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Pierre, où l'itinéraire d'un gars pas doué

Chapitre 9

Hétéro
CH 9 - Une nouvelle activité extra professionnelle
Le dernier jour de notre séjour, moi et mon camarade Guy, on a eu droit à un petit pot de départ pour notre venue. Moi j’étais ravi de ces vacances. J’avais appris pas mal de chose et surtout je m’étais envoyé une petite minette actrice X. Même si ça reste de l’amateur, mon ego était gonflé à bloc et je repartais avec, dans mes bagages, la photo pour mon boss (et pour moi aussi) et le film que j’avais fait.
Une fois à l’aéroport, avec Guy, en attendant d’embarquer, on se remémorait notre séjour. Lui avait été sidéré que je me lance, aussi spontanément, dans une scène avec une actrice. Et surtout que je la réussisse aussi bien. Il m’a aussi avoué que si ça femme n’avait pas été là, il n’aurait pas hésité non plus à tenté sa chance mais qu’il aurait eu peur de ne pas être à la hauteur. Moi par contre j’étais abasourdi de voir le nombre de carte mémoire qu’il avait bouffé. Entre les photos et les films, il était pire qu’un car de japonais à la tour Eiffel.
Quand on a débarqué après le vol, Guy s’est jeté dans les bras de son épouse qui l’attendait. Quant à moi, c’est mon patron qui m’attendait au Parking. Pour une fois il avait conduit lui-même sa voiture. On est reparti, moi au volant lui à l’arrière … après qu’il ait fait du gringue à une hôtesse de l’air.
— Alors Pierre, ces vacances ?— Excellentes.— Vous m’avez ramené un souvenir j’espère ? — Oh pour ça oui.
Je lui ai tendu l’enveloppe contenant la photo. Il s’était servi un verre de Scotch qu’il a failli renverser quand il a vu la photo.
— Eh ben mon salop ! On dirait que vous vous êtes bien amusé. Visiblement vous en avez profité.— Oui et d’ailleurs, ce soir, passez me voir chez moi. J’ai autre chose à vous montrer.— C’est quoi ? vous avez tourné un film avec l’une d’elle et vous voulez me le montrer ? A-t-il dit en rigolant pensant faire une blague.— Oui j’ai tourné avec la blonde sur la photo. J’ai même fait le montage de la scène.— Vous déconnez là ? Non ? Ohoh ! chui impatient de voir ça.
Durant tout le trajet, je lui ai raconté ce que j’avais fait ce que j’avais vu, … il fut à la fois surpris et presque choqué de l’existence des accessoires et des effets spéciaux (astuces de tournage serait plus indiqué). Il était excité comme un gosse qui attend Noël. Depuis que je lui avais parlé du film dans lequel j’avais tourné, il ne tenait plus en place. A tel point que lorsqu’on est arrivé, il m’a aidé à porter mes sacs pourvu que ça nous fasse aller plus vite pour voir la vidéo. Je l’ai donc invité chez moi et j’ai mis le film sur la télé, volet fermé pour faire comme une salle de cinéma. A la fin du film, il ne me regardait plus comme avant.
— Wahoo ! Alors là je ne vous connaissais pas comme ça.— Y a un peu de comédie là dedans. Le texte, c’est pas moi.
— Mais je m’en fou du texte. On ne regarde pas un film de boule pour la philosophie intrinsèque de la parthénogenèse du poulpe en milieu hostile. Non je vous parle de vous, en action. Vous y allez franco.— Il le fallait en même temps.— En plus vous tenez la distance. Tenez, je vais vous appelé Rocco maintenant.— Euh … je ne préférerai pas.— Vous en faites pas je déconnais. Bon moi je vais me rentrer. Si vous en avez d’autre comme ça, prévenez-moi. — Ce n’est pas dit qu’ils me rappellent. J’ai juste gagné un concours.— Après une telle prestation ? Si j’étais eux, je vous le proposerais.
Je n’ai pas pris au sérieux ces dernières paroles.6 mois se sont passés après ça et la vie avait repris son cours quand j’ai reçu un mail du producteur du site pour lequel j’avais tourné. Il voulait me rencontrer en personne. J’ai accepté et on a fixé un rendez vous dans la capitale, durant les quelques jours que nous y passions à cause des obligations politique de mon boss.
