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Pierre, où l'itinéraire d'un gars pas doué

Chapitre 6

Hétéro
CH 6 - Surprise et rencontre inattendue
Je ne savais pas comment mais la petite Cécile savait y faire. Elle savait quand et où on pouvait se voir sans prendre le moindre risque d’être découvert. A chacun de nos rendez-vous, elle voulait expérimenter une nouvelle pratique basée sur l’exemplaire du Kâma-Sûtra que son père gardait jalousement dans sa bibliothèque. Elle prenait les choses en main (au sens propre comme au figuré) et n’avait pas froid aux yeux. Elle n’était pas du genre à crier mon prénom lors de nos rapports mais plutôt à savourer ces moments en silence, en soupirant, les yeux fermés la bouche à demi ouverte.
Au départ réticent de devoir coucher avec la fille du patron, j’ai finalement pris ça comme un petit loisir de milieu d’après-midi. Cécile, de son coté, me voyait comme un instructeur lui permettant de rattraper son retard dans ce domaine. Mais tout cela avait des conséquences pour elle car tout ce temps passé au lit, avec moi, c’était du temps qu’elle ne mettait pas à profil pour les révisions du BAC. Résultat, son père n’arrêtait pas de l’engueuler, la menaçant de la renvoyer chez sa mère qui s’était remarié avec un québécois à Montréal.
Grace à mes révisions particulières, elle a eu son code, après un échec tout de même mais elle l’a eu. Pour le permis, en plus des leçons de conduite obligatoires, je lui permettais de s’exercer avec une des voitures de son père. Bien évidement, on terminait nos séances sur la banquette arrière. Malheureusement, tout ça au dépend de ses études dont les notes chutaient irrémédiablement. Visiblement résignée à échouer au BAC pour la troisième fois, elle venait chercher du réconfort avec moi. Chose que je savais lui prodiguer à grand coup de boutoir.
Le Bac, pour elle, c’etait dans 2 mois. Un jour alors qu’on venait de finir une leçon de conduite, elle exigea que l’on passe le test VIH. Elle en avait marre de la capote et voulait faire ça sans artifice. Au début réticent elle m’assura qu’elle s’était faite prescrire la pilule par son médecin et donc pas de soucis de ce coté là. Se sachant condamnée à échouer au BAC et donc à partir pour Montréal, elle voulait en profiter au maximum. J’ai donc accepté et on a continué nos rendez-vous secrets. C’est vrai que sans capote c’est meilleur. Je ne regrettais vraiment pas.
On a continué comme ça jusqu’à son échec officiel au BAC. Son père ayant déjà prévu le coup, il lui avait déjà pris un billet Paris Montréal pour le début du mois de juillet. Quand le jour fatidique est arrivé, son père n’était même pas là, trop occupé à ses affaires. Cécile, qui le connaissait par cœur savait qu’il avait prévu quelques jours romantiques en amoureux …. Mais pas avec sa femme, madame le croyant en voyage pour affaire. C’est donc moi qu’on a chargé de l’amener à l’aéroport. J’y suis resté jusqu’à son embarquement.
— Bon bah voila ton vol.— Oui C’est l’heure. D’un coté ça me soulage de partir loin d’ici mais tu vas me manquer.— A moi aussi. J’ai finalement apprécié ce que t’as fait pour avoir ton permis.— C’est vrai qu’on s’est bien amusé. Le seul regret que j’aurais c’est de ne pas voir la tête de papa quand il saura pour la petite surprise que je lui réserve.— La surprise ?— Autant que tu le saches après tout t’es tout autant concerné sinon plus. — De quoi tu parles ?— Bah voila. Je voulais lui donner une petite leçon comme quoi, je ne suis plus une petit fille et …. Comment annoncer ça ?— Je ne sais pas. Essaie avec des mots c’est plus simple.— Voila … Je t’ai menti je n’ai jamais pris la pilule.— Houlà ! attend …. T’essaie de me dire quoi là ?— Disons juste que je m’envole avec un petit souvenir de toi. Dit-elle en se caressant légèrement le ventre.— Oh nom de dieu de bordel de merde j’en étais sur. A chaque fois que y a une affaire de fesse, à chaque fois il m’arrive une catastrophe.
