guéridon, à côté du canapé, il y a deux verres et deux bouteilles, une qui contient un liquide vert et l’autre un liquide rouge. Je remplis les deux verres, je sens le mien, ça ressemble à de la menthe, je goûte, c’est un peu alcoolisé, mais je ne reconnais pas le goût.Elle arrive dans la pièce, elle s’est changée. Elle porte maintenant une jupe et un top. Elle ne porte pas de soutien-gorge, car je vois ces tétons gonflés déformer le tissu. Elle s’assoit à côté de moi, buvons à notre rencontre et elle boit cul sec son verre. Je fais de même.
— Laisse-toi faire, dit-elle.
Elle m’embrasse à pleine bouche, introduit sa langue dans ma bouche. Je lui rends son baiser. Sa main me caresse et descend directement sur la bosse de mon pantalon. Elle tâte et semble apprécier. Je bande comme je n’ai jamais bandé. Tout en continuant de m’embrasser, elle ouvre mon pantalon et saisit mon sexe, découvrant mon gland. Elle n’a pas encore commencé à me branler que je gicle ma semence dans sa main. Je brise le baiser et je m’excuse. Elle me sourit, et tout en me regardant droit dans les yeux, lèche goulûment le sperme sur chacun de ses doigts. Elle avale. Elle m’embrasse à nouveau. Son baiser a le goût de ma semence. Elle rompt le baiser et déclare : tu goûtes bon, je te garde encore un moment avec moi. Elle me ressert un verre, mais cette fois du liquide rouge et m’ordonne de le boire. Elle me regarde vider le verre. Je ne sais pas si c’est la jouissance, la situation ou la boisson, mais ma tête tourne. J’essaie de parler, mais aucun son ne sort de ma bouche.
Je la vois me sourire et je m’endors dans le canapé, le pantalon à moitié défait, le sexe à l’air, du sperme plein mon slip.Je me réveille, il fait nuit, j’ai du mal à me rappeler où je suis. Je me souviens, je me rappelle toute la journée précédente en un instant. J’ai la bouche pâteuse. Je regarde autour de moi, la pièce semble vide. Je suis toujours sur le divan et on a posé une couverture sur moi. J’essaie de retirer la couverture, mais mes mains sont attachées. J’essaie de crier et je me rends compte que ma bouche est obstruée par un bâillon. J’essaie de bouger mes jambes, mais elles sont aussi solidement attachées au canapé. Je m’étais endormi dans la longueur du canapé et je me rends compte que je suis maintenant assis, les bras et les jambes attachés en croix. J’ai sûrement été drogué. Je réfléchis : appeler ne sert à rien, aucun son ne sortira de ma bouche, je panique et me mets à trembler. Les tremblements font tomber partiellement la couverture. Je suis nu. Je remarque que mes vêtements sont soigneusement pliés au bout du canapé. Une lumière s’allume dans le couloir et Mélissa apparaît.
— Tu es réveillé mon beau puceau ? demande-t-elle.
Je ne suis capable que d’émettre un son rauque à travers le bâillon. Elle s’approche de moi.
— Je vais t’enlever le bâillon, mais avant, j’aimerais que tu m’écoutes attentivement. J’ai dans la main un taser, tu sais cette petite boîte qui délivre un très haut voltage et si je l’utilise, tu vas perdre connaissance. Je n’hésiterai pas à l’utiliser si tu essaies de faire quelque chose de stupide comme de crier. Si tu as compris, fait oui de la tête.
Je bouge ma tête.
— Je vais t’enlever le bâillon, mais sois sage, dit-elle en joignant le geste à la parole.— Pourquoi fais-tu cela ? dis-je.— Tsss, répond-elle. Ne pose pas de question dont tu ne veux pas connaître la réponse.
Tu dois avoir soif. Elle prend un verre d’eau qu’elle porte à mes lèvres. Je bois goulûment.
— Merci, dis-je.— C’est bien, tu es poli, je vais sûrement pouvoir faire quelque chose de toi.
Elle enlève la couverture et je constate ce que j’avais deviné, je suis entièrement nu. Mon pénis est flasque et je constate qu’elle m’a complètement rasé le pubis et les testicules. Elle m’embrasse à pleine bouche, sa main caresse mon sexe qui durcit. Tout en continuant de m’embrasser avec une main, elle me branle gentiment, son autre main caresse mes testicules puis elle approche un doigt de mon anus et commence à caresser doucement ma rondelle. Je bande à nouveau dur et fort. J’ai beau essayé de me débattre, les liens fixent solidement au canapé mes pieds et mes mains, je suis incapable de me soustraire de son emprise.
— Marc, sois gentil s’il te plaît, n’essaie pas de t’échapper, profite du bon temps que je te donne. Cette situation est provisoire, ne t’inquiète pas. Tu seras libre de partir demain matin si tu le désires. En attendant, laisse-moi faire s’il te plaît.
Elle se lève et s’agenouille devant moi, puis sans mot dire, elle prend mon sexe en bouche. Elle commence par donner de petits coups de langue gourmands sur le gland, puis enfonce mon pénis gonflé dans sa bouche. Elle est douce, elle s’interrompt ensuite pour me gober mes testicules. Puis, elle reprend son jeu de langue en embrassant la hampe de mon sexe. Sa main gauche maintient la base de mon pénis et elle glisse la main droite entre mes fesses et sans avertissement, elle enfonce son majeur et me titille la prostate tout en engloutissant la totalité de mon sexe jusqu’à sa glotte. Quelques mouvements de va-et-vient et j’explose dans sa bouche. Elle conserve mon sperme dans sa bouche sans l’avaler et me donne à nouveau un baiser et me demande d’avaler ma semence.
— Je partage ta semence avec toi mon chéri, dit-elle. Ensuite, elle glisse le doigt qui a fouillé mon anus dans ma bouche et me demande de bien le nettoyer. Je m’exécute.— C’était vraiment bon, dis-je. C’est la première fois pour moi et quelle expérience.— Je suis heureuse que tu l’exprimes, tu as maintenant un choix à faire. Je te détache, tu te rhabilles et tu quittes les lieux, mais tu ne me verras plus jamais ou tu continues l’aventure avec moi, mais je préfère être claire, si tu penses que finir attaché au canapé et se faire raser le sexe et les boules était hardcore, il faut mieux que tu partes.
Je reviens dans une demi-heure pour que tu communiques ta décision et elle quitte la pièce.
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