Je savais que ma vidéo avait rencontré un certains succès, au vu du nombre de « pouces verts » mais elle était loin du podium. Si jamais il voulait me voir pour me proposer un autre film, C’EST OUI ! 100 fois Oui. Une semaine plus tard, je me suis présenté au studio pendant que monsieur était à l’Assemblée Nationale. Le patron, un certain Rodolphe qui fut en son jeune temps, acteur m’a reçu. C’était un homme un peu plus âgé que moi, bien conservé, bien habillé et avec un charisme fou. Il m’impressionnait par son palmarès qui était accroché au mur.
— Bon C’est toi le fameux Pierre ? ravi de faire ta connaissance. Moi c’est Rodolphe, ici tout le monde se tutoie. Ça ne te dérange pas dit moi ?— Non— Parfait. Si je t’ai fait venir c’est pour te proposer de rejoindre notre équipe. Tu te débrouilles pas mal et on a des acteurs qui arrêtent pour motifs personnel. Ça t’intéresse ?— Ben … euh … oui pourquoi pas. Mais je bosse moi.— Tous les acteurs bossent. On n’en vit pas des de ces films amateurs. Sauf pour moi qui gère la boite et certains membres de l’équipe technique. Tu sais, la plupart des tournages se font le Weekend ou en semaine parfois suivant l’emploi du temps des gens. — Mais comment ça fonctionne exactement ?— Bah c’est faciles t’es à poil avec une fille devant la caméra et tu la baises ….. non, restons sérieux. On établi un contrat, le même que celui des intermittents du spectacle. Tu gagnes 100 à 500€ par scène, ça dépend. Bien sur chacun fait en fonction de ses disponibilités.— Si c’est sur Paris, mon boss y est souvent et je l’y accompagne. Je suis son chauffeur.— Ok, c’est déjà pas mal. T’as des contraintes qui pourraient gêner ? — Non.— Pas d’enfants donc ?— Officiellement ou officieusement ?— Ah ! ça veut dire que t’as planté tes graines un peu partout ?— Ça veut surtout dire que j’ai fait un môme à la fille de mon patron en cachette.— Oh, oh ! Tu me plais comme gars. Mais tu ne m’as pas répondu franchement. Ça t’intéresse ou pas de tourner ?— Oui, oui. Ça m’intéresse.— Parfait. Je sens qu’on va s’amuser avec toi. En plus, d’après ce que je sais, tu maîtrises le montage vidéo ? — Les bases oui.— Nickel ! Si tu pouvais me décharger d’une partie du montage, ça m’arrange. Par moment chui surbookée. Bien sur t’aura un bonus pour ça.— Pas de problème.— C’est parfait ça dis moi. Bon j’ai un scénario pour toi. Tiens je te le donne tu y réfléchis et tu me dis si t’es OK ?— Je vais voir ça.— Bon bah si t’as pas de question, j’aimerai que tu me parles un peu de toi. De ton passé. J’aime savoir avec qui je travail.— Ok … ça va être long je te préviens.— J’ai tout mon temps.
Je lui ai tout raconté : mon passé de gendarme, mon boulot de videur, mes galères, mes amours, ce que je vivais et voyais dans la voiture de mon patron, ….. je ne lui ais rien caché et il a adoré mon parcours. Il a bien compris qu’au niveau cul j’avais du kilométrage.
Lui ensuite m’a demandé si j’acceptais de collaborer avec d’autre sites partenaires du réseau. J’ai pas dit non. Il allait juste falloir que je révise un peu mon anglais car beaucoup sont anglophones. Il m’a aussi demandé quels genres de partenaire et quelles pratiques j’acceptais.
Pour les partenaires : femmes mures ? Oui, trentenaires ? Oui, Minette de 18 ans ? Oui avec réserve et même chose pour participer à un dépucelage filmé. Je n’aime pas faire mal et j’estime que c’est un instant qui doit rester intime. Des mecs (quelque soit l’âge) ? HORS DE QUESTION ! Là c’est un NON catégorique. Je n’ai rien contre les Gay mais ce n’est pas pour moi c’est tout.
Pour les pratiques, Je n’ai pas vraiment de tabou. Sauf pour me faire introduire, ça c’est Niet direct. Perso, mon trou du cul ne me sert qu’à une chose : couler un bronze. C’est du sens unique. Ça sort mais y a rien qui rentre (hors problème médical éventuel). On a parlé de tout et de rien et mon rendez vous s’est terminé un peu plus tard que prévu. Je suis reparti avec le scénario sous le bras et la carte du producteur dans la poche. Quand je suis revenu sur la place de parking qui m’était attribué non loin de l’assemblée, mon patron m’attendait en tapotant du pied. J’étais en retard.