— Eh ! calme-toi. Je ne te demande rien. J’ai de quoi l’assumer et puis il y aura ma mère.— C’est pas ça mais si le bébé me ressemble ou si quelqu’un fait un quelconque rapprochement, c’est fini pour moi.— T’en fais pas je raconterais des conneries à mon père et comme d’habitude il me croira quand même.— Je sais pas pourquoi mais je ne suis pas aussi sur de ça que toi.— Moi je le sais. Bon tu m’excuseras mais faut que j’y aille mon avion va partir.
J’ai attendu de voir l’avion décoller avant de partir, puis je suis rentré. J’ai fini ma journée en allant chercher mon patron à son boulot. Comme à chaque fois il était avec sa nouvelle collaboratrice très particulière qu’il a galoché jusqu’à ce qu’on se gare dans un parking isolé et, comme d’habitude, il m’a demandé de les laisser seuls 1 petite heure. Quand je suis revenu monsieur était seul, sa partenaire, était partie chez elle. Monsieur réajusta sa tenue et nous sommes repartis. Le soir chez moi, je repensais à la bombe que Cécile m’avais lâché dans la figure. Un verre de whisky sec à la main je me suis regardé dans le miroir en trinquant « A ta santé, Papa …… Bordel de merde .... C’est pas possible .....» et hop cul-sec, je suis parti me coucher en espérant que cette histoire ne m’attire pas trop d’ennuis.
La vie a repris son cours normalement. Grâce à Cécile je voyais la maison autrement, sachant ce qu’il s’y passait. C’était amusant de voire Edgar, le jardinier essayer d’être discret après chaque rendez vous qu’il avait avec madame. D’ailleurs depuis qu’ils avaient une relation, elle allait de moins en moins à son club de gym. Pourquoi se déplacer alors qu’on a ce qu’il faut à la maison. Au niveau cul, en ce qui me concerne, c’était le calme plat. J’allais sur internet, parfois au vidéo club me louer un film et ainsi gâcher du rouleau d’essuie-tout.
Un soir, alors que je revenais de rendre un film à la borne vidéo, un mec est venu m’aborder et on a sympathisé. Il travaillait pour un réseau de site de vidéo pour adulte et il se lançait dans un nouveau type de vidéo : aborder un mec dans la rue et lui proposer de s’envoyer une actrice à l’arrière d’un camion aménagé ou dans un autre lieu insolite. Ne sachant pas trop quoi en penser, il m’a accompagné et à tenté de me convaincre de participer. Le camion était un utilitaire blanc genre 16 mètres cube et, de l’habitacle avant, on voyait un mec sortir avec une caméra commençant à nous filmer de loin. C’est en arrivant à sa hauteur que mon interlocuteur commença son speech.
— Salut à tous, amis internautes, Aujourd’hui on inaugure de nouvelles vidéos et avec moi j’ai mon nouvel ami qui s’appelle …— Pierre.— Donc nous avons Pierre à qui on a proposé de passer du bon temps avec Célina Flash une de nos actrices. Alors, Pierre, toujours OK ?— Je n’arrive pas à croire ce que je vais faire.— Ça va bien se passer t’en fait pas. Aller on y va.
On est alors monté dans le camion où nous attendait une jolie femme complètement nue, allongée sur un matelas. Il était évident, dés le premier regard qu’elle avait fait de la chirurgie esthétique. Des seins surdimensionnés par rapport à son corps, des lèvres bourrées de collagène et un nez refait façon Michael Jackson des années 90, ça paraissait évident mais elle était quand même assez belle. Je m’allonge à coté d’elle mes mains vagabondant sur ses formes et ils ont repris leur tournage.
— Alors Pierre, comment tu la trouves ?— Ah ! Elle est belle. C’est indiscutable.— Bien. Sache qu’elle est à toi pour les prochaine quinze minutes. Tu pourras lui faire ce que tu veux à partir de …. Maintenant.
