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Piégé par la fille du patron

Chapitre 4

Trash
Piégé par la fille du patron. Chapitre 4


  Sur ordre de Tatiana, Raïssa apparut de nouveau, la mine soucieuse et les yeux chargés d’appréhension.
  — Allez nous chercher le gode ceinture, Winotchka a envie de s’amuser avec notre invité.
  Feodor n’osait croiser le regard de Raïssa, pas plus que celui des trois sœurs. La situation prenait une tournure déplaisante à son goût.Raïssa revint d’un pas précipité, l’objet à la main. Le gadget sexuel dépassait les vingt centimètres pour une section de quelques centimètres.
  — Raïssa, ouvrez-lui bien le fondement, et toi cambre-toi bien.
  La bonne enfouit ses doigts dans l’anus avec la même efficacité que tantôt.Feodor, gêné, évitait de regarder les filles. De toute manière, l’inconfort de sa position le condamnait à garder les yeux sur les trois paires de jambes. Le spectacle, en plus de dégager un charme certain, le dispensait de faire face aux sœurs infernales. Winotchka en particulier le réfrigérait. À la pensée qu’elle allait s’occuper de son derrière, ses poumons lui donnaient l’impression de pomper dans l’azote.
  — Raïssa, c’est ça que vous appelez laver ?
  La bonne laissa échapper un long soupir de pneu crevé.
  — Vous allez me nettoyer tout ça à fond, je ne veux plus rien voir de suspect entre les fesses de ce porc.
  Dans un déplacement d’air mêlé de froufrou, Raïssa se redressa et fit mine de quitter le séjour.
  — Et où allez-vous comme ça ?  — Mais vous m’avez demandé de…