— Bah alors Pierre ? Vous prenez des petites libertés ? Vous m’aviez oublié ?— Pas du tout monsieur, j’avais placé un rendez-vous qui s’est éternisé.— Aaah ! Et elle était jolie ?— Ce n’était pas ce que vous croyez.— Ah bon, dommage.— C’était un rendez-vous avec le producteur de mes fameuses vacances aux Baléares.— Et ben voila. Je vous l’avais dit que vous seriez rappelé.— Oui, mais j’y croyais pas. En tout cas il a voulu me connaitre car il cherche de nouvelles têtes.— De nouvelles queues plutôt, oui. Bon bah si vous retournez devant la caméra avec une belle pouliche, je veux l’exclusivité.— Pas de problème.— Dites lui aussi que si il cherche un lieu de tournage, je peux prêter une de mes villa de vacance, mon bateau où autre chose.— Ah ça, ça va lui plaire.
Une fois rentré j’ai lu le scénario que m’avait confié Rodolphe. Il était complet, dialogues, positions, tout y était mentionné mais avec une mention à la fin : « P.S : l’improvisation est bien venue. Si vous avez des idées pour améliorer le tout n’hésitez pas. » Tant mieux ! Je préfère me laisser porter par le moment.
L’histoire c’était celle d’une fille qui allume son nouveau proviseur débutant pour ne pas passer en conseil de discipline. Mais elle va se faire piéger car il va lui en demandé plus. Une scène qui n’a rien d’original mais bougrement efficace. Après la lecture j’envoi un mail à Rodolphe avec les suggestions le mon boss. Il me répond du Tac au tac « excellent ! Je vais y réfléchir ».
15 jours plus tard, comme chaque semaine, on se prépare à partir pour quelques jours à la capitale. Mon patron allait assister à ses séances interminables à l’assemblée nationale et accessoirement continuer une relation naissante avec une jeune journaliste plus jeune que sa fille. Et moi, j’allais tourner un nouveau film. J’avais prévu un costard pour ressembler à mon personnage de proviseur (et non par soucis d’économie les costumes de scène ne sont pas fournis si ce n’est pas nécessaire).
Quand j’arrive au studio je rencontre ma partenaire, une jolie brune grimée en écolière avec des couettes que je suis sensé avoir surpris dans les toilettes en train de sucer son petit ami. Je m’habille et je me place derrière le bureau dans la pièce qui avait été aménagée pour l’occasion.
« ACTION »< Toc, Toc >— Oui entrez. …. Ah Mademoiselle Duval. Je vous attendais— Vous vouliez me voir monsieur ?— Oui et ne jouez pas à l’étonnée de service. Vous savez parfaitement pourquoi vous êtes là.— ….. Oui je sais.— Si vous êtes là c’est que vous avez été surprise dans une situation indécente, aux toilettes et en galante compagnie.— Plus clairement, je suçais mon petit copain.— Voila ! ce n’est pas moi qui l’aie dit. Vous avez déjà eu des jours d’exclusion. Et plusieurs avertissements. Vous vous saviez sur la mauvaise pente et pourtant vous n’avez rien fait pour arranger la situation. Donc si je vous ai fait venir c’est pour vous dire que je vais entamer une procédure pour un conseil de discipline visant votre renvoi définitif du lycée.— S’il vous plait monsieur, c’était avec mon petit copain personne n’a été forcé. …..— Je l’espère bien. Mais le problème n’est pas là. Le souci c’est l’endroit. Je ne tolère pas ce genre d’agissement dans nos murs.— Chuis sur que vous ne diriez pas ça si vous aussi vous en aviez profité.— ….. mon cas personnel n’est pas en question.— Vous êtes sur qu’on est obligé d’en arriver là ? On ne peut pas trouver un arrangement ? après tout, à part nous personne n’est au courant.— Et vous proposez quoi ? Remonter le temps pour ne pas faire cette erreur ?— En fait je pensais plutôt vous faire profiter du même traitement. Dit-elle en commençant à déboutonner son chemisier.— …. Euh …. Mademoiselle je vous demanderais de rester correcte et de vous rhabiller.— Allez soyez pas timide. Ça se voit à votre entrejambe gonflée. Vous en avez autant envie que moi. Dit-elle en me mettant la main au paquet.