C’était à moi de jouer. Je me suis positionné, la tête entre ses cuisses et j’ai commencé à la lécher. A chaque coup de langue elle poussait un soupir de plaisir. J’en profitais aussi pour passer mes mains sur sa poitrine et lui palper ses seins qui me faisaient envie. Ensuite c’était à elle de me faire plaisir. Je me suis allongé à sa place et elle m’a sucé comme jamais. Une vraie Pro ça se voyait. On a ensuite enchaîné sur un bon 69 classique. C’est là que le caméra-man m’indiqua que des préservatifs étaient à ma disposition dans la petite boite derrière moi. J’en ai pris un pour me le mettre et elle s’est empalé sur moi en s’allongeant à moitié sur mon torse. Comme j’étais plus petit qu’elle, cette position me permettait de lui déguster les seins tandis qu’elle ondulait du bassin, un vrai régale. Elle s’est ensuite retirée pour s’allonger sur le ventre et ainsi m’offrir son cul qui n’attendait que moi. Je l’ai donc longuement enculé, la faisant crier (elle devait surement simuler pour la caméra car c’était très exagéré) puis je l’ai retourné sur le dos pour la prendre de manière classique. On a enchaîné divers positions, dont certaines m’étaient inconnues, jusqu’à l’orgasme. Après ça on s’est embrassé puis je me suis rhabillé et avec le cameraman et son collaborateur, on est ressorti du camion.
— Alors Pierre, comment c’était ?— C’était extra. J’ai adoré. Elle est aussi bonne qu’elle est belle.— Et oui ! on a la chance d’avoir des Pros. Bon bah écoute on te remercie de ta participation et pour ça on t’offre un mois gratuit d’accès sur notre réseau. Libre à toi de le prolonger plus tard.— C’est moi qui vous remercie. J’ai passé un délicieux moment.
Avant de partir il m’a donné une enveloppe avec 100€ dedans et m’a dit que si je le voulais, il pouvait flouter mon visage lors du montage. Ce que j’ai accepté ne voulant pas être reconnu. Une semaine plus tard sur ma boite mail, j‘ai reçu mes identifiants et l’adresse de la page de connexion. J’y suis allé et j’ai pu me voir en action. Mon visage était flouté, ma voix légèrement modifiée et à part mon tatouage sur l’épaule et éventuellement mes fringues, rien ne permettait de me reconnaître. Je me trouvais assez doué mine de rien. C’était pas mal du tout. J’ai alors téléchargé ma vidéo en souvenir et j’ai pu explorer le réseau de sites de vidéos pour voire si ça me convenait. J’y ai trouvé des trucs intéressants. Je me suis abonné aux sites que j’ai voulus.
Plus de 6 mois ce sont écoulés et à la suite de ma vidéo d’autres ont été rajoutées. Un système de vote avait été mis en place et même si j’étais pas premier au classement, j’était bien placé. Une grande fierté pour mon ego.
Autrement, la vie continuait. Mon patron avait toujours ses petits 5 à 7 avec ses collaboratrices. Un jour pour mon anniversaire, alors qu’il était monté seul dans la voiture, il m’a demandé de partir chercher une de ses amies. Pourquoi pas après tout. Ça faisait aussi parti de mes attributions. La jeune dame est montée, on s’est arrêté dans un parking souterrain, au deuxième niveau. C’est là que mon patron est sorti de la voiture, arrivé à ma hauteur en me disant « Pierre, je vous laisse avec elle. Considérez là comme votre cadeau d’anniversaire. Ou encore un remerciement pour votre discrétion. Je reviens dans 2 heures. Amusez-vous bien ». Je n’en revenais pas. Il m’avait payé une pute de luxe pour mon anniversaire. Je ne vais pas mentir. J’en ai bien profité. Elle connaissait son métier ça se voyait et à mon avis, monsieur, avait du grassement la payer. Je me suis éclaté avec elle sur la banquette arrière durant plus d’une heure. J’avais tellement de fois vu monsieur s’occuper de jeunes femmes à l’arrière que je savais où il cachait ses « ustensiles » (préservatifs, annaux vibrants, gel lubrifiant, ….). Ce fut plus qu’instructif car elle m’a fait découvrir des choses que je ne connaissais pas. J’ai passé un excellent moment en sa compagnie puis elle est partie. Au son retour, mon patron s’est montré des plus curieux à vouloir savoir comment ça c’était passé. J’ai préféré tout garder pour moi mais mes remerciements lui ont bien fait comprendre que j’avais apprécié son petit cadeau.
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