  Une gifle lui coupa la parole.
  — Je vous ai déjà ordonné de ne pas vous adresser à moi en disant mais ; ça implique une contradiction et je n’ai pas à supporter ça d’une préposée aux serpillières.
  Toujours impassible, Raïssa évitait de croiser le regard de Winotchka. Elle pouvait ressentir l’agacement de la jeune femme à l’idée de différer son intermède sexuel.
  — Avant d’aller chercher la poire à lavement, dont vous auriez dû faire usage, vous allez préparer le terrain. Mettez-vous à genoux derrière lui et nettoyez-le avec la langue.
  Raïssa pâlit et considéra sa maîtresse, l’air suppliant.
  — Ah non, vous allez m’épargner vos crises de larmes, dépêchez-vous de faire ce que je vous dis. Vous lui léchez le cul jusqu’à ce que tout soit propre.   — Après, tu enfonces ta langue à fond et tu récures, renchéri Winotchka.
  Sous cette double admonestation, la jeune femme se mit en position et entama sa tâche. Elle écarta les fesses de Feodor et entreprit de lécher l’anus, la langue tirée à son maximum.
  — Mais qu’est-ce qu’elle fiche, cette foutue connasse ? Plaque ta langue sur le trou du cul et nettoie bien. Rappelle-toi que tu devras sucer le gode après usage, s’il y a de la merde dessus, tu avaleras et je te collerai une correction dont tu te souviendras.
  Peu désireuse de contrarier la froide Winotchka, Raïssa suivit les directives de sa maîtresse et entreprit un décrottage méticuleux. Feodor éprouvait une gêne mêlée d’une certaine excitation à l’idée des trois paires d’yeux qu’il devinait posées sur lui.  La salive de Raïssa détrempait son anus et s’écoulait le long du sillon fessier pour se perdre dans les replis des cuisses. Elle sortit la langue en entier et força le sphincter pour investir l’orifice de Feodor qui sentait la chaleur envahir son bas-ventre. Raïssa vrillait sa langue du mieux qu’elle le pouvait. Dans ces conditions difficiles, elle ne pouvait aller bien loin mais elle parvenait à récurer le rectum avec un minimum d’efficacité. Le goût âcre qui lui emplissait la bouche ne devait rien à son imagination. Elle laissait la salive abondante diluer les choses ignobles qu’elle devinait sous sa langue. Enfin, elle estima sa tâche terminée et se retira de l’anus.
  — Très bien, Raïssa, vous pouvez aller chercher la poire à lavement.
  La bonne quitta les lieux, abandonnant Feodor aux trois sœurs qui ne ménageaient pas leurs sarcasmes. Sa position à poil et à quatre pattes n’arrangeait pas son cas.
  Le liquide provoqua une sensation de froid dans son fondement, il ressentit une véritable gêne au fur et à mesure que Raïssa expulsait le contenu de son instrument dans son rectum. Son envie de se soulager grandissait à chaque instant. Recevoir un tel traitement devant les trois filles le mettait au comble de l’embarras. La poire vide, Raïssa en sortit l’embout et la rangea dans une mallette en matière plastique qui semblait renfermer tout un nécessaire à la destination douteuse.
  — À présent, reprenons cet examen, dit Tatiana.
  La bonne se pencha sur Feodor dont elle ouvrit les fesses pour mettre l’anus en évidence. Les doigts écartaient les chairs intimes, révélant une cavité parfaitement nettoyée. La poire rectale retenait toute l’attention des sœurs Saratov, dont les commentaires déplacés rendaient la séance plus éprouvante. Feodor en oubliait presque la douleur de ses genoux ankylosés.Sur ordre de Tatiana, Raïssa enfouit sa main entière dans le fondement de l’homme qui amorça un mouvement de l’avant vite contré par Winotchka.
  — N’essaye pas de te défiler ou je lui dis de t’enfiler le bras complet dans le cul.
  Feodor devinait en cette fille la plus redoutable de ses antagonistes. Mieux valait éviter toute confrontation et lui obéir dans l’immédiat.
  De nouveau en position, le sphincter distendu, il pouvait sentir les doigts de Raïssa lui caresser les muqueuses, la poire rectale envahie par la main fouisseuse. La jeune femme mit en évidence l’intérieur du fondement de l’homme. Les trois sœurs savouraient le spectacle. Elena gloussait aux réflexions de Tatiana tandis que l’aînée observait une attitude réservée.
  Sa tâche terminée, Raïssa désengorgea l’anus de Feodor. Elle tendit le gode ceinture à Winotchka dont le regard insistant passait de l’accessoire au derrière de l’homme. Les yeux en amande à demi fermés renvoyaient un éclat trouble.
  La jeune femme enfila le gode par-dessus son pantacourt et procéda aux derniers ajustements. Le modèle épousait à la perfection la forme et les dimensions d’un sexe artificiel. La couleur chair, la perfection des détails, jusqu’aux reliefs travaillés avec soin lui donnait une impression saisissante de réalisme. Feodor sentit des mains froides lui écarter les fesses. Elle agissait avec plus de brutalité que Raïssa, l’impatience à fleur de peau.L’extrémité du gode commençait à appuyer sur l’ouverture du conduit. Winotchka entreprit d’enfoncer le sexe artificiel de quelques centimètres. Elle resta plantée dans le fondement de l’homme quelques instants, puis elle s’enfouit d’un coup, sans égard pour son partenaire dont le cri parvint aux oreilles de toute la maisonnée.
  — Je vais t’enculer pendant des heures, alors fais-moi pas chier ou je te fourre jusqu’à te remonter toute ta merde dans la bouche.  — Elle va te réaléser le trou du cul ! ajouta Tatiana.
  Seule Elena gardait le silence, fascinée par le spectacle de ce membre en plastique qui entrait et sortait en cadence du cul de l’homme. Son aînée se pencha en avant, accrochée aux reins de son partenaire sur lequel elle pesait de tout son poids. L’anus en feu et les genoux endoloris, Feodor devait supporter le poids de la jeune femme qui l’écrasait sans retenue. Sa grande taille se faisait durement sentir en ces instants. Elle améliorait sa position pour pénétrer sa victime plus en profondeur tout en s’assurant une meilleure prise.
  — Comme ça, c’est super, ouvre ton cul. Et ferme ta gueule.
  Feodor éprouvait un mélange de souffrance physique mâtiné d’un plaisir inavouable. Ce rapport contre nature devant témoins aiguillonnait ses sensations, ce qui attira l’attention de la cadette.
  — J’ai l’impression que le cochon s’excite.  — Tu vois, je te disais que c’était un déchet juste bon à jouer les larbins, répondit Tatiana.
  Winotchka continuait à malmener le cul de son soumis. Ses sœurs regardaient le gode entrer et ressortir à un rythme frénétique, entraînant avec lui le pourtour élastique du muscle anal. Le sphincter distendu au maximum, Feodor serrait les dents et tentait d’échapper à son tourment par la pensée.Son enculeuse prenait plaisir à sa chevauchée et œuvrait avec une vigueur intacte malgré les minutes qu’égrenait l’imposante pendule murale.Elle s’affala sur Feodor et poussa un soupir d’extase, les yeux clos, la lèvre supérieure retroussée en une mimique expressive.Son partenaire s’effondra au sol, coiffé par la jeune femme dont l’état de béatitude se prolongeait.Le spectacle comblait Tatiana qui décida de terminer la soirée sur cette bonne conclusion.
À suivre
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