J’étais sensé essayé de l’en dissuader, et bien sur échouer dans cette tache. Elle se déshabillait progressivement et une fois à poil, prenait mes mains pour parcourir son corps avec en s’attardant particulièrement sur la poitrine.
— Bon si vous me disiez ce que vous voulez vraiment ?— C’est simple. Je vous laisse me faire ce que vous voulez et vous ne me renvoyez pas. Il parait que vous êtres divorcé. Ce serait pour vous l’occasion de tirer un coup.
Faisant semblant d’hésiter, puis d’accepter, elle commença à m’embrasser. En me laissant la caresser à ma guise. Puis, elle s’est mise à genou, m’entrouvrant les cuisses et défaisant mon pantalon pour me sucer.
— Je vous laisse réfléchir. Pendant ce temps je vais satisfaire une fringale avec un petit goûté.— Eh oh … pas si petit que ça le goûté.— Mais j’ai bien l’intention de le faire grossir. Et elle m’enfourne la queue dans sa bouche.J’ai commencé à lui caresser la tête puis elle s’est arrêtée.— Alors monsieur le proviseur, ça à l’air de vous plaire ? toujours pas décidé pour le conseil de discipline ?— Je …. Ne dois pas flancher sous la pression.— C’est ce qu’on va voir.
Elle retira sa jupe et sa culotte pour s’empaler sur ma tige et commença à se déhancher. C’est là qu’un problème est survenu j’étais tellement excité par le fait de tourner cette scène que … bah j’ai tout lâché prématurément.
— Merde, Rodolphe, j’ai tout balancé.— Ah ….. ouais ….. on va truander. Mettez vous en levrette on va filmer la sortie de ta queue et on va faire des plans serrés de toi en train de la limer dans différentes positions avant que tu ne débandes.
On a filmé quelques plans, histoire de nous voir en action. Puis, une fois tout mou, on a filmé les plans plus éloignés où je la besogne soit avec des angles de prise de vue ne permettant pas de voir directement la zone ou des plans ou je la cache avec ma main devant. Ensuite, on a fait filmé une fausse éjaculation avec ma queue décalottée dans ma main et utilisant la fameuse poire avec le faux sperme que j’avais utilisé lors de mon premier film. Le tout filmé en plan serré devant le visage de ma partenaire et des plans de mon visage lui parlant avec des mots salaces filmés a part.
Une fois la scène principale terminée, on a filmé l’épilogue. Après s’être rhabillé, je me suis rassis dans mon fauteuil.
— Alors monsieur le proviseur ?— Bon ok j’accepte ….. de repousser la procédure d’une semaine.— Quoi ? comment ça une semaine ?— Oui. Ce qu’on a fait ça vaut une semaine. Si tu veux encore la repousser faudra revenir. Et on recommencera.— Espèce de salopard ! Je vais vous …..— Vous allez quoi ? dire que vous m’avez allumé pour faire oublier cette petite pipe dans les toilettes ? Non vous ne ferez rien. hormis revenir me voir chaque semaines pour repousser la procédure. Le tout jusqu’au BAC. C’est pas la mer à boire après tout. Il ne nous reste que 3 mois.— Vous êtes dégueulasse.— C’est vous qui avez commencé. Maintenant partez avant que je ne change d’avis.
Elle parti de la pièce en claquant la porte. « COUPER, C’est bon, c’est dans la boite » cria Rodolphe.
— Bon, Pierre, c’était pas mal.— Sauf que j’ai tout foiré.— Non, t’es ni le premier ni le dernier à qui ça arrive. Ça va demander plus de travail au montage c’est tout.— Si tu veux je veux bien le faire.— C’est pas de refus. J’ai des négociations à faire avec des sites marchands commerciaux et je doute d’avoir le temps de le finir à temps. Tu peux me le faire pour la semaine prochaine ? — Oui. Je sais déjà comment je vais orchestrer tout ça.— Parfait. Bon c’était nickel. Du coup je te libère. Tu récupères tes affaires. Tiens voila les cartes mémoires du micro perche et des 2 caméras. Pour les autres on se revoit demain. Bonne soirée à tous.
Je suis reparti vers la voiture pour chercher mon boss à l’appartement de la jeune journaliste qu’il fréquentait et après avoir attendu 2 heures en bas de l’immeuble qu’il finisse sa petite affaire, on est reparti.
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